25/05/2023 23:58
Alors concrètement, voici ce qu'avait donné la première analyse que la personne a faite auprès d'ATP :
Il y avait donc un doute sur la tryptamine en question et sur le second pic détecté (en réalité il y en a plusieurs), alors que la RMN identifie formellement la molécule et à priori même son sel (fumarate). Pour l'interprétation du "second pic" c'est peut-être aussi plus clair, car le labo était formel sur le fait qu'il y a des impuretés - ne venant pas de la méthode - et que ce n'était pas non plus un produit de dégradation du 4-aco-dmt comme la psilocine.
Citation :Nous détectons un pic principal dans cet échantillon pour lequel le meilleur candidat pour l'identification est la 4ACODMT
Attention, il s'agit d'une molécule que nous n'avons pas pour habitude de rencontrer souvent et qui fait partie d'une famille de molécules proches entre elles. Dans ce cas nous préférons confirmer l'identification en envoyant l'échantillon à un laboratoire tiers.
Nous détectons éventuellement un second pic de très faible intensité, il pourrait s'agir d'un artefact ou d'un produit de degradation.
Il y avait donc un doute sur la tryptamine en question et sur le second pic détecté (en réalité il y en a plusieurs), alors que la RMN identifie formellement la molécule et à priori même son sel (fumarate). Pour l'interprétation du "second pic" c'est peut-être aussi plus clair, car le labo était formel sur le fait qu'il y a des impuretés - ne venant pas de la méthode - et que ce n'était pas non plus un produit de dégradation du 4-aco-dmt comme la psilocine.