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[Sujet de la semaine] Cannabis, Weed, THC

AlienSpacer

Matrice périnatale
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6 Déc 2017
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Hello

Pour ma part, j'ai fumé il y a un moment.
Durant cette période j'ai eu de bons moments et de moins bons.
Avec le recul, je me suis rendu compte que l'état d'esprit, la force mentale et la positivité joue des rôles essentiels.

Aujourd'hui je pense reprendre mais en version soft par huile cbd... pour calmer son intérieur. Je crois aux vertus bienveillantes de ses plantes que la nature nous donne faut juste les comprendre et se savoir. :)
 

Tridimensionnel

Holofractale de l'hypervérité
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27 Avr 2016
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Formicidae

Neurotransmetteur
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23 Mar 2016
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yo! topic très interessant et inspirant pour la plupart... je vais donc essayer de m'y coltiner:
consommation actuelle: nulle, voir occasionnelle, fume avec un pote, j'ai pas de sous. tout de suite l'envie se voit réduite drastiquement.
anciennement: une vingtaine de joints dans des journées qui duraient plus de 30h des fois, au pire du pire 2 jours d'affilés, à jouer, tout seul comme un gros geek affamé d'expérience. Période que je regrette assez amèrement car je ratais mes cours à ce moment là, pour un bonheur, discutable. je consommais allègrement de anxiolytiques au cours de cette dernière année de liberté, se resta, puis Xanax, en passant par l'imovane, noctamide, havlane (iv: potentiel de dangerosité ++++++, jvais pas non plus m'étaler sur les points positif, mais tchatcher devient, amusant, aborder des inconnus pour parler de on carnet de dessin, banal), Xanax, valium, temesta, bon BREF, j'abusais clairement de la sécu, au point que mon médecin me passe en abus d'anxiolytiques sur ma sécu.
je passais mes journées à larver devant overwatch en espérant gagner du niveau

début "comme tout le monde" , collège, lycée, entre amis proches, le mercredi midi, et puis c'est devenu plus régulier avec l'argent de poche, puis désastreux quand j'ai commencé à voler à mes parents, air sec, MD puis LSA pendant l'année de prépa. c'est lorsque j'ai obtenu mon indépendance que ma consommation à commencer à atteindre des plafonds. suis jamais trop tombé accro aux douilles, par chance, la fouille de mes parents rangeait mon appart. cependant je dois reconnaitre que couler le thc m'a entrainé à couler des AD, puis de l'héroïne, mais bon, je me retrouvai plus souvent a la fumer normalement, ou enfin, voilà. ça dépend des jours.

aujourd'hui je retrouve du plaisir à ne pas fumer, je comprends mieux pourquoi je préfère avoir la flemme quand je fume, je m'imagine refumer un jour c'est certain. la vapote jamais essayé.
Cependant j'ai pu tester les tisanes de sa-tea-va de Caen, ça m'a bien plu, pas d'assomage de crâne, pas de parano, du bon sucre avec du lait, et une odeur ma foi: exquise, pour un prix, élevé certes, mais justifié vu la rareté et la qualité du produit

pour exprimer ma meilleure expérience, je dirai, en combo avec le dxm ou l'héroïne, en solo.
n'hésitez pas à me signaler si les listes ça ne passe pas.
 

Yolo06

Matrice périnatale
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26 Fev 2019
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Moi je suis un consommateur de weed depuis maintenant 5 ans et j'ai du mal à m'en défaire, pas facile d'allier plaisir et abstinence...

Ça ne me gêne pas réellement dans la vie de tout les jours mais si je pouvez économisez l'argent que je met dans la weed ^^
 

Formicidae

Neurotransmetteur
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23 Mar 2016
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52
tu fais quoi pendant que tu fume?
 

