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Rachacha, dosages pour prise orale

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion le_snipeur
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le_snipeur

Neurotransmetteur
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19/8/09
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Bonsoir tout le monde
Donc j'ai un peu de rach
Je la fume en général mais ça fait pas grand chose je trouve,pourtant je fais attention a pas mettre la flamme au conctact de la boulette
J'aurais voulu savoir une boulette de combien de gramme je peux avaler pour une 1er fois
pour que ce soit agréable et que je n'ai pas de nausée??
Merci pour vos conseils
 
bon. la ,on sait pas a qui on repond. enfin moi chépas.
donc rester dans l' information generale , jte fait une synthese de wiki et du vidal :p

la rachacha est tirée, de la paille de pavot , (bulbes)+ feuilles +tiges , donc ca sert juste a etre avallée ou matiere en chimie.elle ne se fume pas comme pourrait l' etre le latex du pavot , seché , nettoyé/chauffé a l' eau (raffiner) l' opium raffiné.

donc non fumer la rach doit surtout bien faire tousser . note c' est un effet pas cool.

secundo , tu lis et cherche un peu partout tu verra que papavérum ssp est en géneral évalué a 10% 9% d' alcaloïde dans le latex.
la rach c pas du latex t' as plein de trucs ça va du morceau de plantes a des noms de molécules assez longs.
et ca n' a pas la texture pour être fumée , bref , comptons large car tu n' a pas trop l' habitude , non?
on va dire la râch (et ça dépend si c toi qui l' a faite ? parsque moi j'te la coupe a l' opium de laitue vireuse et papaver rhoeas (coquelicot) :) )
ya 5%du poid de ta boulette (flaque?) d' alcaloïde donc avec 1g tu devrais avoir 5mg de morphine (cherche un akti'skenan 5mg plutôt va ^^) dans le bidulle que tu as .
donc oui tu peux avaler 1g (sauf si tu es allergique auquel cas tanpis hein) sinon au pire t'auras moins mal "quelque part" et un peu bien . hein

vouala
sur ce bien le bonjour
mesdames messieurs , quelle belle journée nous a gâté
 
"Préparation de têtes humaines chez les cannibales"



"Les naturels de la Nouvelle-Zélande conservent quelquefois les têtes de leurs amis, mais c’est dans l’intention de payer à la mémoire des morts un tribut de respect et d’admiration, de montrer ses restes aux parents et aux amis absents au moment de la mort, et de pouvoir à certaines époques de l’année célébrer en leur honneur des cérémonies funèbres. Le mode de préparation des têtes, chez les Néo-Zélandais, prévient non seulement avec le plus grand succès la décomposition, mais encore assure un état parfait de conservation aux traits du visage.

Voici le procédé employé dans cette circonstance :

Quand la tête a été détachée du tronc, on brise avec une pierre ou un bâton la partie supérieure du crâne ; on vide entièrement la cervelle, et on lave la cavité du crâne à diverses reprises, jusqu’à ce qu’elle soit entièrement nettoyée. On plonge alors la tête dans l’eau bouillante pendant quelques minutes, ce qui fait disparaître tout l’épiderme. On a soin, pendant cette opération, de ne point toucher à la chevelure, car elle tomberait aussitôt ; mais quand la chevelure est refroidie, elle reste attachée et fixée à la tête avec plus de force qu’auparavant. De petites planchettes sont placées des deux côtés du nez afin de lui conserver sa forme naturelle ; un autre petit morceau de bois est, en outre, introduit dans le nez pour empêcher qu’il ne se déforme ; enfin on bourre les narines avec du lin. On arrache les yeux, si ce sont ceux d’un chef, on les mange, on les jette avec mépris dans tout autre cas. On coud la bouche et les paupières, pour qu’elles ne perdent pas leur aspect ordinaire. D’avance a été creusé dans la terre une espèce de four qu’on remplit de pierres rougies. Ce four, fermé de tous côtés, n’a qu’une ouverture pratiquée au sommet, et à laquelle s’adapte parfaitement la partie supérieure de la tête.

Les pierres chaudes sont arrosées d’eau aussi souvent que cela est jugé nécessaire : il en résulte une fumée qu’augmente encore des feuilles imbibées d’eau et qu’on a introduites dans le four. La chaleur et la fumée pénètrent ainsi dans l’intérieur de la tête, dont la base est placée, comme nous l’avons dit à l’ouverture du four. Pour entretenir la chaleur et la fumée, on renouvelle souvent les pierres chaudes et l’eau jusqu’à ce que cette opération soit terminée. Le naturel qui est chargé de cette préparation doit veiller à ce qu’il ne se forme point de ride sur le visage et passe souvent la main sur la peau, afin de prévenir toute altération dans les traits. Ce procédé pour conserver les têtes humaines exige 24 à 30 heures. Quand la tête a atteint le degré voulu de préparation, on la retire du feu, on la fixe à un bâton et on l’expose au soleil. On oint fréquemment les têtes avec de l’huile, bien que cette dernière condition ne soit pas jugée indispensable.

Journal des voyages - 18/08/1883""
 
Tour à fait extraordinaire.

Manger les yeux en plus ? Comment peut-on imaginer ? En voyant un vol d'hirondelles que l'automne vient d'arriver ?

Pour finir une tite photo d'un autre rite d'un autre temps.
 
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