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Neuronal

Holofractale de l'hypervérité
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21 Août 2011
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@Parallel:

Je comprends ou tu veux en venir en insistant, tu veux qu'on reconnaisse que la dépendance psychologique existe chez les psychés et qu'elle peut engendrer des comportements dangereux chez certaines personnes.
La diversité des effets et leur profondeur dans les méandres du psychisme peuvent expliquer l'addiction psychologique chez certains, pendant que la perte de contact avec la réalité (avec tout l'aspect social qui va avec) et les bads trips sont les dangers psychiques engendrés.
Tu veux qu'on reconnaisse cela afin de concrétiser le message que tu veux faire passer: qu'il faut arrêter de mettre les psychédéliques sur un piédestal.
Je suis assez d'accord avec cette pensée RDR surtout sur ce forum dont l'apologie des psychés peut parfois amener à des jeunes inconscients (qui n'auraient pas pris soin de suivre toutes les infos et conseils qu'on fournit je l'accorde) à faire de grosses conneries...

Mais reconnaît quand même que la dépendance psychologique est d'une manière générale quand même beaucoup plus facile à gérer que la dépendance physique...
Que "le mec qui tartine 2C-I tous les soirs" est quand même un cas extrêmement plus rare que le mec qui tapes tous les soirs opis, amphets, benzos et que sais-je.
De ce fait, la phrase "arrêtons de mettre les psychés sur un piédestal" est à méditer, car en comparaison avec les autres catégories des drogues (bon bien-sûr le problème de classification rends confus tout cela, mais personnellement j'insisterais sur les "psychés naturels" et le LSD) ont en général beaucoup moins de facteurs de dangerosité que les autres.
Les dangers, au final on reviens toujours dessus: la perte de contact avec la réalité et le bad trip, en clair l'impact psychologique à long terme surtout sur les personnes fragiles. Un critère qu'on ne retrouve pas dans les autres catégories, et inversement les problèmes de tolérance, addiction et impacts physiologiques etc. sont souvent beaucoup plus faibles chez les psychés.
 
D

DasFrog

Invité
Toute comparaison finit toujours par être hasardeuse de toutes manières parce que l'on définit les psychés sur la base de leurs effets, et les autres (opis, amphèts,...) par rapport à leur structure (me goure ?).

...
Supermega trou de mémoire, aucune idée de ce que je voulais dire oO.
Je post quand même parce que maintenant que c'est écrit...

Je suis ridicule là...
 

GuyGeorge

Holofractale de l'hypervérité
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28 Avr 2008
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Mais reconnaît quand même que la dépendance psychologique est d'une manière générale quand même beaucoup plus facile à gérer que la dépendance physique...

Là je t'arrête tout de suite, une bonne cure d'un antagonsite des récepteurs NMDA et envolée la dépendance physique, il reste alors la dépendance psychologique. Et c'est là que ça deviens dur. Hypnose, méditation, produit supprimant le craving (baclofen)... Ce ne sont que des pistes.
 

tetrobecks

Holofractale de l'hypervérité
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13 Fev 2012
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Après tout dépend de chaque personne, pour ma part je n'est jamais eu de dépendance psychologique, la seul dépendance que j'ai eu c'était avec l'hero et j'en est vraiment chier physiquement, comme je l'est déjà expliquer 2 semaine enfermer chez moi de sevrage a la dur, chaque gorgé d'eau que je buvais, chaque bouchée que je mangeais rien ne restait, toutes les nuit de "non sommeille" avec les sueur froide, les crampes... ça ma laisser un goût amère du sevrage c'est la raison qui fait que je fait en sorte de ne plus jamais être dépendant physiquement a quoi que se soit...
 

Lotre

Holofractale de l'hypervérité
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30 Nov 2011
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Là vous touchez carrément à la définition de la dépendance. Sa différence avec la simple et socialement acceptée "envie". Le plaisir, le système de récompense, tout ça. Je pense que même au plus haut niveau du gratin scientifique ils sont pas tous d'accord là-dessus.
 

mérimin

Sale drogué·e
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15 Sept 2011
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Y'a confusion entre addiction et dépendance. Tout ce qui "fait du bien" est potentiellement addictif.
La dépendance entraîne des souffrances lors des privations, qu'elles soient physiques ou psychologiques.
Comparer les deux ne mène pas loin à mon avis, mais je reste d'avis que les deux se valent, le manque physique est intense et rapide, donc choquant, le manque psychologique on pourrait presque ne pas s'en rendre compte, c'est long, mène direct à la dépression.
Plus supportable qu'un manque physique, c'est aussi ce qui le rend plus long à traiter, c'est pervers.
 

