pastyputridpulp
Sale drogué·e
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Il peut y avoir une dépendance psychologique (*) (enfin moi j'en ai fait les frais pendant à peu près un an). Selon william white, cette dépendance est plus ou moins condamnée à disparaître sur le moyen terme (**) car avec la tolérance qui s'installe (rapidement si l'usage n'est pas espacé) le produit cesse peu à peu de faire effet. Au regard de mon expérience perso, j'aurais tendance à confirmer ceci : j'ai finalement décroché car je ne ressentais plus rien de "positif" avec le dxm.
* De la même façon que le dxm hbr n'est apprécié somme toute que par un pourcentage assez faible de la population, je pense que cette dépendance n'est susceptible de viser qu'un pourcentage encore plus faible des usagers (ceux qui aiment le plus l'expérience ?).
** Ce n'est pas pour autant qu'il s'agit d'un problème anodin et qu'il faut s'asseoir dessus en attendant mieux. La dépendance au dxm a pour corollaire l'usage abusif de dxm et je peux vous assurer que psychologiquement l'instabilité est au rendez vous.
Sinon jamais eu de problèmes avec alcool + dxm (en quantité modérée) mais je ne vois pas l'interêt d'un tel combo.
* De la même façon que le dxm hbr n'est apprécié somme toute que par un pourcentage assez faible de la population, je pense que cette dépendance n'est susceptible de viser qu'un pourcentage encore plus faible des usagers (ceux qui aiment le plus l'expérience ?).
** Ce n'est pas pour autant qu'il s'agit d'un problème anodin et qu'il faut s'asseoir dessus en attendant mieux. La dépendance au dxm a pour corollaire l'usage abusif de dxm et je peux vous assurer que psychologiquement l'instabilité est au rendez vous.
Sinon jamais eu de problèmes avec alcool + dxm (en quantité modérée) mais je ne vois pas l'interêt d'un tel combo.