Augsburer

Banni
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22 Sept 2019
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Tridimensionnel a dit:
Jusqu'ici mon rapport au cannabis a été globalement très anxieux.
Premier joint dans une soirée à 16 ans, je me souviens nettement de la sensation de mon cerveau devenant un nuage et se décollant de ma boîte crânienne (ça, c'était agréable), et après ça, l'horreur: les visages des gens énormes, leurs yeux qui me fixent, l'impression qu'on me juge, la boucle de pensées destructrices, perte de contrôle mental... J'ai fini dans le noir, raccrochée de justesse à l'idée que ça finirait par passer.
Le cannabis accentuait mon anxiété sociale. Mais au début, je m'y suis accrochée. Tout le monde avait l'air de kiffer ça, les gens étaient détendus, content. Donc ça devait être moi le problème. 1) j'étais jalouse de leur plaisir. 2) je culpabilisais d'être différente.
Donc j'ai continué à consommer, à me sentir triste et anxieuse, et à bader dans mon coin et espérant que personne ne le remarque et se moque de moi. Il faut dire que j'ai eu quelques moments très plaisants. Des sensations de plénitude, des musiques vécues comme jamais, un baiser extrêmement érotique... Des petites pépites qui me faisaient sentir ce que je ratais, me donnaient envie de persévérer. J'ai aussi le souvenir d'une beu espagnole, directement sortie du potager, qui avait presque une odeur de thé, et des effets très doux, très relaxant.
Sinon je fumais le vieux shit des halls d'immeubles parisiens, et la beu des dealers de parking. J'avais des amis qui fumaient beaucoup, je tirais sur leur joint, certains, je ne les ai connus que défoncés, toujours dans le brouillard, dans la sur-analyse, dans les rires bêtas. J'ai mélangé avec de la codéine pour supporter le stress, j'ai essayé de méditer, d'affronter, de me distraire... Je vivais mal ma consommation, et pourtant je n'étais pas loin de l'addiction: aujourd'hui encore, l'odeur du bédo me fait envie.

Mes bads sont devenus de plus en plus difficiles. J'ai perdu le maigre plaisir que j'avais à fumer. Une nuit, je me suis sentie tellement mal que j'ai souhaité mourir (bon, il y avait des facteurs extérieurs. Mais ce n'est pas une raison). Je me détestais, je voulais disparaître, et en même temps, j'avais une si faible opinion de moi-même que je pensais ne pas "mériter" le suicide. J'étais juste recroquevillée dans un canapé-lit, dans le noir, à souhaiter développer un cancer, que mon corps se retourne contre moi comme mon esprit le faisait, une mort misérable, juste ce que je méritais.
Dans les semaines qui ont suivi, j'ai eu peur que cette auto-suggestion ait été assez puissante pour me développer effectivement un cancer (on sait les pouvoirs de la psyché sur le corps). Depuis cette nuit, je refuse systématiquement les joints qu'on me propose.

Maintenant j'assume ne pas supporter le cannabis. Je dis simplement que ça me rend parano, et les gens n'insistent pas. Peut-être que le gros de l'adolescence passée, on se catégorise moins en gens cools et moins cools, et connaître (et respecter) ses limites devient une qualité plutôt qu'un manque.
Peut-être aussi que je suis plus assurée, que j'ai décidé de prendre soin de moi.

Je n'en ai repris qu'une fois, ça s'est bien passé je dois dire, le cadre était parfait, comment ne pas passer un bon moment? Mais je ne tente pas le diable, une bonne expérience me suffit. Les souvenirs anxiogènes m'ont traumatisée, ça fait partie des choses que je ne veux plus jamais ressentir, alors pour l'instant, ça ne vaut pas la peine de tester.

Selon que tu fume une variété avec beaucoup de  thc et peu cbd tu risque de stresser en effet.


Yo  ;)

Je fume dès le matin jusqu'au soir.
De l'herbe principalement.
Différentes sortes selon les moments,l'humeur...
J'ai failli arrêter car selon se que je fumait cela pouvait me paranoier...
Plus depuis que je fume des variétés avec moitié moitié THC CBD ,ou plus de CBD que de THC.
 
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