NukaCola
Glandeuse pinéale
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- 25 Déc 2012
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Voilà mon premier TR sur la codéine que j'affectionne tout particulièrement de temps en temps, comme un petit plaisir, un cadeau que je m'offre, toujours en soirée, au calme, après une semaine de labeur (ou pas) acharné (*tousse*). Je m'excuse de sa piètre longueur, mais je vais essayer de justifier ça non par le cruel syndrome de la page blanche dont je souffre (pas sous cannabis, étrangement), mais par le caractère presque inqualifiable de la codéine. Car sa subtilité dépasse l'étendue de notre chère littérature. A mon humble avis du moins, ou alors je suis con. :grin:
Contexte :
Dose ingérée : 300mg
Taille : 1,80m
Poids : 70kg
L'expérience :
Après une petite journée d'études plutôt tranquille, je décide d'agrémenter ma soirée par un petit high à la codéine. Parce que j'aime bien ça, parce que c'est agréable, parce que c'est un plaisir à consommer consciencieusement, un plaisir fort subtil.
Me voilà alors rentré chez moi à 19h. Je mange tôt, afin de ne pas voir mon taux redescendre subitement après avoir mangé. Je ne sais pas du tout si c'est ainsi que ça fonctionne, mais je préfère profiter pleinement de ma petite soirée, comprenez !
Alors voilà que sonne 20h45, et je décide d'avaler mes comprimés verts au plaisant arrière goût de smarties, ou quelque chose comme ça. J'attends patiemment, du moins j'essaie de ne pas attendre, je fais passer le temps sans trop penser à ce que je viens de prendre, ni à quand cela fera effet. Car quand j'ai mangé avant, la codéine met environ 1h20 à faire effet. Le ventre vide, elle ne met que 40 minutes. C'est assez marrant de constater son corps fonctionner de telle ou telle façon, en fonction de ce qu'on ingère ou pas !
Puis vient 21h15, quand les prémices de la codéine pointent à ma porte. Une chaleur intense s'empare de moi, plus particulièrement dans mon visage. J'ai l'impression d'être boursouflé, mais c'est réellement agréable. Celui ci est également un peu désensibilisé, je peux le triturer dans tous les sens, je ne sens presque rien. Bien sûr, l'anesthésie n'est pas aussi puissante que sous DXM, loin de là, mais c'est assez présent tout de même.
Et puis viennent aussi les vilaines démangeaisons, car j'ai oublié de prendre mon Aerius (Testé et approuvé, il fonctionne très bien, mais aucun potentiel de sédation). Un peu partout sur le corps, au visage plus particulièrement. C'est assez violent, je suis parfois obligé de me gratter jusqu'au sang. Mais bref, ça n'est qu'un détail, du moins je considère cet effet secondaire comme tel.
[apologie]
Rock, techno, tout ça je peux plus. Il me faut de la musique calme, une mélodie joyeuse, une musique que je connais bien. Les sons coulent dans mes oreilles comme une calme rivière d'été.
[apologie]
Je vais d'ailleurs bientôt rejoindre les bras de morphée. Ou bien fumer un joint pour repartir de plus belle ! :grin:
Les effets secondaires :
*Les démangeaisons : Démangeaisons parfois violentes, souvent localisées sur le visage et les jambes, et surtout au cou et à la nuque.
*La nausée : Aucune nausée, j'ai la grande chance (au vu de ce que la plupart des utilisateurs racontent ça et là) de n'en avoir jamais été victime avec la codéine, en forme liquide ou en comprimés..
*La constipation : Constipation légère, rien de méchant. C'est même plutôt positif puisque je souffre de soucis intestinaux qui me condamnent à la diarrhée quasi-permanente.
* Le hoquet : Gros hoquet qui se déclenche quand je bois de l'eau. Dafuq?
Tolérance :
Tolérance très grande. Je dois augmenter de 100% les doses à chaque utilisation ! C'est pourquoi, entre chacune de ces utilisations, j'utilise du DXM à raison d'un flacon de 1.5mg/ml de 250ml. Cela supprime totalement ma tolérance, j'ai pu lire quelques bribes à ce sujet, mais rien de concret. Je tiens donc à crier haut et fort que le DXM peut, chez certaines personnes, réduire voir supprimer la tolérance aux opiacés !
Codéine et autre drogues :
Codéine + Cannabis : Un mélange fort intéressant et peu dangereux puisque le cannabis n’interagit pas physiquement avec la codéine, sinon de moindre façon que l'alcool et les benzo entre autre, qui potentialisent les soucis pulmonaires. Les effets de la codéine semblent renforcés et le cannabis ne gâche pas la structure fondamentale du trip.
Codéine + Alcool : L'intensité de la codéine est ravivée, mais je trouve que l'alcool dénature la qualité même du trip, un peu comme le mélange DXM + Alcool.
