Reafdaw
Neurotransmetteur
- Inscrit
- 30 Sept 2014
- Messages
- 30
Salut les psychonaut,
J'ai expérimenté le LSA ce wek end, et au vu du peu de trip report dispo comparé aux autres drogues, je vous raconte mon expérience.
Set and Setting : Bord de rivière avec ma copine et un bon ami, en camion, aprem kayak, détente et repos entre deux semaines de boulots agricoles. Etat d'esprit assez libéré, mais fatigue assez présente tout de même.
Je suis un habitué des psychédéliques, que je consomme à des doses plus que modérées depuis quelques années, ( sauf occasions rares de vrais voyages psychédéliques) afin d'éviter leur désagréments, le stress, et leurs caractère parfois trop personnels.... Et puis mes nombreux acides ponctue déjà ma vie au quotidien de sensation psychés et de tour de passe passe visuels donc autant y aller molo !
Produit : Gelules de LSA ( plante inconnues ) ramenés par un ami d'un stand des rencontres chamaniques, elle doivent contenir a vue d'oeil 0,5 - 1 Gr de substance beige broyée. Le vendeur ( un peu trop à la cool pour moi vous verez) disait de prendre deux gellules toutes les deux heures pour une soirée posée, ou 6 d'un coup pour la grosse mandale.
Vers 14h nous prenons une géllule chaqu'un, puis nous nous posons mon pote à jouer du tambour chamanique sur des chants tibétin et moi à bouquiner des livres de voyages et de tatouage en noir et blanc.
Au bout d'une heure, une sensation de grosse fatigue m'a envahit, les yeux lourds, le visage qui tire un peu.
Une demi heure plus tard, un changement d'état d'esprit s'opère clairement, mes livres me passionent, prennent un vrai sens, je voyage carrémnt en les contemplant tandis que la musique me semble complètement irréelle et me fais planer assez puissament.
Au bout de deux heures je sors du camion, je me sens bien, l'acide est bien présent, les couleurs sont légèrement accentuée, ce qui durera toute la soirée, en revanche je n'observe aucune déformation visuelles majeures.
Mes idées fusent un petit peu, je me sens euphorique, motivé à faire la fête mais très introspectif, intoxiqué et alourdi.
av
Pus tard, nous prenons la route pour chercher du vin, le contact vec le monde extérieur est très singulier mais très doux, rien à voir avec l'effort monstrueux entre honte et fou rire que déclenche d'habitude un bon gros trip associé avec le monde sobre autour. Tout est différent, simple, et décalé.
Je suis amené à prendre le volant car ma copine venant de passer le permis s'est fait une petit frayeur ( RDR : Conduire intoxiqué est une bêtise..... mais bon, je vais pas mentir dans le report.....)
Les 5 kilomètres de petites routes passent très bien, aucune notion du temps de conduite, mais aucune incapacité niveau réflexes et coordination.
De retour au camp, nous entamons la soirée, l'alcool accentue un peu l'euphorie au début mais devient ensuite un élément neutre. ( normalement après qulques cognanc on chauffe bien quand même mais la.... nada....)
Au moment du coucher les braise sur le feu sont d'un rose vif qui répond avec les étoiles... Petit plaisir simple et splendide.
Je ferme les yeux, et la tout reste noir, je parvient au point de zéro pensées, une neutralité absolu. ucune forme géométriques ne se font voir alors que norlament j'ai une réponse très visuelle aux acides ( parfois handicapante dès 50 microgrammes de LSd dans la pénombre....) En revanche, ce noir absolu arrive à se diviser endeux parti disctienc dans un lent mouvement de convection, ce qui me tient quelques temps en observation perplexe.
L'endormissement est simple, un réveil en pleine nuit dans un lit ULTRA mouillé me rapel tout de même mon intoxication, mon corps élimine sévèrement.
Au matin, aucune sensation particulières, je suis même blasé, alors que les afterglow à l'acid me mettent dans une joie et un bien être absolu pendant au moins 24h d'habitude.
On rentre la ou on bosse, je me sens encore une fois très neutre.
