Sherab
Holofractale de l'hypervérité
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- 18 Juin 2009
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Indescriptible, j'suis pas vraiment revenu, ce soir je marcherai droit et j'arrêterai de faire des gestes bizarres comme si je faisais coucou à des êtres invisibles ou enjambais des obstacles qui n'existent pas.
Toujours le même truc qui revient, toujours. Ca veut pas lâcher, j'suis trop fort, la prison des concepts ne veut pas s'ouvrir, je m'enferme moi même et je ne veux pas me dire où est la clé de peur de me perdre moi-même. Un truc égotique mille fois ressassé, ce même problème depuis enfant, des états de consciences facilement atteints, proche d'un syndrome d'Asperger, des rêves éveillés, des mondes imaginaires où que je regarde, je ne peux pas détacher mon regard de la toile du film que je projète, je demeure spectateur et inquiet, des visions très effrayantes hier soir, des pensées subtiles destructrices, des approches de transe avec des onomatopées scandées, du verbiage du fond des âges, des sonorités inutiles. Comme d'hab.
Constat ? Toujours le même : tu sais ce qu'il faut faire et tu ne le fais pas. Tu ne te donnes même pas les moyens de commencer, procrastination, dépression, bipolarité, schizophrénie, autisme, ou tout à la fois. J'prérèrerai être heureux qu'intelligent. Je comprends mieux l'intérêt du K-Hole maintenant, que ce putain de bordel s'arrête ! Mais je connais une autre manière de l'arrêter, plus longue et plus difficile, qui prend des années, qui oblige à s'investir complètement, jusqu'à la mort. Je veux pas dire pas maintenant, hein ? Veux pas me suicider. C'est pour expliquer que c'est un chemin qu'il ne faut pas lâcher, même (et surtout) au péril de sa vie et que je ferai mieux de me dépêcher avant qu'il soit trop tard, la mort ne prend pas rendez-vous. C'est pas le tout de se dire "j'ai le temps, j'ai le temps". T'as pas le temps ! C'est urgent, faut y aller avant que ça ferme, après c'est trop tard.
Note finale :
Si on considère que ça me fait toujours voir la même chose et que donc ça doit être ça 20/20. Pour ma compréhension 0/20.
Conclusion ? J'ai pas fini d'en chier.
Toujours le même truc qui revient, toujours. Ca veut pas lâcher, j'suis trop fort, la prison des concepts ne veut pas s'ouvrir, je m'enferme moi même et je ne veux pas me dire où est la clé de peur de me perdre moi-même. Un truc égotique mille fois ressassé, ce même problème depuis enfant, des états de consciences facilement atteints, proche d'un syndrome d'Asperger, des rêves éveillés, des mondes imaginaires où que je regarde, je ne peux pas détacher mon regard de la toile du film que je projète, je demeure spectateur et inquiet, des visions très effrayantes hier soir, des pensées subtiles destructrices, des approches de transe avec des onomatopées scandées, du verbiage du fond des âges, des sonorités inutiles. Comme d'hab.
Constat ? Toujours le même : tu sais ce qu'il faut faire et tu ne le fais pas. Tu ne te donnes même pas les moyens de commencer, procrastination, dépression, bipolarité, schizophrénie, autisme, ou tout à la fois. J'prérèrerai être heureux qu'intelligent. Je comprends mieux l'intérêt du K-Hole maintenant, que ce putain de bordel s'arrête ! Mais je connais une autre manière de l'arrêter, plus longue et plus difficile, qui prend des années, qui oblige à s'investir complètement, jusqu'à la mort. Je veux pas dire pas maintenant, hein ? Veux pas me suicider. C'est pour expliquer que c'est un chemin qu'il ne faut pas lâcher, même (et surtout) au péril de sa vie et que je ferai mieux de me dépêcher avant qu'il soit trop tard, la mort ne prend pas rendez-vous. C'est pas le tout de se dire "j'ai le temps, j'ai le temps". T'as pas le temps ! C'est urgent, faut y aller avant que ça ferme, après c'est trop tard.
Note finale :
Si on considère que ça me fait toujours voir la même chose et que donc ça doit être ça 20/20. Pour ma compréhension 0/20.
Conclusion ? J'ai pas fini d'en chier.
