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Techno, tech house, minimal ... de Détroit à Berlin

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion pums
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pums

Elfe Mécanique
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21/4/10
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Techno

La techno[1] est un genre de musique électronique apparu aux États-Unis en 1988.

Le plus souvent composée en home studio et réinterprétée par des disc jockeys lors de pratiques festives, la Techno est avant tout une musique de danse, par essence répétitive. Il est de fait possible de lui trouver de nombreux précurseurs, tels le titre Autobahn de Kraftwerk paru en 1974 ou bien Tomorrow Never Knows des Beatles en 1966 dans l'album Revolver.

Sa gestation s'est faite en parallèle de l'apparition de la House music à Chicago, mais la techno s'inspire plus volontiers encore de l'electro et de la new wave, ainsi que de la soul, du funk et des thèmes musicaux futuristes qui prévalaient dans la culture populaire, notamment de l'Amérique industrielle de la fin de la guerre froide.

Au cours des années 1990, la techno se développe en véritable culture musicale grâce à l'accueil que réservent l'Angleterre et surtout l'Allemagne aux artistes de Détroit. L'enthousiasme de nombreux musiciens européens conduit à l'émergence de multiples genres de musiques électroniques plus ou moins directement reliés au genre originel.

Tech house

La Tech House est un genre de musique électronique, qui se situe à la charnière entre House music et Techno minimal. Cependant, alors que la house progressive tend à incorporer éthérée, atmosphérique, sonne presque ambiante et est souvent mélangée à des degrés divers de trance et de trance progressive, et la tech-house a tendance à avoir plus en commun avec la deep house, et bien qu'elle soit originaire des clubs de Chicago, elle empreinte également le style Techno de Détroit traditionnel, avec lequel elle est souvent mélangée dans la pratique.

Techno minimale

Dérivée de la techno traditionnelle, la techno minimale propose une structure et un champ spectral plus minimaliste. Un tempo plus lent (de l'ordre de 120 à 130 bpm), des variations rythmiques et séquentielles moins fréquentes, une couverture du spectre plus découpée et des basses qui s'étirent en contraste avec des percussions très brèves et aigües sont le propre de ce genre. Depuis le début des années 2000, on assiste à une "déferlante" minimale, partie d'Allemagne et qui s'étend dans toute l'Europe.

L'apparition de la techno minimale découle de l'évolution de la techno originelle de Detroit : on doit les premiers balbutiements de cette musique notamment aux américains Robert Hood (Minimal Nation, 1994), Jeff Mills et Daniel Bell, ou encore au Canadien d'origine anglaise Richie Hawtin. Ce dernier crée le label Plus 8 en 1990 avec John Acquaviva, et sort sous le pseudonyme de Plastikman des productions sombres, très sophistiquées et minimalistes. En Europe, le label allemand Basic Channel et l'énigmatique duo Maurizio, formé par Moritz von Oswald et Mark Ernestus et 1992, deviennent cultes avec des productions qui ont marqué à jamais l'histoire de la techno dite "minimale".

Au fil des années, la techno minimale est devenue "la" spécialité berlinoise. Dans cette ville se trouvent les principaux clubs dédiés à cette musique : Berghain et le fameux Panorama Bar, Watergate et Weekend sont les lieux où sont régulièrement programmés les DJ les plus talentueux. Après Steve Bug, l'un des premiers à s'intéresser à ce style musical et à sortir des productions par le biais de son label Raw Elements (1995), plus orientées vers la house minimale, l'Allemagne a développé ces derniers années une tech house minimale dite microhouse, nettement plus influencée par la house et le funk en version sobre, moins aride que la techno minimale, mais tout aussi complexe et hypnotique : Bloodie, Pier Bucci, Ricardo Villalobos et Luciano en sont les fers de lance.

Les Allemands classent cependant les sorties de techno et de house minimale sous la catégorie générique "techno".

