J'ai l'impression que ce serait plus intéressant si tu avais les résultats d'une première analyse pour comparaison, car maintenant, si on trouvait un produit de dégradation, rien ne prouverait qu'il n'était pas là au départ.
Mais si on ne trouvait rien de particulier, ce serait bon à savoir !
Donc si tu n'as rien de mieux à en faire, je dis oui !
BAWI, mais DE MON TEMPS y'avait pas toutes les facilités d'analyse qu'il y a aujourd'hui ma petite dame ! Si le shop était bien noté sur safeorscam on croyait les taux de pureté annoncés (99% ou 99,9%).
A tout le moins, si le résultat obtenu est celui attendu et le plus probable (pas d'autre composé psychoactif répertorié et détecté) on saura que c'est bon de ce point de vue-là. Dans le cas contraire, ça signifiera juste que c'est une piste à creuser et qu'il faudra se donner rdv dans 12 ans (ou qu'une bonne âme ait aussi du stock à sacrifier).
Concrètement, faut envoyer quelle quantité en offrande aux dieux de la RDR et de la curiosité psychonautique ? Et comment faire dans le cas de ma solution hydroalcoolique ?
@Nymphis c'est vrai que a priori avec la MDMA t'es bon, l'avantage c'est qu'on aura droit au quanti (même si malheureusement dans le cas d'un taz on ne peut même pas considérer l'hypothèse haute d'une pureté de 100%, qui permet de donner une borne maximale à la vitesse de dégradation). Quand j'étais plus jeune je voulais enterrer des phényléthylamines dans des contenants hermétiques avec du dessicant pour que les générations futures puissent tripper (j'avais entendu quelqu'un dire que si des 2C-x avaient été mises dans les sarcophages des pyramides ils seraient toujours actifs et l'idée me fascinait passablement).