Et là..... Intervient la deuxième parti du trip, et je pense sincérement que le charbon végétal que j'ai consommé la veille au matin à jouer un rôle quelques part, ou que le LSA à une capacité aux flashback ou aux stockage et redistribution supérieur au LSD.
Je range un peu mes affaires, accoupi au soleil, et en me relevant j'ai une grosse chute de tension à base d'étoile multicolore, trébuchement et peur de l'évanouissement. J'me dit waw, elle était belle celle la, et puis je me suis opprimé à la poitrine, un mal de ventre, un stress, une sensation d'étrangeté.
Je bois une petit bière en me disant merdre, qu'est qu'il y a la, manque de cannabis ? ( rien a fumé depuis 10 jours alors que fumeur quotidien), puis je me rend compte que waw waw waw, les couleurs, les forme, l'acuité visuelle, la notion de réalité sont vraiement étranges.
Je me pose, je met du Sweet Smoke, je ferme les yeux, et la de nouveau ce noir, et ce zéro pensée? Avec parfois mon champs de vision noir qui se divise, menglobe et tourne lentement.... Ha ha ha, sacrés acides..... Les yeux ouverte, rien de géométrique, mais des ondulations de grandes ampleurs très lentes sur les surfaces planes.
C'est resté présent jusqu'au soir, sans trop d'angoisse, quelques questionnements du style, maaarde cette nouvelle substances est elle celle qui va me vriller après tant d'année d'acides ? Mais rien de trop formel tout de même.
Ce matin réveil 6H, rien à déclarer, un peu de fatigue, quelques souvresauts mais sans plus.
Bilan : J'aurais aimé connaitre la plante et la dose sur ce coup la.... Rien de puissant, mais du très long, du bien mental. La force tranquille.
Je ne retenterai pas de suite, je digère tranquillement, je repasserai vous dire le fond de ma pensée quand j'aurai sorti de mon esprit quelques conclusions !
Deux géllules aurai peut être permis de mieu appréhender la substances, mais à la fois, la lysergie était plus que présente avec une. Alors les 6.... Autant avoir quelques jours devant soi et un bon sitter !
Psychédéliquement votre,
Reaf
J'ai expérimenté le LSA ce wek end, et au vu du peu de trip report dispo comparé aux autres drogues, je vous raconte mon expérience.
Set and Setting : Bord de rivière avec ma copine et un bon ami, en camion, aprem kayak, détente et repos entre deux semaines de boulots agricoles. Etat d'esprit assez libéré, mais fatigue assez présente tout de même.
Je suis un habitué des psychédéliques, que je consomme à des doses plus que modérées depuis quelques années, ( sauf occasions rares de vrais voyages psychédéliques) afin d'éviter leur désagréments, le stress, et leurs caractère parfois trop personnels.... Et puis mes nombreux acides ponctue déjà ma vie au quotidien de sensation psychés et de tour de passe passe visuels donc autant y aller molo !
Produit : Gelules de LSA ( plante inconnues ) ramenés par un ami d'un stand des rencontres chamaniques, elle doivent contenir a vue d'oeil 0,5 - 1 Gr de substance beige broyée. Le vendeur ( un peu trop à la cool pour moi vous verez) disait de prendre deux gellules toutes les deux heures pour une soirée posée, ou 6 d'un coup pour la grosse mandale.
Vers 14h nous prenons une géllule chaqu'un, puis nous nous posons mon pote à jouer du tambour chamanique sur des chants tibétin et moi à bouquiner des livres de voyages et de tatouage en noir et blanc.
Au bout d'une heure, une sensation de grosse fatigue m'a envahit, les yeux lourds, le visage qui tire un peu.
Une demi heure plus tard, un changement d'état d'esprit s'opère clairement, mes livres me passionent, prennent un vrai sens, je voyage carrémnt en les contemplant tandis que la musique me semble complètement irréelle et me fais planer assez puissament.
Au bout de deux heures je sors du camion, je me sens bien, l'acide est bien présent, les couleurs sont légèrement accentuée, ce qui durera toute la soirée, en revanche je n'observe aucune déformation visuelles majeures.
