Age : 22ans
Sexe : féminin
Taille : 1m72
Poids : 63 kg
Produit : Tuxium
Quantité : 360mg
Mardi soir, 1h30 du mat, je suis chez un pote, qui a l'habitude de prendre du DXM et à doses conséquentes (maxi 39 cachetons pour un poids de 80kg environ) et ce dernier me propose d'aller à la pharmacie de nuit chercher du Tuxium. Un peu réticente (c'est pas qu'il neige quoi mais si -__-), on va chercher deux boites blablabla (la pharmacienne a du kiffer à 2h du mat je pense) et on revient à l'appart. J'avais déjà essayer le tuxium une fois (avec 5 cachetons je crois) il y a quelques semaines donc pas de risques avec les allergies tout ça tout ça... Ca ne m'avait strictement rien fait (normal j'imagine?).
2h du mat, j'avale les cachetons (je vous passe le "oh c'est horrible ca se coince dans la gorge nianiania"). J'avais deja vu mon pote sous Tuxium, j'avais lu pas mal de TR sur ce truc ici, je m'étais renseignée sur l'histoire des paliers et des effets etc... Donc en faite j'étais assez zen, selon mon poids, j'aurais du atteindre un palier 2 donc rien de méchant (un mélange canabis/alcool certains diront? ). On avait du boire un ou deux verres de vodka avant, rien de bien grandiose. Et en attendant que le DXM fasse effet, on a fumé deux joints. Honnêtement j'ai pris ça en pensant que ca n'allait rien me faire de spécial, je me suis dit que je serais un peu shootée rien de plus... Je pense que pour le coup, j'ai un peu pris le truc à la légère...
Bref, ca commence un peu à monter, il est 3h du mat, on écoute de la musique (du rock, du métal...), je suis en train de chanter sur le canapé, lui en train de jouer de la guitare, tout va bien, on est happy et on rigole. Et la en faite c'est la dernière chose dont je me souvienne avant que ca "parte en live". Trou noir complet d'une vingtaine de minutes, j'ai beau cherché impossible de me souvenir de quoi que ce soit. J'ai su après que mon pote avait changé la musique pour mettre de l'electro et avait éteint les lumières, avait passé un peu de temps sur le PC et avait fini par se rasseoir. Je me suis pas évanouie ni rien, j'ai juste été "déconnectée" un moment.
Et le moment où j'ai repris "conscience" (si je peux appeler ça comme ça), je me sens trop bizarre, pas bien du tout, je commence à paniquer complètement, impossible de savoir pourquoi bien sur puisque j'ai été déconnectée juste avant, je me lève du canapé en lui disant que ca ne va pas du tout, et la une putain d'horrible brulure sur tout le corps, en particulier visage, bouche, ventre, poitrine, une brulure glacée insupportable, j'ai l'impression de devenir folle. Je lui dis, complètement paniquée "Non mais c'est quoi ce délire la? Ça s'arrête quand? Faut que ca s'arrête, je peux pas rester comme ça!!" Il est environ 4h du matin.
Lui il reste calme, il me dit que c'est normal, de ne pas m'inquiéter, il allume toutes les lumières, il ouvre la fenêtre, il met de la musique "happy", il me prend dans ses bras, me donne un verre de lait et un cachet de vitamine C en me disant que ca va contrer le truc (bon le lendemain en faite j'ai su qu'il m'avait fait croire ça pour me calmer, mais ca a bien marché pendant 5minutes). Au bout de 10 minutes la brulure s'estompe, je commence à me calmer, je m'assoies sur le canapé et je commence à avoir des démangeaisons dans les cheveux. A ce moment la je suis morte de rire, je lui dis que je sais que c'est le DXM qui me gratte, et que donc j'avais pris la décision de ne pas me gratter et un point c'est tout. Le fou rire n'a pas duré longtemps, puisque deux minutes après la brulure revient de plus belle, avec la panique parce que je ne comprends pas pourquoi ca me brule autant (honnêtement une des pires douleurs que j'ai jamais ressentie). Je me ré-enfouis dans ses bras en attendant que ça passe, il me dit que c'est normal, d'essayer de caser la douleur dans un coin de ma tête, et que comme ça, ça va passer. J'ai eu beau essayer de toutes mes forces, limite j'en étais à vouloir m'auto persuader que la brulure était agréable, bahhhh je n'y suis pas arrivée.
