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Dans quoi je m'engage avec le LSD ?

amicale_du_pc

Holofractale de l'hypervérité
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ouaih bhain ça justement j'aimerais bien connaître l'alchimie exacte du concept créatif musical de chaque groupe, chaque star... Mais encore cette x les médias d'information tombent de la lune et affichent des matières insipides non pertinentes. Je suis encore en train de chercher une page web qui connait son sujet. A savoir tel groupe tire son style de telle drogue. Idem avec les DJ. Savoir si ce que on entend a été fait pendant "l'exploration" ou en différé, après, pour exploiter les découvertes de façon plus sûre. Certaines drogues accompagnent une session musicale, c'est certain. Par exemple la weed, le speed... ce sont des choses que les musiciens ont jusqu'au trognon en live ou en studio. Mais avec d'autres drogues cela semble différent... Il n'y a aucune info sur l'alchime précise des créations. Il faut s'en tenir à sa propre intuition pour "comprendre" les circonstances d'un morceau de musique. Par exemple il y a des morceaux de JH très forts mais aussi certains très déchéants. On sait alors "tiens là JH avait son quota de substances pour générer ce morceau" mais à d'autres moments "là il est en pleine dépression, la musique n'est pas liée, elle n'envoie pas en l'air". Pour Guru Guru on dirait que ça a été fait en descente de trip... Je ne dis pas que ça a été fait en descende de trip mais je dis que on dirait... C'est à ça que je pense quand j'écoute. En réalité on n'en sait rien. Ce n'est fort probablement pas écrit sur la pochette quand il devrait y avoir "ce disque a été fait à tel moment vis à vis du trip. La dose était de "n µg" (n pour nombre) et le trip a duré autant de temps , etc..." Mais non! Rien d'intelligent en rapport avec l'oeuvre. Que des fadaises dont on n'a rien à foutre. Le 2me disk Amon Duul semble fait plus loin du trip. L'auteur de ce song exploite le trip après coup pour le cadrer artistiquement... Mais là encore je n'en sais rien exactement. Ce n'est qu'une impression. Il n'y aura rien de spécifié de pertinent vis à vis de l'oeuvre. Que des infos creuses comme sur un produit d'épicerie.
 

Sandman

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amicale_du_pc a dit:
ouaih bhain ça justement j'aimerais bien connaître l'alchimie exacte du concept créatif musical de chaque groupe, chaque star... Mais encore cette x les médias d'information tombent de la lune et affichent des matières insipides non pertinentes. Je suis encore en train de chercher une page web qui connait son sujet. A savoir tel groupe tire son style de telle drogue.

Ben t'as des classiques du genre Pink floyd, lou reed ou les stones la c'est écrit direct dans leurs textes donc pas besoin d'aller chercher bien loin. Pour les morceaux instrumentaux c'est plus difficile de juger mais je dirais: les standard de Free Jazz dont je soupçonne fortement que la plupart d'entre eux ont été crée ou joué sous héroïne.
A mon avis il y à de fortes accointances entre LSD et Jazz/Rock, la j'ai pas d'infos mais ça se sent.
Et concernant le cannabis, je n'ai pas encore rencontré dans ma vie un musicien avec les poumons vierges.
J'ai appris récemment de source sure que le milieu du conservatoire classique était bourré de mecs sous benzodiazépines, ce qui ne m'étonne guère.

Le blues est clairement la musique de l'alcool.
L'electro debut 90's c'est MDMA zéro tracas.
Le hip hop americain c'est weed à gogo comme le jazz en son temps. Ça fait partie trés fortement de la culture afro-americaine. Mais comme j'ai dit la plupart des zicos des époques dont on parle et même aujourd'hui y sont passés. C'est un tips ça, tu veux de la beuh mais tu connais personne, go dans l'école de musique de ta ville.


Mais si tu veux pousser plus loin faut lire les biographies des artistes. Et les bonnes.

Ou aller leur demander directement :mrgreen:
 

amicale_du_pc

Holofractale de l'hypervérité
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c'est bien.
Tu fais une approche générale assez bonne pour les drogues "classiques". Le LSD a droit à un tableau spécial. C'est une drogue avec une part d'énigme encore. La psyché et son associé le LSD n'ont pas livré tous leurs secrets. Avec le LSD il faudrait plus de spécifications et de précisions sur le topo des créations musicales.
 
