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Tampanenis: visions puis violence

MecaHumAnimal

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13 Nov 2013
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Bonjour braves gens,
Je vous raconte un peu ma 3ème expérience avec la psilocybine dans ma nouvelle ville qu'est Montréal.

Préface:

Je déménage il y'a quelques semaines, quitte paris pour Montréal avec ma femme. La ville est très différentes de là où j'ai passé mes 10 dernières années mais l'aventure - et l'opportunité tape à ma porte, pourquoi pas.

Je connais personne pour me dépanner, donc on passe par internet, une semaine passe et je reçois mes 45gr de Golden Teacher (TAMPANENSIS) le site en question offrait 15gr de plus pour 2 doses achetés, ça vaut la peine, on attend le weekend.

Ambiance:

Samedi après midi, il pleut toujours, il fait moche, mais nous décidons de les prendre le plus tot possible, déjà qu'ils attendaient tranquillement dans le frigo depuis lundi et puis nous sommes curieux d'avoir notre premier trip à l'autre bout du monde.

Préparations habituelles, appartement rangés, playlist préparés, du bon Shpongle pour la monté puis du Ravi Shankar pour la descente, une diapo de quelques dizaines d'images psyché avec des couleurs et fractales comme on les aime..

La déco est un peu pauvre, on décide de faire avec ce que l'on dispose pour ajouter une petite touche mystique

Voir la pièce jointe 14195

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On accroche le petit tableau "Aissa" que ma femme a acheté de chez un SDF, des petits bout de scotch noir un peu partout sur le parquet, on fait vraiment avec les moyens du bord.

puis je sors ma balance de poche...

Prise:

Le moment de la pesé: 16gr pour moi, 11 pour ma femme.
Voir la pièce jointe 14199

16h00:

Excités et de bonne humeur on avale les petits morceaux un par un. Je n'ai aucun problème à les descendre, je trouve qu'ils n'ont aucun gout et c'est tant mieux, ma femme peine pour les avaler et a envie de vomir chaque seconde, mais elle arrive finalement à finir sa part.

On ferme la maison et on part pour une petite balade dehors. L'appart se situe dans une zone résidentielle avec des petites maisons avec jardins puis de larges rues. ça nous fait du bien de marcher un peu, discuter un coup puis attendre que ça kick, si seulement il faisait un poile plus beau. La chaleur dans le ventre se fait sentir, les jambes deviennent de plus e plus lourdes, le moment de rentrer est là, nous sommes à l’intérieur, il est 16:30.

Je monte le son, on est assis sur le canapé, fixant la télé et ces images qui défilent et qui nous invitent chacune de voyager avec elle, je reste figé devant celle là:
Voir la pièce jointe 14200

Je l'admire, je l'étudie dans ses moindres détails, j'en ai beaucoup qui défilent mais elle c'est ma préférée, je m'approche, je m'attend à des visuelles, déçu, je ferme les yeux, rien non plus. On se tient la main avec ma femme, on ferme les yeux et on écoute le bon "moment of devine truth" avec ses hauts et ses bas et je me dis que la musique c'est en fait une tentative à nous ramener à un état pure, on se dit avec ma femme que les champi ou la musique c'est la même chose, que ça a le même objectif, faire tomber les règles autour et sortir le soi caché...

J'ai oublié de mentionner que nous sommes à jeun depuis la veille, une faim de loup commence à s'installer, et tout ce que je veux manger c'est un "bon macdo" on m'aurait proposé le meilleur plat du monde préparé par un chef de renommé mondial j'aurais choisi mcdo. Je ne sais pas comment ni pourquoi, mais fallait absolument que je me prend un "bon macdo" et je ne cessais de le répéter. Ma femme trouve ça bizarre vu qu'on essai d'habitude de maintenir une hygiène de vie de vrais sportifs et que ce n'est pas un mcdo que j'aurais envie de manger normalement, ni elle d'ailleurs, mais elle finit par céder, on laisse la musique tourner, puis on marche vers ledit mcdo à 10/15min de chez nous. Sur le chemin on est agréable, ça discute, ça rigole, on sait qu'on est bizarre, les gens nous regarde mais on s'en fiche, et on sent comment c'est agréable d'être soi même, je me rend compte que nous sommes entourés de règles, de menottes, que nous vivons dans une sociétés rigide qui veut nous façonner à son image et on décide donc d'être à l'aise pour le restant de la soirée, d'être nous même: j'ai pas froid aux yeux, je regarde ce policier qui me fixe des yeux et je me dis que je ne laisserai plus jamais personne m'intimider, on porte tous des masques, on joue tous des rôles. Ma femme enlève son chapeau, leve sa tete fièrement, elle n'a pas envie de défier le monde, elle a juste envie d'être elle même, elle me confie. On aime beaucoup ce jeu d'être nous même et on commence à chercher nos défaut pour les montrer: la grosse cicatrice que je traîne d'un malheureux accident de moto est là visible et flagrante, je ne cherche plus à la cacher, je n'ai pas une dentition parfaite mais je souris à tout le monde, "Je veux juste être moi même" je ne cessai de le répéter.

