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Enfer à l’hôtel sous truffes hallucinogènes [15g]

v3rgogne

Matrice périnatale
Inscrit
4 Sept 2023
Messages
8
  • Date du trip : le 9 septembre 2023
  • Substance : truffes fraîches Valhalla (achetées sur un site hollandais)
  • Dosage : 15g (supposés)
  • Corpulence : jeune femme de 21 ans de 65kg pour 1m60
  • Contexte: chambre d’hôtel à Amsterdam avec deux proches
  • Set and setting: très bonne vibe, trop curieuse et impatiente de tester les truffes
  • Antécédents : jamais testé de psychédéliques auparavant, juste de la MDMA en soirée avec quelques effets visuels
Trip

Cela faisait plusieurs mois que je voulais expérimenter les truffes magiques et vivre une expérience psychédélique. J’attendais le moment parfait pour en prendre avec des proches, dans le cadre le plus idéal possible. Mon amie m’a proposée d’aller à Amsterdam avec elle et mon copain s’est également joint à nous. Ce n’était pas la première fois que je m’y rendais et j’étais plus qu’heureuse d’y aller, car c’est clairement la ville européenne que j’affectionne le plus. Nous vivons tous les trois dans la même ville en Belgique, et j’avais réussi à me procurer des truffes hallucinogènes là-bas par paquets de 15g, mais ce voyage était improvisé et je ne me doutais absolument pas qu’on les prendrait ailleurs que là où nous vivons. Je les ai donc prises avec moi. Cette info n’est pas importante, mais si j’avais plus tôt que je partirais à Amsterdam, j’aurais clairement acheté mes truffes sur place pour les avoir les plus fraîches possibles.

Le set and setting étaient presque parfaits: nous étions en fin d’après-midi, tous les trois dans notre petite chambre d’hôtel. Là où ça coince, c’est que mon estomac n’était pas vide. En effet, j’avais bu une bouteille de jus d’orange pressé pendant la journée, et j’ai piqué quelques frites dans l’assiette de mon copain en les accompagnant lui et mon amie manger un fast-food, mais je ne comptais pas manger plus que ça car je comptais prendre les truffes en revenant à notre hôtel en soirée.

Je disposais de 3 paquets de 15g de truffes fraîches chacun. Mon amie avait pris son paquet de truffes en plusieurs fois dans l’après-midi et les avais prises avant que mon copain et moi ne le fassions. Au départ, elle ne pensait pas consommer les 15g du paquet et au final n’a ressenti que très peu d’effets une fois l’entièreté du paquet ingéré. Au moment de ma prise, elle était donc pratiquement sobre et présente avec moi dans la chambre. Mon copain était occupé dans la salle de bains et ne m’a vue entamer que le début de mon paquet.

J’ai commencé à les manger vers 18 h, je trouvais que le goût des truffes ainsi que leur texture étaient passables. Elles avaient un peu une odeur de fruit fermenté ou de confiture pourrie, et avant la prise, j’avais vraiment peur que cela soit plus horrible que ce que ça ne l’était. Je n’imaginais absolument pas mon corps ne pas les digérer, et j’étais sûre que tout se passerait merveilleusement bien. C’était comme des fruits secs qui laissent un goût très amer dans la gorge. Leur texture me faisait clairement penser à des noix, mais le goût était totalement différent.

J’ai trouvé ça très long à manger, je devais les mastiquer une par une et le goût était de plus en plus désagréable au fur et à mesure que je finissais le paquet. Environ 30 minutes après la prise, mon estomac a commencé à s’alourdir, la simple odeur des truffes sur mes doigts a commencé à me dégoûter sérieusement et à provoquer des nausées et des réflexes vomitifs comme si j’allais réellement être malade. Il fallait que je me concentre sérieusement pour ne pas vomir. Je voulais absolument éviter que ça soit le cas pour ne pas gaspiller les truffes et leurs effets. J’étais obstinée par le fait qu’elles devaient rester dans mon estomac et être digérées. Je m’étais dit qu’elles n’avaient pas fait le chemin pour rien avec moi jusque Amsterdam et qu’il fallait que mon corps les assimile. Pour essayer de calmer le goût amer qui persistait dans le fond de ma gorge, je prenais régulièrement des petites pastilles à la menthe, qui, en plus de m’empêcher de penser aux goût des truffes, m’aidaient à oublier leur existence et m’empêchaient d’avoir trop envie de vomir. Je précise une petite information importante: mon copain, mon amie et moi-même avions mangé du fast-food la veille au soir, et je n’avais pas encore été aux toilettes de la journée.