D

Deleted-1

Invité
En exemple, Sunday Morning du Velvet Underground a été écrite sous speed un matin/lendemain de soirée, les paroles traitent de la paranoïa (rien de tel pour en parler qu'en amorce de descente de stim).


Après faut pas croire que la chanson a été bouclé dans l'heure...parce que si les bases musicales ont été posé au piano lors d'une inspiration, la mélodie avait peut-être été ruminé en amont, et a été certainement bien retravaillé ensuite pour avoir un rendu propre, harmonieux et audible.

Pour les trips, c'est clair que c'est plus tendax de composer défoncé, mais quand t'es artiste, posé tranquilou dans ta piaule à gratouiller des cordes ou mixer quelques samples, ce petit moment de lucidité peut venir de nul part et te pousser à jouer quelques notes parce qu'une mélodie t'es apparue telle une vision, et hop t'as créé quelque chose, que tu pourras retravailler ensuite (ou pas si t'es dans une démarche purement spontanée). Au final niveau composition, pour certains c'est tout pourri, quand pour d'autres ça fait des tubes planétaires...mais encore une fois, si très défoncé tu peux avoir l'idée et des premières pistes sonores qui vont t'amener à réaliser une œuvre musicale, ce n'est pas en jouant avec deux ou trois buvards dans le gosier que tu vas émerveiller ton public..

Après tout dépend de si tu te fais ton délire ultra perso, ou si tu produits de la sik pour un auditoire. Toujours pour reprendre Lou Reed en exemple, il a écrit l'album Metal Machine Music dans une période de sa vie où la sobriété était un vague souvenir, et c'est juste inaudible à part par lui, d'autant plus parce qu'il a fait un fuck au major qui ont exigé de lui un nouvel album direct après avoir sorti le précédent, qui a fait un carton.

 

Sandman

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Pour être musicien je peux témoigner que c'est difficile de jouer ou composer perché.

Par contre la drogue influence fortement les goûts et les influences.

Sans la weed je n'aurait pas été aussi touché par Pink Floyd. Les psychés changent la perception et te forge des souvenirs et une façon de percevoir très différente, et ça se ressent ensuite dans la musique.

Par exemple j'ai remarqué que l'harmonie est fortement influencé par la prise de psyché. Les accords complexes sont le signe d'une grande sensibilité musicale parfois induite par la prise de drogue.

Dans le cas du Jazz se forger une oreille est aussi cruciale que de comprendre certain changements harmoniques subtiles.

De même certains écrivains sont complètement influencé par la drogue. Quand je lis Bukowski, ça se sent à 1000 bornes qu'il était au bord du coma éthylique pendant qu'il écrivait. On peut le savoir parce que certains ressentis sont universels.

Herbie hancock à fait des lives de jazz/funk improvisé qui durait des heures ou le rythme et les harmonies sentent la weed à plein nez.

Weather Report également avec des albums très structurés mais en live il partent dans une transe afro et psyché qui sent le lsd à fond.

Le musicien ou tu peux sentir l'influence direct du LSD et qui a joué de nombreuses fois sous emprise c'est Jimi Hendrix. La y'a pas photo. Sans le lsd et le contexte de l'époque Hendrix aurait été un bluesman. Un trés bon joueur de blues mais jamais il n'aurait été aussi barré dans ses compos. La plupart des parôles de ses chansons sont un hommage direct au contexte psychédélique de l'époque. Très symboliques et mystique.

Au final peu d'artistes composent sous emprise et la drogue ne rend pas la création "meilleure". Mais il n’empêche que beaucoup de musicien ont expérimenté des états modifiés et que ça a changé l'orientation musicale de beaucoup d'entre eux.
 

amicale_du_pc

Holofractale de l'hypervérité
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c'est quand on arrive à vivre son trip au quotidien que l'inspiration est hardcore. Ce n'est pas que pour la musique mais pour tout.


<edit> pour l'inspiration sous LSD en live je crois de plus en plus aux microdoses. Je ne demande qu'à croire que le LSD microdosé (20 µg par ex) dispense son onde en irrigation des zones créatrices du cerveau sans regain incontrôlable...
 