Bref, on décide d'aller se coucher, car je me dis que si je m'endors au moins ca ne me brulera plus. J'ai du tenir une minute à tout casser dans le noir et dans le silence. Re attaque de panique, je lui hurle d'allumer la lumière. On se relève, et vazy que je t'allume tout, que je ré-ouvre la fenêtre. On reste à peine 5minutes sur le lit, il me dit qu'il culpabilise de m'avoir fait essayer ça, moi je suis trop désolée, je lui dis que c'est pas de sa faute, qu'il pouvait pas prévoir, mais la panique est trop forte, je me lève, je suis en train de devenir complètement dingue, je veux que ca s'arrête, je veux vomir (j'ai des vagues de nausées un truc de fou), je veux m'enfuir, bien sur j'arrive pas à marcher, je m'agrippe au mur, j'arrive à la salle de bain, je vois ma tête dans un miroir, je flippe encore plus lol. Je décide finalement que vomir n'est pas une bonne idée, que de toute façon c'est trop tard donc je reste agrippée à lui pour tenir debout dans le couloir, et je refuse de bouger, parce que je me dis que si je bouge je vais redevenir folle, alors on reste plus de 45minutes comme ça. Il est défoncé lui aussi, alors il commence à me sortir des trucs trop chelous, je comprends rien du tout. (Les vagues de brulure horribles sont toujours la et ca dure, ca dure, ca dure -___-). Ca se calme, alors retour sur le canapé, j'essaie de fumer une clope (mentholée ahahah comme cette saloperie de Tuxium qui me glace deja la gorge avec la menthe poivrée), je tire trois lattes et la brulure revient de plus belle. Donc rebelotte, je ferme les yeux blablabla. (Quelle petite nature celle la
). Il veut aller aux toilettes, sauf que je panique dès que je ne suis plus en contact physique avec lui, il me calle devant un dessin animé, j'ai l'impression qu'il y reste trois heures, j'essaie de me concentrer sur le truc mais je ne comprends rien du tout, et ca brule toujours. Il revient et me met l'Age de glace sur la télé (ai-je précisé que ma brulure était glacée?? L'age de glace, la bonne idée du siècle quoi 
). Je m'allonge, je ferme les yeux et je serre les dents pour supporter la douleur. Impossible de regarder ce putain de dessin animé, je sais pas pourquoi, mais ca me fait stresser. Je lutte de toutes mes forces, je me concentre pour ne pas devenir dingue, il essaie de me parler je lui dis de se taire, que sinon j'arriverais pas à me concentrer. Pendant 1h, la seule image rassurante que je trouve dans ma tête, c'est le fait que dans quelques heures on prendra un petit déjeuner. Et l'image du petit déjeuner m'obsède, allez savoir pourquoi. Je vois la table, le café, les croissants et ca me fait du bien Oo. La brulure est toujours aussi insupportable, toujours par grandes vagues qui (j'en ai eu l'impression) me déchirent le corps, mais j'arrive à la faire partir progressivement, petit bout par petit bout. Jusqu'au moment où j'ai eu l'impression que mon corps se séparait en deux, la partie droite étant en train de cramer, et la partie gauche se sentant trop bien. Je me sens disloquée, mais en faite j'adore ça.
On finit par aller se coucher, il est 6h30-7h du mat cette fois il met de la musique dans la chambre, je me calme enfin, les vagues de brulure sont toujours la, mais j'ai fini par m'y habituer, je serre les dents et je les fais partir. J'ai envie de vomir encore, et toujours. Et la dernière heure de "défonce" ca va mieux, je suis un peu traumatisée par ce qui vient de m'arriver, autant vous dire que je n'ai plus de machoire, on discute, je me sens mieux, on est sur la même longueur d'onde. J'ai bien aimé cette dernière heure, enfin le calme après la tempête. Bon par contre pas moyen de dormir avant midi, une envie de gerber monumentale et le lendemain, état méga gueule de bois.
