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Mise en garde : Les Dissociatifs

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Psilosophia
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Psilosophia

Holofractale de l'hypervérité
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1/2/12
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Salut à tous et toutes!

Après une petite concertation avec notre bien aimé Sludge, j'ouvre ce nouveau sujet en tant qu'appel au témoignage de ceux et celles qui ont pu souffrir de l'utilisation (abusive ou pas) des divers produits dissociatifs que nous connaissons.
L'équivalent existe en ce qui concerne les opiacés (Vétérans de l'héro) et l'utilité de ce topic au sein du forum n'est aujourd'hui plus à démontrer. Dans cette même logique, je pense qu'il est utile d'ouvrir un nouveau sujet à propos des inconvénients auxquels peuvent mener cette autre classe de produits qui semble bénéficier d'une image sans doute plus innocente, à tort. Il est bien évident que les dissociatifs présentent eux aussi des risques physiques, physiologiques et psychologiques non négligeables.
Je pense aussi que ce topic fait écho à l'énorme engouement qu'a provoqué l'arrivée de la MXE dans nos shop; au sein du forum il y a déjà plus de vingt pages consacrées à cette molécule qui ont vu le jour dans la section concernée; il me semble que c'est extrêmement révélateur du statut de ce produit qui déchaîne les passions malgré sa dimension addictogène et ses répercussions physiques encore mal connues par la communauté scientifique.
Il ne s'agit pas de diaboliser et de dramatiser l'usage de cette classe de produits, mais bien de rappeler qu'une consommation peut être à l'origine de déconvenues. Je vais donc entamer le sujet avec mon témoignage, qui n'est sûrement pas le plus parlant mais qui a le mérite d'exister.

Bim Bam Boum, découverte de la MXE. Premières soirées, premières roustes dissociatives desquelles tu te relèves parfaitement claires le lendemain. Mais c'est quoi ce produit? La consommation dès les débuts m'a semblé sans inconvénients, sans retours de bâton. Utilisable à peu près tout le temps, adaptable à tout type de soirée, prix ridiculement bas. Après une période bien chargée en "Soirée Hygiène" comme on aimait les appeler (A comprendre, soirée MXE), j'aperçois la première répercussion sur mon physique. Des bonnes douleurs aux reins, pas insupportables, mais assez régulières et lancinantes pour que je m'en inquiète. Je fais sans trop de mal le lien avec ma consommation des derniers mois.
Hop hop hop on se ressaisit, on régule la consommation, histoire de se faire bonne conscience et de se préserver. Malgré cela, sans m'en rendre compte, ou très peu, je me rend compte que je vis dans une bulle, rempart entre mon moi et la réalité. Le monde me semble distant, lointain et sans âme. Robotisé, dissocié, mon quotidien arbore des couleurs ternes et je me sens comme l'acteur d'un mauvais film tourné au caméscope bon marché. Mes émotions ne sont plus qu'un lointain souvenir et mes journées se déroulent de façon monotone. Bien que cela puisse paraître étrange, je ne me suis nullement inquiété de tout ça sur le moment et cela n'a jamais été une source réelle d'angoisse, puisque je n'avais évidemment aucun investissement émotionnel pendant toute cette période. Je ne saurai combien de temps cela a duré réellement, toujours est il que tout s'est amenuisé progressivement avec quelques effets de pic bien marqués lorsque je fumais du Cannabis.
Maintenant, j'ai les idées on ne peut plus claires et je suis relativement bien dans ma vie quotidienne. A y repenser, j'étais plongé dans une réalité tout autre, presque onirique mais dénuée de tout intérêt véritable. Il n'y a pas eu pour moi de véritable souffrance liée à cet état particulier, il est possible que quelqu'un d'autre que moi puisse le vivre autrement. J'appris un peu plus tard les concepts de déréalisation/dépersonnalisation, qui m'ont permis de cerner d'un peu plus près le problème, sans que je puisse non plus y accorder une valeur de diagnostique médical.
Mon expérience n'est absolument pas une référence, mais elle est une infime partie de ce que peut provoquer le produit que j'ai consommé.