Les labels les plus créatifs aujourd'hui sont (entre autres) le label M_nus (créé par Richie Hawtin), Kompakt (mené par Michael Mayer, Juergen Paape et Wolfgang Voigt), Boxer (Frank Martiniq, Delon & Dalcan - basés à Cologne, Matzak), Cadenza (Luciano), Perlon (qui a signé entre autres le fameux Ricardo Villalobos), Wagon Repair, Tenax Recordings, Trapez et Traum Schallplatten (Dominik Eulberg, Alex Under, Oliver Hacke, les débuts de Nathan Fake...), Playhouse (Isolée), Mobilee (Anja Schneider, Sebo K, Pan Pot), Persona Records (Stewart Walker), Freude am Tanzen, Vakant, Kahlwild, Foundsound, Dial, Hello ? Repeat, ou encore Musik Krause.

Les artistes internationaux révélés par leurs labels locaux se retrouvent rapidement sur les labels allemands voire anglais : Trentemoller, Akufen, Fairmont aka Jake Fairley, Tolga Fidan, etc.

En 2004, la tendance trancey et progressive de la "minimale", dite aussi Neo-Trance, a été propulsée sur le devant de la scène par le label de James Holden, Border Community, révélant des artistes tels que Nathan Fake, Extrawelt, Fairmont, Petter ou The MFA. Cette influence majeure se retrouve dans l'évolution du son d'autres labels comme Cocoon, Lasergun, Bpitch Control - qui a créé dans la foulée (2005) une sous-division spécifiquement "minimale", Memo Musik. Traum Schallplatten, en signant Minilogue et les russes Moonbeam, annonce que la tendance minimal trance caractérise le nouveau son du label.

Il est notoire que même les DJ et artistes les plus habitués à un son puissant et martelé, à une techno plus "traditionnelle", sont passés en quelques années à la "minimale" d'une façon ou d'une autre. C'est le cas de Sven Väth, Chris Liebing ou Adam Beyer. La même évolution se produit chez des artistes house ou progressive tels que Misstress Barbara ou John Digweed.

En France, les "Djettes" et Dj internationaux Chloé, Jennifer Cardini ont fortement contribué à faire connaître la minimale dès le début des années 2000, à travers leur résidence au Pulp et leurs compilations respectives : I hate dancing, et Lust sorties toutes deux sur le label français UWE pourtant très techno hardcore à ses débuts. (Cf. également leur collaboration sur Bpitch Control pour Chloé, sur Mobilee, Crosstown Rebels, Kompakt pour Jennifer Cardini.

Parallèlement, d'autres DJ français reconnus évoluent eux aussi vers le registre "minimal" dans leurs sets et leurs compilations sans toutefois s'y enfermer : Oxia (le morceau Domino sorti sur Kompakt, et la compilation Picture of Now 2 sur Scandium), Agoria (la compilation Cute & Cult) - qui vient de créer son label InFiné Records fin 2006.


Bien que le mouvement, depuis 2009, ait tendance à séduire un public moins large et devienne, comme à l'origine, plus underground (ce qui se traduit aussi par la désaffection de nombreux DJ et producteurs relativement populaires qui s'étaient tournés un temps vers cette musique), beaucoup conviennent, rétrospectivement, que son influence sur les différents genres de musique électronique de danse (et même au-delà) aura été très importante, débouchant sur des compositions plus épurées, lentes et complexes, même dans des styles qui ne lui sont pourtant pas liés directement, comme la Dubstep en Angleterre.

8) 8) 8) 8)


La il y a de quoi faire héhé :D
 
Tiens pour le fun je vais comparer ce que tu as écrit (enfin je suppose que c'est toi qui a tout écrit puisque tu ne cites pas de source) et wikipedia :
wiki a dit:
La techno[1] est un genre de musique électronique apparu aux États-Unis en 1988.

Le plus souvent composée en home studio et réinterprétée par des disc jockeys lors de pratiques festives, la Techno est avant tout une musique de danse, par essence répétitive. Il est de fait possible de lui trouver de nombreux précurseurs, tels le titre Autobahn de Kraftwerk paru en 1974 ou bien Tomorrow Never Knows des Beatles en 1966 dans l'album Revolver.

Sa gestation s'est faite en parallèle de l'apparition de la House music à Chicago, mais la techno s'inspire plus volontiers encore de l'electro et de la new wave, ainsi que de la soul, du funk et des thèmes musicaux futuristes qui prévalaient dans la culture populaire, notamment de l'Amérique industrielle de la fin de la guerre froide.