Pour essayer de calmer les nausées, j’ai décidé d’aller me laver, et quelques secondes après être entrée dans la douche, je sentais la partie supérieure de mon crâne être comme tirée vers le haut, comme si quelqu’un me tirait tous les cheveux en l’air, évidemment sans la sensation de douleur. Et là, une crise de rire me prend sans crier gare pendant que je suis toujours en train de me laver. C’était plus une petite barre de rire qu’un énorme fou rire incontrôlé. Je me disais qu’on était vraiment débiles à consommer des truffes, et que tout ça était ridicule. A ce moment-là, les nausées s’étaient plus ou moins calmées. Mon copain et mon amie m’ont entendue rire aux éclats sous la douche et se sont demandés ce qu’il m’arrivait, supposant que la montée commençait à se faire sentir. Mon copain a pris ses truffes pendant que j’étais en train de me laver, il a consommé environ la moitié de son paquet, et était d’accord pour dire que le goût n’était vraiment pas terrible pour lui non plus…

Lorsque je suis sortie de ma douche, la porte de la salle de bains était légèrement entre-ouverte. Je ne m’étais pas encore habillée et je tenais simplement une serviette autour de moi. Je sentais le froid de la grande fenêtre ouverte de la chambre rentrer dans la pièce où j’étais, ce qui fut particulièrement désagréable. J’ai ressenti la même sensation que lorsqu’on a des sueurs froides pendant une gastro-entérite. Les nausées étaient bel et bien revenues une fois sortie de la douche et les fous rires de sont arrêtés. Je me suis placée à l’entrée de la salle de bains à l’extérieur de celle-ci, je regardais par la fenêtre qui était tout au bout de la chambre. Pour éviter de vomir, il fallait que je me concentre sur les bâtiments et les belles couleurs du ciel. Mon amie était en train de se changer debout près de la fenêtre. J’essayais de ne pas penser aux truffes, à leur goût, à leur odeur de fruit pourri et à ma prise. A ce moment-là, ma bouche s’est instantanément remplie de vomi, et par réflexe et souci de propreté, je suis allée immédiatement le recracher dans les toilettes de la salle de bains et je me suis mise à vomir. J’ai vu la totalité de mes truffes en bouillie dans les toilettes, 45 minutes après la prise, vraiment dégoûtée que mon corps ne les ai pas assimilées. J’étais agenouillée devant les toilettes, et mon copain s’est assis à côté de moi. J’avais l’impression d’être consciente, mais je commençais clairement à être déf’ et je me voyais même récupérer les morceaux de truffes visibles que je voyais dans les chiottes pour les ré-ingurgiter pour avoir le maximum d’effets possible. Oui, je sais, c’est dégueulasse.

Je partais du principe que mon corps n’avait rien assimilé, je pensais sincèrement que les effets des truffes ne fonctionneraient pas maintenant que mon estomac était pratiquement vide. Ceci dit, les nausées ne se sont pas atténuées ou arrêtées pour autant, elles se sont même carrément amplifiées. Je suis retournée me rincer sous la douche car je m’étais un peu vomi dessus à ce moment-là... J’étais particulièrement sensible à la température de l’eau. Une eau un peu trop chaude me faisait automatiquement sursauter et la douleur était vive. Ma tête tournait, mes yeux fixaient la condensation et les traces d’eau séchées sur les vitres de la douche, comme si la nature n’avait jamais rien créé de plus beau. Ces motifs étaient d’une beauté sans nom et vraiment fascinants, et me faisaient penser aux taches sur la fourrure des félins.

