lefeusombre
Elfe Mécanique
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Récit d’une prise de lsa
Substance : LSA, dérivé naturelle vaguement proche du lsd.
Etat d’esprit : bah euh, je ne sais pas trop pourquoi je prends du lsa, ça s’est décidé en 30min, pas spécialement d’état négatifs, je revenais de la célébration du 8 mai, ils ont parlé de la guerre toussa.
Environnement : La maison familiale pour moi tout seul, je finis l’extraction à l’arrache, ce qui as du influencé sur la puissance du trip et les maux de ventre. Le trip se passera essentiellement dans mon plumard, sous ma couette…
14h00 : je finis donc cette extraction, les graines n’auront macéré qu’une journée dans l’essence à Zippo, et une heure dans la vodka. Je drop 6 graines extraites, dégeu cette mixture. Je monte mettre de la musique sur mon portable qui feras office de lecteur mp3, et là horreur, malheur ! Mon portable bug tranquilou…
Après réinstallation du système d’exploitation, mon portable marche impec. Fin du flip. D’ailleurs la musique mise sur l’ordi en attendant poutre anormalement.
14h30 : Je m’allonge sous ma couette, le casque sur les oreilles, une musique bien perchante : Entheogenic. Le mal de ventre fait son apparition, mais bon j’ai pris de la drogue alors j’assume. Je sais que c’est passager, et c’est pas la mort non plus. Comme au derniers trip la monté est assez floue.
15h00 : j’appelle un ami, et lui demande de ramener un peu de son cannabis, histoire de prendre une douille par-dessus tout cela. Je lui explique la situation, et il dit arriver vers 16h30, dommage ça sera pas mal descendu à ce moment-là. Mais une idée germe dans mon esprit tripé : tien mais j’ai 5 graine qu’on macéré dans l’essence déjà, j’ai juste à les foutre dans l’alcool et filtrer ! Mais je décide de prendre ça vers 16h00, je ne suis pas fou au point de droper avant la fin de la monté. En attendant mon ami le fournisseur d’urgence, je retourne sous ma couette, avec laquelle je réalise un cocon protecteur ou je suis roulé en boule avec ma zick. La musique est belle, mais rien de bien transcendant. Yeux fermé ou ouvert, le monde clignote légèrement.
15h45 : drop de ma mixture qui pue. Ça me donne envie de vomir rien que de sentir ce machin. Je mélange avec du jus de fruit pour faire passer.
Cette conduite peu RDR est révélatrice de ma consommation de produit un peu trop compulsive à mon gout.
Je retourne sous ma petite couette. Je sens que ça monte, mais sans le coté : haha je suis trop def, énorme ! C’est plutôt un changement d’état qui s’opère.
16h30 : Trop cool la beuh est là ! Et mon fournisseur aussi accessoirement. Il m’appelle pour me dire de descendre lui ouvrir, ce que je fais. Je check mes pupille au passage, énorme, c’est normale donc ça me rassure. Je lui ouvre la porte en caleçon, et l'invite à rentrer, avec un air sans doute halluciné. Je lui montre fièrement mes yeux, il les regarde, « ok c’est cool ».
On remonte là-haut, et je lui roule un petit joint (comment j’ai fait, je ne sais pas !), et je me tasse une petite douille sans tabac. Pendant la préparation, nous refléxionnons, à mon initiative, sur notre qualité historique de meilleur ami de manière réciproque. En effet mon généreux sauveur s’avère être un ami depuis l’école élémentaire, ou nous avons pu nous voir tous les jours jusqu'à la 4iem. Après cela nous nous somme moins vu, j’ai eu le temps de tisser d’autre relation avec d’autre gens venu d'autres horizons. Nous sommes d’accord pour dire que ce « titre de meilleurs ami » à un coté pervers, une sorte de possessivité, de jalousie envers d’autre ami. Nous décidons de l’abandonner, de juste être ami, ce qui est ma foi mieux, car nous en sommes plus libre. On s’aime quoi.
Toutes les douilles blessent, la dernière tue, et ben même si j’en ai pris qu’une, elle m’a fait l’effet de quatre !
