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Je ne sais pas si c'est la bonne section ou le bon forum tout court.
Une connaissance avait eu précédemment une prescription de quétiapine dans un pays développé, à doses faibles (12,5 mg en libération immédiate, en coupant en deux un cachet de 25mg), pour lutter contre des insomnies induites par une dépression. C'était une prescription hors-AMM encore peu courante, mais qui avait bien fonctionné, avec des effets secondaires très limités.
La même prescription vient d'être faite en France, mais visiblement seules des formes en libération prolongée sont disponibles, et le dosage le plus faible est de 50mg. Le fait de couper les comprimés permet de limiter fortement l'effet libération prolongée, mais le problème est que le coupage en quatre est compliqué et rend les dosages aléatoires (surtout avec une forme LP dans laquelle le produit n'est pas réparti de manière homogène).
L'idée serait donc de faire un dosage volumétrique, mais je crains qu'il ne soit difficile de dissoudre correctement toute la matière active d'un comprimé en LP. Une première étape pour améliorer la solubilité serait probablement de le broyer. On s'interroge aussi sur l'opportunité d'utiliser un acide (vinaigre ou jus de citron) pour remédier à l'effet LP, sachant que la molécule active sera de toute façon exposée à un milieu acide dans l'estomac... mais il est difficile d'être certain qu'il n'y aura pas de réaction imprévue avec la molécule active.
Le psychiatre est de bonne volonté mais n'y entrave que pouic ; il nous a encouragé à essayer de trouver une manière de doser ça correctement et nous fait confiance, ce qui est déjà pas mal.
Bref : quelqu'un a déjà essayé de faire un dosage volumétrique d'un comprimé en LP ?
Une connaissance avait eu précédemment une prescription de quétiapine dans un pays développé, à doses faibles (12,5 mg en libération immédiate, en coupant en deux un cachet de 25mg), pour lutter contre des insomnies induites par une dépression. C'était une prescription hors-AMM encore peu courante, mais qui avait bien fonctionné, avec des effets secondaires très limités.
La même prescription vient d'être faite en France, mais visiblement seules des formes en libération prolongée sont disponibles, et le dosage le plus faible est de 50mg. Le fait de couper les comprimés permet de limiter fortement l'effet libération prolongée, mais le problème est que le coupage en quatre est compliqué et rend les dosages aléatoires (surtout avec une forme LP dans laquelle le produit n'est pas réparti de manière homogène).
L'idée serait donc de faire un dosage volumétrique, mais je crains qu'il ne soit difficile de dissoudre correctement toute la matière active d'un comprimé en LP. Une première étape pour améliorer la solubilité serait probablement de le broyer. On s'interroge aussi sur l'opportunité d'utiliser un acide (vinaigre ou jus de citron) pour remédier à l'effet LP, sachant que la molécule active sera de toute façon exposée à un milieu acide dans l'estomac... mais il est difficile d'être certain qu'il n'y aura pas de réaction imprévue avec la molécule active.
Le psychiatre est de bonne volonté mais n'y entrave que pouic ; il nous a encouragé à essayer de trouver une manière de doser ça correctement et nous fait confiance, ce qui est déjà pas mal.
Bref : quelqu'un a déjà essayé de faire un dosage volumétrique d'un comprimé en LP ?