Set and settings et introduction
Chez l'ami qui m'a vendu les gouttes, en milieu de matinée. Je comptais prendre chez moi les 5 gouttes qu'il m'avait vendu, mais il m'a proposé d'en prendre une avec lui et ses potes. Je le connais depuis peu mais j'étais en confiance.
Je consomme très occasionnellement de l'acide, mais quand j'en prend, c'est souvent une grosse dose. J'aime être complètement déboussolé, dans un autre monde avec cette substance. Je ne prenais pas vraiment en compte les risques, je voyais le bad trip comme une chose qui arrive rarement et le plus souvent aux personnes ayant peur ou n'étant pas prêtes. Ce que j'étais naïf, on verra plus tard pourquoi.
En ce qui concerne le dosage, mon pote m'a annoncé les gouttes à 300ug chacune, mais j'ai beaucoup de mal a le croire. J'en ai prit en tout 6 (avec du recul, je me rend compte que je l'ai bien cherché mon bad trip). J'estime la quantité totale a environ 1200ug.
Première partie : extase
Je monte dans l'appartement de mon pote. Il m'offre "une goutte de bienvenue". Il est déjà sous acide, mais ne ressens que peu d'effets. Sur le canapé, il y a deux autres personnes, une personne qui fait sa première fois a l'acide et une autre sobre qui se repose de sa soirée de la veille. Je prend ma goutte et commence a discuter avec toutes ces personnes. Je suis de plus en plus à l'aise, je sens que la substance commence à faire effet, je me sens détendu. Il devait être environ h+1 après la prise, et je me dis que je veux plus d'effets. Je sais que en ayant prit du lsd ce jour si, la claque que je voulais me prendre avec les 5 gouttes que j'avais acheté devrais être repoussée. Je me dit donc que cette claque, elle serait maintenant. Je préviens mes compagnons de trip que je vais drop les 5 autres gouttes puis je le fais.
On met un film d'animation psychédélique du 20eme dont j'ai oublié le nom sur la télé, et on se perd tous dedans, on est fascinés par ce film. Nous sommes a environ h+2 de la première prise (je ne regardais pas ma montre, les heures sont donc très approximatives). Je décide de me lever pour me fumer une clope sur le balcon et observer les montagnes et le lac. Je tiens a peine sur mes jambes, mais j'ai l'impression d'être au paradis. Les couleurs fusent autour de moi, les montagnes sont d'une beauté incroyable.
Je m'assoit sur une chaise, j'ai vraiment de la peine a rester debout longtemps. F, la personne sobre du groupe, viens s'assoir avec moi pour discuter. On se rend compte qu'on se connaissait déjà. On rigole, et on met de la musique. Moment de silence. Je me perd dans mes pensées puis observe le mur. Il est beau, taché de vert et de orange. Evidement, la réalité est toute autre, il était blanc. Mais je le trouvais beau. D'un coup j'ai un zoom sur ce mur, je le vois de plus en plus près, de plus en plus net. Je me dis qu'il ne peut pas avoir été créé par un hasard, la matière ne peut pas être issue d'une étoile qui explose, tout est tellement précis, tellement structuré et diversifié. Puis d'un coup ça dezoom. Je revois le mur aussi loin qu'avant, mais avec une sorte d'homme à coté, assez trouble. Je ne me souviens plus des détails, mais je l'ai observé quelques secondes, avant qu'il disparaisse. Evidement, dans mon esprit embrumé j'étais sur d'avoir vu l'architecte de l'univers, le créateur. Je me laisse aller sur le dossier de ma chaise, heureux.
Je rentre dans l'appartement avec F, il décide de prendre lui aussi une goutte. Je me rend compte que je suis chez une personne que je connais que très peu, sous acide. Je me dit que je dois déranger, qu'il veut peut être partir, et que je le dérange. Je me perd encore une fois dans mes pensées, mais cette fois elles sont beaucoup plus sombres. Je me rend compte que je dois me calmer, je vais me coucher dans une chambre.