Une fois de nouveau sortie de la douche, je suis retournée dans la chambre et je suis restée debout, au pied des deux lits. Mon copain était allongé sur notre grand lit et mon amie était dans son lit juste à côté du nôtre. A ce moment-là, il était hors de question que je m’assoie ou que je m’allonge, même si j’en avais très envie. Comme mentionné plus tôt, je n’avais pas été aux toilettes de la journée depuis le fast-food de la veille et les effets ont commencé à se faire sentir, en plus des nausées déjà persistantes ainsi que les effets des truffes. La chambre me paraissait comme étant étrangère, comme si des personnes venaient d’y disposer les meubles ou comme si je venais de débarquer pour la première fois. Je re-découvrais la chambre d’hôtel. Elle était devenu un être part entière, ses formes et sa géométrie bougeaient, et même si ce n’était pas clairement perceptible, je sentais que quelque chose était anormal. Ses mouvements étaient comparables à une respiration, comme si elle vivait parmi nous. Chaque objet de la chambre quel qu’il soit me menait vers un scénario sur l’histoire de cet objet que j’écrivais dans ma tête. Je me souviens d’avoir fixé la grille d’aération, et je trouvais que sa forme et son utilisation étaient brillantes. Malgré ces quelques effets qui ne furent pas désagréables, je ne me sentais toujours pas mieux car les nausées persistaient. Je ne rêvais que d’une seule chose: tripper dans ce grand lit dans lequel était mon copain et me poser à côté de lui. Je savais que la place dans ce grand lit était l’endroit auquel j’appartenais. C’est comme si le lit m’appelait mais les nausées et les maux de ventre étaient tellement importants que j’avais l’impression que je devais m’excuser auprès de lui et décliner son invitation pour revenir plus tard.

Néanmoins, je restais debout au même endroit dans la pièce, à savoir, au pied du lit à côté de la porte de la salle de bains. J’avais la sensation qu’un effort incommensurable séparait l’endroit où j’étais et ma place dans ce lit, un effort qui inclurait encore plus de douleurs au ventre et de nausées… J’avais justement l’impression de limiter les nausées en restait près de la salle de bains. C’était quelque part rassurant, mais ça me rappelait en même temps quelques minutes très désagréables que j’y ai passées un peu plus tôt. La vision de la salle de bains lorsque je ne la regardais pas était comme traumatique pour moi. J’ai quand même décidé de m’y rendre car les crampes causées par la malbouffe de la veille devenaient très difficilement supportables. J’ai décidé de prendre la poubelle métallique de la chambre avec moi, au cas où les nausées seraient vraiment trop importantes au moment où je suis assise sur les chiottes… C’est pas très glamour, mais c’est bien ce qu’il s’est passé.

Il ne fallait pas que je pense aux truffes. Leur existence même, mon souvenir de leur goût immonde laissé en bouche, leur image dans ma tête et chacune des lettres du mot «truffes» alignée l’une à la suite de l’autre me redonnait puissamment envie de vomir, pendant que j’étais en train d’avoir la diarrhée… Je n’avais jamais ressenti un dégoût pareil de toute ma vie. Tout ce qui se rapprochait de près ou de loin à des psychédéliques ou à toute sorte de champignons ou truffes hallucinogènes quels qu’ils soient me donnait le tournis, alors que c’est des choses que j’ai voulu expérimenter depuis un long moment. J’avais l’impression que la salle de bains changeait de forme et devenait immense, comme si tous les objets autour de moi devenaient inatteignables. Ce n’était pas tellement des déformations visuelles, mais purement des sensations internes de bad, je dirais. Le souvenir du goût et de l’odeur des truffes me donnait encore plus envie de vomir que le fait de me revoir en train de vomir en lui-même. C’était extrêmement étrange. Quand j’étais assise aux toilettes, j’avais l’impression d’être enfermée dans une espèce de prison où personne ne pouvais m’entendre si je criais, j’étais persuadée que j’allais garder ce trauma et ce goût en bouche toute ma vie. Je m’étais même dit à un moment donné que la seule solution de stopper cet enfer c’était d’appeler les urgences, ce que songeait à faire mais que je n’ai pas fait. J’ai repensé au moment dans la journée où j’avais vu des trip killers dans un Smartshop du centre-ville, que j’ai regretté amèrement de ne pas à avoir acheté lorsqu’on y était.