On passe à coté d'un cimetière connu de la ville, on s’arrête, et pour la première fois que je remarque les tombeaux visibles normalement, je me retourne à gauche : "y'a les voitures, les restau, les gens, la vie, à droite y'a... la mort" ma femme applaudit, pensant que je jouait la comédie, que je faisais un personnage de théâtre, je faisais juste une remarque... On reste là attentif à guetter le cimetière avec les gens qui rentrent puis les autres qui sortent, et je remarques les grandes portes noir pour la première fois..

à mcdo je vais commander, ma femme a honte, pense que je vais foirer le coup mais je peux le faire, je passe la commande tranquilo, la jeune serveuse me regarde d'un air amusée, elle savait que j'étais pas "normal" et ça ne la dérangeait pas, elle se montre plutot courtoise et propose même de me ramener ma commande à ma table et je mange comme un orque, je finis mon bigmac et je passe à celui de ma femme, plus les deux grandes frites plus les 2 jus d'oranges. Elle est étonnées, elle ne peut même pas manger une frite, elle trouve ça sale et décide de sortir prendre l'air, je la vois de la fenetre qui fais les milles pas allé retour dans un espace de 20m comme si elle cherchait le spot ideal pour se tenir debout, n'arrivant pas à le trouver elle rentre me voir puis on décide de rentrer à la maison.

Il pleut, les gens se précipitent, nous on veut juste passer le plus de temps ensemble, la pluie c'est naturel, pour quoi l'appeler "le mauvais temps" ? elle s'exprime, non c'est juste la pluie, on fait un tour sur la maison, le park derrière est paisible, on reste là à admirer le paysage, je la prend dans mes bras, je suis le plus compréhensif au monde et faut dire qu'on en avait besoin après un rude épisode où je voulais qu'elle arrête la fumette (elle a 22 ans) "pour quoi le monde va s'opposer à un truc qui te rend bien ? Personne ne lève le petit doigt quand tu tombes, pourquoi donc les écouter" on est serein, on s'assoit devant la porte à matter les gens, on est pas obligé de parler, on veut juste passer du temps ensemble....

18h30:

On rentre chez nous, oh le home sweeeet home, le petit salon était chaud, agréable, la lumière jaune était devenue chaude et douce, l'endroit était calme, et Ravi nous faisait voyager toujours plus loin avec sa délicieuse musique.

Je prend un coin très confortable dans le canapé, et je médite un peu, je pense à comme elle est belle, comment on a pu survivre des épreuves ensemble, comment elle a su se montrer patiente et généreuse, et surtout à comment je passe des heures et des heures à travailler en oubliant tout ça, en oubliant de lui donner ne serait ce qu'un peu de temps parfois. Je me dis qu'il faut dorénavant obligé de consacrer 3h par semaines pour juste rester ensemble, ne rien faire de particulier juste rester ensemble et être nous même. 3h c'est rien du tout, ça peut paraître court mais en fait non, et puis faut pas passer les 3h à regarder un film ensemble, non non, faut les passer ensemble... Je suis un peu perdu dans mes pensés à propos de la valeur de la famille, des gens que l'on aime, je me souviens de ces potos que j'ai laissé derrière, et je me demande si je pourrais vraiment faire confiance à quelqu'un comme je le faisais avec eux...

Ma femme est devant moi, en train d'écrire sur son agenda, je décide de prendre son mac et de crasher mes idées sur word, ça donne un peu ça (j'ai fait un copier/coller brut de comment j'avais écris):

"Ya un truc qui cloche avec les clavier mac, puis un truc qui cloche avec le monde, s’accepter soi meme, comme on l’est est correct, mais comment s’accepter dans un monde qui t’empecje d’etre toi meme, ou tu dois suivre les regles pour bien vivre un monde qui te faconne a son imahe, je tape e je rearde meme pas le clavier, la musique . j’ai ptr un artiste a l’interieur de moi, Se donner plus de chance de s’etonner soi meme de nos capacite, on est pleins de resrve de capacités pour quoi on se limite a un seul truc, les clavier mac son juste excellent, they feel natual in touch. Feel and sense, that’s the important thing quand tout le reste s’evapore y’a que nous qui restons.
Les claviers mac font un minimum de bruit pour pas te sortir de tes idés, it’s like they don’t even exist and yet ils sont à porté de tes doigts pour cracher tes idés sur papier, mais ils sont tellement indiscrets ils prennent pas de place mais ils sont magiques, ils obeissennt à mes doitgs, suffit que je pense à ecire un mot qu’il obeissent…. C ca le secret d’un bon design"

Faudra peut être mentionner que je suis architecte d'application et.. que je suis d'habitude contre les produits Apple.

