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Amour
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docteurlapeluche
Banni
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Tout a été dit... Je lock! :mrgreen:Servietsky a dit:
psychotrique
Holofractale de l'hypervérité
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La grenouille, si je te fais l'amour avec la langue, tu te transformes en jolie princesse top canon trop sex avec des yeux mutins et des cheveux roux (c'est pour Stonix ça, m'enfin, si c'est moi qui foure ma langue, la rouquine est pour moi eheh)
?
?
machinalaver
Elfe Mécanique
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Je vais pas vous dire que je vous aime. Je préfère garder les baisers pour plus tard. Quoiqu'il en soit je pense que je dois beaucoup à ce forum et à ces membres. Parce qu'il m'a fait découvrir certaines substances certes mais peu importe. Surtout parce qu'il m'a aidé à me cadrer, à ne plus prendre de drogue dans une optique d'autodestruction, dans l'idée de totalement m'abrutir. Et puis parce que je vous trouve "beaux", humains ( si le terme convient encore ), bons... Bon assez comme ça, je vais tenter de dormir un peu :mrgreen:
Hypnoziss
Alpiniste Kundalini
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psychotrique a dit:
Rien avoir avec une fille, avoue, c'est simplement parce que tu pense surtout à cette grenouille : Incilius alvarius
Biquette
Modo vache qui rend chèvre
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- 5 Fev 2013
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Pfiou, c'est définitivement une sensation magique de se débarrasser de sa couche de pensées négatives due à des souffrances internes...
On se sent comme neuf, avec l'envie de construire et de vivre. S'il ne devait y avoir qu'une seule grande force régissant l'esprit, ce serait bien l'amour.
J'vous aime. Vous êtes tous importants. Sans vous, tout s'effondre. :heart:
On se sent comme neuf, avec l'envie de construire et de vivre. S'il ne devait y avoir qu'une seule grande force régissant l'esprit, ce serait bien l'amour.
J'vous aime. Vous êtes tous importants. Sans vous, tout s'effondre. :heart:
Axïōm
Alpiniste Kundalini
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- 2 Avr 2013
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oui empatho c'est magique 
tu a fais un cycle !
Sinon vu que je suis de plus en pus amoureux de tout je vous ramene mes dernieres comprehension (ou delires aux choix)
une mere aime son enfant et va le nourrir, alors pourquoi une boule de feu geante sans qui la vie ne se serait pas develloper ca serait pas de l'amour? (De meme pour les arbres, ect ect et ecxes de t ect)
tout est la pour nous, ils ne tient qu'as nous de voir, de le ressentir et de le communiquer
et: "on ne voit bien qu'avec le coeur" pti prince citations a la consommation d'amour
Plein de zoubi tout plein a tous <3
tu a fais un cycle !Sinon vu que je suis de plus en pus amoureux de tout je vous ramene mes dernieres comprehension (ou delires aux choix)
une mere aime son enfant et va le nourrir, alors pourquoi une boule de feu geante sans qui la vie ne se serait pas develloper ca serait pas de l'amour? (De meme pour les arbres, ect ect et ecxes de t ect)
tout est la pour nous, ils ne tient qu'as nous de voir, de le ressentir et de le communiquer
et: "on ne voit bien qu'avec le coeur" pti prince citations a la consommation d'amour
Plein de zoubi tout plein a tous <3
Plante Verte
Alpiniste Kundalini
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Le cannabis assaisonne bien l'amour :heart:
Lullaby
Alpiniste Kundalini
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Des bisous à tout le monde ici.
Ça fait deux ans que je côtoie, physiquement ou non, des gens d'ici. J'ai pas envie de paraphraser Jester mais pour résumer je crois pouvoir dire que vous m'avez beaucoup appris, que n'importe quel canard boiteux peut finir par trouver sa troupe, et que je vous serai éternellement reconnaissante pour tout ce que vous m'avez et continuez encore de m'apporter.
