mohamed chirac
Alpiniste Kundalini
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Expériences 6 à 8
Je vais raconter mes cérémonies à l'ayahuasca récentes.
La 6e est très bien passée. J'ai commencé avec 2,2 g de rue de Syrie, 40 mg de DMT et une cuillère de mimosa. Je me faisais chier alors j'ai rajouté quelques heures après 30 mg, puis plus tard une cuillère de mimosa. Puis, à la toute fin, plug de 30 mg de fumarate de DMT.
Je suis arrivé à la conclusion que le mimosa est plus efficace pour la guérison que la DMT synthétique, mais actuellement je ne peux pas prendre en beaucoup car je ne sais pas le cuisiner en liquide.
La tolérance étant bien installée après une prise, il ne s'est pas passé grand-chose de bien marquant. Je ressentais du bien-être, j'avais la pensée accélérée, avec ce côté tryptaminique, et c'est tout.
J'ai mis l'intention de travailler sur l'anxiété sociale, l'addiction à la kétamine notamment, et d'en apprendre plus sur l'univers.
Le lendemain, je prends 2,6 g de rue de Syrie, puis du mimosa hostilis avec de la charkruna en feuille que je mange. J'ajoute 90 mg de fumarate de DMT.
Ça commence à taper très fort, bien que j'aie bu du lait et mangé 400 g de yaourt juste avant, censés atténuer les nausées.
Je me sens pas bien, je mets ça sur le compte des nausées. Je commence à voir des visuels. Au début c'est assez clair, symétrique et beau. Et puis plus ça va, plus je me sens mal. Après plus d'une heure, je vomis. C'était invivable et j'espérais que ça allait me soulager. En effet, après avoir vomi, j'entends dans ma tête : paix, paix, paix …
Mais malgré ça, le répit est de très courte durée.
J'ai certains effets cools comme les musiques de la diméthyltryptamine, des bourdonnements dans les oreilles, des sons volatils et éthérés de nature extraterrestre.
Pas de tonalité mais une essence ; des rythmes, mais pas de tempo. Une fluctuation constante de ces vibrations, semblant utiliser les gammes par ton et se déformant dans l'espace, sans réelle stabilité. J'entends ça à chaque fois que je consomme de la DMT.
Ça me fait penser à des phénomènes tels que la musique de l'âme et des chakras sous cannabis, ou quand j'entends des orchestres sous kétamine.
Après, c'est l'enfer. Je me sens extrêmement mal physiquement, je commence à flipper. J'avais demandé un voyage doux mais ce n'est pas du tout ce qui se passe.
Les visuels deviennent affreux et démoniaques.
Je vois notamment des bouteilles de bière, des boîtes de médicaments, ou encore je me vois moi avec le visage déformé, comme un alter ego des ténèbres.
Pourtant, j'avais déjà pris plus et ça s'était bien passé. J'ai vraiment peur, je me dis que je fais une overdose car j'avais pris un peu de spiruline quelques heures avant. Je continue de paniquer de plus en plus fort.
Mon corps est pris de secousses et de tremblements, j'ai mal, j'ai terriblement mal et je me dis que ça y est, c'est la fin, mais je résiste.
À ce moment, je ne sais pas trop ce qui se passe. Je suis extrêmement confus. À un moment, j'ai comme le côté droit du corps qui se paralyse, et je pense que je suis en train de développer une SLA (une maladie qui fait qu'on ne peut plus faire de son corps). Depuis que j'ai découvert l'existence de cette maladie, ça fait partie de mes "phobies".
J'ai mal à l'abdomen, j'ai parfois des tiraillements à la poitrine.
Dans ma tête, je fais des liens partout, comme quoi ce sont mes reins qui lâchent parce que mon père m'a transmis ses traumatismes, et que j'ai hérité dans mes gènes de reins défaillants programmés à s'autodétruire. Et que tout ça, c'est mon karma.