Deuxième partie : épouvante
Alors que tout était si beau auparavant, d'un coup je commence a paniquer. Je ne dois pas bad trip, je dois retourner dans cet état d'extase que je suis en train de quitter. D'un coup, je commence a voir des fissures dans le plafond, je suis sur que l'appartement s'écroule. Je cours a la fenêtre, tout est en train de gentiment se briser. Ce n'est pas assez rapide pour que je me sente en danger de mort, mais suffisamment rapide pour que je panique. Je me recouche sur le lit, je dois me calmer. Je respire longuement, prend de grandes bouffées d'air. J'ai de plus en plus de peine a respirer, chaque respiration est douloureuse.
Je dois sortir de mon trip, il ne se passe pas bien. Je réfléchis longuement. Pour sortir de mon trip je dois faire quoi? Je dois sortir, je ne suis pas chez mon pote, je suis chez moi, tout ce que je pensais être la réalité n'était qu'une hallucination, je dois sortir et courir le plus loin possible. Je me lève le plus vite possible, je franchi la porte d'entrée, pied nu, sans rien prendre avec moi et arrive dans la cage d'escalier. J'ai mal au thorax, encore plus qu'avant. J'entend F derrière moi qui me demande de revenir. Je me rend compte de mon erreur, ce n'est pas une hallucination, je rentre, remercie F de m'avoir indiqué le chemin et me recouche dans le lit. Je devais réfléchir, que devais-je faire pour vivre? J'ai l'impression que ma vue est de plus en plus sombre. Pour sortir de mon trip et vivre, je dois... RESPIRER.
Je me rend compte que je ne respirais pas, depuis tout a l'heure, je me met a quatre pattes sur le matelas et respire un maximum, de toute mes forces. C'est douloureux, j'ai l'impression de fournir un effort immense. Je suis persuadé que je mène une bataille, qui en cas d'échec me mènerais a la mort. Puis je me recouche. J'ai toujours mal au thorax, le plafond est toujours en train de se fendre. C'est foutu, je vais crever. J'abandonne, c'est trop d'efforts, je n'y arriverais pas. Que penserais ma famille si elle apprenais que j'étais mort en prenant de la drogue? Je n'ai pas le droit de mourir, pour sortir de mon trip je dois sortir. Je me lève, cours vers la porte d'entrée, me rend compte de mon erreur, me recouche sur mon matelas, réfléchis, me rend compte que je dois respirer, respire de toutes mes forces, puis me couche, a bout de forces. Ce cycle va se répéter encore une fois, ma vue s'obscurcissant de plus en plus.
Je suis donc à bout de force, couché sur le matelas, persuadé que je vais y passer. Je suis dépité. A aucun moment je n'aurais pensé que ma vie se terminerait ainsi. J'entend quelqu'un rentrer, voir si je vais bien. Je n'arrive pas a dire un mot, je n'arrive pas a bouger, je suis tétanisé. Il voit que je suis vivant et pense que je dors. Je regarde ce que je pensais être ma dernière chance partir et fermer la porte. Merde, je vais vraiment y passer. Je ne vois presque plus rien, je ne réfléchi plus, m'abandonne a mon sort. Une lumière rouge et bleue comme celles des ambulances apparait, puis je sens comme des coups de défibrillateur sur mon torse. Je ne suis pas mort et je ne dois pas mourir.
Je respire a fond encore une fois, j'ai affreusement mal au torse. Je respire jusqu'a ce que je sois exténué et me recouche sur le matelas. Je vois déjà plus clair, je suis sur le bon chemin. Toujours incapable de me lever je me focalise sur mes longues respirations suivi de mes pauses.
D'un coup apparaissent des gens. C'était plus comme des images collées a ma rétine que des personnes en chair et en os. Elles disaient a tour de rôle qu'on peut comprendre l'horreur d'un badtrip uniquement après l'avoir vécu. Qu'il faut en avoir peur, qu'il faut l'éviter a tout prix.