J'en appelle à vous, amateurs tout comme moi de Kétamine, MXE, DXM ou Salvia (et autres exotismes) qui ont envie de parler de leur vécu, en toute sincérité. Parce que le partage de savoir est vital pour la communauté et que nos témoignages peuvent toucher au delà des limites de notre forum.

Bien à vous :heart:

Psilo
 
Psilosophia a dit:
Malgré cela, sans m'en rendre compte, ou très peu, je me rend compte que je vis dans une bulle, rempart entre mon moi et la réalité. Le monde me semble distant, lointain et sans âme. Robotisé, dissocié, mon quotidien arbore des couleurs ternes et je me sens comme l'acteur d'un mauvais film tourné au caméscope bon marché. Mes émotions ne sont plus qu'un lointain souvenir et mes journées se déroulent de façon monotone

J'aurais jamais su décrire ce sentiment si je ne t'avais pas lu, c'est avec les DXM que je déconne parfois, et je reconnais bien ce dont tu parles. Ca donne l'impression de ne plus être sois même. On dirait que la dissociation persiste et des fois ca dure vraiment longtemps, même après une assez longue période sans consommation. Des fois je me fait peur, je me demande si j'arriverais encore a pleurer ou même m'ennerver. Et quand je prends de la ké peut de temps après du DXM ce sentiment et encore renforcé, des fois c'est vraiment dure. Malgré tout ca, j'aurais du mal a tenir 1 semaine sans trip dissociatif. On parles pas assez des risques social et addictif des dissociatifs pourtant c'est une réalité.
Attention à vous.
 
Merci pour le retour Benibenou. Je parlais de MXE dans mon témoignage, mais il est évident que ce genre de symptômes similaires peuvent prendre forme suite à la consommation d'un autre produit, ici le Dextro.
Fais attention à toi, espace les prises le plus possible afin d'éviter ce genre de période, pas vraiment agréables.
Prend soin de toi.
 
A la suite d'un abus de MXE, j'ai eu des visuels qui persistent encore aujourd'hui (ça date de l'été dernier). A certains moments ma vision devient floue et certains objets se déforment. Je vois aussi des taches sombres un peu partout. De temps en temps ça se calme, les benzos ainsi que l'ethylphenidate arrêtent totalement ces visuels. Les autres produits les renforcent très fortement.

Je ne dis pas que la mxe provoque ces symptomes de manière systématique, mais le mieux c'est quand même de ne pas en abuser (sur le long terme).
 
Merci Void, pour le témoignage, qui je pense peut faire réfléchir. ;)
 
@void, tu confirmes bien que tu as encore des visuels à l'heure actuel qui persistent du à une prise de mxe l'an dernier? Peux tu préciser stp
Je reviens vers vous pour vous faire part de mon analyse concernant la prise répété de dissociatif.
 
Et bien fais donc, j'en suis bien curieux! :tonqe:
 
Void, l'abus de MXE consistait en combien de prise par mois/semaines/jours ? A un moment j'ai fais un repport sur le maximum d'experience de HPPD due à la méthox, j'en ai pas trouvé beaucoup proportionnellement par rapport par ex au LSD ou d'autre truc...


C'est bizarre ces trouble visuel après la MXE... Ca contredit un peu la théorie actuelle sur le HPPD qui voudrait que ce soit due a la perte d'inter neurone inhibiteurs gaba due à la surexcitation des recepteurs 5HT2A... Il ne me semble pas que la mxe ai une forte affinité 5HT2A... Niveau seroto ca doit pas être pire que prendre un antidep...
 
" J'aurais jamais su décrire ce sentiment si je ne t'avais pas lu "

C'est exactement ça, je suis un peut toujours la dedans j'ai à peut près arreter la ké ça reste qu'une fois de temps en temps en tawa mais comme tu l'as dis aussi le canna y est aussi pour qqlq chose, personnellement je suis un gros douilleur et j'essaye d'arreter pour les même raisons ..
 
