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Je m'inscris!Moi aussi je criais au génie je me suis fait des trips absolument dements sur dxm : une (très,trop?) puissante aventure onirique souvent spirituelle assez proche du rêve lucide )...c'etait ma drogue de predilection et puis voilà je regarde derriere moi, je fais un bilan (enfin ca va faire plusieurs mois que je le fais) : 2 années de fac perdu, ma vie sociale et sentimentale bien atrophié, état depressif chronique...
Je l'aurais jamais cru j'etais le premier à le croire : "le dxm ca ne cree pas de dependance" n'est ce pas ?! et bien mentalement si je suis quasi incapable de m'amuser sans et en consequent je trippe le plus souvent possible, j'ai fait qq breaks mais j'y reviens en me persuadant à chaque fois que cela ne me fait pas de tort.
La drogue (dans mon cas le dxm) m'a fait eprouver les sensations les plus plaisantes
que ce que j'ai pu eprouver jusqu'alors mais je suis forcé de le reconnaitre ca m'a totalement deconnecter des realites du monde exterieur. J'ai l'impression de m'etre plongé dans un "magmas metaphysique"
au combien jouissif mais qui m'a rendu plus instable voire psychotique qu'autre chose.
Desolé de passer pour un vieux con. :frown:
Je donne pas de lecon je livre mon experience perso (auquelle je n'arrive malheureusement pas à mettre un terme)
tout ca parce que je me suis comporte en foutu egoiste depourvu de responsabilité et de volonté.
Ahah* a dit:quand tu parle ca veut rien dire et quand tu marche tu ressemble à un robot autiste! :lol:
Tiax a dit:Fin de la minute morale chiante
je pense que quand tu parles c'est à peu près compréhensible mais que c'est surtout toi qui hésite sur l'existence des mots que tu prononces
Attend j'en ai une bonne... j'suis hyper sensible au dxm, 200 mg me defoncent pour 48h... pratique quand tu te fais chier, que t'es en confiance et que t'a rien à foutre de tes journées... pas compliqué, avec 3 grammes de dxm je tiens 10 jours sans redescendre (en les étalant hein, pas ouf non plus...)... je l'ai fait... le tout arrosé de petard et de rhum (je revenais de guadeloupe ^^). Et franchement c'est très vivable mrgreen, il t'arrive des trucs de plus en plus bizarre, je dormais quasiment plus (trop violent de s'allonger dans le noir), et finalement ça c'est fini en gros délire genre à me rouler par terre avec une flute dans le bec et une guitare entre les mains en me bavant dessus tellement je rigolais... j'ai decouvert que j'étais pas fait pour la chanson et en plus je faisais flipper mes potes, alors après j'ai arrété. Physiquement c'était dur, je me cognais pas mal (plus d'équilibre) et j'aurais pu me faire très mal (je sentais plus mon corps)... j'en ai gardé une ptite tremblotte d'ailleurs. Sinon j'avais plus conscience de grand chose, de ce que je pouvais et de ce que je pouvais pas, de qui était qui, et un enooorme detachement pas rapport au monde, à la vie, à tout... une grosse "melancolie" (ça fait partie de "l'ambience" sous dxm chez moi), une sorte de tristesse, un fatalisme... bizarre, et très très flou dans ma tête. Ah et je me suis marré putain, le moindre pétard me faisait partir trèèès très loin (ouai yavait pas besoin de ça ^^), des fou rires de malade à longueur de journée. Pas à l'aise dans la foule, normal : je savais plus qui j'étais, si j'étais les gens si j'étais tout le monde ou si j'étais "que" moi... même plus d'angoisse à la longue, ça me parraissait trop lointain et absurde tout ces trucs.Supervixen a dit:Tiax a dit:Fin de la minute morale chiante
... mais utile. En effet on parle peu de l'addiction au dxm, d'ailleurs j'étais moi-même sur le cul quand je suis tombée il y a quelques mois sur un site ricain où les gens racontaient (en vidéo) leur dépendance à cette petite molécule ! Je n'arrive toujours pas à imaginer comment on peut vivre sous dxm (ou sous kéta, j'ai encore jamais testé mais vu qu'il parait que ça y ressemble...). :shock: M'enfin.