Lesbos
Elfe Mécanique
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Bien le bonjour à tous,
Si j'écris aujourd'hui ce post (d'ailleurs mon premier, wouhouu !), c'est pour vous faire part de mon étrange expérience avec la codéine (ou peut-être de mes étranges expériences avec), en espérant, peut-être, y trouver quelque explication ou cas similaire.
J'ai, il y a peut-être un ou deux mois, essayé pour la première fois la codéine, avec un ami. Lui en avait déjà pris ; un succès. Cette tentative là fut pourtant pour nous deux un echec. Nous avons eu les grattements, le hoquet, mais sinon, rien de rien. Bien, cela arrive, pas de quoi en faire tout un foin.
Ceci étant, j'ai réitéré hier l'acte, seule, cette fois. Tout d'abord dix cachets de T******x, puis, deux heures plus tard, en constatant que rien ne venait, petit re-drop de cinq. Toute une boîte, donc. Inefficace au possible, je n'ai eu que des démangeaisons un peu partout. Un peu déroutée, je suis partie m'acheter du tabac (pour vous mettre dans le contexte, je passe présentement mes vacances dans une maison de campagne isolée, j'ai donc du marcher cinq kilomètres aller, puis cinq kilomètres retour). Pendant le trajet, rien que des grattements persistants, sans plus.
Ayant eu mon paquet de tabac, j'ai pu me rouler un joint. Et là... D'un coup, près de quatre heures après ma première prise, tout est monté ! Fulgurant. Je suis donc restée sur place avec mes Clébards, les jambes un peu coupées, quelques temps. Mais la nuit approchant, je me suis remise en route. Le trajet de retour fut assez lent, mais pas désagréable en soi. Ca me grattait de partout, j'avais le corps très distant, mais l'esprit lucide. Enfin bref, j'étais sous codéine.
Bon, la descente ne fut pas très agréable. Hoquet, puis vomissements une fois arrivée chez moi (j'avais cependant grignoté quelques chips en fumant mon joint, donc pendant ma montée, ce qui ne fut peut-être pas une bonne idée). Soit, ce n'est pas grave, ce sont les risques du métier. Mais cependant, en y réfléchissant, cette situation me laisse toutefois un peu perplexe. Comment se fait-il que ce soit le joint, fumé aussi tardivement, qui a permis à la codéine de faire effet ? Joint, qui plus est, d'un shit d'assez mauvaise qualité (mea culpa). Oui da, ce message n'a pas pour simple visée d'étaler ma minable petite expérience, je me pose la question. Vous est-il déjà arrivé quelque chose de semblable ? Avez-vous quelque théorie ?
Oh, je rajoute pour info que ce n'est la première fois que je loupe, plus ou moins, des plans drogues. Alors que j'en prend avec des amis, dans exactement les mêmes conditions, il se peut parfois que ce soit pour moi seule inefficace. Nous n'avons pour le moment aucune théorie (peut-être une plus grande résistance ?). Peut-être avez vous, là aussi, quelque idée à m'avancer ?
Bref, beaucoup de blabla pour pas grand chose. J'abrège, en espèrant ne pas vous avoir trop incommodés avec cet étalage plutôt minable de cette expérience. J'autorise les critiques, haha.
Sur ce, bien à vous, populace,
Tchou tchou.
Si j'écris aujourd'hui ce post (d'ailleurs mon premier, wouhouu !), c'est pour vous faire part de mon étrange expérience avec la codéine (ou peut-être de mes étranges expériences avec), en espérant, peut-être, y trouver quelque explication ou cas similaire.
J'ai, il y a peut-être un ou deux mois, essayé pour la première fois la codéine, avec un ami. Lui en avait déjà pris ; un succès. Cette tentative là fut pourtant pour nous deux un echec. Nous avons eu les grattements, le hoquet, mais sinon, rien de rien. Bien, cela arrive, pas de quoi en faire tout un foin.
Ceci étant, j'ai réitéré hier l'acte, seule, cette fois. Tout d'abord dix cachets de T******x, puis, deux heures plus tard, en constatant que rien ne venait, petit re-drop de cinq. Toute une boîte, donc. Inefficace au possible, je n'ai eu que des démangeaisons un peu partout. Un peu déroutée, je suis partie m'acheter du tabac (pour vous mettre dans le contexte, je passe présentement mes vacances dans une maison de campagne isolée, j'ai donc du marcher cinq kilomètres aller, puis cinq kilomètres retour). Pendant le trajet, rien que des grattements persistants, sans plus.
Ayant eu mon paquet de tabac, j'ai pu me rouler un joint. Et là... D'un coup, près de quatre heures après ma première prise, tout est monté ! Fulgurant. Je suis donc restée sur place avec mes Clébards, les jambes un peu coupées, quelques temps. Mais la nuit approchant, je me suis remise en route. Le trajet de retour fut assez lent, mais pas désagréable en soi. Ca me grattait de partout, j'avais le corps très distant, mais l'esprit lucide. Enfin bref, j'étais sous codéine.
Bon, la descente ne fut pas très agréable. Hoquet, puis vomissements une fois arrivée chez moi (j'avais cependant grignoté quelques chips en fumant mon joint, donc pendant ma montée, ce qui ne fut peut-être pas une bonne idée). Soit, ce n'est pas grave, ce sont les risques du métier. Mais cependant, en y réfléchissant, cette situation me laisse toutefois un peu perplexe. Comment se fait-il que ce soit le joint, fumé aussi tardivement, qui a permis à la codéine de faire effet ? Joint, qui plus est, d'un shit d'assez mauvaise qualité (mea culpa). Oui da, ce message n'a pas pour simple visée d'étaler ma minable petite expérience, je me pose la question. Vous est-il déjà arrivé quelque chose de semblable ? Avez-vous quelque théorie ?
Oh, je rajoute pour info que ce n'est la première fois que je loupe, plus ou moins, des plans drogues. Alors que j'en prend avec des amis, dans exactement les mêmes conditions, il se peut parfois que ce soit pour moi seule inefficace. Nous n'avons pour le moment aucune théorie (peut-être une plus grande résistance ?). Peut-être avez vous, là aussi, quelque idée à m'avancer ?
Bref, beaucoup de blabla pour pas grand chose. J'abrège, en espèrant ne pas vous avoir trop incommodés avec cet étalage plutôt minable de cette expérience. J'autorise les critiques, haha.
Sur ce, bien à vous, populace,
Tchou tchou.