Merci les gars (que vous en soyez un ou non), vraiment merci.
Je vous aime tellement que je vais envoyer ce message DEUX FOIS, allé, paye ton spam !
Ça fait deux ans que je côtoie, physiquement ou non, des gens d'ici. J'ai pas envie de paraphraser Jester mais pour résumer je crois pouvoir dire que vous m'avez beaucoup appris, que n'importe quel canard boiteux peut finir par trouver sa troupe, et que je vous serai éternellement reconnaissante pour tout ce que vous m'avez et continuez encore de m'apporter.
Merci les gars (que vous en soyez un ou non), vraiment merci.
Je vous aime tellement que je vais envoyer ce message DEUX FOIS, allé, paye ton spam !
Hero
Elfe Mécanique
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- 17 Oct 2013
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Yo les camarades,
Je souffre de négativité existentielle et franchement, j'ai bien besoin d'un peu de positivité.
Bon, c'est vrai, la vie réserve des trucs sympas, des belles amitiés, de la romance. Mais bon, comment faire pour avoir la volonté de vivre encore 60 piges dans un monde ultra violent, rempli d'individu mesquin et amorphe avec pour unique horizon un travail qui fait tomber votre cœur en poussière, un mode de vie autodestructeur et des relations humaines médiocres ?
Quand toutes vos valeurs, les fibres de votre être sont incompatible avec ce monde décadent, c'est quoi la solution ? Vivre en ermite dans les bois ? Quand on veut vivre pleinement tout le temps et pas juste a l'occasion de deux trois festoche ou autres occasionnelle soirée, quelle est la réponse ? Ça fait chier de vivre en apnée.
Vivre d'amour et d'eau fraiche ? Je demande pas mieux mais comment ?
Je crois que je suis trop sensible pour ce monde de brute. Fait chier. 60 ans de galère. whoouou.
Je souffre de négativité existentielle et franchement, j'ai bien besoin d'un peu de positivité.
Bon, c'est vrai, la vie réserve des trucs sympas, des belles amitiés, de la romance. Mais bon, comment faire pour avoir la volonté de vivre encore 60 piges dans un monde ultra violent, rempli d'individu mesquin et amorphe avec pour unique horizon un travail qui fait tomber votre cœur en poussière, un mode de vie autodestructeur et des relations humaines médiocres ?
Quand toutes vos valeurs, les fibres de votre être sont incompatible avec ce monde décadent, c'est quoi la solution ? Vivre en ermite dans les bois ? Quand on veut vivre pleinement tout le temps et pas juste a l'occasion de deux trois festoche ou autres occasionnelle soirée, quelle est la réponse ? Ça fait chier de vivre en apnée.
Vivre d'amour et d'eau fraiche ? Je demande pas mieux mais comment ?
Je crois que je suis trop sensible pour ce monde de brute. Fait chier. 60 ans de galère. whoouou.
Devanagari
Holofractale de l'hypervérité
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C'est une conception qu'il faut apprivoisée en toute conséquence ... Paradoxalement la vision de la haine peut être un bon aperçu pour se rendre compte de l'utilité de la voie de paix ou d'amour .
Moi aussi 37 ans et parfois je me dis , comment vais je vivre heureux toute la vie mais j'ai eu la chance de croiser des gens dans vie qui avaient une conception de vie assez particulière et qualifié d'illuminé . Quelques passages avec les théosophe , membres de la confrérie blanche etc etc , vrai ils font peur mais pourtant leur message ne font que véhiculer l'amour ...
Je comprends pas pourquoi les gens refoulent autant les messages vers le signe de la paix ... Beaucoup de gens n'acceptent pas au point d'en tirer des conclusions de pisse-froid ...
