j'en fais rapport mais comme un souvenir. Je n'ai pas certains détails pour faire un vrai TR de stimulants... C'est plus une anecdote.
Pour la question morale ce n'est pas moi qui vais chercher le Captagon aujourd'hui. C'est lui qui vient à moi alors que je n'ai plus vraiment lieu d'y penser dans ma vie actuelle. L'actualité me rappelle un outil avant qu'il n'ait servi. C'est comme si je retrouvais dans les actualités un outil que on m'a spolié. Il m'a permis de carburer pour faire une exploration souterraine. A 2, sans le Captagon on n'aurait pas eu ce culot. Mon analyse des actualités est faite de manière avertie. C'est rare quand on peut mettre une expérience de marginal (souvent jugée insignifiante) au service de la Vérité. Les chercheurs, les enquêteurs, la justice font pareil en ce moment. C'est leur boulot. Ce qui prime avant tout c'est de dégager la vérité et des certitudes de tout cela pour trouver les bonnes dispositions à prendre.
saper les labos de Captagon en Orient c'est saper le mouvement jihadiste. Mais voila, la drogue est protégée. Oser envisager la drogue comme cible en Syrie c'est comme oser penser à la Bastille (avant la Révolution). Des gens ont peur d'y penser.
Le Captagon du Jihad c'est comme une Bastille à prendre dans sa propre tête. Par tout le monde et par les usagers eux-mêmes. Si j'étais Arabe j'irais ouvrir un office d'Infor Drogue Arabe (comme le Croissant Rouge) en Arabie et en arabe...