Pareil avec la MXE (usage quotidien pendant 6 mois). Loin du monde, je prenais des décisions à la hache, même si d'après mon entourage ça restait plutôt rationnel j'étais beaucoup plus direct. Ce qui ne me correspond pas trop car je suis plutôt du genre à tergiverser. Ça a conduit à des passages à l'acte, du style plaquer mon taf car "c'est pas ça que je veux faire de ma vie". Bon je regrette pas mais ça aurait pu être autre chose.

Au niveau de l'impression caméscope relatée plus haut, moi je trouve pas ça monotone, mais par contre les journées et les mois passent très vite et tu te souviens pas de beaucoup de choses. Tu vis dans l'instant pas mal de temps et même si tu fais pas trop de merde y'a quand même pas beaucoup de réflexion sur les actions que tu entreprends. C'est aussi une période dont j'ai quand même de bons souvenirs: beaucoup de réflexions fructueuses sur moi même, mon entourage et mon avenir.

Pas de souci à arrêter après un ou deux jours de sevrage très durs psychologiquement. Deux semaines après déprime, qui a duré 2 ou 3 mois. C'est à cette époque que j'ai commencé à consommer beaucoup de cocaïne. Du coup je reprévois une période MXE sous très peu de temps car c'est quand même mieux que la coke, je me sens pas de vivre dans mon état normal (ç'est le cas de beaucoup ici) et j'évite au max l'héro qui m'entrainerait à coup sur dans une spirale plus infernale que celle dans laquelle je suis.

Au niveau physique j'avais quand même parfois du mal à pisser (blocage, chaleurs), disparus directement après mon sevrage de MXE. J'avais aussi parfois ce qu'ils appellent sur le net des "brain tingles" ou "brain crackles" en particulier en fin de soirée quand je prenais de la MXE pour redescendre de coke ou d'amphé ou quand j'avais dépassé les 100mg/trace. T'entends des craquements dans ta tête, après renseignements c'est pas forcément super néfaste, ça a plein de causes possibles. Plus jamais arrivé sans MXE mais je pense savoir les éviter. Parait aussi que j'avais les yeux jaunâtres (lol?).

Bref l'été va se passer pour moi "out of my body" vu la mixxie et la ké qui m'attendent, je jubile d'avance mais il y a quand même beaucoup de précautions à prendre... Mais bon les dissos, quand on aime... Et pas d'inquiétude pour moi je suis heureux, bien portant et conscient de ce que je fais même s'il est important de varier ton addiction (à mon avis) et de faire des pauses "saines" pendant quelques semaines.
 
Ahahah j'adore le "important de varier ton addiction", à la première lecture ça semble WTF mais en fait t'as raison, quitte à vivre en dehors de son corps, autant varier les plaisirs...:rock:

Pour ma part je n'ai pas grand chose à ajouter de plus, à part peu être qu'en ayant une vraie hygiène de vie et avec un bon rythme, il y a moyen de vivre en étant à côté de la plaque sans se retrouver à se dire que ça y est son cerveau est foutu à tout jamais. En répartissant ses moments de déréalisation dans la journée, c'est possible de phaser quand on est seul et d'être présent socialement quand on voit du monde, faut trouver son propre équilibre.

Il y a effectivement la découverte de la dépersonnalisation après la première prise où se passe le déclic qui peut mettre plusieurs semaines, voir plusieurs mois à être assimiler à soi, mais quand on a compris la chose on peut vivre avec, ensuite faut juste pas abuser comme un déglingo sinon c'est sur qu'on est plus déphasé que présent. Dans ces cas vaut mieux effectivement ne pas trop fumer de cannabis, ça accentue l'anxiété et ça renforce la dépersonnalisation.
 
J'ai du mal à comprendre l'optique d'être déréalisé dans la vie de tous les jours, mais soit... :s
 
Marcher sur une corde comme dans un cirque ...
 
Dépend de tes activités...