Comme si mes reins sont pleins de graisses, que mon sang est rempli de toxines. Et j'ai mal. Je souffre.
J'essaie un peu de ranger ma chambre mais je ne suis en mesure de rien faire. J'ai essayé de méditer mais tout ce qu'il y avait, c'était un désespoir sans fond.
Tout me fatigue : penser, agir m'épuiser. Mais ne rien faire et se laisser aller me déprimer.
À un moment, je joue à un petit jeu d'énigme artistique. Il y a un niveau tout mignon, tout beau, avec une musique apaisante.
Je comprends que l'énigme de ce niveau est en fait qu'il n'y en a pas : il suffit juste de regarder et de profiter de l'instant présent. Et cela, c'est comme un cadeau de la fin, pour moi qui vais bientôt passer l'arme à gauche.
(En fait, il y avait une énigme mais j'étais trop défoncé pour la comprendre !)
À un moment, je stresse trop et je monte à l'étage dire à ma tante que j'ai fait une overdose.
J'aurais pas dû dire ça comme ça, surtout qu'en vérité c'était pas ça, mais je ne le savais pas à ce moment. Je voulais juste être rassuré.
Je finis par tout remettre en question, et j'en viens à la conclusion que ma santé est ma priorité absolue , et qu'il faut que je me reprenne en main.
Le bonheur ne va pas venir si je n'ai pas la santé.
Par la suite, je suis allé chez mon père pour me reposer, mais ce n'est pas ce qui s'est vraiment passé.
J'ai consommé de la L-théanine et de la niacine à très haute dose, sans capter ce qui clochait.
Je fais des rêves noirs. De dépression. Je rêve que je fais une overdose. Des cauchemars…
Ensuite, de retour chez ma tante après 3 jours, je ne suis vraiment pas en forme.
J'ai mal à la tête, comme si on frottait une corde sur mon cerveau et que ça brûlait. J'ai des idées noires, une envie forte de prendre de la kétamine pour arranger ma santé mentale et m'évader un instant.
Le soir venu, je reprends de l'anahuasca, déterminé bien qu'hésitant, car tout mon organisme crie à l'aide.
Au final, j'opte pour une petite dose :
2,05 g de rue de Syrie, un peu de mimosa et charkruna, puis 25 mg de fumarate de DMT.
Pareil, ça monte fort mais moins que la dernière fois. Un peu de nausée et je recommence à me sentir mal, comme hier soir.
Je tremble sans pouvoir le contrôler, ça va pas, j'ai l'impression que mon corps est à bout.
Je bois un peu d'eau sacrée (eau bouillie au charbon actif pour en libérer les fullerènes, d'après mon ami, utile pendant l'ayahuasca), et j'ai prévu un grain de rapé au cas où ça dégénère.
J’ai l’impression que l’eau sacrée fonctionne plutôt bien. Et là, je réfléchis à pourquoi j'ai des réactions extrêmes ces derniers temps à l'ayahuasca.
Je remets un peu tout en question. Puis à un moment, je me dis que ce n'est pas l'ayahuasca le problème, parce que j'ai super mal quand j'en prends, mon corps est parcouru de décharges de stress en continu.
J'en viens à la conclusion que mon corps m'envoie un signal net : les compléments alimentaires que j'ai pris m'ont empoisonné.
Il y a plus de deux semaines, j'ai reçu ma commande de Pure Bulk.
Parmi ces compléments, j'ai essayé :
À chacun des produits essayés ici, j'ai eu des réactions physiques et émotionnelles extrêmes :
inconfort physique, pression cardiaque altérée, anxiété, mal-être, troubles du sommeil, fortes nausées, cauchemars, paralysie du sommeil, douleurs dans l'abdomen, picotements à la cage thoracique, dépression, crises émotionnelles quotidiennes…
Je n'ai pas réagi assez vite, et je me suis rendu compte cette nuit que le problème, c'était pas l'ayahuasca mais ces compléments que j'ai ingérés des semaines durant.
