Supervixen
Holofractale de l'hypervérité
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Cette aprème, j'ai décidé de goûter le 2C-I tant convoité (merci ^^), et optant pour le trip "court", j'ai choisi de le prendre en trace. Au moment de poutrer, un (rare) éclair de conscience me fait me rappeler que, quand même, ça fait facile deux ans que j'ai pas eu d'hallus poussées, et qu'étant seule et bien seule, il serait préférable de réduire la dose. Je me tape donc à peu près 10mg, et commence sur-le-champ à regretter de ne pas m'être fait un para : pour le pif passe encore, mais ma gorge me fait bien sentir qu'elle n'apprécie guère la molécule. 
Je passe un quart d'heure-vingt minutes à écouter de la zique en m'hydratant régulièrement le gosier, en vain bien sûr. Comme souvent quand je tente un nouveau prod, je suis stressée, mains qui tremblent et rythme cardiaque accéléré, mais je sais que je n'ai rien à craindre et que ça va vite passer. Au bout de 20 minutes, les effets (légers) sont là : mon parquet a l'air vivant... c'est l'heure de sortir. ^^
Je vais donc me promener avec mon chien du coté de la base militaire qui, étant en travaux, est particulièrement bien gardée en ce moment... mais, étant au bord de l'eau, elle est aussi vulnérable, une fois la marée basse... assez à l'ouest mais bien décidée, je fais mon petit repérage pour plus tard. Je sens bien que je trippe, les couleurs sont vives et y a plus de "brillance" qu'à l'ordinaire
, mais au moins, pas de problème de coordination comme avec l'AMT : je glisse furtivement au milieu des parpaings, des barbelés et des buissons épineux sans me casser la gueule dans la vase environnante. Après repérage, je vais me chercher à becqueter, fais bombance, puis décide de relancer la machine avec un tout petit para.
Et là c'est beaucoup plus marrant, la nuit commence à tomber, il faut être plus discrète parce que déjà ça fait un peu plus louche... j'apprécie toujours le coté "embuscade dans les ronces", je me faufile, me planque sous un pont dans la base et essaie de forcer le barbelé, munie de gants type "bûcheron". Je n'y arrive pas (ben oui, c'est pas du barbelé de pédé) et rebrousse chemin mais je suis vraiment dans un trip "pénétrer en camp ennemi" et finit par escalader une barrière avant de me planquer dans les hautes herbes, car je ne suis plus très loin du poste de sécurité et qu'en plus, y a pas mal de bagnoles qui passent. Moi toujours à fond genre "Il faut sauver le soldat Ryan"
je me terre au milieu des broussailles, en priant pour que ma chienne (qui s'agite dans tous les sens en essayant de comprendre par où je suis passée ^^) n'attire pas trop l'attention. Une fois le défilé de bagnoles terminé, je sors de mon trou, victorieuse, réussit à faire entrer mon clebs en terrain conquit et commence à me balader... jusqu'à ce que le-dit clebs se fasse remarquer par un garde. Fin de la balade, mais comme je ne me justifie pas, il ne me pose pas de questions, ne m'engueule pas et se contente de me raccompagner jusqu'à la vraie sortie. Finie la mission commando ! Mais en tout cas, j'ai bien déliré avec cette première expérience (légère) au 2C-I, et je sais que la prochaine fois je n'aurai pas de scrupules à en prendre plus (mais surtout pas par le nez !).
Je passe un quart d'heure-vingt minutes à écouter de la zique en m'hydratant régulièrement le gosier, en vain bien sûr. Comme souvent quand je tente un nouveau prod, je suis stressée, mains qui tremblent et rythme cardiaque accéléré, mais je sais que je n'ai rien à craindre et que ça va vite passer. Au bout de 20 minutes, les effets (légers) sont là : mon parquet a l'air vivant... c'est l'heure de sortir. ^^ Je vais donc me promener avec mon chien du coté de la base militaire qui, étant en travaux, est particulièrement bien gardée en ce moment... mais, étant au bord de l'eau, elle est aussi vulnérable, une fois la marée basse... assez à l'ouest mais bien décidée, je fais mon petit repérage pour plus tard. Je sens bien que je trippe, les couleurs sont vives et y a plus de "brillance" qu'à l'ordinaire
, mais au moins, pas de problème de coordination comme avec l'AMT : je glisse furtivement au milieu des parpaings, des barbelés et des buissons épineux sans me casser la gueule dans la vase environnante. Après repérage, je vais me chercher à becqueter, fais bombance, puis décide de relancer la machine avec un tout petit para. Et là c'est beaucoup plus marrant, la nuit commence à tomber, il faut être plus discrète parce que déjà ça fait un peu plus louche... j'apprécie toujours le coté "embuscade dans les ronces", je me faufile, me planque sous un pont dans la base et essaie de forcer le barbelé, munie de gants type "bûcheron". Je n'y arrive pas (ben oui, c'est pas du barbelé de pédé) et rebrousse chemin mais je suis vraiment dans un trip "pénétrer en camp ennemi" et finit par escalader une barrière avant de me planquer dans les hautes herbes, car je ne suis plus très loin du poste de sécurité et qu'en plus, y a pas mal de bagnoles qui passent. Moi toujours à fond genre "Il faut sauver le soldat Ryan"
je me terre au milieu des broussailles, en priant pour que ma chienne (qui s'agite dans tous les sens en essayant de comprendre par où je suis passée ^^) n'attire pas trop l'attention. Une fois le défilé de bagnoles terminé, je sors de mon trou, victorieuse, réussit à faire entrer mon clebs en terrain conquit et commence à me balader... jusqu'à ce que le-dit clebs se fasse remarquer par un garde. Fin de la balade, mais comme je ne me justifie pas, il ne me pose pas de questions, ne m'engueule pas et se contente de me raccompagner jusqu'à la vraie sortie. Finie la mission commando ! Mais en tout cas, j'ai bien déliré avec cette première expérience (légère) au 2C-I, et je sais que la prochaine fois je n'aurai pas de scrupules à en prendre plus (mais surtout pas par le nez !).
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), mais là c'est un peu trop. -oui je réagis, je tape du poing mollement et après coup 