La MXE se prête bien aux écrans (jeu vidéo, cinéma) et donne un point de vue intéressant sur la compo musicale à moindre dose (10-20mg), donc si ça représente l'essentiel de tes activités hors sortie du week-end comme moi c'est juste nickel... Si tu rajoutes la dose anti dépressive, et la poutrelle du soir en rentrant du taf, tu passes à l'utilisation quotidienne, sans pour autant être tout le temps déréalisé, juste "à côté", enfin bon entre psycho on se comprend.
 
Tu gardes en tête le fait que cette molécule est récente, que les dissociatifs en général exposent à des ennuis de santé au niveau des reins si consommés souvent ? Take care...
 
Tout le monde ne maîtrise pas la gestion de dépersonnalisation comme Laura Zerty par exemple, celles que j'ai eu ... heureusement que j'avais lu des posts là dessus avant sinon j'serai allé mettre la camisole moi même ! C'est pas non plus rien la déperso, tout le monde ne vit pas ça du même œil !

J'ai jamais consommé régulièrement non plus, comme Sludge le sous entend, on est les rats de labo des boutiques on-line !
 
Sludge a dit:
Tu gardes en tête le fait que cette molécule est récente, que les dissociatifs en général exposent à des ennuis de santé au niveau des reins si consommés souvent ? Take care...

C'est bien la raison pour laquelle j'ai arrêté pas mal de temps. Couper l'addiction, lire les forums et reposer mon corps.

Après oui je suis au courant, mais à partir du moment ou tu consommes n'importe quoi régulièrement (à part peut être les tryptas), tu t'exposes à des ennuis de santé.

Outre les reins y'a aussi les histoires de lésion au cerveau qui semblent de l'ordre du possible... Après j'ai beau consommer très régulièrement je suis pas au 5g de ké par jour que certains se font et ont réussi à s'en tirer tranquille. Oui c'est pas un exemple à suivre je te l'accorde.

Merde ma grammaire est horrible mais la flemme de réfléchir (ça doit être les trous dans mon brain :unibrow:)
 
grivois a dit:
Tout le monde ne maîtrise pas la gestion de dépersonnalisation comme Laura Zerty par exemple

Chepa je me suis toujours dis que se droguer c'était ne pas aimer sa réalité, et implicitement vouloir donc la modifier. Alors autant prendre la dépersonnalisation comme un outils au lieu d'une tare. Comme la dit Mr Crusta, si les prises sont réfléchies et non pas auto destructrices de A à Z, alors il y a moyen d'en tirer du positif de ce changement d'état d'esprit.

Déjà la confrontation avec soi même amène à se connaitre, mais tout n'est pas rose dans le bonhomme, donc celui qui refuse de voir ce qui ne lui plait pas en lui, il restera au stade où la dépersonnalisation le rend fou, il évoluera dans une réalité où il n'est pas en accord avec soi même.
C'est clair qu'au moment où tu passes le cap en t'avouant ce sur quoi ton esprit bloquait, ça fout l'impression d'avoir fait un grand pas et hop, disparu la dépersonnalisation, on est de nouveau en accord avec soi même.

Être dépersonnalisé c'est refuser de voir sa réalité. Pour schématiser imaginez une pensée qui passe dans votre esprit sous trip, elle était bien cachée dans l'inconscient, mais la drogue ayant fait sauter les mécanismes de défense de la personnalité, l'idée jusqu'alors refouler devient consciente et c'est à ce moment là que la mauvaise alchimie se passe.
La pensée juste avant d'être consciente est quand même refoulée puisque la conscience n'est pas prête à l'accepter, et pour cela l'esprit se déconnecte ---> il se déréalise pour se protéger de lui même en quelque sorte.
C'est le même principe que fermer les yeux pour ne pas voir ce qui fâche, sauf que là c'est la conscience qui rajoute une plus grosse barrière "protectrice" entre elle et l'inconscient pour être sur de ne pas avoir à être confronté aux mauvaises pensées qui font remonter des mauvaises émotions.