Au moment où j’ai décidé d’enfin me lever des toilettes et de m’émanciper de ma prison qui m’inspirait la descente en enfer, je me suis répétée en boucle dans la tête sans aucune raison les mots «bad trip aux truffes» ce qui ré-accentuait les nausées déjà bien présentes. Je me suis répétée ces mots en me disant qu’ils sonnaient bien ensemble, que c’était ce que j’étais en train de vivre sur le moment, ce qui me re-dégoûtait d’une manière qu’il est très compliqué de décrire à des personnes qui n’ont jamais ressenti de nausées dues aux truffes… Le bad amplifiait les nausées, et les nausées amplifiaient le bad.

Je suis retournée me doucher encore une fois et je me suis ensuite dirigée vers la chambre. Mon copain ne sentait pas encore les effets des truffes et ressentait de légères nausées. Dès qu’il me faisait comprendre qu’il ne se sentait pas bien et qu’il était nauséeux, je partais directement en bad qui se manifestait par un stress intense et immédiat. Je ne suis pas spécialement une personne émétophobe, mais je savais que le simple fait qu’il puisse potentiellement vomir pour la même raison que moi me re-provoquerait des nausées et donc, que le goût des truffes repasserait par ma gorge au cas où je re-vomirais une seconde fois. J’ai même failli lui demander à plusieurs reprises de vomir à l’extérieur de la chambre si besoin tellement j’avais peur de retourner en bad…

À un moment donné, je me suis regardée dans le miroir en face de notre lit et je ne reconnaissais difficilement mon visage, comme si je m’attendais à voir mon reflet dans la glace mais d’une manière différente. Je ne m’attendais pas à voir cette expression. J’ai habituellement la peau très pâle et les cheveux brun très foncés, ils m’ont paru d’un noir extrêmement sombre et mon visage était jaune et grisâtre. Ma bouche était entre-ouverte et mes yeux à moitié fermés. J’avais l’impression de regarder une morte qu’on venait de sortir de son cercueil et qu’on avait ramené à la vie.

Je me suis allongée près de mon copain pour regarder la télé avec lui, m’assurant régulièrement que son estomac se porte bien. Peu à peu, mes nausées se sont atténuées et enfin, je n’avais plus peur de m’asseoir ou de m’allonger. J’avais l’impression d’avoir retrouvé ma place, l’endroit auquel j’appartenais, à savoir l’autre moitié du lit, qui d’ailleurs, me paraissait immense, sans fin. Il était environ 21 heures, donc trois heures après ma prise, trois heures qui m’ont parues absolument interminables. Mon amie était sortie faire un tour et mon copain et moi étions allongés l’un à côté de l’autre. Les couleurs de la pièce étaient saturées et la télévision nous éblouissait. On a trouvé une sorte de passion et d’intérêt important pour toutes les émissions et toutes chaînes qui défilaient, qu’elles soient en français ou non. Les personnes qui apparaissaient à la télé me semblaient difformes, comme caricaturées, je pouvais trouver une personne extrêmement laide très rapidement selon un trait de visage particulier et c’était assez troublant. Nos pensées défilent à un rythme démesuré, on peut penser à la mort une seconde, puis contempler la beauté du plafond la seconde suivante en oubliant ce à quoi on vient de penser juste avant. Nous avons essayé de regarder des vidéos YouTube sur le portable de mon copain, et il a fermé l’onglet de la vidéo immédiatement après l’introduction, donc au final nous n’avons rien regardé. Je m’en suis rendue compte et ça ma fait rire, mais je n’ai pas l’impression que ça a été son cas. On a essayé d’en regarder d’autres, et les écrans étaient extrêmement lumineux. Les pixels éteints étaient d’un noir profond, et les couleurs étaient tout autant saturées que sur la télévision. Lorsque que nous réussissions à choisir une vidéo parmi les dizaines qui défilaient dans la timeline avec leur miniature lumineuse, je n’arrivais pas à comprendre immédiatement les blagues racontées, je les comprenais après quelques secondes de décalage, comme si j’assistais à une énorme private joke entre potes et que je venais de débarquer.