Alors aujourd'hui, je vais chez le docteur sans plus attendre .
Je ne sais pas ce qui se passe dans mon corps, mais mon hypothèse serait que ce sont peut-être des problèmes gastriques. Car quand j'ai pété, j'ai senti un soulagement, alors du coup je vais péter le plus possible pour voir si ça aide.
J'avais déjà aussi une fragilité dans cette zone.
Alors, qu'en pensez-vous ?
Est-ce que ce serait dû à des produits de mauvaise qualité, avec des impuretés, ou est-ce que c'est simplement moi qui ne les ai pas supportés ?
Car quand je prends des produits venant d'une autre source je n'ai pas ces problèmes, sauf peut être avec l'aswhagandha qui est un peu forte pour mon corps surtout à haut dosage, mais encore rien avoir avec ça.
À part ça j'ai l'impression que L'ayahuasca m'aide doucement.
Ça m'aide à mettre un peu plus d'ordre dans ma vie mais c'est un peu violent.
C'est pourquoi je crois partir sur loveyhuasca dès que je pourrais. C'est L'ayahuasca avec de l'acacia confusa ou de la nmt synthétique.
Cette ayahuasca est réputée comme plus douce et émotionnelle de part la présence de nmt. Plus empathogène et un peu moins cosmique et accès sur le visuel.
Et sinon essayer de faire tout ce que je peux pour prendre soin de ma santé.
Ces expériences ce sont déroulées sur une semaine.
Contexte (car je n'ai pas encore publié mes expériences précédentes sur le forum)
- Grosse conso keta / MD / 3-Me-PCP
- Passage en psychiatrie le 26 février
- Suite spirituelle Renaissance à une prise de kétamine
- Continuité de prises de kétamine après la sortie de l'hôpital, expériences en tout genre
- 4e et 5e séance d'anahuasca (anahuasca + champis et anahuasca à la cannelle)
- Trip chaotique MD/KE (et salvia avant)
- Dérèglement énergétique, physique et émotionnel très fort suite à la consommation de compléments suspectés contaminés, retour des états dépressifs après l'arrêt de la kéta, mais tout de même mieux-être.
Je vais raconter mes cérémonies à l'ayahuasca récentes.
6e cérémonie
La 6e est très bien passée. J'ai commencé avec 2,2 g de rue de Syrie, 40 mg de DMT et une cuillère de mimosa. Je me faisais chier alors j'ai rajouté quelques heures après 30 mg, puis plus tard une cuillère de mimosa. Puis, à la toute fin, plug de 30 mg de fumarate de DMT.
Je suis arrivé à la conclusion que le mimosa est plus efficace pour la guérison que la DMT synthétique, mais actuellement je ne peux pas prendre en beaucoup car je ne sais pas le cuisiner en liquide.
La tolérance étant bien installée après une prise, il ne s'est pas passé grand-chose de bien marquant. Je ressentais du bien-être, j'avais la pensée accélérée, avec ce côté tryptaminique, et c'est tout.
J'ai mis l'intention de travailler sur l'anxiété sociale, l'addiction à la kétamine notamment, et d'en apprendre plus sur l'univers.
7e cérémonie
Le lendemain, je prends 2,6 g de rue de Syrie, puis du mimosa hostilis avec de la charkruna en feuille que je mange. J'ajoute 90 mg de fumarate de DMT.
Ça commence à taper très fort, bien que j'aie bu du lait et mangé 400 g de yaourt juste avant, censés atténuer les nausées.
Je me sens pas bien, je mets ça sur le compte des nausées. Je commence à voir des visuels. Au début c'est assez clair, symétrique et beau. Et puis plus ça va, plus je me sens mal. Après plus d'une heure, je vomis. C'était invivable et j'espérais que ça allait me soulager. En effet, après avoir vomi, j'entends dans ma tête : paix, paix, paix …
Mais malgré ça, le répit est de très courte durée.