Je commence a voir de plus en plus clair et d'un coup j'arrive a m'assoir sur le lit. Je m'en suis sorti, c'est fini. Je me lève, complètement trempé de sueur, les mains tremblantes comme des feuilles. Je vais a la salle de bain boire de l'eau. Je me regarde dans le miroir, j'étais blanc. Je me met de l'eau sur le visage et cherche une cigarette. L'appartement était vide. Je fume ma cigarette, regarde le soleil se coucher et me dit que j'ai eu la plus grosse chance de ma vie de pas y passer. Je fais un tour de la maison, vois mon pote dormir dans sa chambre, essaie de le réveiller, sans y arriver. Je met mes chaussures et rentre chez moi.
Conclusion
La drogue c'est mal, m'voyez. J'ai eu beaucoup de chances de m'en être sorti, et surtout de n'avoir aucune séquelle. Des le lendemain j'allais mieux, je ne pensais plus trop a ce que j'avais vécu. Aujourd'hui je n'y pense plus du tout, j'en rigole même avec mes potes en leur disant que j'ai sacrement fait le con cette fois si. Pour les néophytes : malgré tous les trucs "trop cool" de la drogue, en un claquement de doit ça peut être l'enfer, faites gaffe a vous, je pensais que ça ne m'arriverais pas, ça m'est arrivé. Moi qui disait aimer prendre des claques, je me suis prit un tractopelle dans la gueule cette fois
.
Je me suis renseigné un peu sur cette incapacité a respirer, qui m'a paru sacrement étonnante. Je suis tombé la dessus "Some people forget to breath frequently, and id imagine alot of people would pass out." J'imagine du coup que c'est un truc qui peut arriver a très forte dose, faut croire que je m'étais pas assez informé avant de prendre une telle dose.
D'ailleurs, si quelqu'un plus habitué que moi à l'acide pouvait me dire si j'ai tapé plus ou moins juste avec les 1200ug que j'ai estimé ça serait cool!
Sur ce, bonne soirée!
Ebunic
Chez l'ami qui m'a vendu les gouttes, en milieu de matinée. Je comptais prendre chez moi les 5 gouttes qu'il m'avait vendu, mais il m'a proposé d'en prendre une avec lui et ses potes. Je le connais depuis peu mais j'étais en confiance.
Je consomme très occasionnellement de l'acide, mais quand j'en prend, c'est souvent une grosse dose. J'aime être complètement déboussolé, dans un autre monde avec cette substance. Je ne prenais pas vraiment en compte les risques, je voyais le bad trip comme une chose qui arrive rarement et le plus souvent aux personnes ayant peur ou n'étant pas prêtes. Ce que j'étais naïf, on verra plus tard pourquoi.
En ce qui concerne le dosage, mon pote m'a annoncé les gouttes à 300ug chacune, mais j'ai beaucoup de mal a le croire. J'en ai prit en tout 6 (avec du recul, je me rend compte que je l'ai bien cherché mon bad trip). J'estime la quantité totale a environ 1200ug.
Première partie : extase
Je monte dans l'appartement de mon pote. Il m'offre "une goutte de bienvenue". Il est déjà sous acide, mais ne ressens que peu d'effets. Sur le canapé, il y a deux autres personnes, une personne qui fait sa première fois a l'acide et une autre sobre qui se repose de sa soirée de la veille. Je prend ma goutte et commence a discuter avec toutes ces personnes. Je suis de plus en plus à l'aise, je sens que la substance commence à faire effet, je me sens détendu. Il devait être environ h+1 après la prise, et je me dis que je veux plus d'effets. Je sais que en ayant prit du lsd ce jour si, la claque que je voulais me prendre avec les 5 gouttes que j'avais acheté devrais être repoussée. Je me dit donc que cette claque, elle serait maintenant. Je préviens mes compagnons de trip que je vais drop les 5 autres gouttes puis je le fais.