Thysia

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Alors c'est clair qu'on ne sait pas exactement ce qu'a pris tel ou tel musicien avant de créer (d'ailleurs je me suis d'innombrables fois posé la question pour mes artistes préférés). Après pour des groupes comme Amon Düül et Guru Guru, c'était très nettement revendiqué et le LSD était partie intégrante de leur identité. Il me semble que Guru Guru au début jouaient tous leurs concerts sous LSD.

Un autre exemple de zik qui a clairement l'air sous influence psychédélique, c'est Ya Ho Wha 13, un groupe d'une sorte de secte hippie menée par un gourou bien cramé.

[video=youtube;d8MsHfReCQc]


Après, jouer de la musique sous psyché, c'est difficile au début mais plus on s'y fait plus on peut maîtriser la bête. Depuis les débuts de mes expériences sous psyché j'essaye de m'y atteler à chaque fois. Au début on ressent juste la puissance des énergies et on a l'impression d'être en contrôle de rien du tout, ce qui donne un résultat pas très viable mais au bout d'un moment c'est possible de l'apprivoiser. Perso j'ai fait de nombreuses sessions de zik trippé, que ce soit en acoustique tout seul ou à plusieurs ou bien en groupe avec batterie et amplis. Tout ça m'a appris énormément de choses et chaque session m'a fait très largement progresser. Musicalement je trouve ça vachement intéressant, d'ailleurs avec mon groupe on va sortir notre dernière grosse jam sous acide de cet été en album. Il faut juste être habitué au truc et savoir comment le maîtriser pour arriver à en sortir quelque chose d'écoutable et pas juste de délirant.

EDIT : c'est clair que les microdoses pour certaines situations ça doit être nickel. Parce qu'en live ça doit être difficile de gérer le stress et tous les aspects techniques avec une grosse dose.
 

amicale_du_pc

Holofractale de l'hypervérité
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assembler et empiler les actes, les faits et gestes de manière constructive et cohérente sous LSD est du niveau de l'exercice militaire. Cela doit devenir comme une sorte d'obsession qui se rappelle à toi de la même façon que quand on a la mémoire longue (MLT). En mémoire temporelle à court terme (la mémoire des acteurs par exemple) c'est impossible. Quand la volonté d'accomplir un acte (faire le café) est bien ancrée alors les phases de regain du LSD submergent la résolution mais après avoir oublié il y a un rappel comme en MLT... C'est une obsession versus trip. C'est très particulier. Et c'est comme cela que ça avance. C'est une progression à étapes dans la réalisation du but. Quand on préfère ce genre de performance au trip planant (tous les goûts sont dans la nature) alors on arrive à réduire le temps des étapes d'oubli. C'est une formation pour se forger une volonté je dirais carrément. Je me demande si ça peut être dangereux (se péter un vaisseau par l'effort) car quand c'est obsessif on essaye d'activer les gestes de façon plus rapprochée de l'idée. C'est du domaine de la motricité. Je parle ici de doses bien tassées de LSD quand même (120 µg par ex).

Comme tu dis, Thysia, on devrait au moins savoir quels dosages de LSD prennent les musiciens. C'est capital et déterminant pour situer la création musicale, pour la faire et pour identifier les circonstances, les musiciens, la musique...

Pour ta jam j'espère que tu accompagneras ton oeuvre avec ces indications justement...
 

SandozLover

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@amicale_du_pc Désolé pour la réponse tardive mais je tiens qu'à même à souligner le fait que l'étude que je t'ai cité n'a pas était expérimenté avec des microdoses mais avec des doses dites "normales" pour l'époque : soit 200/250mcgrms.

Pour en revenir à la création artistique dit toi que un grand nombre de chefs d'œuvre musicales sont dû de la drogue. Pour moi les maitres inscontestables et les précurseurs de la musique sous psyché sont le groupe Grateful Dead et pour te donner un ordre d'idée de leur dosage dit toi qu'il pratiquait de façon assez régulière le "Thumprint" avec les membres de la Brotherhood of Eternal Love,notamment pour tester la loyauté de leur nouveaux membres mais aussi pour faire des live.
Le Thumprint consiste à tremper son doigt préalablement mouillé dans un batch frais de xtal pour ensuite le lécher, cela correspond à des doses de 5 à 50mg d'un coup... Un de leur musicien a même une fois, sans faire exprès, ingurgité un jus de fruit contenant une solution de 1g de xtal... Ca a inspiré le groupe à réaliser la chanson Black Peter.