Mes idées fusent un petit peu, je me sens euphorique, motivé à faire la fête mais très introspectif, intoxiqué et alourdi.
av
Pus tard, nous prenons la route pour chercher du vin, le contact vec le monde extérieur est très singulier mais très doux, rien à voir avec l'effort monstrueux entre honte et fou rire que déclenche d'habitude un bon gros trip associé avec le monde sobre autour. Tout est différent, simple, et décalé.
Je suis amené à prendre le volant car ma copine venant de passer le permis s'est fait une petit frayeur ( RDR : Conduire intoxiqué est une bêtise..... mais bon, je vais pas mentir dans le report.....)
Les 5 kilomètres de petites routes passent très bien, aucune notion du temps de conduite, mais aucune incapacité niveau réflexes et coordination.
De retour au camp, nous entamons la soirée, l'alcool accentue un peu l'euphorie au début mais devient ensuite un élément neutre. ( normalement après qulques cognanc on chauffe bien quand même mais la.... nada....)
Au moment du coucher les braise sur le feu sont d'un rose vif qui répond avec les étoiles... Petit plaisir simple et splendide.
Je ferme les yeux, et la tout reste noir, je parvient au point de zéro pensées, une neutralité absolu. ucune forme géométriques ne se font voir alors que norlament j'ai une réponse très visuelle aux acides ( parfois handicapante dès 50 microgrammes de LSd dans la pénombre....) En revanche, ce noir absolu arrive à se diviser endeux parti disctienc dans un lent mouvement de convection, ce qui me tient quelques temps en observation perplexe.
L'endormissement est simple, un réveil en pleine nuit dans un lit ULTRA mouillé me rapel tout de même mon intoxication, mon corps élimine sévèrement.
Au matin, aucune sensation particulières, je suis même blasé, alors que les afterglow à l'acid me mettent dans une joie et un bien être absolu pendant au moins 24h d'habitude.
On rentre la ou on bosse, je me sens encore une fois très neutre.
Et là..... Intervient la deuxième parti du trip, et je pense sincérement que le charbon végétal que j'ai consommé la veille au matin à jouer un rôle quelques part, ou que le LSA à une capacité aux flashback ou aux stockage et redistribution supérieur au LSD.
Je range un peu mes affaires, accoupi au soleil, et en me relevant j'ai une grosse chute de tension à base d'étoile multicolore, trébuchement et peur de l'évanouissement. J'me dit waw, elle était belle celle la, et puis je me suis opprimé à la poitrine, un mal de ventre, un stress, une sensation d'étrangeté.
Je bois une petit bière en me disant merdre, qu'est qu'il y a la, manque de cannabis ? ( rien a fumé depuis 10 jours alors que fumeur quotidien), puis je me rend compte que waw waw waw, les couleurs, les forme, l'acuité visuelle, la notion de réalité sont vraiement étranges.
Je me pose, je met du Sweet Smoke, je ferme les yeux, et la de nouveau ce noir, et ce zéro pensée? Avec parfois mon champs de vision noir qui se divise, menglobe et tourne lentement.... Ha ha ha, sacrés acides..... Les yeux ouverte, rien de géométrique, mais des ondulations de grandes ampleurs très lentes sur les surfaces planes.
C'est resté présent jusqu'au soir, sans trop d'angoisse, quelques questionnements du style, maaarde cette nouvelle substances est elle celle qui va me vriller après tant d'année d'acides ? Mais rien de trop formel tout de même.
Ce matin réveil 6H, rien à déclarer, un peu de fatigue, quelques souvresauts mais sans plus.
Bilan : J'aurais aimé connaitre la plante et la dose sur ce coup la.... Rien de puissant, mais du très long, du bien mental. La force tranquille.
Je ne retenterai pas de suite, je digère tranquillement, je repasserai vous dire le fond de ma pensée quand j'aurai sorti de mon esprit quelques conclusions !
Deux géllules aurai peut être permis de mieu appréhender la substances, mais à la fois, la lysergie était plus que présente avec une. Alors les 6.... Autant avoir quelques jours devant soi et un bon sitter !
Psychédéliquement votre,
Reaf