En gros ce qui veulent dire c'est que les psychédéliques ont aussi des effets sur la pensée en plus des hallus, décorporation etc. contrairement aux dissos.
Auquel cas ils ont bien tort, parce que foutredieu le DXM (pas encore pu pousser la kéta assez loin) dans le genre "cerveau qui pédale" c'est gratiné, sur ma deuxième prise (plateau 3) je n'avais pas grand chose niveau visu mais tout se jouait dans la tête !
Psychédélique si je ne m'abuse ce n'est pas une catégorisation du même ordre que stimulant/hallucinogène/dissociatif/etc. Même si il y a de plus fortes probabilités que du LSD ou des champis aient cette dimension que la MDMA par exemple, cette dernière peut l'avoir, c'est un fait. Même un tarlu au shit, selon qu'on le fume en ville avec des potes ou seul face aux étoiles, c'est pas la même expérience, et je n'hésiterais pas à qualifier la seconde de potentiellement psychédélique.
Me souviens d'une de mes premières soirées pétards il y a deux ans, on tournait au bon gros com bien coupé, on avait un peu picolé et le spliff était sacrément chargé. Mon meilleur ami a lancé
Macquarie Ridge de Boards Of Canada, groupe dont j'ignorais tout...Je suis pas souvent reparti dans ces contrées de l'esprit depuis (*des sanglots dans la voix*), et c'est un peu ces quelques minutes que je travaille à retrouver depuis quand je fume.