Ma femme décide de dessiner, alors que je ne l'ai jamais vu dessiner une seule fois... 10min après ça donne ça:

Voir la pièce jointe 14208

Je ne m'y connais pas en peinture, mais je trouve ça très beau. Elle est étonnée le lendemain, la peinture ce n'est vraiment pas son truc.

Il est 19:30 et la descente se fait en douceur, Une pensée qui me traverse l'esprit: nous ne devrions pas avoir besoin de substances pour voir tout un monde qui nous passe sous le nez, puis on décide de se donner réellement à la méditation.

La purge:

j'ai un truc à l’intérieur de moi que je dois faire sortir, je n'ai pas des nausées mais j'ai un "corps étranger" et je dois le faire sortir, Quelque chose n'a pas sa place en moi et je dois me purger, je me dirige aux toilettes et c'est là que ça devient violent, je vomis de ma bouche, de mon nez les larmes coulent de mes yeux et c'est tellement violent que je ne peux même pas respirer. Je vomis du mcdo...

Je me lave pensant que je vais mieux, puis on sort faire de petites courses avant de raccrocher. en rentrant, le corps étranger et encore là, je vomis encore avec la même atrocité que la première fois, puis je vomis encore une 3eme fois 1h après, j'ai vomis jusqu'à ce que j'avais rien dans le ventre puis il me fallait un petit passage aux toilettes pour bien me vider. Je pensais à l'Ayahuasca et à ce que ça présente comme effets similaires puis je m'étais couché.

Recap:

Pas de visuel, même pas yeux fermés. Sérénité et pensées positives. Visions et introspection. Puis la douleur dans les yeux le lendemain est moins présente que mes 2 dernières fois.

Vais certainement en prendre une autre fois, mais sans mcdo cette fois ci.
 

Ledhi

Neurotransmetteur
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18 Mar 2014
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Bienvenu à vous deux à Montréal :)
Comment ça s est passé du côté de ta femme ?
merci pour le partage

Ps:C'est drôle parce que ce même samedi avec une amie nous étions aussi sous champi à triper sur le plateau. le monde est petit hehe
 

Jackal_le_chacal

Alpiniste Kundalini
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7 Jan 2013
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Tampanensis c'est des truffes et Golden Teacher des champignons et d'après le cliché, c'est la première option.
Il faut se méfier du jeûne ! Quand on est pris par la fringale en plein trip, ça peut l'écourter ou le gâcher complétement et l'envie de Mac Do doit simplement répondre a "manger vite, combler trou !"
Mais finalement la sortie sustantatoire avait l'air d'en faire partie pleinement et tant mieux parce que ça peut être angoissant de se sentir défoncé au milieu de la foule ; la force de la complicité avec ta femme et cette envie d'être honnêtement vous même a dû aider a vous sentir biens.
C'est amusant le Mac Do m'a laissé aussi une forte impression symbolique, mais un lendemain de trip sous champignons, a voir tous ces gens préssés de manger n'importe quoi, pour se retrouver avec n'importe qui pour ensuite rentrer chez eux et s'étaler devant la télé pour regarder n'importe quoi... Et moi de me sentir bien marginal dans cette démarche lente, d'attendre mon tour sans aucune impatience, a trouver belles les lumières des phares de voiture et des lampadaires, d'être en accord avec le rythme de la vie et que finalement, qui était marginal ? Enfin bref moi aussi j'ai mangé n'importe quoi...
 

MecaHumAnimal

Neurotransmetteur
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13 Nov 2013
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Merci Ledhi,

C'était très calme pour elle. Monté et descente en douceur. Ecriture, peinture. Révélations et visions.. Elle a bien géré le trip durant toutes ses phases. Vais lui demander si elle peut publier son tr, encore faut il qu'elle s'inscrive sur le forum.

Ps:C'est drôle parce que ce même samedi avec une amie nous étions aussi sous champi à triper sur le plateau. le monde est petit hehe

Et moi qui pensait que y'a que la fumette qui marche à Montreal :d
C'était comment du coup ?
 

MecaHumAnimal

Neurotransmetteur
Inscrit
13 Nov 2013
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84
Jackal_le_chacal a dit:
Il faut se méfier du jeûne ! Quand on est pris par la fringale en plein trip, ça peut l'écourter ou le gâcher complétement et l'envie de Mac Do doit simplement répondre a "manger vite, combler trou !"