Au cours des années 1990, la techno se développe en véritable culture musicale grâce à l'accueil que réservent l'Angleterre et surtout l'Allemagne aux artistes de Détroit. L'enthousiasme de nombreux musiciens européens conduit à l'émergence de multiples genres de musiques électroniques plus ou moins directement reliés au genre originel.
Tiens c'est marrant c'est exactement ce que tu as écris.
wiki a dit:
La Tech House est un genre de musique électronique, qui se situe à la charnière entre House music et Techno minimal. Cependant, alors que la house progressive tend à incorporer éthérée, atmosphérique, sonne presque ambiante et est souvent mélangée à des degrés divers de trance et de trance progressive, et la tech-house a tendance à avoir plus en commun avec la deep house, et bien qu'elle soit originaire des clubs de Chicago, elle empreinte également le style Techno de Détroit traditionnel, avec lequel elle est souvent mélangée dans la pratique.
Rebelote.
wiki a dit:
Dérivée de la techno traditionnelle, la techno minimale propose une structure et un champ spectral plus minimaliste. Un tempo plus lent (de l'ordre de 120 à 130 bpm), des variations rythmiques et séquentielles moins fréquentes, une couverture du spectre plus découpée et des basses qui s'étirent en contraste avec des percussions très brèves et aigües sont le propre de ce genre. Depuis le début des années 2000, on assiste à une "déferlante" minimale, partie d'Allemagne et qui s'étend dans toute l'Europe.

L'apparition de la techno minimale découle de l'évolution de la techno originelle de Detroit : on doit les premiers balbutiements de cette musique notamment aux américains Robert Hood (Minimal Nation, 1994), Jeff Mills et Daniel Bell, ou encore au Canadien d'origine anglaise Richie Hawtin. Ce dernier crée le label Plus 8 en 1990 avec John Acquaviva, et sort sous le pseudonyme de Plastikman des productions sombres, très sophistiquées et minimalistes. En Europe, le label allemand Basic Channel et l'énigmatique duo Maurizio, formé par Moritz von Oswald et Mark Ernestus et 1992, deviennent cultes avec des productions qui ont marqué à jamais l'histoire de la techno dite "minimale".

Au fil des années, la techno minimale est devenue "la" spécialité berlinoise. Dans cette ville se trouvent les principaux clubs dédiés à cette musique : Berghain et le fameux Panorama Bar, Watergate et Weekend sont les lieux où sont régulièrement programmés les DJ les plus talentueux. Après Steve Bug, l'un des premiers à s'intéresser à ce style musical et à sortir des productions par le biais de son label Raw Elements (1995), plus orientées vers la house minimale, l'Allemagne a développé ces derniers années une tech house minimale dite microhouse, nettement plus influencée par la house et le funk en version sobre, moins aride que la techno minimale, mais tout aussi complexe et hypnotique : Bloodie, Pier Bucci, Ricardo Villalobos et Luciano en sont les fers de lance.

Les Allemands classent cependant les sorties de techno et de house minimale sous la catégorie générique "techno".

Les labels les plus créatifs aujourd'hui sont (entre autres) le label M_nus (créé par Richie Hawtin), Kompakt (mené par Michael Mayer, Juergen Paape et Wolfgang Voigt), Boxer (Frank Martiniq, Delon & Dalcan - basés à Cologne, Matzak), Cadenza (Luciano), Perlon (qui a signé entre autres le fameux Ricardo Villalobos), Wagon Repair, Tenax Recordings, Trapez et Traum Schallplatten (Dominik Eulberg, Alex Under, Oliver Hacke, les débuts de Nathan Fake...), Playhouse (Isolée), Mobilee (Anja Schneider, Sebo K, Pan Pot), Persona Records (Stewart Walker), Freude am Tanzen, Vakant, Kahlwild, Foundsound, Dial, Hello ? Repeat, ou encore Musik Krause.

Les artistes internationaux révélés par leurs labels locaux se retrouvent rapidement sur les labels allemands voire anglais : Trentemoller, Akufen, Fairmont aka Jake Fairley, Tolga Fidan, etc.