Une fois que ce principe est acquis il n'y a plus qu'à laisser l'esprit travailler, tout ce qu'il faut faire c'est s'écouter pour savoir quand faire des pauses. Après une pause l'esprit est en accord avec lui même, mais dès que l'on recommence à se doper, on fait remonter consciemment de nouvelles pensées et l'esprit ne pouvant tout assimiler sur le coup remet une couche de barrage psychologique, donc plus on se drogue, plus on se dépersonnalise en refoulant ses propres idées. C'est pour ça qu'il est important de prendre le temps de comprendre son trip après celui-ci, cela permet de déverrouiller une à une nos propres barrières psychologiques, de comprendre nos propres mécanismes de défense, et donc de mieux nous connaitre.

Enfin ça c'est seulement lorsque l'on pratique l'introspection, c'est de la masturbation intellectuelle pour ceux qui aiment phaser, ce genre de réflexion n'est possible que dans des moments où l'on est tout seul et que son esprit est trèèèès loin de la réalité, enfin pour comprendre le déphasage de la déréalisation il est nécessaire d'être encore plus déphasé...bref faut aller de l'avant quoi :mrgreen:


Mais heureusement qu'il y a la réalité comme l'a aussi dit Mr Crusta, je veux parler des arts et de la créativité.
On a tous remarqué que la musique passait carrément trop bien quand on est défoncé, idem pour la peinture, les films...bref on est plus réceptif à l'art dans un état de conscience alterné, être moins conscient ça permet de laisser un peu plus d'action à l'inconscient, qui lui travaille à coup de symbole et de signification.

Et la dépersonnalisation amène à cet état d'inconscient dans un certain cas : lorsque la parano débarque.
La parano c'est avoir peur, et la peur est émotionnelle, et les émotions siègent dans l'inconscient, donc être parano c'est percevoir la réalité au travers de symboles inconscients et de significations douteuses, c'est pour ça que les gens normaux se foutent facilement de la gueule des gens parano, ils les prennent pour des schyzo alors qu'en fait ils sont au contraire bien lucides. Ces gens là interprètent la réalité d'une manière totalement décalé, enfin je sais que lorsque j'écoute les gens je suis deux conversations ---> il y a ce que les gens expriment consciemment, et il y a le message inconscient derrière...Enfin tout le monde a déjà perçu des sous entendus dans une conversation quelconque...et bien imaginé vous voir des sous entendus partout, trouvé dans chaque parole un sens caché, ya de quoi devenir fou hein !? :D

Pour en revenir à l'art, je sais que pour ma part au début je flippais lorsque j'avais des retour d'hallus, je me disais que j'avais trop déconné avec ma tête, mais en même temps je comprenais tout plein de truc à côté donc j'ai décidé de continuer à me droguer. Et puis je me souviens qu'à mes tout début j'avais le fantasme de vivre dans un trip, d'avoir du visuel à gogo pour animer ma réalité, ensuite ce délire m'aie passé jusqu'à ce que je me rende compte qu'au final j'y étais arrivé en 3 ans d'abus. Maintenant mon esprit créé toute sorte de forme que j'ai les yeux ouverts ou fermés, dans la rue avec de la musique c'est easy de faire remonter un semblant de trip, dès que je phase tout devient chelou autour de moi...et comme je m'exprime par le dessin majoritairement, disons que ça me convient bien, j'ai mon style psyché et je m'y retrouve.
 
grivois a dit:
Tout le monde ne maîtrise pas la gestion de dépersonnalisation comme Laura Zerty

Intitulé du poste: agent de gestion de dépersonnalisation.
Votre nom: Laura Zerty.
Vos compétences en lien avec le poste : esprit d'analyse, détachement émotionnel, adaptation aux phénomènes mentaux, motivations artistiques.
Expériences : parcours des différents services de l'entreprise mon Cerveau, un des clients du groupe Methoxétamine; notamment le service de dissociation.
 
Ahahah :D:D:D

Pour moi le plus important c'est de se raconter sa vie !
 
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