Acidbuzz

Holofractale de l'hypervérité
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25 Oct 2010
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@Parallel, je ne cherchais pas le clash mais je reconnais avoir été un peu sec avec toi, sans rancune, surtout qu'on est finalement plutôt d'accord :)

Tout est une histoire de définition et de la façon dont on le conçoit (sur la base de nos expériences personnelles, qui doivent influer). J'ai lu par ici que dépendance et addiction sont synonymes (lol), par là que dépendance c'est un besoin irrépressible et incontrôlable là où l'addiction est contrôlable (lol), par là-bas que le premier est physique et mental et l'autre juste mental ... mais qu'est-ce qu'on peut lire comme conneries sur le sujet. Le mieux est de se faire une opinion personnelle (et lire le topic RdR aussi). Et nous sommes d'accords que l'on peut avoir une envie compulsive nous poussant à reprendre une drogue (psychologiquement parlant) mais que chez les psychés, cete envie est plus personnelle, elle est propre à la personnalité de la personne concernée.

Je me suis sevré façon tetrobecks à la bupré (j'en prenais que depuis 2 semaines de façon marginale mais journalière), 1 semaine de douleur, d'angoisse et "d'insomnies de douleur". Mais tout le monde est d'accord que cette drogue cotonneuse est une sacrée pute qui te prend par derrière sans prévenir, et très rapidement. Sous psyché, à part, "tient ce soir j'irais bien voir mon amie fractale" et que finalement, si j'ai pas le bon set/setting, j'oublie assez vite. Peut-être ai-je du mal à concevoir qu'on se "trippe" tous les jours tant l'expérience est puissante, par contre en "sous-dose" comme tu dis, pourquoi pas. Dans ce sens, tel un nootropique, je peux comprendre un comportement addictif. Moi-même, je ne peux pas m'empêcher de prendre un truc tous les jours, du coup je prends des compléments alimentaires (l-tyrosine, magnésium, vistamines ...). C'est un comportement addictif, mais sain (façon de parler).

Bref, j'aime bien ces échanges mais on devient HS non ? :)
 

tetrobecks

Holofractale de l'hypervérité
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Tu a eu de la chance d'avoir le droit a la bupré, j'ai pas été voir de médecin rien donc j'en est vraiment chier.

Non on est pas HS vue que sa nous emmerde :)
 

Acidbuzz

Holofractale de l'hypervérité
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tetrobecks a dit:
Tu a eu de la chance d'avoir le droit a la bupré

J'avais de la chance d'avoir la pharmacie de la mère d'un pote rempli de Temgé*** (ou pas) :roll: Je le sniffais d'ailleurs ...
C'était une période noire de ma vie, médocs à tout va et tentatives de suicide ... soit ... des souvenirs que je n'ai pas envie d'étaler ... je sais qu'un jour ça me reviendra en pleine face pour en faire le deuil sous psyché, je n'attend pas ce moment-là avec impatience, mais je pense que c'est une étape obligatoire pour être enfin moi, celui que j'étais, jeune et insousciant, avant de partir en sucette. Les psychés me donnent parfois cet état "enfantin", comme si je redécouvrais le monde sans préjugés ou cas de conscience, ça j'aime et du coup je m'écarte du topic :)
 

schtroumpfette

Psycho disparu·e
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Neuronal, j'étais d'accord avec toi jusqu'à ce que je lise ça :
Mais reconnaît quand même que la dépendance psychologique est d'une manière générale quand même beaucoup plus facile à gérer que la dépendance physique...
Désolée mais ça m'a fait bondir. Va t'en dire à un crackhead que sa dépendance est "facile à gérer" parce qu'elle n'est "que psychologique". Tu peux me croire, c'est pas parce que ça ne rend pas physiquement malade comme les opis ou l'alcool qu'arrêter est une partie de plaisir...
 

AlphaMethyl

Holofractale de l'hypervérité
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Ce qui me fais chier : D'être malade (pharyngite + début de grippe). Je hais être malade T_T
 

slkfdhgsljfmqszkfdm

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14 Août 2011
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schtroumpfette a dit:
Neuronal, j'étais d'accord avec toi jusqu'à ce que je lise ça :
Mais reconnaît quand même que la dépendance psychologique est d'une manière générale quand même beaucoup plus facile à gérer que la dépendance physique...
Désolée mais ça m'a fait bondir. Va t'en dire à un crackhead que sa dépendance est "facile à gérer" parce qu'elle n'est "que psychologique". Tu peux me croire, c'est pas parce que ça ne rend pas physiquement malade comme les opis ou l'alcool qu'arrêter est une partie de plaisir...
Oui... d'accord avec toi.

Le manque physique c'est dur, ça fait mal... une épreuve, courte en générale. La dépendance physique c'est souvent ça qui t'enfonce à un moment donné... Même si l'envie de consommer le prod' n'est plus la, on en a besoin pour assurer les activités de la vie quotidienne, besoin physiquement (sous peine de souffrir de tout un tas de maux incompatibles avec une vie normale).
Mais ce qui te tient vraiment c'est le manque qui est dans la tête... beaucoup plus dur à dépasser, plus long, plus sournois, un vrai combat contre soi même.


