hatsu
Holofractale de l'hypervérité
- Inscrit
- 19/6/12
- Messages
- 1 438
EDIT schtroumpfette : J'ai pris l'initiative de déplacer cette discussion dans un topic dédié, histoire qu'elle ne se perde pas dans les limbes de toutes les choses qui emmerdent les psychonautes...
Je lis vos posts et je vais renchérir sur mon coup de gueule du jour.
Parce que j'en ai marre du consumérisme, rentrée du hadra où avec mes psychopotes tout n'a été qu'amour et bonheur, je me retrouve balancée dans une société qui a des oeillères. Dans une société d'aveugle imbécile, qui préfèrent leur petit confort et leur musique de merde plutôt que de réfléchir à ce qui les entoure. Une société d'égoiste incapable, enfermés dans un système complètement corrompu, et qui n'a d'égal que leur sourire niais devant leur verre de vodka redbull et leur "cigarette électronique" absolument PAS nocive pour la santé me renchérit le bobo moyen fier de son dernier achat.
Marre des dealos qui n'ont aucun respect de ce qu'ils vendent, n'en connaissent pas le potentiel, et ne pensent qu'à avoir la plus grosse voiture du quartier.
J'en peux plus d'être catégorisée, enfermée dans une case, et je me déteste moi même à voir mes semblables et à les analyser d'une manière robotique. Au fond je sais qu'ils sont bons, mais je les vois tels qu'ils sont, dans leur carcan dicté par la société et nos politiciens. Je veux pas les regarder et les juger. Je ne veux pas être jugée quand je marche dans la rue, me conformé à une image toute faite inculquée dans mon cerveau par la publicité et les films. Trop grosse, trop maigre, trop bête, trop trop trop, et pas assez.
J'arrête le monologue parce que je vais finir par dire que j'en ai marre car je sais très bien que quelques personnes n'auront pas le courage de lire tout ça, parce que la lecture fait peur. Parce que je voudrais vivre dans une prairie entourée d'autres psychonautes amoureux de la nature, de l'art, mais aussi de l'Homme.
Je me dis que je suis à l'âge où je voudrais révolutionner le monde, mais je suis découragée, je n'ai plus d'espoir en notre société. Et étant jeune, je me dit que je n'ai jamais eu confiance, et jamais placé d'espoir en mes congénères. Et tout ça, ça m'emmerde, c'est bien triste de penser comme ça...
Je lis vos posts et je vais renchérir sur mon coup de gueule du jour.
Parce que j'en ai marre du consumérisme, rentrée du hadra où avec mes psychopotes tout n'a été qu'amour et bonheur, je me retrouve balancée dans une société qui a des oeillères. Dans une société d'aveugle imbécile, qui préfèrent leur petit confort et leur musique de merde plutôt que de réfléchir à ce qui les entoure. Une société d'égoiste incapable, enfermés dans un système complètement corrompu, et qui n'a d'égal que leur sourire niais devant leur verre de vodka redbull et leur "cigarette électronique" absolument PAS nocive pour la santé me renchérit le bobo moyen fier de son dernier achat.
Marre des dealos qui n'ont aucun respect de ce qu'ils vendent, n'en connaissent pas le potentiel, et ne pensent qu'à avoir la plus grosse voiture du quartier.
J'en peux plus d'être catégorisée, enfermée dans une case, et je me déteste moi même à voir mes semblables et à les analyser d'une manière robotique. Au fond je sais qu'ils sont bons, mais je les vois tels qu'ils sont, dans leur carcan dicté par la société et nos politiciens. Je veux pas les regarder et les juger. Je ne veux pas être jugée quand je marche dans la rue, me conformé à une image toute faite inculquée dans mon cerveau par la publicité et les films. Trop grosse, trop maigre, trop bête, trop trop trop, et pas assez.
J'arrête le monologue parce que je vais finir par dire que j'en ai marre car je sais très bien que quelques personnes n'auront pas le courage de lire tout ça, parce que la lecture fait peur. Parce que je voudrais vivre dans une prairie entourée d'autres psychonautes amoureux de la nature, de l'art, mais aussi de l'Homme.
Je me dis que je suis à l'âge où je voudrais révolutionner le monde, mais je suis découragée, je n'ai plus d'espoir en notre société. Et étant jeune, je me dit que je n'ai jamais eu confiance, et jamais placé d'espoir en mes congénères. Et tout ça, ça m'emmerde, c'est bien triste de penser comme ça...