On met un film d'animation psychédélique du 20eme dont j'ai oublié le nom sur la télé, et on se perd tous dedans, on est fascinés par ce film. Nous sommes a environ h+2 de la première prise (je ne regardais pas ma montre, les heures sont donc très approximatives). Je décide de me lever pour me fumer une clope sur le balcon et observer les montagnes et le lac. Je tiens a peine sur mes jambes, mais j'ai l'impression d'être au paradis. Les couleurs fusent autour de moi, les montagnes sont d'une beauté incroyable.
Je m'assoit sur une chaise, j'ai vraiment de la peine a rester debout longtemps. F, la personne sobre du groupe, viens s'assoir avec moi pour discuter. On se rend compte qu'on se connaissait déjà. On rigole, et on met de la musique. Moment de silence. Je me perd dans mes pensées puis observe le mur. Il est beau, taché de vert et de orange. Evidement, la réalité est toute autre, il était blanc. Mais je le trouvais beau. D'un coup j'ai un zoom sur ce mur, je le vois de plus en plus près, de plus en plus net. Je me dis qu'il ne peut pas avoir été créé par un hasard, la matière ne peut pas être issue d'une étoile qui explose, tout est tellement précis, tellement structuré et diversifié. Puis d'un coup ça dezoom. Je revois le mur aussi loin qu'avant, mais avec une sorte d'homme à coté, assez trouble. Je ne me souviens plus des détails, mais je l'ai observé quelques secondes, avant qu'il disparaisse. Evidement, dans mon esprit embrumé j'étais sur d'avoir vu l'architecte de l'univers, le créateur. Je me laisse aller sur le dossier de ma chaise, heureux.
Je rentre dans l'appartement avec F, il décide de prendre lui aussi une goutte. Je me rend compte que je suis chez une personne que je connais que très peu, sous acide. Je me dit que je dois déranger, qu'il veut peut être partir, et que je le dérange. Je me perd encore une fois dans mes pensées, mais cette fois elles sont beaucoup plus sombres. Je me rend compte que je dois me calmer, je vais me coucher dans une chambre.
Deuxième partie : épouvante
Alors que tout était si beau auparavant, d'un coup je commence a paniquer. Je ne dois pas bad trip, je dois retourner dans cet état d'extase que je suis en train de quitter. D'un coup, je commence a voir des fissures dans le plafond, je suis sur que l'appartement s'écroule. Je cours a la fenêtre, tout est en train de gentiment se briser. Ce n'est pas assez rapide pour que je me sente en danger de mort, mais suffisamment rapide pour que je panique. Je me recouche sur le lit, je dois me calmer. Je respire longuement, prend de grandes bouffées d'air. J'ai de plus en plus de peine a respirer, chaque respiration est douloureuse.
Je dois sortir de mon trip, il ne se passe pas bien. Je réfléchis longuement. Pour sortir de mon trip je dois faire quoi? Je dois sortir, je ne suis pas chez mon pote, je suis chez moi, tout ce que je pensais être la réalité n'était qu'une hallucination, je dois sortir et courir le plus loin possible. Je me lève le plus vite possible, je franchi la porte d'entrée, pied nu, sans rien prendre avec moi et arrive dans la cage d'escalier. J'ai mal au thorax, encore plus qu'avant. J'entend F derrière moi qui me demande de revenir. Je me rend compte de mon erreur, ce n'est pas une hallucination, je rentre, remercie F de m'avoir indiqué le chemin et me recouche dans le lit. Je devais réfléchir, que devais-je faire pour vivre? J'ai l'impression que ma vue est de plus en plus sombre. Pour sortir de mon trip et vivre, je dois... RESPIRER.