En 2004, la tendance trancey et progressive de la "minimale", dite aussi Neo-Trance, a été propulsée sur le devant de la scène par le label de James Holden, Border Community, révélant des artistes tels que Nathan Fake, Extrawelt, Fairmont, Petter ou The MFA. Cette influence majeure se retrouve dans l'évolution du son d'autres labels comme Cocoon, Lasergun, Bpitch Control - qui a créé dans la foulée (2005) une sous-division spécifiquement "minimale", Memo Musik. Traum Schallplatten, en signant Minilogue et les russes Moonbeam, annonce que la tendance minimal trance caractérise le nouveau son du label.

Il est notoire que même les DJ et artistes les plus habitués à un son puissant et martelé, à une techno plus "traditionnelle", sont passés en quelques années à la "minimale" d'une façon ou d'une autre. C'est le cas de Sven Väth, Chris Liebing ou Adam Beyer. La même évolution se produit chez des artistes house ou progressive tels que Misstress Barbara ou John Digweed.

En France, les "Djettes" et Dj internationaux Chloé, Jennifer Cardini ont fortement contribué à faire connaître la minimale dès le début des années 2000, à travers leur résidence au Pulp et leurs compilations respectives : I hate dancing, et Lust sorties toutes deux sur le label français UWE pourtant très techno hardcore à ses débuts. (Cf. également leur collaboration sur Bpitch Control pour Chloé, sur Mobilee, Crosstown Rebels, Kompakt pour Jennifer Cardini.

Parallèlement, d'autres DJ français reconnus évoluent eux aussi vers le registre "minimal" dans leurs sets et leurs compilations sans toutefois s'y enfermer : Oxia (le morceau Domino sorti sur Kompakt, et la compilation Picture of Now 2 sur Scandium), Agoria (la compilation Cute & Cult) - qui vient de créer son label InFiné Records fin 2006.


Bien que le mouvement, depuis 2009, ait tendance à séduire un public moins large et devienne, comme à l'origine, plus underground (ce qui se traduit aussi par la désaffection de nombreux DJ et producteurs relativement populaires qui s'étaient tournés un temps vers cette musique), beaucoup conviennent, rétrospectivement, que son influence sur les différents genres de musique électronique de danse (et même au-delà) aura été très importante, débouchant sur des compositions plus épurées, lentes et complexes, même dans des styles qui ne lui sont pourtant pas liés directement, comme la Dubstep en Angleterre.
Idem.

D'où ma question : quel est l'intérêt d'ouvrir un topic qui se contente de reprendre mot pour mot des définitions de wikipedia sans même linker une seule source?
Personnellement je ne vois vraiment pas l'intérêt d'un tel topic.
 
Source wikipedia bien entendu...

Quelques tracks mythiques pour commencer

[youtube]KevUFO2moZI[/youtube]

[youtube]Nsct-e-HVE0[/youtube]

[youtube]2pCd4b1KGys[/youtube]
 
c'était un oubli dsl, je m'en suis rendu compte juste aprés avoir posté et je voulais réparer l'erreur sur mon deuxième post :oops:

l'intêré du topic est bien entendu de partager du son, la description était juste là pour poser les bases comme sur les autres topics consacré aux styles musicaux et pour ça je fais confiance à wikipedia sinon j'avoue que je ne l'aura pas fait
 
Ça roule.
 
Yeah !
Une petite sympa :
[youtube]I2DQ2zr2lqU[/youtube]

Magnifique selon moi :
[youtube]Q63KTr5cL6Q[/youtube]

Classique :
[youtube]GcwcxuugE0Y[/youtube]
 
Par contre faut virer la partit techno de mon post, j'y cours -->

The aztec mystic aka dj Rolando - Knights of the jaguar:
[youtube]Sz_6iyDuqVY[/youtube]

Millsart (Jeff Mills) - Gamma player:
[youtube]uGrLpHWYdZI[/youtube]
 
Deux version live bien cool


Paul Kalkbrenner qui déchire tout depuis ses premiere sorties sur Bpitch début des années 2000
[youtube]66J8wDncU7s[/youtube]

Laurent Garnier toujours en place 8)

[youtube]t3NlTpHiFwg[/youtube]
 
je la connaissais pas celle là de Kalkbrenner ! DL effecuté ! merci elle envoie sérieusement.
 