Je ne sais pas si vous aurez eu le courage de lire ça jusqu'au bout, certains penseront surement que je fais "beaucoup de bruit pour pas grand chose" vu la petitesse de la dose que j'ai pris (360mg), mais bon je vous raconte la nuit que j'ai vécu et honnêtement je n'exagère pas. Je ne veux faire peur à personne, j'ai lu pas mal de TR sur le DXM et la plupart de ceux qui postent ont l'air de surkiffer (mon pote aussi d'ailleurs, c'est ce qu'il préfère). Mais en faite je ne comprends pas trop pourquoi j'ai réagi comme ça? Pourquoi je ne me rappelle pas des 20minutes qui ont précédé cette panique? Des brulures et une impossibilité de coordonner mes mouvements à un palier 2 Oo je comprends pas bien. Je ne regrette absolument pas d'en avoir pris, le lendemain ce qui me faisait culpabiliser c'était d'avoir gâché le trip de mon pote (mais apparemment non lol). Alors est-ce que je ne suis tout simplement pas faite pour le DXM ? Je ne pense vraiment pas retenter l'expérience, ca m'a suffit, j'ai pris une bonne claque dans la gueule, c'est bien fait ahah.
Donc si quelqu'un a une explication ou a deja vécu la même chose ?
Si j'ai mal réagi à une telle dose de DXM, y'a-t-il des drogues que je peux rayer de ma liste niveau test ?
Dernière question : un de mes meilleurs potes a commandé du 2C-i, et je pense essayer avec lui et deux autres bons potes, ca me tente bien, j'ai envie de me marrer. (avec un sitter, dans un appartement où je passe ma vie et dans lequel je me sens super bien, à une dose assez légère (10mg, sachant que c'est avec cette petite bande que j'ai testé la salvia et la methylone et qu'on s'est bien marrés.)) Est-ce ça aussi je risque de ne pas supporter (je pense qu'on ne peut jamais réellement savoir mais bon...)?
Voili voilou, merci pour votre attention en tout cas.
Sexe : féminin
Taille : 1m72
Poids : 63 kg
Produit : Tuxium
Quantité : 360mg
Mardi soir, 1h30 du mat, je suis chez un pote, qui a l'habitude de prendre du DXM et à doses conséquentes (maxi 39 cachetons pour un poids de 80kg environ) et ce dernier me propose d'aller à la pharmacie de nuit chercher du Tuxium. Un peu réticente (c'est pas qu'il neige quoi mais si -__-), on va chercher deux boites blablabla (la pharmacienne a du kiffer à 2h du mat je pense) et on revient à l'appart. J'avais déjà essayer le tuxium une fois (avec 5 cachetons je crois) il y a quelques semaines donc pas de risques avec les allergies tout ça tout ça... Ca ne m'avait strictement rien fait (normal j'imagine?).
2h du mat, j'avale les cachetons (je vous passe le "oh c'est horrible ca se coince dans la gorge nianiania"). J'avais deja vu mon pote sous Tuxium, j'avais lu pas mal de TR sur ce truc ici, je m'étais renseignée sur l'histoire des paliers et des effets etc... Donc en faite j'étais assez zen, selon mon poids, j'aurais du atteindre un palier 2 donc rien de méchant (un mélange canabis/alcool certains diront? ). On avait du boire un ou deux verres de vodka avant, rien de bien grandiose. Et en attendant que le DXM fasse effet, on a fumé deux joints. Honnêtement j'ai pris ça en pensant que ca n'allait rien me faire de spécial, je me suis dit que je serais un peu shootée rien de plus... Je pense que pour le coup, j'ai un peu pris le truc à la légère...
Bref, ca commence un peu à monter, il est 3h du mat, on écoute de la musique (du rock, du métal...), je suis en train de chanter sur le canapé, lui en train de jouer de la guitare, tout va bien, on est happy et on rigole. Et la en faite c'est la dernière chose dont je me souvienne avant que ca "parte en live". Trou noir complet d'une vingtaine de minutes, j'ai beau cherché impossible de me souvenir de quoi que ce soit. J'ai su après que mon pote avait changé la musique pour mettre de l'electro et avait éteint les lumières, avait passé un peu de temps sur le PC et avait fini par se rasseoir. Je me suis pas évanouie ni rien, j'ai juste été "déconnectée" un moment.