Quand tu lis ce genre de texte tu sais que combattre le mal peur être facile , la meilleur solution c'est l'attaque passive ( préconisait Martin Luther King ) qui consiste à laisser échapper de lui même le mal ..Quitte à ce que cela n'arrive pas de ta génération . C'est un principe fondamental du savoir lâcher prise mais surtout de pense à son prochain ...Quitter sa carapace de son moi pour vivre en harmonie avec son intérieur comme extérieur ( les deux vont de paire )
Amour pour Dieu, amour pour ton prochain, amour pour toi-même.
Reconnaissance envers Dieu, reconnaissance envers ton prochain, reconnaissance envers toi-même.
Lorsque tu fais une bonne action, remercie de l'avoir faite...
Tu prononces une bonne parole : réjouis-toi.
Tu penses quelque chose de beau: réjouis-toi.
Tu ressens quelque chose de beau: réjouis-toi.
Tu as écrit un beau livre: réjouis-toi encore. De ce livre, les autres aussi profiteront.
Quand ton intellect travaille, avec toi travaillera aussi l'intellect des autres gens.
Une bonne pensée se réalise toujours. Sachez que le nouveau arrive dans le monde.
Il faut que nous nous aimions. Réjouissez-vous, de ce que vous pouvez vous aimer. L'important, est de quelle façon vous vous aimez.
Peter Deunov
Moi aussi 37 ans et parfois je me dis , comment vais je vivre heureux toute la vie mais j'ai eu la chance de croiser des gens dans vie qui avaient une conception de vie assez particulière et qualifié d'illuminé . Quelques passages avec les théosophe , membres de la confrérie blanche etc etc , vrai ils font peur mais pourtant leur message ne font que véhiculer l'amour ...
Je comprends pas pourquoi les gens refoulent autant les messages vers le signe de la paix ... Beaucoup de gens n'acceptent pas au point d'en tirer des conclusions de pisse-froid ...
Quand tu lis ce genre de texte tu sais que combattre le mal peur être facile , la meilleur solution c'est l'attaque passive ( préconisait Martin Luther King ) qui consiste à laisser échapper de lui même le mal ..Quitte à ce que cela n'arrive pas de ta génération . C'est un principe fondamental du savoir lâcher prise mais surtout de pense à son prochain ...Quitter sa carapace de son moi pour vivre en harmonie avec son intérieur comme extérieur ( les deux vont de paire )
Amour pour Dieu, amour pour ton prochain, amour pour toi-même.
Reconnaissance envers Dieu, reconnaissance envers ton prochain, reconnaissance envers toi-même.
Lorsque tu fais une bonne action, remercie de l'avoir faite...
Tu prononces une bonne parole : réjouis-toi.
Tu penses quelque chose de beau: réjouis-toi.
Tu ressens quelque chose de beau: réjouis-toi.
Tu as écrit un beau livre: réjouis-toi encore. De ce livre, les autres aussi profiteront.
Quand ton intellect travaille, avec toi travaillera aussi l'intellect des autres gens.
Une bonne pensée se réalise toujours. Sachez que le nouveau arrive dans le monde.
Il faut que nous nous aimions. Réjouissez-vous, de ce que vous pouvez vous aimer. L'important, est de quelle façon vous vous aimez.
Peter Deunov
Devanagari
Holofractale de l'hypervérité
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Un conte à lire :
conte de l'empreinte
Depuis presque cent ans, le vieil homme marchait. Il avait traversé l'enfance, la jeunesse, mille joies et douleurs, mille espoirs et fatigues. Des femmes, des enfants, des pays, des soleils peuplaient encore sa mémoire. Il les avait aimés.
Ils étaient maintenant derrière lui, lointains, presque effacés.
Aucun ne l'avait suivi jusqu'à ce bout de monde où il était parvenu.
Il était seul désormais face au vaste océan.
Au bord des vagues il fit halte et se retourna. Sur le sable qui se perdait dans les brumes infinies, il vit alors l'empreinte de ses pas. Chacun était un jour de sa longue existence. Il les reconnut tous, les trébuchements, les passes difficiles, les détours et les marches heureuses, les pas pesants des jours où l'accablaient des peines. Il les compta. Pas un ne manquait. Il se souvint, sourit au chemin de sa vie.