Lorsque je regardais mon téléphone, les applications de mon écran d’accueil tremblotaient et n’avaient plus aucun sens, je ne savais plus exactement quel était le but d’Instagram ou de Twitter. Je ne connaissais plus leur utilité, et les publications que je regardais n’avaient plus aucun sens, je ne comprenais plus les blagues ou les intentions des posts que je voyais. La soirée a continué, et les effets ont diminué vers 22 h 30, pour ensuite complètement disparaître vers 23 h.

Je me suis endormie vers 1 h du matin, les effets avaient disparu depuis quelques heures, et j‘ai pu m’endormir sans trop de difficulté. J’écris ce trip report le lendemain de la prise, et à l’heure actuelle, j’ai l’impression de sentir une odeur de truffe absolument dans tous les coins de rues d’Amsterdam, ce qui me répugne encore profondément.

Je n’ai aucune idée de la quantité de psilocybine que mon corps a assimilée. Les effets étaient présents, mais mon copain a eu beaucoup plus que moi. Pour rappel, il a consommé environ 7-8 gr. J’ai pour théorie que mon corps n’a assimilé que 3 ou 4 gr avant mon intoxication, car le trip était faible, mais il était là, ainsi que le bad aux toilettes des premières heures qui était relativement puissant.

J’ai été trop gourmande avec les truffes, étant persuadée que mon corps accepterait cette quantité d’un coup et que tout se passerait bien. Mon ventre n’était pas complètement vide, la quantité était importante pour un premier trip et je l’ai vraiment senti passer. Je sais que je testerai encore des drogues psychédéliques car cela me fascine énormément, mais les truffes ne sont définitivement pas faites pour moi… Comme vous l’avez compris, j’ai rarement ressenti un dégoût pareil pour un aliment, si on peut appeler ça comme ça. Je pensais les truffes inoffensives, et je me suis bien trompée sur leur compte

Respectez les truffes et elles vous respecteront, sinon elles vous le feront payer. :)


Marine, "v3rgogne"
 

amicale_du_pc

Holofractale de l'hypervérité
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Bjr v3rgogne
en résumé c'est Bof... c'est ça?

de mon expérience j'ai peu consommé des champis et encore moins de fois des truffes (plus difficiles à se procurer) mais tjs des morceaux séchés. Je n'ai jamais eu de problèmes de vomi que je ne capte pas en fait...
 

v3rgogne

Matrice périnatale
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Hello! Oui ça a été particulièrement désagréable car le goût m’est énormément resté sur l’estomac. De plus elles étaient fraîches, donc peut être que le fait de les consommer séchées est plus supportable ? Surtout que le dosage est différent :))

amicale_du_pc a dit:
Bjr v3rgogne
en résumé c'est Bof... c'est ça?

de mon expérience j'ai peu consommé des champis et encore moins de fois des truffes (plus difficiles à se procurer) mais tjs des morceaux séchés. Je n'ai jamais eu de problèmes de vomi que je ne capte pas en fait...
 

amicale_du_pc

Holofractale de l'hypervérité
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Méditation: au plus de moisissures sur un camembert ou dans le roquefort, au meilleur c'est pck il s'agit de "bonne" moisissures et bactéries inhérentes à la pénicilline. Il s'agit d'un antibiotique !!