Conclusion :
Couplé avec un bon anti-histaminique, je pense que la codéine est un psychoactif fort intéressant, [apologie, encore] Attention cependant à ne pas tomber dans l'excès, car, je l'avoue moi-même après avoir été guetté par la dépendance, il est très facile de tomber dans le piège béant qu'elle nous tend.
Contexte :
Dose ingérée : 300mg
Taille : 1,80m
Poids : 70kg
L'expérience :
Après une petite journée d'études plutôt tranquille, je décide d'agrémenter ma soirée par un petit high à la codéine. Parce que j'aime bien ça, parce que c'est agréable, parce que c'est un plaisir à consommer consciencieusement, un plaisir fort subtil.
Me voilà alors rentré chez moi à 19h. Je mange tôt, afin de ne pas voir mon taux redescendre subitement après avoir mangé. Je ne sais pas du tout si c'est ainsi que ça fonctionne, mais je préfère profiter pleinement de ma petite soirée, comprenez !
Alors voilà que sonne 20h45, et je décide d'avaler mes comprimés verts au plaisant arrière goût de smarties, ou quelque chose comme ça. J'attends patiemment, du moins j'essaie de ne pas attendre, je fais passer le temps sans trop penser à ce que je viens de prendre, ni à quand cela fera effet. Car quand j'ai mangé avant, la codéine met environ 1h20 à faire effet. Le ventre vide, elle ne met que 40 minutes. C'est assez marrant de constater son corps fonctionner de telle ou telle façon, en fonction de ce qu'on ingère ou pas !
Puis vient 21h15, quand les prémices de la codéine pointent à ma porte. Une chaleur intense s'empare de moi, plus particulièrement dans mon visage. J'ai l'impression d'être boursouflé, mais c'est réellement agréable. Celui ci est également un peu désensibilisé, je peux le triturer dans tous les sens, je ne sens presque rien. Bien sûr, l'anesthésie n'est pas aussi puissante que sous DXM, loin de là, mais c'est assez présent tout de même.
Et puis viennent aussi les vilaines démangeaisons, car j'ai oublié de prendre mon Aerius (Testé et approuvé, il fonctionne très bien, mais aucun potentiel de sédation). Un peu partout sur le corps, au visage plus particulièrement. C'est assez violent, je suis parfois obligé de me gratter jusqu'au sang. Mais bref, ça n'est qu'un détail, du moins je considère cet effet secondaire comme tel.
[apologie]
Rock, techno, tout ça je peux plus. Il me faut de la musique calme, une mélodie joyeuse, une musique que je connais bien. Les sons coulent dans mes oreilles comme une calme rivière d'été.
[apologie]
Je vais d'ailleurs bientôt rejoindre les bras de morphée. Ou bien fumer un joint pour repartir de plus belle ! :grin:
Les effets secondaires :
*Les démangeaisons : Démangeaisons parfois violentes, souvent localisées sur le visage et les jambes, et surtout au cou et à la nuque.
*La nausée : Aucune nausée, j'ai la grande chance (au vu de ce que la plupart des utilisateurs racontent ça et là) de n'en avoir jamais été victime avec la codéine, en forme liquide ou en comprimés..
*La constipation : Constipation légère, rien de méchant. C'est même plutôt positif puisque je souffre de soucis intestinaux qui me condamnent à la diarrhée quasi-permanente.
* Le hoquet : Gros hoquet qui se déclenche quand je bois de l'eau. Dafuq?
Tolérance :
Tolérance très grande. Je dois augmenter de 100% les doses à chaque utilisation ! C'est pourquoi, entre chacune de ces utilisations, j'utilise du DXM à raison d'un flacon de 1.5mg/ml de 250ml. Cela supprime totalement ma tolérance, j'ai pu lire quelques bribes à ce sujet, mais rien de concret. Je tiens donc à crier haut et fort que le DXM peut, chez certaines personnes, réduire voir supprimer la tolérance aux opiacés !
Codéine et autre drogues :
Codéine + Cannabis : Un mélange fort intéressant et peu dangereux puisque le cannabis n’interagit pas physiquement avec la codéine, sinon de moindre façon que l'alcool et les benzo entre autre, qui potentialisent les soucis pulmonaires. Les effets de la codéine semblent renforcés et le cannabis ne gâche pas la structure fondamentale du trip.
Codéine + Alcool : L'intensité de la codéine est ravivée, mais je trouve que l'alcool dénature la qualité même du trip, un peu comme le mélange DXM + Alcool.
Conclusion :
Couplé avec un bon anti-histaminique, je pense que la codéine est un psychoactif fort intéressant, [apologie, encore] Attention cependant à ne pas tomber dans l'excès, car, je l'avoue moi-même après avoir été guetté par la dépendance, il est très facile de tomber dans le piège béant qu'elle nous tend.