On commate plus ou moins sans rien dire jusqu'à 17h00
17h00 : moi je veux triper dans mon coin, et lui veux rester jusqu’à 18h00, pour rentrer chez lui à peu près net. Donc il va sur l’ordi et moi sous la couette. Pour parler de ceci, je dois me reconstituer un égo, pour retrouver mes envie et mes devoir. Je communique avec lui en mettant mes ambitions et les siennes en avant, et lui fais ensuite part de ma demande. Il accepte vu que cette demande est raisonnable. Je lui demandais juste de partir à l’heure^^
Dans mon délire j’ai 7 ans, ce qui correspond à l’époque du début de notre amitié. Je me revois mon enfance, à travers ma vision et ma pensée de l’époque. Ça présence à une influence sur mon trip, ce qui peut s’explique par notre relation qui à commencer vers cette époque. Je vais d’ailleurs le voir 2 ou 3 fois pour lui faire part de mes impressions en rampant.
18h00 : je l’appel pour lui dire de partir. Il s’en va.
A partir de là je suis au maximum. Je suis toujours tripé, je décolle un peu plus de la réalité, mes ambition et envie ne sont plus là, il n’y a que ma pensée, la musique et mes yeux.
Mes pensée tourne en boucle, elle boucle sur un sujet durant 10min, puis je me rend compte que je boucle, et je change de pensée, pour reboucler, et ainsi de suite.
Je vois tout plein de point noir agencé en spirale, et autour de ses point-là, se créé tout plein de fractale monochrome, mais à la couleur changeante (vous saisissez ?). Mais je ne vois pas non plus le radiateur qui me parle, ou mon plancher qui se transforme en portail inter-dimensionnelle, restons sérieux.
Toutes ce à quoi je pense est survolé, les idées naissent et se noie dans le tumulte de mon esprit drogué.
19h30 : je sens depuis quelque temps que le produit retombe, et je suis un peu triste de quitter ce monde magique.
20h30 : J’ai fait le deuil de mon état tripé (au moins ça ^^) et je vais me faire à bouffer.
Conclusion : ce trip à était intéressant du coté relationnelle, ma relation avec ce Mr a été clarifié, et je ne me sens plus bloqué comme j’avais pu l’être un peu avant, et ça c’est cool !
Ce trip me donne un nouvel élan, même s’il est léger, et je veux continuer sur cette lancé, de cette quête de moi et de ma relation avec les autre. J’essaye d’être moins orgueilleux, et d’autre connerie vaguement boudhiste.
Je trouve que "l'aura" d'un trip au lsa est plus positive que celle du DXM. C'est juste le jour et la nuit.
Substance : LSA, dérivé naturelle vaguement proche du lsd.
Etat d’esprit : bah euh, je ne sais pas trop pourquoi je prends du lsa, ça s’est décidé en 30min, pas spécialement d’état négatifs, je revenais de la célébration du 8 mai, ils ont parlé de la guerre toussa.
Environnement : La maison familiale pour moi tout seul, je finis l’extraction à l’arrache, ce qui as du influencé sur la puissance du trip et les maux de ventre. Le trip se passera essentiellement dans mon plumard, sous ma couette…
14h00 : je finis donc cette extraction, les graines n’auront macéré qu’une journée dans l’essence à Zippo, et une heure dans la vodka. Je drop 6 graines extraites, dégeu cette mixture. Je monte mettre de la musique sur mon portable qui feras office de lecteur mp3, et là horreur, malheur ! Mon portable bug tranquilou…
Après réinstallation du système d’exploitation, mon portable marche impec. Fin du flip. D’ailleurs la musique mise sur l’ordi en attendant poutre anormalement.
14h30 : Je m’allonge sous ma couette, le casque sur les oreilles, une musique bien perchante : Entheogenic. Le mal de ventre fait son apparition, mais bon j’ai pris de la drogue alors j’assume. Je sais que c’est passager, et c’est pas la mort non plus. Comme au derniers trip la monté est assez floue.
15h00 : j’appelle un ami, et lui demande de ramener un peu de son cannabis, histoire de prendre une douille par-dessus tout cela. Je lui explique la situation, et il dit arriver vers 16h30, dommage ça sera pas mal descendu à ce moment-là. Mais une idée germe dans mon esprit tripé : tien mais j’ai 5 graine qu’on macéré dans l’essence déjà, j’ai juste à les foutre dans l’alcool et filtrer ! Mais je décide de prendre ça vers 16h00, je ne suis pas fou au point de droper avant la fin de la monté. En attendant mon ami le fournisseur d’urgence, je retourne sous ma couette, avec laquelle je réalise un cocon protecteur ou je suis roulé en boule avec ma zick. La musique est belle, mais rien de bien transcendant. Yeux fermé ou ouvert, le monde clignote légèrement.