Comme il se détournait pour entrer dans l'eau sombre qui mouillait ses sandales, il hésitat soudain. Il lui avait semblé voir à côté de ses pas quelque chose d'étrange. À nouveau, il regarda. En vérité, il n'avait pas cheminé seul.
D'autres traces, tout au long de sa route, allaient auprès des siennes. Il s'étonna. Il n'avait aucun souvenir d'une présence aussi proche et fidèle. Il se demanda qui l'avait accompagné.
Une voix familière et pourtant sans visage lui répondit : “C'est moi”.
Il reconnut son propre ancêtre, le premier père de la longue lignée d'hommes qui lui avaient donné la vie, celui que l'on appelait Dieu. Il se souvint qu'à l'instant de sa naissance ce Père de tous les pères lui avait promis de ne jamais l'abandonner. Il sentit dans son cœur monter une allégresse ancienne et pourtant neuve. Il n'en avait jamais éprouvé de semblable depuis l'enfance.
Il regarda encore. Alors, de loin en loin, il vit le long ruban d'empreintes parallèles plus étroit, plus ténu. Certains jours de sa vie, la trace était unique. Il se souvint de ces jours. Comment les aurait-il oubliés ?
C'étaient les plus terribles, les plus désespérés. Au souvenir de ces heures misérables entre toutes où il avait pensé qu'il n'y avait de pitié ni au ciel ni sur terre, il se sentit soudain amer, mélancolique.
“Vois ces jours de malheur, dit-il j'ai marché seul. Où étais-tu, Seigneur quand je pleurais sur ton absence ?”
“Mon fils, mon bien-aimé, lui répondit la voix, ces traces solitaires sont celles de mes pas. Ces jours où tu croyais cheminer en aveugle, abandonné de tous, j'étais là, sur ta route. Ces jours où tu pleurais sur mon absence, je te portais.”
Henri Gougaud
Ps : ne pas lire dieu dans le sens propre et primaire , dieu peut être n'importe qui ...Toi comme une autre entité quelconque .
Une de Pierre Rabhi que j'aime beaucoup
Un adage dit : « On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif ». Le témoignage par les actes, paisible, tranquille, déterminé me paraît plus efficace que la controverse, l’accusation, la critique, souvent stériles. Essayons d’incarner simplement nos convictions. Si nous sommes de plus en plus nombreux à prouver par nos pensées et nos actes qu’un changement positif peut avoir lieu, alors cela agira mieux que tout autre moyen.
Les paroles peuvent jouer un rôle à condition qu’elles soient cohérentes et bienveillantes : personnellement, j’essaie de dire ce que j’ai dans le cœur, dans mon âme, mais aussi et surtout ce que je fais, ce que j’ai expérimenté.
N’oublions pas que nos proches sont ce qu’ils sont, avec leurs propres histoires, souffrances, fragilités, et qu’ils sont en chemin comme chacun de nous. Sur ce chemin, même les erreurs peuvent être initiatiques. La posture du pèlerin qui marche, qui se trompe, qui souffre, mais qui se réjouit également et qui continue à avancer en acquérant la connaissance fondamentale me parle beaucoup…
Pierre Rabhi
du copier collé mais je risque pas de faire mieux que ces hommes accomplis en sagesse . Moi drogué je t'aiderai pas plus que ces messieurs
conte de l'empreinte
Depuis presque cent ans, le vieil homme marchait. Il avait traversé l'enfance, la jeunesse, mille joies et douleurs, mille espoirs et fatigues. Des femmes, des enfants, des pays, des soleils peuplaient encore sa mémoire. Il les avait aimés.
Ils étaient maintenant derrière lui, lointains, presque effacés.