Et le moment où j'ai repris "conscience" (si je peux appeler ça comme ça), je me sens trop bizarre, pas bien du tout, je commence à paniquer complètement, impossible de savoir pourquoi bien sur puisque j'ai été déconnectée juste avant, je me lève du canapé en lui disant que ca ne va pas du tout, et la une putain d'horrible brulure sur tout le corps, en particulier visage, bouche, ventre, poitrine, une brulure glacée insupportable, j'ai l'impression de devenir folle. Je lui dis, complètement paniquée "Non mais c'est quoi ce délire la? Ça s'arrête quand? Faut que ca s'arrête, je peux pas rester comme ça!!" Il est environ 4h du matin.
Lui il reste calme, il me dit que c'est normal, de ne pas m'inquiéter, il allume toutes les lumières, il ouvre la fenêtre, il met de la musique "happy", il me prend dans ses bras, me donne un verre de lait et un cachet de vitamine C en me disant que ca va contrer le truc (bon le lendemain en faite j'ai su qu'il m'avait fait croire ça pour me calmer, mais ca a bien marché pendant 5minutes). Au bout de 10 minutes la brulure s'estompe, je commence à me calmer, je m'assoies sur le canapé et je commence à avoir des démangeaisons dans les cheveux. A ce moment la je suis morte de rire, je lui dis que je sais que c'est le DXM qui me gratte, et que donc j'avais pris la décision de ne pas me gratter et un point c'est tout. Le fou rire n'a pas duré longtemps, puisque deux minutes après la brulure revient de plus belle, avec la panique parce que je ne comprends pas pourquoi ca me brule autant (honnêtement une des pires douleurs que j'ai jamais ressentie). Je me ré-enfouis dans ses bras en attendant que ça passe, il me dit que c'est normal, d'essayer de caser la douleur dans un coin de ma tête, et que comme ça, ça va passer. J'ai eu beau essayer de toutes mes forces, limite j'en étais à vouloir m'auto persuader que la brulure était agréable, bahhhh je n'y suis pas arrivée.
Bref, on décide d'aller se coucher, car je me dis que si je m'endors au moins ca ne me brulera plus. J'ai du tenir une minute à tout casser dans le noir et dans le silence. Re attaque de panique, je lui hurle d'allumer la lumière. On se relève, et vazy que je t'allume tout, que je ré-ouvre la fenêtre. On reste à peine 5minutes sur le lit, il me dit qu'il culpabilise de m'avoir fait essayer ça, moi je suis trop désolée, je lui dis que c'est pas de sa faute, qu'il pouvait pas prévoir, mais la panique est trop forte, je me lève, je suis en train de devenir complètement dingue, je veux que ca s'arrête, je veux vomir (j'ai des vagues de nausées un truc de fou), je veux m'enfuir, bien sur j'arrive pas à marcher, je m'agrippe au mur, j'arrive à la salle de bain, je vois ma tête dans un miroir, je flippe encore plus lol. Je décide finalement que vomir n'est pas une bonne idée, que de toute façon c'est trop tard donc je reste agrippée à lui pour tenir debout dans le couloir, et je refuse de bouger, parce que je me dis que si je bouge je vais redevenir folle, alors on reste plus de 45minutes comme ça. Il est défoncé lui aussi, alors il commence à me sortir des trucs trop chelous, je comprends rien du tout. (Les vagues de brulure horribles sont toujours la et ca dure, ca dure, ca dure -___-). Ca se calme, alors retour sur le canapé, j'essaie de fumer une clope (mentholée ahahah comme cette saloperie de Tuxium qui me glace deja la gorge avec la menthe poivrée), je tire trois lattes et la brulure revient de plus belle. Donc rebelotte, je ferme les yeux blablabla. (Quelle petite nature celle la