J'ai certains effets cools comme les musiques de la diméthyltryptamine, des bourdonnements dans les oreilles, des sons volatils et éthérés de nature extraterrestre.
Pas de tonalité mais une essence ; des rythmes, mais pas de tempo. Une fluctuation constante de ces vibrations, semblant utiliser les gammes par ton et se déformant dans l'espace, sans réelle stabilité. J'entends ça à chaque fois que je consomme de la DMT.
Ça me fait penser à des phénomènes tels que la musique de l'âme et des chakras sous cannabis, ou quand j'entends des orchestres sous kétamine.
Après, c'est l'enfer. Je me sens extrêmement mal physiquement, je commence à flipper. J'avais demandé un voyage doux mais ce n'est pas du tout ce qui se passe.
Les visuels deviennent affreux et démoniaques.
Je vois notamment des bouteilles de bière, des boîtes de médicaments, ou encore je me vois moi avec le visage déformé, comme un alter ego des ténèbres.
Pourtant, j'avais déjà pris plus et ça s'était bien passé. J'ai vraiment peur, je me dis que je fais une overdose car j'avais pris un peu de spiruline quelques heures avant. Je continue de paniquer de plus en plus fort.
Mon corps est pris de secousses et de tremblements, j'ai mal, j'ai terriblement mal et je me dis que ça y est, c'est la fin, mais je résiste.
À ce moment, je ne sais pas trop ce qui se passe. Je suis extrêmement confus. À un moment, j'ai comme le côté droit du corps qui se paralyse, et je pense que je suis en train de développer une SLA (une maladie qui fait qu'on ne peut plus faire de son corps). Depuis que j'ai découvert l'existence de cette maladie, ça fait partie de mes "phobies".
J'ai mal à l'abdomen, j'ai parfois des tiraillements à la poitrine.
Dans ma tête, je fais des liens partout, comme quoi ce sont mes reins qui lâchent parce que mon père m'a transmis ses traumatismes, et que j'ai hérité dans mes gènes de reins défaillants programmés à s'autodétruire. Et que tout ça, c'est mon karma.
Comme si mes reins sont pleins de graisses, que mon sang est rempli de toxines. Et j'ai mal. Je souffre.
J'essaie un peu de ranger ma chambre mais je ne suis en mesure de rien faire. J'ai essayé de méditer mais tout ce qu'il y avait, c'était un désespoir sans fond.
Tout me fatigue : penser, agir m'épuiser. Mais ne rien faire et se laisser aller me déprimer.
À un moment, je joue à un petit jeu d'énigme artistique. Il y a un niveau tout mignon, tout beau, avec une musique apaisante.
Je comprends que l'énigme de ce niveau est en fait qu'il n'y en a pas : il suffit juste de regarder et de profiter de l'instant présent. Et cela, c'est comme un cadeau de la fin, pour moi qui vais bientôt passer l'arme à gauche.
(En fait, il y avait une énigme mais j'étais trop défoncé pour la comprendre !)
À un moment, je stresse trop et je monte à l'étage dire à ma tante que j'ai fait une overdose.
J'aurais pas dû dire ça comme ça, surtout qu'en vérité c'était pas ça, mais je ne le savais pas à ce moment. Je voulais juste être rassuré.
Je finis par tout remettre en question, et j'en viens à la conclusion que ma santé est ma priorité absolue , et qu'il faut que je me reprenne en main.
Le bonheur ne va pas venir si je n'ai pas la santé.
8e cérémonie
Par la suite, je suis allé chez mon père pour me reposer, mais ce n'est pas ce qui s'est vraiment passé.
J'ai consommé de la L-théanine et de la niacine à très haute dose, sans capter ce qui clochait.
Je fais des rêves noirs. De dépression. Je rêve que je fais une overdose. Des cauchemars…
Ensuite, de retour chez ma tante après 3 jours, je ne suis vraiment pas en forme.