En cadeau, mon album préféré des Grateful Dead :
[video=youtube;LfjjwlPGBAI]

Un autre album expérimental où le groupe c'est tenté à reproduire l'intensité sonore d'un trip au LSD :
[video=youtube;JLPsZoF8q1U]
 

Thysia

Glandeuse pinéale
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C'est sûr qu'effectuer des choses cohérentes et prévoir des activités sous trip c'est un peu contre-nature, mais je trouve qu'en se portant sur la création cela peut devenir libérateur : on se libère complètement des préconceptions et des habitudes normales pour laisser place à toutes les idées, et du coup ça permet de s'améliorer dans son art, mais aussi de développer une autre partie du trip, des réflexions, des sensations et même des effets nouveaux.
 

amicale_du_pc

Holofractale de l'hypervérité
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@Sandoz
Le principe scénique des Gratefull Dead se basait sur le rassemblement comme une messe psychédélique. Surtout dans les années 60 jusqu'aux mi 70s. Il s'agissait moins de musique que d'halluciner en communauté de trippeurs. Je veux dire la musique était très importante mais son objectif allait au trip psychédélique lors des concerts. A la messe on célèbre d'abord l'Esprit. Le décorum, la musique, la liturgie sont des accessoires de cette célébration. Autrement serait impie... Le Gratefull Dead c'est d'abord une célébration en live avec un support sonique. D'ailleurs les disques sont faits de live et de studio, de patchs mixés, récupérés par ci par là pour faire ce que il y a de mieux possible en excluant ce qui est impossible a comprendre en différé mais qui avait sa place en Live... Avec un mur de baffles qui a atteint 10 mètres de hauteur sur la scène en Live on comprend qu'il n'y a pas d'équivalent en studio. Par contre à 22:33 alors là on est sûr car on entend la différence. Il s'agit de la caractéistique LSD interprétée par des trippeurs en plein cloud fantasmagorique lors d'une session nette mais assez dépouillée (en studio ou même sur scène). Après ils ont continué a exister et je ne sais pas quel principe musical ils ont adopté jusqu'à présent... Je devrais faire une petite mise à jour,... et même un recyclage de mes notions... comme... comme... non allez je v pas dire comme qui.
 

DavarusCole

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Percheman a dit:
Exactement.
Pour ma part, à chaque trip quasiment j'ai un moment ou je bad, c'est normal selon moi, c'est ça le trip, retourner sa conscience et revoir certaines conceptions.
Pour m'en extirper, j'essaie de réfléchir au pourquoi du bad, comment il est arrivé, ce qu'il signifie, puis je change d'occupation, par exemple je vais dessiner, lire, je ne sais quoi.

Ce que tu dis me fait penser à mon premier (et seul pour l'instant) voyage psychédélique, avec un thé aux champis, j'ai réalisé que le bad accompagné souvent un trip, perso la dose était trop faible pour que je flippe mais ça m'a permis d'en voir les frontières et à quel moment on pouvait y tomber. J'ai aussi entraperçu comment, disons, "le contourner"
J'avais écrit un tr la dessus d'ailleurs ^^
 

DavarusCole

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amicale_du_pc a dit:
Sandozlover ton expérience au LSA ne suffit pas pour avoir une vision juste de ce que fait le LSD. Il y a des prods qui boostent les capacités humaines pour l'exercice scientifique mais le LSD n'est pas de ceux-là et les prods en question ne sont pas des hallucinogènes. Steve Job a pris du LSD pck c'est un bobo issu probablement de campus où les students, futurs avocats, politiciens, scientifiques, etc, sont curieux de genre de choses comme le cannabis et le LSD. Je ne peux croire que on puisse puiser dans une session au LSD des notions, des chiffres, des calculs mathématiques qui font avancer la science. Le LSD peut tout au plus être un accessoire de la psychiatrie pour un sujet... Pas pour le psychiatre en l'occurence d'un traitement.


tu le dis toi-même !!

Non. Ce qui est intriguant avec le LSD c'est que si déduction logique et mathématique il devait y avoir lors d'un trip, ce serait imprévisible, momentané... Ce ne serait qu'un échantillon cohérent. On ne sait pas où passe le focus de la perception pour produire ces choses. Malheureusement c'est incontrôlable. Cela fait du LSD une énigme. Pour moi le LSD c'est comme un pierre philosophale qui fait "des trucs" mais sans aboutir et que le magicien laisse de côté dans son atelier sans se résoudre à s'en débarrasser.