). Il veut aller aux toilettes, sauf que je panique dès que je ne suis plus en contact physique avec lui, il me calle devant un dessin animé, j'ai l'impression qu'il y reste trois heures, j'essaie de me concentrer sur le truc mais je ne comprends rien du tout, et ca brule toujours. Il revient et me met l'Age de glace sur la télé (ai-je précisé que ma brulure était glacée?? L'age de glace, la bonne idée du siècle quoi ). Je m'allonge, je ferme les yeux et je serre les dents pour supporter la douleur. Impossible de regarder ce putain de dessin animé, je sais pas pourquoi, mais ca me fait stresser. Je lutte de toutes mes forces, je me concentre pour ne pas devenir dingue, il essaie de me parler je lui dis de se taire, que sinon j'arriverais pas à me concentrer. Pendant 1h, la seule image rassurante que je trouve dans ma tête, c'est le fait que dans quelques heures on prendra un petit déjeuner. Et l'image du petit déjeuner m'obsède, allez savoir pourquoi. Je vois la table, le café, les croissants et ca me fait du bien Oo. La brulure est toujours aussi insupportable, toujours par grandes vagues qui (j'en ai eu l'impression) me déchirent le corps, mais j'arrive à la faire partir progressivement, petit bout par petit bout. Jusqu'au moment où j'ai eu l'impression que mon corps se séparait en deux, la partie droite étant en train de cramer, et la partie gauche se sentant trop bien. Je me sens disloquée, mais en faite j'adore ça. On finit par aller se coucher, il est 6h30-7h du mat cette fois il met de la musique dans la chambre, je me calme enfin, les vagues de brulure sont toujours la, mais j'ai fini par m'y habituer, je serre les dents et je les fais partir. J'ai envie de vomir encore, et toujours. Et la dernière heure de "défonce" ca va mieux, je suis un peu traumatisée par ce qui vient de m'arriver, autant vous dire que je n'ai plus de machoire, on discute, je me sens mieux, on est sur la même longueur d'onde. J'ai bien aimé cette dernière heure, enfin le calme après la tempête. Bon par contre pas moyen de dormir avant midi, une envie de gerber monumentale et le lendemain, état méga gueule de bois.
Je ne sais pas si vous aurez eu le courage de lire ça jusqu'au bout, certains penseront surement que je fais "beaucoup de bruit pour pas grand chose" vu la petitesse de la dose que j'ai pris (360mg), mais bon je vous raconte la nuit que j'ai vécu et honnêtement je n'exagère pas. Je ne veux faire peur à personne, j'ai lu pas mal de TR sur le DXM et la plupart de ceux qui postent ont l'air de surkiffer (mon pote aussi d'ailleurs, c'est ce qu'il préfère). Mais en faite je ne comprends pas trop pourquoi j'ai réagi comme ça? Pourquoi je ne me rappelle pas des 20minutes qui ont précédé cette panique? Des brulures et une impossibilité de coordonner mes mouvements à un palier 2 Oo je comprends pas bien. Je ne regrette absolument pas d'en avoir pris, le lendemain ce qui me faisait culpabiliser c'était d'avoir gâché le trip de mon pote (mais apparemment non lol). Alors est-ce que je ne suis tout simplement pas faite pour le DXM ? Je ne pense vraiment pas retenter l'expérience, ca m'a suffit, j'ai pris une bonne claque dans la gueule, c'est bien fait ahah.
Donc si quelqu'un a une explication ou a deja vécu la même chose ?
Si j'ai mal réagi à une telle dose de DXM, y'a-t-il des drogues que je peux rayer de ma liste niveau test ?
Dernière question : un de mes meilleurs potes a commandé du 2C-i, et je pense essayer avec lui et deux autres bons potes, ca me tente bien, j'ai envie de me marrer. (avec un sitter, dans un appartement où je passe ma vie et dans lequel je me sens super bien, à une dose assez légère (10mg, sachant que c'est avec cette petite bande que j'ai testé la salvia et la methylone et qu'on s'est bien marrés.)) Est-ce ça aussi je risque de ne pas supporter (je pense qu'on ne peut jamais réellement savoir mais bon...)?
Voili voilou, merci pour votre attention en tout cas.
Alors voilà, sinon le 2C-I/E à ce qui parait a l'air bien ! 