15h45 : drop de ma mixture qui pue. Ça me donne envie de vomir rien que de sentir ce machin. Je mélange avec du jus de fruit pour faire passer.
Cette conduite peu RDR est révélatrice de ma consommation de produit un peu trop compulsive à mon gout.
Je retourne sous ma petite couette. Je sens que ça monte, mais sans le coté : haha je suis trop def, énorme ! C’est plutôt un changement d’état qui s’opère.
16h30 : Trop cool la beuh est là ! Et mon fournisseur aussi accessoirement. Il m’appelle pour me dire de descendre lui ouvrir, ce que je fais. Je check mes pupille au passage, énorme, c’est normale donc ça me rassure. Je lui ouvre la porte en caleçon, et l'invite à rentrer, avec un air sans doute halluciné. Je lui montre fièrement mes yeux, il les regarde, « ok c’est cool ».
On remonte là-haut, et je lui roule un petit joint (comment j’ai fait, je ne sais pas !), et je me tasse une petite douille sans tabac. Pendant la préparation, nous refléxionnons, à mon initiative, sur notre qualité historique de meilleur ami de manière réciproque. En effet mon généreux sauveur s’avère être un ami depuis l’école élémentaire, ou nous avons pu nous voir tous les jours jusqu'à la 4iem. Après cela nous nous somme moins vu, j’ai eu le temps de tisser d’autre relation avec d’autre gens venu d'autres horizons. Nous sommes d’accord pour dire que ce « titre de meilleurs ami » à un coté pervers, une sorte de possessivité, de jalousie envers d’autre ami. Nous décidons de l’abandonner, de juste être ami, ce qui est ma foi mieux, car nous en sommes plus libre. On s’aime quoi.
Toutes les douilles blessent, la dernière tue, et ben même si j’en ai pris qu’une, elle m’a fait l’effet de quatre !
On commate plus ou moins sans rien dire jusqu'à 17h00
17h00 : moi je veux triper dans mon coin, et lui veux rester jusqu’à 18h00, pour rentrer chez lui à peu près net. Donc il va sur l’ordi et moi sous la couette. Pour parler de ceci, je dois me reconstituer un égo, pour retrouver mes envie et mes devoir. Je communique avec lui en mettant mes ambitions et les siennes en avant, et lui fais ensuite part de ma demande. Il accepte vu que cette demande est raisonnable. Je lui demandais juste de partir à l’heure^^
Dans mon délire j’ai 7 ans, ce qui correspond à l’époque du début de notre amitié. Je me revois mon enfance, à travers ma vision et ma pensée de l’époque. Ça présence à une influence sur mon trip, ce qui peut s’explique par notre relation qui à commencer vers cette époque. Je vais d’ailleurs le voir 2 ou 3 fois pour lui faire part de mes impressions en rampant.
18h00 : je l’appel pour lui dire de partir. Il s’en va.
A partir de là je suis au maximum. Je suis toujours tripé, je décolle un peu plus de la réalité, mes ambition et envie ne sont plus là, il n’y a que ma pensée, la musique et mes yeux.
Mes pensée tourne en boucle, elle boucle sur un sujet durant 10min, puis je me rend compte que je boucle, et je change de pensée, pour reboucler, et ainsi de suite.
Je vois tout plein de point noir agencé en spirale, et autour de ses point-là, se créé tout plein de fractale monochrome, mais à la couleur changeante (vous saisissez ?). Mais je ne vois pas non plus le radiateur qui me parle, ou mon plancher qui se transforme en portail inter-dimensionnelle, restons sérieux.
Toutes ce à quoi je pense est survolé, les idées naissent et se noie dans le tumulte de mon esprit drogué.
19h30 : je sens depuis quelque temps que le produit retombe, et je suis un peu triste de quitter ce monde magique.
20h30 : J’ai fait le deuil de mon état tripé (au moins ça ^^) et je vais me faire à bouffer.
Conclusion : ce trip à était intéressant du coté relationnelle, ma relation avec ce Mr a été clarifié, et je ne me sens plus bloqué comme j’avais pu l’être un peu avant, et ça c’est cool !
Ce trip me donne un nouvel élan, même s’il est léger, et je veux continuer sur cette lancé, de cette quête de moi et de ma relation avec les autre. J’essaye d’être moins orgueilleux, et d’autre connerie vaguement boudhiste.
Je trouve que "l'aura" d'un trip au lsa est plus positive que celle du DXM. C'est juste le jour et la nuit.