J'ai mal à la tête, comme si on frottait une corde sur mon cerveau et que ça brûlait. J'ai des idées noires, une envie forte de prendre de la kétamine pour arranger ma santé mentale et m'évader un instant.
Le soir venu, je reprends de l'anahuasca, déterminé bien qu'hésitant, car tout mon organisme crie à l'aide.
Au final, j'opte pour une petite dose :
2,05 g de rue de Syrie, un peu de mimosa et charkruna, puis 25 mg de fumarate de DMT.
Pareil, ça monte fort mais moins que la dernière fois. Un peu de nausée et je recommence à me sentir mal, comme hier soir.
Je tremble sans pouvoir le contrôler, ça va pas, j'ai l'impression que mon corps est à bout.
Je bois un peu d'eau sacrée (eau bouillie au charbon actif pour en libérer les fullerènes, d'après mon ami, utile pendant l'ayahuasca), et j'ai prévu un grain de rapé au cas où ça dégénère.
J’ai l’impression que l’eau sacrée fonctionne plutôt bien. Et là, je réfléchis à pourquoi j'ai des réactions extrêmes ces derniers temps à l'ayahuasca.
Je remets un peu tout en question. Puis à un moment, je me dis que ce n'est pas l'ayahuasca le problème, parce que j'ai super mal quand j'en prends, mon corps est parcouru de décharges de stress en continu.
J'en viens à la conclusion que mon corps m'envoie un signal net : les compléments alimentaires que j'ai pris m'ont empoisonné.
Il y a plus de deux semaines, j'ai reçu ma commande de Pure Bulk.
Parmi ces compléments, j'ai essayé :
- ALCAR
- CNA
- Chardon-Marie (en extrait, à doses thérapeutiques)
Puis j'ai pris : - L-théanine
- Niacine (vitamine B3) à des dosages très élevés
À chacun des produits essayés ici, j'ai eu des réactions physiques et émotionnelles extrêmes :
inconfort physique, pression cardiaque altérée, anxiété, mal-être, troubles du sommeil, fortes nausées, cauchemars, paralysie du sommeil, douleurs dans l'abdomen, picotements à la cage thoracique, dépression, crises émotionnelles quotidiennes…
Je n'ai pas réagi assez vite, et je me suis rendu compte cette nuit que le problème, c'était pas l'ayahuasca mais ces compléments que j'ai ingérés des semaines durant.
Alors aujourd'hui, je vais chez le docteur sans plus attendre .
Je ne sais pas ce qui se passe dans mon corps, mais mon hypothèse serait que ce sont peut-être des problèmes gastriques. Car quand j'ai pété, j'ai senti un soulagement, alors du coup je vais péter le plus possible pour voir si ça aide.
J'avais déjà aussi une fragilité dans cette zone.
Alors, qu'en pensez-vous ?
Est-ce que ce serait dû à des produits de mauvaise qualité, avec des impuretés, ou est-ce que c'est simplement moi qui ne les ai pas supportés ?
Car quand je prends des produits venant d'une autre source je n'ai pas ces problèmes, sauf peut être avec l'aswhagandha qui est un peu forte pour mon corps surtout à haut dosage, mais encore rien avoir avec ça.
À part ça j'ai l'impression que L'ayahuasca m'aide doucement.
Ça m'aide à mettre un peu plus d'ordre dans ma vie mais c'est un peu violent.
C'est pourquoi je crois partir sur loveyhuasca dès que je pourrais. C'est L'ayahuasca avec de l'acacia confusa ou de la nmt synthétique.
Cette ayahuasca est réputée comme plus douce et émotionnelle de part la présence de nmt. Plus empathogène et un peu moins cosmique et accès sur le visuel.
Et sinon essayer de faire tout ce que je peux pour prendre soin de ma santé.
Ces expériences ce sont déroulées sur une semaine.