Tridimensionnel
Cheval théorique
On parle bcp de la prise de psyché en forêt, dans la nature, les zolis zanimaux, communion avec les arbres... mais la plupart d'entre nous vivent en ville maintenant. Est-ce qu'ils vous arrive de triper en milieu urbain ? Comment le ressentez-vous ?
Pour ma part j'ai tendance à me cacher pour triper car je n'ai pas confiance en moi et je pars facilement vrille / paranoïa sous le regard d'autrui. Donc, si je ne suis pas dans la petite maison de rêves au milieu des arbres, je reste chez moi. Ressentir la nature est encore ce qui m'intéresse le plus dans les psychés : par exemple, lors d'un trip solitaire, je suis sorti en direction du fleuve et je suis resté là quelques heures. J'étais seul au bord de l'eau, à regarder les gens vivre, ça en me dérangeait pas d'être en ville ; mais sur le chemin par contre, tout ce béton, cette croûte dure et infertile sur laquelle se réverbérait le soleil, ce n'était pas agréable. Et j'avais peur de tomber sur quelqu'un qui me regarde bizarrement etc. Mais si j'étais avec quelqu'un, un.e complice, peut-être que ça me plairait néanmoins.
Pour ma part j'ai tendance à me cacher pour triper car je n'ai pas confiance en moi et je pars facilement vrille / paranoïa sous le regard d'autrui. Donc, si je ne suis pas dans la petite maison de rêves au milieu des arbres, je reste chez moi. Ressentir la nature est encore ce qui m'intéresse le plus dans les psychés : par exemple, lors d'un trip solitaire, je suis sorti en direction du fleuve et je suis resté là quelques heures. J'étais seul au bord de l'eau, à regarder les gens vivre, ça en me dérangeait pas d'être en ville ; mais sur le chemin par contre, tout ce béton, cette croûte dure et infertile sur laquelle se réverbérait le soleil, ce n'était pas agréable. Et j'avais peur de tomber sur quelqu'un qui me regarde bizarrement etc. Mais si j'étais avec quelqu'un, un.e complice, peut-être que ça me plairait néanmoins.