Je me rend compte que je ne respirais pas, depuis tout a l'heure, je me met a quatre pattes sur le matelas et respire un maximum, de toute mes forces. C'est douloureux, j'ai l'impression de fournir un effort immense. Je suis persuadé que je mène une bataille, qui en cas d'échec me mènerais a la mort. Puis je me recouche. J'ai toujours mal au thorax, le plafond est toujours en train de se fendre. C'est foutu, je vais crever. J'abandonne, c'est trop d'efforts, je n'y arriverais pas. Que penserais ma famille si elle apprenais que j'étais mort en prenant de la drogue? Je n'ai pas le droit de mourir, pour sortir de mon trip je dois sortir. Je me lève, cours vers la porte d'entrée, me rend compte de mon erreur, me recouche sur mon matelas, réfléchis, me rend compte que je dois respirer, respire de toutes mes forces, puis me couche, a bout de forces. Ce cycle va se répéter encore une fois, ma vue s'obscurcissant de plus en plus.
Je suis donc à bout de force, couché sur le matelas, persuadé que je vais y passer. Je suis dépité. A aucun moment je n'aurais pensé que ma vie se terminerait ainsi. J'entend quelqu'un rentrer, voir si je vais bien. Je n'arrive pas a dire un mot, je n'arrive pas a bouger, je suis tétanisé. Il voit que je suis vivant et pense que je dors. Je regarde ce que je pensais être ma dernière chance partir et fermer la porte. Merde, je vais vraiment y passer. Je ne vois presque plus rien, je ne réfléchi plus, m'abandonne a mon sort. Une lumière rouge et bleue comme celles des ambulances apparait, puis je sens comme des coups de défibrillateur sur mon torse. Je ne suis pas mort et je ne dois pas mourir.
Je respire a fond encore une fois, j'ai affreusement mal au torse. Je respire jusqu'a ce que je sois exténué et me recouche sur le matelas. Je vois déjà plus clair, je suis sur le bon chemin. Toujours incapable de me lever je me focalise sur mes longues respirations suivi de mes pauses.
D'un coup apparaissent des gens. C'était plus comme des images collées a ma rétine que des personnes en chair et en os. Elles disaient a tour de rôle qu'on peut comprendre l'horreur d'un badtrip uniquement après l'avoir vécu. Qu'il faut en avoir peur, qu'il faut l'éviter a tout prix.
Je commence a voir de plus en plus clair et d'un coup j'arrive a m'assoir sur le lit. Je m'en suis sorti, c'est fini. Je me lève, complètement trempé de sueur, les mains tremblantes comme des feuilles. Je vais a la salle de bain boire de l'eau. Je me regarde dans le miroir, j'étais blanc. Je me met de l'eau sur le visage et cherche une cigarette. L'appartement était vide. Je fume ma cigarette, regarde le soleil se coucher et me dit que j'ai eu la plus grosse chance de ma vie de pas y passer. Je fais un tour de la maison, vois mon pote dormir dans sa chambre, essaie de le réveiller, sans y arriver. Je met mes chaussures et rentre chez moi.
Conclusion
La drogue c'est mal, m'voyez. J'ai eu beaucoup de chances de m'en être sorti, et surtout de n'avoir aucune séquelle. Des le lendemain j'allais mieux, je ne pensais plus trop a ce que j'avais vécu. Aujourd'hui je n'y pense plus du tout, j'en rigole même avec mes potes en leur disant que j'ai sacrement fait le con cette fois si. Pour les néophytes : malgré tous les trucs "trop cool" de la drogue, en un claquement de doit ça peut être l'enfer, faites gaffe a vous, je pensais que ça ne m'arriverais pas, ça m'est arrivé. Moi qui disait aimer prendre des claques, je me suis prit un tractopelle dans la gueule cette fois

Je me suis renseigné un peu sur cette incapacité a respirer, qui m'a paru sacrement étonnante. Je suis tombé la dessus "Some people forget to breath frequently, and id imagine alot of people would pass out." J'imagine du coup que c'est un truc qui peut arriver a très forte dose, faut croire que je m'étais pas assez informé avant de prendre une telle dose.
D'ailleurs, si quelqu'un plus habitué que moi à l'acide pouvait me dire si j'ai tapé plus ou moins juste avec les 1200ug que j'ai estimé ça serait cool!
Sur ce, bonne soirée!
Ebunic