Mais ça bouge !! On voit ça au microscope...

Avec les champignons on apprend que les bactéries pathogènes prolifèrent en mesure au pH... càd de son hydratation (puisque l'Hydrogène entre dans la composition de l'eau). Cela signifie des champignons frais, comme de vrais capteurs d'agents pathogènes. Des bactéries à l'origine des réflexes automatiques de l'appareil digestif qui chasse ce bouillon de culture  par des spasmes amenant à rendre tout vers l'extérieur (vomir). Je ne dis pas que c'est la seule cause mais je crois que cela contribue fort à provoquer des spasmes de l'estomac... Des champignons et truffes séchées sont plus stériles et ne sont pas un réceptacle à bactéries et agents pathogènes...

C'est une méditation qui ne recevra aucun démenti scientifique si elle n'est pas fausse j'espère... Autrement on peut tjs corriger mais je voudrais voir le point de vue scientifique vis à vis de cette déduction intuitive... Je suis prêt à toutes les remontrances...


au sujet de l'ingestion et pour les cas difficiles il y a peut-être la gastronomie?

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Ajoutez des champignons magiques à la nourriture et vous découvrirez un tout nouveau monde d’expériences, non seulement de trips psychédéliques, mais aussi de découvertes culinaires. Fondamentalement, l’incorporation de champignons dans les aliments contribuera à éliminer à la fois au goût et la sensation de nausée dont souffrent la plupart des utilisateurs.

Étant donné que les champignons magiques peuvent être ajoutés à pratiquement n’importe quel aliment, la préférence du consommateur aura la priorité. Si, toutefois, vous êtes à court d’idées, les suggestions suivantes peuvent être une excellente façon de savourer des comestibles.

Le truc avec la recette choisie est d’éviter d’ajouter les champignons à n’importe quelle étape de cuisson. La psilocybine, le composant essentiel des champignons qui vous fait planer, commence à se décomposer sous une chaleur excessive. Faire cuire des champignons sur une pizza, par exemple, entraînerait une expérience de qualité inférieure. Essayez plutôt de les ajouter aux sauces ou aux garnitures après la cuisson.

Un bon exemple serait d’ajouter des champignons à du pesto ou à du miel frais, qui peuvent être dégustés froids. Les truffes au chocolat magique sont un favori populaire. Plus on utilise de champignons, plus le voyage est fort et long ; alors, encore une fois, expérimentez avec le dosage jusqu’à ce que vous trouviez ce qui vous convient.


Le Lemon tek est l’enfant turbulent du dosage de champignons magiques. Non seulement il est rapide et facile à prendre, mais les utilisateurs affirment que la nature acide du citron décompose la psilocybine, ce qui intensifie le trip. Bien que le sujet d’un voyage intensifié fasse l’objet d’un vif débat, beaucoup s’accordent à dire que l’utilisation de cette méthode accélère le trip.

En gardant cela à l’esprit, nous recommandons toujours de commencer avec la moitié de la quantité de champignons que vous auriez normalement prise. La consommation est simple. Les champignons magiques moulus sont mélangés à du jus de citron dans un verre de votre choix. Laissez reposer, ajoutez de l’eau, et avalez-le en une seule fois. On vous aura prévenu : c’est le sale gosse de la consommation de champignons.

Le jus de citron vert peut également être utilisé à des fins similaires. Le grand avantage d’utiliser l’un ou l’autre type de jus est l’élimination de ce goût écœurant de champignon. Si vous aimez le jus de citron ou le citron vert, le Lemon tek est une méthode de consommation rapide et efficace.
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PSYCHOCRACK

le gros con avec une chaussure noire
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au plus de moisissures sur un camembert ou dans le roquefort, au meilleur c'est pck il s'agit de "bonne" moisissures et bactéries inhérentes à la pénicilline. Il s'agit d'un antibiotique !!

Mais ça bouge !! On voit ça au microscope...
 
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