Quelque tracks de français qui ont bien cartonné (tendance tech/progressive house)

[youtube]8WuodXG1XJg[/youtube]

[youtube]viXL4W7vo2E[/youtube]

[youtube]8znV1u54VHM[/youtube]

:wink:

Sinon il se passe pas mal de chose du côté du label Infiné avec Agoria (dernier album vient de sortir), Arendel, Clara Motto... Ya de la bonne tek chez les lyonnais!!
 
A oui, Agoria - Libellules, un de mes vinyles favori:

Agoria - Libellules
[youtube]06pp3iFHTSM[/youtube]
 
Et en parlant d'Infiné, une track découverte il y a peu qui m'envoie bien loin ...
[youtube]EZth3ptCe2E[/youtube]
 
Okay, this is supposed to be an english thread yet all I see is french... Why is that? Bums me out!

Thanks for the Popof and Agoria links by the way, proper electronic music!
 
Didn't you see you were in french section ? :mrgreen:
 
Merci Microtubule, c'est vrais qu'elle fait planer, elle me fait rire aussi.
 
"Didn't you see you were in french section ?" -Drymeen

No, 'cause I clicked on the topic on the main page(active topics), on which it is(or was) displayed with an english flag next to it!
 
[youtube]q8rTdky7mGc[/youtube]

Cette track m'a agréablement surprise lors du live/djset d'Agoria @ Rexclub.
Cocoon recordings qui sort vraiment des tueries je trouve
 
Quelques tracks de mon trip musicale du moment, la dub techno.

Vite fait:
(Wiki nous dit)

"La dub techno (ou dub minimaliste) est un style de musique électronique initié par le duo berlinois Basic Channel. L'école allemande est d'ailleurs la plus active dans ce domaine, notamment la scène berlinoise. Mais on assiste aussi depuis quelques années déjà à un renouveau du son Dub Techno au sein de l'école de Détroit. Le travail de Rod Modell et de Stephen Hitchell en particulier a inspiré un nouveau souffle au genre depuis la fermeture des labels berlinois Basic Channel puis Chain Reaction.

Ce style est à la charnière entre Dub et Techno minimale. Si la frontière entre techno minimale et dub techno est subtile pour l'auditeur inexpérimenté, les deux styles se distinguent clairement l'un de l'autre par une volonté de simplicité épurée pour la techno minimale d'une part et une recherche d'enrichissement des textures par l'utilisation intensive d'effets sonores pour le dub techno d'autre part.

Avec comme base le beat caractéristique de la techno, les techniques de production du dub sont incorporées (écho, réverbération, déphasage...) ainsi parfois que les skanks du reggae. L'ensemble se reconnaît grâce à une structure musicale extrêmement épurée et séquencée. Cette musique se produit essentiellement avec des machines et les rares instruments additionnels subissent de tels effets qu'ils se fondent parfaitement aux œuvres. Un point commun à toute la production dub techno se trouve dans l'utilisation intensive de bruits de fond, souffle, craquements et autres scories sonores contre lesquelles les producteurs de musique luttent habituellement. Cela participe à l'élaboration de la texture sonore propre à ce genre musical.

En France

Le style n'est pas encore très répandu même si de nombreux artistes électroniques produisent des titres minimalistes. C'est par exemple le cas des premiers titres de l'album Metà Metà de Zenzile, sur certaines productions du groupe High Tone ou du collectif General Dub.
"

Tiens Zenzile, ca manque dans la section downtempo :)

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DeepChord Presents Echospace - Symbolism In Transition
[youtube]tLcaDxgR2m8[/youtube]

DeepChord - Grandbend (DC07 mix)
[youtube]d2JX-QOZMiQ[/youtube]

Paperclip People - The Climax (Basic Reshape)
[youtube]oYs8FEvMJII[/youtube]

Basic Channel - Phylyps Trak II/II
[youtube]JU4dXv5ohbc[/youtube]

Voilà quelques titre représentatifs ;)
 
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