Je résistais vraiment la faim comme je pouvais, surtout quand je voyais qu'on était à une heure à peine dans le trip mais effectivement je sentais que ça allait me gacher le voyage si je reste l'estomac vide. Je me prépare mieux la prochaine fois.

Jackal_le_chacal a dit:
C'est amusant le Mac Do m'a laissé aussi une forte impression symbolique, mais un lendemain de trip sous champignons, a voir tous ces gens préssés de manger n'importe quoi, pour se retrouver avec n'importe qui pour ensuite rentrer chez eux et s'étaler devant la télé pour regarder n'importe quoi... Et moi de me sentir bien marginal dans cette démarche lente, d'attendre mon tour sans aucune impatience, a trouver belles les lumières des phares de voiture et des lampadaires, d'être en accord avec le rythme de la vie et que finalement, qui était marginal ? Enfin bref moi aussi j'ai mangé n'importe quoi...

C'est vraiment dommage que l'on doit être sous champi pour s'en rendre compte .. C'est fou comme la société nous absorbe et nous efface..
 

Ledhi

Neurotransmetteur
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18 Mar 2014
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hehehe beaucoup de fumette mais beaucoup d'autre choses aussi. Montréal côté psyché en a dans le pantalon et pas qu'un peu .

Si non notre trip était un peu plus eeee nawak on va dire. Beaucoup de rigolade, des hallus, belle promenade, des souvenirs qui remontent à la surface au point de ne plus pouvoir parler, des discussions qui partent un peu dans tout les sens(c est quoi le sens de la vie ? quel choix prendre?) et d autres trucs bien sympa( enfin nous avions drop pour essayer le côté charnel du champi mais nous n arrivions pas à nous concentrer sur cette idée plus de quelques secondes hahaha, so p e pas si réussi que ça haha )

si non j avoue que le MacDo chapeau. On etait allé manger une poutine et j'en ai à peine manger la moité de ma régulière que je trouvais que ca me travaillait déjà le bidon

Vais essayer le côté créatif la prochaine fois ca pourrait être intéressant.
Belle peinture qu'a fait ta femme je trouve
 

Artisan de Liberté

Elfe Mécanique
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22 Déc 2012
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Dans mon cas également, je n'ai pas eu visions/hallu avec les truffes, ni avec les goldens. Plutôt des couleurs et beaucoup de sensations, d'émotions, de bien-être... Avec à chaque fois, une descente où culminent des moments de lucidité extrême!

En revanche c'est avec des équatoriens que j'ai vraiment décroché du réel conditionné et basculé au cœur du monde des choses muettes qui tout à coup s'animent et dans lequel la moindre forme revêt un symbole d'une ineffable complexité, cela le plus simplement du monde.

Et moi de me sentir bien marginal dans cette démarche lente, d'attendre mon tour sans aucune impatience, a trouver belles les lumières des phares de voiture et des lampadaires, d'être en accord avec le rythme de la vie et que finalement, qui était marginal ?

Je suis comme ça au quotidien, ça va pas en s'améliorant et c'est la chose qui a le plus de valeur dans ma vie. Je comprends ce sentiment de marginalité même si en réalité, je me retrouve à constater que bien des gens m'envient ce regard sur les choses alors que cela leurs crèvent les yeux et qu'ils ne tient qu'à eux de commencer à faire des choix dans ce sens. "On est pas tout seul, à se sentir seul." Et quand on a plus peur d'être seul alors on commence à mieux se comprendre soi!

Les champignons nous ouvrent des perspectives sur le monde terrifiante et somptueuse à la fois.
Il faut être près psychologiquement à encaissé autant d'informations et se mettre dans un contexte d'apprentissage plutôt que de divertissement au moment de la prise, favorise le bénéfice de la substance qui se fait surtout ressentir, à mon sens, dans les jours, les semaines, les mois voire parfois les années qui suivent le trip.

bon vent à vous et continuez d'être vous même!
 

Simba

Holofractale de l'hypervérité
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1 Sept 2012
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Salut mec !
Sympa, le trip en couple !

Je voulais juste dire que la faim, c'est vraiment pas quelque chose d'insurmontable dans un trip champotes/truffes.
Y a toujours (ou presque) un moment où on a envie de s'empiffrer, mais c'est passager, vraiment. Faut juste essayer de ne pas rester bloqué dessus.

En tout cas j'ai bien aimé votre aventure, ça m'a permis de m'évader un instant. Merci.
 

dubman

Neurotransmetteur
Inscrit
9 Avr 2014
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vraiment sympathique ce trip :)... durant mon premier trip, avec de la truffe de type tampanesis, mon trip était aussi très introspectif... mais tellement bon. Et la nausée est survenu plutot en début de trip.
Bonne continuation a vous deux ! Ça fait du bien de lire ton TR, et m'a donné des idées de playliste pour mon prochain trip ! Thanks !
 
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