Merci pour ta réponse sur les expériences militaires. D'ailleurs je crois que je vais creuser le sujet. Cela m'intéresse.

Cher ami j'ai trouvé ce petit reportage qui peut aider à répondre au problème (choix de mot approprié de ma part huhu)
Vers 17:30 ils abordent les utilisations du LSD de façon thérapeutique puis en tests militaires et enfin pour la résolution de problèmes scientifiques
Ce n'est pas parole d'évangile mais j'aime à croire qu'Arte fait de bons reportages &#128516;
 

amicale_du_pc

Holofractale de l'hypervérité
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Davarus je suis d'accord avec l'explication lors d'une séquence montrant une expérience de trip avec des sujets humains. On explique que la créativité est abondante pendant des semaines APRES la séance expérimentale. Et voila qui répond à une des principales questions mises sur ce topic.

par contre le dosage sur les rats j'ai mal compris peut-être. Il me semblait que on prépare le dosage en fonction du poids de l'animal or il me semble que les dosages énumérés pour les rats sont astronomiques...

Il y a un passage que je n'aime pas du tout c'est celui avec les virtuoses folklos du feu... Désolé. Tout ce qu'ils font, disent et prétendent me passe en travers...Si je devais tripper avec ceux-là je crois que ça se passerait très très mal.
 

DavarusCole

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Je suis bien d'accord avec toi quant à ces "folklos du feu", en les écoutant je ne trouve pas qu'ils aient une bonne relation avec le LSD
 

DavarusCole

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Et au passage, je voulais dire que je ne suis pas forcément fan de gober avec sa copine (attention je ne dis pas du tout que c'est mauvais) car à mon sens il y a toujours des choses qui peuvent créer une embrouille ou une mauvaise ambiance comme des choses dites qui ne plaisent pas par exemple.
Après de temps en temps c'est sympa aussi mais pour les grosses expériences je ne suis pas fan ^^
 

MadJa1

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DavarusCole a dit:
Et au passage, je voulais dire que je ne suis pas forcément fan de gober avec sa copine (attention je ne dis pas du tout que c'est mauvais) car à mon sens il y a toujours des choses qui peuvent créer une embrouille ou une mauvaise ambiance comme des choses dites qui ne plaisent pas par exemple.
Après de temps en temps c'est sympa aussi mais pour les grosses expériences je ne suis pas fan ^^

Ouais je comprend totalement, c'est assez space à vrai dire mais y'a qu'avec elle que je trouve ça intéressant. Ca fait un moment qu'on le fait, on a eu une période où ça commencait vraiment à prendre une grande place dans notre couple, ça devenait chelou du coup on en a parlé, parlé et parlé et on s'est posés des limites. Pour l'instant ça fonctionne, le côté malsain qui commençait à s'installer n'est plus et on en parle vraiment comme il faut.

J'pense que si je le faisais avec des potes, j'aimerais pas le délire. En plus, avec elle on parle vraiment de tout et de rien, on se comprend genre c'est hyper fusionnel du coup si y'a un malentendu (c'est déjà arrivé) on en parle et ça se règle tranquille, surtout si c'est à cause d'un trip.
 

MadJa1

Banni
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Salut les gars !

J'ai envie de reprendre un carton, sauf que c'est plus la même provenance et la dernière fois, mon carton ne m'a rien fait (Je l'ai ingéré, tandis que mes potes quand ils achètent chez le même gars bah ils gardent sous la langue et ont des effets). Ce qui me fait pensé donc à un Nbomes ou un truc du style. Eux ils adorent et ils en choppent assez ''souvent''.

Vous pensez que je risque gros à le garder sous la langue ? Paraît que les Nbomes gagnent en popularité du coup j'me pose la question parce-que si j'peux plus trouver de vrais cartons de LSD bah je risque fort de me redirigé vers ceux-ci
 

Trickster

Holofractale de l'hypervérité
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Si les cartons font effets uniquement en sub il y a de fortes chances que ce soit un nbomes oui, en tout cas c'est pas du LSD c'est sur. Après à toi de voir si tu veux prendre le risque de gober (enfin non du coup :p) une molécule inconnue (et donc dosage inconnu).
 
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