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Juste pour dire

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion josé
  • Date de début Date de début
Presque 2 mois sans opis ! J'ai pris hyper cher, j'ai l'énergie de ma grand mère, mais je me sens fort à l'intérieur. Je me croyais pas capable de traverser ça.

Encore un peu mal aux reins de temps en temps et quelques bricoles… Mais j'ai pas spécialement envie de consommer. Un peu bien sûr, d'autant que je ne me suis jamais dis "plus jamais".
Mais au final, c'est toujours la même illusion qui fait replonger, celle de croire qu'on peut gérer une conso occasionnelle…
On reprend très vite les mauvaises habitudes qui semblent invraisemblables quand on s'en éloigne quelques temps.
Ca coute trop cher un tel sevrage pour tout niquer juste après.
Enfin on verra bien comment ça se passe, mais je ferais tout pour pas retomber dedans.
 
Evite la conso occasionnelle, déjà qu'avec le cannabis je m'y tient jamais, alors avec les opi.
Mais félicitation, j'aime bien voir des messages d'espoirs de temps en temps ^^.
 
Le truc c'est que si je me dis que j'y touche plus jamais, me connaissant, ça va me frustrer et là je vais y penser à mort. Pour le moment de toute façon, il est pas question d'en reprendre, le sevrage n'est pas tout à fait terminé. Ca traine^^
 
un sevrage cela doit être obsessif pour être de taille et aussi fort que l'envie de consommer. Ces tendances doivent être de même force. Cela penchera en faveur de l'une ou l'autre et à cet instant on ne sait pas laquelle... C'est après...
 
Mervin a dit:
Le truc c'est que si je me dis que j'y touche plus jamais, me connaissant, ça va me frustrer et là je vais y penser à mort

J'approuve, de laisser la porte ouverte ça permet de s'affranchir de la discipline de l'interdiction qui peut être intenable pour certains comme moi, pour d'autre ça peut être la solution mais voilà faut gérer la frustration après.

C'est comme se dire "faut pas qu'je fume", "faut pas qu'je fume", ..., au final tu vas fumer l'esprit n'entends pas la négation ^^
 
j'ai du m'y reprendre à 3 x avant de conclure sur un sevrage complet... A chaque recommençage de cure l'obsession d'arrêter était plus profonde et la prise de drogue moins forte pck celle ci me servait aussi à me rendre compte que c'était dommage de perdre tout le travail accompli de la cure... puis après réussi ou non c'est du pareil au même avec les (dés)avantages et inconvénients mais je voulais connaître les (dés)avantages et inconvénients de cette vie là après avoir connu ceux de l'autre vie et... ma curiosité est satisfaite. Un mec qui n'a jamais essayé la drogue est aussi ignorant que celui qui ne connaît que ça.

Ils sont ignorants chacun à leur manière. Je défends mon savoir polyvalent Voir la pièce jointe 18442
 
Ouais puis là ça se goupille bien, des projets en cours (musique), dans lesquels j'ai été embarqué juste 3 ou 4 semaines après le début du sevrage^^
Ca m'occupe grave l'esprit. Vu qu'on attend quand même une certaine performance de ma part, le stress qui en découle est pas évident à gérer, on se sent un peu comme une petite merde fragile dans cette période post sevrage, mais ça m'oblige à dépasser un peu tout ça et à pas rester chez moi à me regarder le nombril.

Enfin c'est positif tout ça, content d'avoir arrêté, pas déprimé, des perpectives… Quand je vois l'état de certaines personnes, même plusieurs mois après leur sevrage, j'ai vraiment l'impression d'avoir de la chance.

Puis c'est cool de pouvoir en parler un peu ici. Dans mon entourage très peu de gens sont au courant, et encore moins comprennent… Du coup ça fait du bien d'avoir des réponses de gens qui connaissent le problème ;)
 
200 millions de téléspectateurs pour l'eurovision c'est vraiment la preuve que le communisme continue a faire du mal.
 
Dans le monde il y a deux sorte de personnes. Ceux qui peuvent extrapoler à partir de données incomplètes.
 
\o/
 
Y'a une nouvelle nana qui vient de rentrer dans ma vie :mrgreen:
 
Comment ça, encore une :mrgreen: Elle sa sera juste une histoire comme ça, elle quitte la France en Septembre, tranquillement :mrgreen:

J'suis pas un Don Juan spécialement cependant.
 
La drogue, la mort, la vie, un autre pantin s'en va. Tchao pantin, on se reverra plus tard.
 
après plus d'un an de présence sur le forum, avec l'intérêt à la lecture mais aussi des polémiques parfois, j'ai eu le temps de méditer et je me demande si je n'ai pas eu de morphine à mon insu quand j'étais ado. Je prenais du LSD et je fumais des pétards et j'ai essayé d'autres choses mais pas de morphine à ma connaissance or ma mère (que je voyais très peu) revenue de l'étranger avait subi un accident à bord d'un navire. Une bouteille d'oxygène avait explosé. Ma mère a été atteinte aux jambes par la déflagration qui lui a imprimé une constellation de petits dépôts noirs sous la peau... On lui a mis une nouvelle peau. Et maintenant que je me souviens elle m'a dit que le médecin lui avait prescrit de la morphine. Mais je n'ai jamais vu cette morphine. Quelle était le conditionnement de la morphine lors des années 70? Et comment cela aurait pu arriver en moi? Je n'ai jamais rien eu de visible aux bras...

Si c'est arrivé cela n'a pu excéder que quelques x... Je commence à croire que j'ai été un morphinomane qui s'ignore.
 
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