Aucun ne l'avait suivi jusqu'à ce bout de monde où il était parvenu.
Il était seul désormais face au vaste océan.
Au bord des vagues il fit halte et se retourna. Sur le sable qui se perdait dans les brumes infinies, il vit alors l'empreinte de ses pas. Chacun était un jour de sa longue existence. Il les reconnut tous, les trébuchements, les passes difficiles, les détours et les marches heureuses, les pas pesants des jours où l'accablaient des peines. Il les compta. Pas un ne manquait. Il se souvint, sourit au chemin de sa vie.
Comme il se détournait pour entrer dans l'eau sombre qui mouillait ses sandales, il hésitat soudain. Il lui avait semblé voir à côté de ses pas quelque chose d'étrange. À nouveau, il regarda. En vérité, il n'avait pas cheminé seul.
D'autres traces, tout au long de sa route, allaient auprès des siennes. Il s'étonna. Il n'avait aucun souvenir d'une présence aussi proche et fidèle. Il se demanda qui l'avait accompagné.
Une voix familière et pourtant sans visage lui répondit : “C'est moi”.
Il reconnut son propre ancêtre, le premier père de la longue lignée d'hommes qui lui avaient donné la vie, celui que l'on appelait Dieu. Il se souvint qu'à l'instant de sa naissance ce Père de tous les pères lui avait promis de ne jamais l'abandonner. Il sentit dans son cœur monter une allégresse ancienne et pourtant neuve. Il n'en avait jamais éprouvé de semblable depuis l'enfance.
Il regarda encore. Alors, de loin en loin, il vit le long ruban d'empreintes parallèles plus étroit, plus ténu. Certains jours de sa vie, la trace était unique. Il se souvint de ces jours. Comment les aurait-il oubliés ?
C'étaient les plus terribles, les plus désespérés. Au souvenir de ces heures misérables entre toutes où il avait pensé qu'il n'y avait de pitié ni au ciel ni sur terre, il se sentit soudain amer, mélancolique.
“Vois ces jours de malheur, dit-il j'ai marché seul. Où étais-tu, Seigneur quand je pleurais sur ton absence ?”
“Mon fils, mon bien-aimé, lui répondit la voix, ces traces solitaires sont celles de mes pas. Ces jours où tu croyais cheminer en aveugle, abandonné de tous, j'étais là, sur ta route. Ces jours où tu pleurais sur mon absence, je te portais.”
Henri Gougaud
Ps : ne pas lire dieu dans le sens propre et primaire , dieu peut être n'importe qui ...Toi comme une autre entité quelconque .
Une de Pierre Rabhi que j'aime beaucoup
Un adage dit : « On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif ». Le témoignage par les actes, paisible, tranquille, déterminé me paraît plus efficace que la controverse, l’accusation, la critique, souvent stériles. Essayons d’incarner simplement nos convictions. Si nous sommes de plus en plus nombreux à prouver par nos pensées et nos actes qu’un changement positif peut avoir lieu, alors cela agira mieux que tout autre moyen.
Les paroles peuvent jouer un rôle à condition qu’elles soient cohérentes et bienveillantes : personnellement, j’essaie de dire ce que j’ai dans le cœur, dans mon âme, mais aussi et surtout ce que je fais, ce que j’ai expérimenté.
N’oublions pas que nos proches sont ce qu’ils sont, avec leurs propres histoires, souffrances, fragilités, et qu’ils sont en chemin comme chacun de nous. Sur ce chemin, même les erreurs peuvent être initiatiques. La posture du pèlerin qui marche, qui se trompe, qui souffre, mais qui se réjouit également et qui continue à avancer en acquérant la connaissance fondamentale me parle beaucoup…
Pierre Rabhi
du copier collé mais je risque pas de faire mieux que ces hommes accomplis en sagesse . Moi drogué je t'aiderai pas plus que ces messieurs
Biquette
Modo vache qui rend chèvre
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- 5 Fev 2013
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Voir le mur - entre moi et les autres, entre moi et mon coeur - se fissurer doucement, grâce à ce petit brin de femme, cet anima, toujours la même depuis 3 ans déjà, et pour longtemps je l'espère encore.
