Juste pour dire

C'est des research chemicals autrement dit des analogues de drogues déjà connues ou de nouvelles drogues créées de toutes pièces.
Genre 1p-lsd au lieu de lsd.
Et pour mettre du son il faut cliquer sur nouvelle réponse ou cliquer sur éditer complètement le message et tu as une icône qui ressemble à une pellicule de film de cinéma, un truc devrait s'ouvrir et tu renseignes les champs et clic sur insérer.
(Mais uniquement sur l'autre sujet dédié au son)
Tu peux aussi te présenter et par la même occasion lire le règlement ;)
 
J'vais m'faire crudivore rien que pour ne plus avoir à cuisiner
 
Vous êtes trop chers vous les Suisses
 
poor-no-money.gif
 
Perso en abus de stim, pleins de savoirs, je fais bouillir de l'eau avec de la javel, je créé du Dichlore, et je m'arme de couteaux de cuisine.

De quoi être pret quoi... Au cas où...

(je déconne hein, je l'ai vraiment fait, mais je déconne là, allez pas faire ça...)
 
C'est une recette de cuisine facile ? Si oui je prends
 
Sorence a dit:
J'vais m'faire crudivore rien que pour ne plus avoir à cuisiner

C'est pas à Paris qu'il y a genre des centaines de petits restos du monde pas cher ?

Le seul truc que j'envie au citadins de la capitale d'ailleurs...
 
ne pensez pas à bouffer tout le temps...

Dans les années 50 dans la colonie belge du Congo ==> "La culture et l'usage du chanvre sont formellement interdits. A la suite de la guerre impitoyable que lui font les Européens, il disparaît patit à petit." (Guide du voyageur au Congo Belge, 1954)

je voudrais bien que on m'explique cette dissemblance entre cette prétention à l'éradication du chanvre (sativa sativa devons-nous préciser nous-même...) dans l'immédiat après-guerre mondiale et l'usage intempestif qui en est fait en métropole dans les milieux "in" et beatniks d'Occident...
Il y a une donnée inavouée dans cette affaire.
La Sativa Sativa fumée en Europe est celle africaine. Son principal vecteur d'importation fut la ligne aérienne Bangui - Paris. Cette capitale africaine se trouve en face de la rive ex-belge sur le fleuve Ubangui. Le mot "bangui" évoque le chanvre... Ce chanvre est le même dans toute l'Afrique Centrale. Par exemple des indices épars du 19me s nous parviennent par le biais de sujets divers malgré l'absence d'étude appropriée et centrée sur le chanvre africain, son usage et son importance... En Urungu (région d'Afrique Centrale environs du lac Tanganyika au Congo Belge...) quand une tribu africaine se prépare au combat contre des envahisseurs armés de fusils: "Ils allumèrent des feux, battirent les tam-tams de guerre et se mirent à fumer, qui du chanvre, qui du tabac amer" (mémoires de Tipo Tip)

Le chanvre pour la guerre n'est pas de l'indica mais de la sativa, comme celle diffusée à plusieurs reprises en Europe par le biais d'opportunité politique franco-centrafricaine lors d'années ayant la modernité en poupe (les 70).

On ne fait pas la guerre avec de l'indica. Les réfractaires occidentaux (Berkley avec l'acapulco Gold, Mais 68 avec le bangui...) sont liés à des moyens compensatoires au manque d'expérience en matière de rébellion.

Tout ceci pour dire: quelle est l'importance de la prohibition historique actuellement? Les études ne sont pas pertinentes.
 
se barrer de France pour aller où?? Tu sombrerais dans les affres du cas de conscience Biquette.

Sixties: la supernova de beaucoup d'utopies mais à la même époque.
RArmy1.jpg


en 1966 en même temps que l'ONU justifiait officiellement le vote pour l'extension des sanctions politiques et économiques contre la Rhodésie, certains entraîneurs pro-coloniaux intensifiaient leurs manœuvres pour influencer les gens à partir s'établir là-bas.

Je m'en souviens: cela a fait un cas de conscience de l'ampleur d'une guerre psychologique...

La raison de principe invoquait l'extension du communisme dans le Monde contre lequel il fallait tenter quelque chose... Mais pratiquement il s'agissait de la tentation d'aller à une vie facile dans un nouveau pays... Comme des vacances toute l'année... Alors voila: nier les factures, les dettes par le communisme et la solidarité, ou l'exode colonial?? Cas de conscience... Torture psychologique...

A la page 24 de "Vivre en Rhodésie" écrit par Jo Gérard (ce supporter de l'instance des Blancs en Afrique) on peut lire:
"Ils sont très simples en Rhodésie, ignorant les hippies, la drogue, les doctrinaires barbus, les chichis intellectuels, ils n'ont pas le temps de couper en quatre fois quatre, les cheveux, les théories, les croyances."

Mouaih... déjà primo si on ne coupe pas les cheveux alors ils deviennent longs et c'est paradoxal dans un texte qui prétend le contraire...
Et secondo: on ne peut pas nier la simplicité un peu rustre propre au noyau social de ce qui fut une marche provinciale de l'Empire Britannique (et de l'Occident... ). Pourtant on a encore en mémoire les affinités d'une certaine classe de cette société pour les choses de l'Inde telle que la philosophie à la mode de l'époque. Des citoyens des pays du Sud de l'Afrique circulaient par voies aériennes, attirés par un mode de vie emprunt d'un certain snobisme d'avant-garde intellectuelle.

Quant aux ados, quand la Rhodésie avait encore l'espoir de s'imposer comme état officiel, il y avait un service militaire pour faire comme tout le monde partout dans les autres pays industrialisés. Pour se faire accepter. Sur ce graphisme récupéré lors de mes heures de surf internet en quête d'indices, on voit un commentaire en... afrikaans !! Je suppose que c'est de l'afrikaans puisque ce n'est pas du flamand ni du néerlandais.
Jo Gérard désormais absent ne pourra pas fournir son appréciation pour les artefacts d'une culture relative aux cheveux longs, à la musique, en ce pays soi-disant exempt de hippies...

pour faire comme les autres quand il y avait le service militaire
RArmy.jpg


Mais pour finir, cessez de m'ignorer comme si vous me tiriez la gueule. Mon questionnement est fondamental pour ce que nous sommes aujourd'hui. C'est un vrai sujet d'étude et d'attention. J'estime me trouver dans une société ayant une pratique opposée aux dispositions officielles... Un peu comme la dissidence aux sentences de l'ONU par les individualismes.

Et il faudra bien finir par se montrer...
 
parmi mes livres "border" (cités plus haut) j'en ai un catholique des années 20 (20me s) avec l'historia des saints... un par jour. sur l'année.. Cela fait un gros bouquin. C'est un recueil putride de sang, de tortures, sévices, invalidités en tout genre, misères et agonies à la plus grande gloire de dieu !! Nos petites misères de drogués c'est nul à côté. A mon avis ce sont des histoires censées remonter le moral quand on est "down" mais je trouve la méthode rustique un peu pour des demeurés.

A part ça c'est vraiment étonnant de voir par où passe le genre humain sur les siècles, la mentalité, la nature du commun qui change selon les époques, la matière culturelle donnée au peuple... C'est malgré tout édifiant !
 
Retour
Haut