Aucune victoire sur soi-même ne peut être remportée seul - voilà la leçon que j'en tire, moi qui croyait pouvoir vivre mieux parce qu'isolé et solitaire, retiré en moi-même.
L'amour ne coule plus en moi comme il le faisait par le passé, mais c'est en bonne voie. A vous tous, une pensée des plus chaleureuses, j'ai une confiance profonde et sincère en votre capacité à avancer vers plus de lumière.
Ensemble, même, peut-être ?
Aucune victoire sur soi-même ne peut être remportée seul - voilà la leçon que j'en tire, moi qui croyait pouvoir vivre mieux parce qu'isolé et solitaire, retiré en moi-même.
L'amour ne coule plus en moi comme il le faisait par le passé, mais c'est en bonne voie. A vous tous, une pensée des plus chaleureuses, j'ai une confiance profonde et sincère en votre capacité à avancer vers plus de lumière.
Ensemble, même, peut-être ?
Plante Verte
Alpiniste Kundalini
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- 9 Nov 2014
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Merci Couac!
Moi aussi j'aimerais témoigner de l'amour qui me porte en ce moment. C'est grâce aux autres que j'en suis la ou j'en suis, c'est grâce à tout cet amour que je ne voyais pas que je tiens encore debout aujourd'hui. J'ai décidé d'arrêter de mentir mais j'ai dès lors l'impression de ne plus pouvoir rien dire sans que cela soit faux, quand je me relis je ne me reconnais pas, quand je parle mes mots me tranchent la gorge, comme pour dire stop. Arrêter ces voix, arrêter cette mascarade, arrêter de jouer aux menteurs dans une vie partagée entre les menteurs et les ignorants, je ne peux pas renier mon savoir, je ne veux plus mentir.
Je me sens lourd comme une Pierre, intouchable comme le vent. Et j'ai encore peur. J'ai peur d'être moi-même avec tout l'amour que cela implique, j'ai peur de blesser les autres car je me sens comme un morceau de viande chaude et cruelle prêt à tout pour subvenir à ses besoins vitaux. Je suis une sale bête dans un monde de sale bête, un carnivore cannibale dans une jungle de béton, un berger zoophile dans une foule de mouton. Un sage qui préfère la folie. Un guérisseur qui mutile.
La vie est froidement simple, la sérénité me rend triste, la paix m'emmerde.
Moi aussi j'aimerais témoigner de l'amour qui me porte en ce moment. C'est grâce aux autres que j'en suis la ou j'en suis, c'est grâce à tout cet amour que je ne voyais pas que je tiens encore debout aujourd'hui. J'ai décidé d'arrêter de mentir mais j'ai dès lors l'impression de ne plus pouvoir rien dire sans que cela soit faux, quand je me relis je ne me reconnais pas, quand je parle mes mots me tranchent la gorge, comme pour dire stop. Arrêter ces voix, arrêter cette mascarade, arrêter de jouer aux menteurs dans une vie partagée entre les menteurs et les ignorants, je ne peux pas renier mon savoir, je ne veux plus mentir.
Je me sens lourd comme une Pierre, intouchable comme le vent. Et j'ai encore peur. J'ai peur d'être moi-même avec tout l'amour que cela implique, j'ai peur de blesser les autres car je me sens comme un morceau de viande chaude et cruelle prêt à tout pour subvenir à ses besoins vitaux. Je suis une sale bête dans un monde de sale bête, un carnivore cannibale dans une jungle de béton, un berger zoophile dans une foule de mouton. Un sage qui préfère la folie. Un guérisseur qui mutile.
La vie est froidement simple, la sérénité me rend triste, la paix m'emmerde.