@ tetrobecks : de la chance je sais pas, c'est quand même bien rependu en france la buprénorphine, pas difficile d'en trouver... et puis dire qu'on en chie plus sans bupré ça reste à vérifier, en général on baisse les doses par pallier ce qui permet d'éviter une partie du manque physique mais le mec qui tente un sevrage à la dure alors qu'il est substitué à 10/12 mg de subu ben faut voir sa gueule après une semaine...
 

tetrobecks

Holofractale de l'hypervérité
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tagada² a dit:
Le manque physique c'est dur, ça fait mal... une épreuve, courte en générale.

Je t'arrête tout de suite... Courte ? 2 semaine a rester coucher a ne pas dormir sueur froide/courbature ne pas pouvoir avaler 1 grain de riz ou même un verre d'eau sans le gerber. 2 semaine c'est loins d'être court . Après peut être que sa depand du prod
 
C

Chandly

Invité
Je suis aussi passer par le sevrage opis, et j'admet que j'avais pas la force mentale à ce moment pour subir le sevrage physique en plus de la détresse psychologique ( je trouve le sevrage progressif 100 fois plus productif bien que beaucoup plus long, après on peut débattre y a pas de vérité général de toute façon ) mais putain la dépendance psychologique est tellement plus pernicieuse de mon point de vue..
C'est un truc qui te colle toute ta vie, 24h sur 24, des relances parfois aussi puissante qu'un craving de métheux alors que ça faisait 7 jours que t'y pensais que peu et en "contrôle". C'est pour la vie " un camé reste un camé " alors que tout ce qui est physique ok c'est difficile et faut avoir les baloches pour aller jusqu'au bout, mais c'est du pipi de chat à côté d'une addiction psychologique qui régit ta vie plus que ta propre mère ( mon avis hein
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)
 

GuyGeorge

Holofractale de l'hypervérité
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L'addiction c'est une (mauvaise) habitude profondément enracinée dans notre inconscient. Lutter consciemment contre, c'est vraiment pas productif, t'es pas plus fort que ton inconscient (a part dans le cas ou ta vie est en danger, et encore). C'est pourquoi j'aurai tendance a dire que rien ne sert de lutter, il faut que ça se fasse progressivement. Plus tu repousse plus tu donne de force a ton addiction. Je parle bien sur d'un point de vue théorique... Couper le craving, pour que l'usager arrête lui même petit a petit, voir puisse consommer encore occasionnellement sans jamais tomber dans la perte de contrôle, ça ça serai vraiment "guérir" la toxicomanie.
 

Supervixen

Holofractale de l'hypervérité
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Bijord a dit:
L'addiction c'est une (mauvaise) habitude profondément enracinée dans notre inconscient. Lutter consciemment contre, c'est vraiment pas productif

Je ne suis pas d'accord du tout, je conçois l'addiction comme étant non seulement consciente pour beaucoup de gens (bon après y a ceux qui picolent "mais sont jamais bourrés" etc, bref le déni), mais carrément un choix pour certains. Alors, ce choix n'est évidemment pas énoncé tel quel ("je veux devenir toxicomane"), mais ça peut en être un, être le moyen qu'une personne a choisi d'utiliser pour faire face à sa vie. Bien sûr, je ne peux pas généraliser, dire que c'est comme ça pour tout le monde, mais pour certains, je pense, si. Et c'est une théorie que je retrouve plus ou moins dans un bouquin d'addictologie très ouvert et -à mon sens- très juste ("Les conduites addictives, comprendre, prévenir, soigner" d'A. Morel et J.P. Couteron), basé sur l'approche expérientielle (en gros, on écoute les gens, quoi).
Bref. Je dérive un peu mais l'idée générale c'est qu'à mon avis, la plupart des addicts sont profondément conscients de leur problématique (et si je voulais faire ma relou et inspirer les étudiants de psycho, je pourrais même dire que c'est ptêtre justement pour ça qu'ils se droguent/boivent/idem).

Couper le craving, pour que l'usager arrête lui même petit a petit, voir puisse consommer encore occasionnellement sans jamais tomber dans la perte de contrôle, ça ça serai vraiment "guérir" la toxicomanie.

Bah là en effet c'est une des définitions de la "guérison" (je fous des guillemets parce que certains, inspirés de la charte des A.A., sont persuadés qu'on ne guérit jamais et qu'on reste tox ou alcoolo à vie, même abstinent). C'est sûrement le degré de maitrise le plus élevé qu'on puisse avoir sur la substance : y avoir été dépendant, mais pouvoir en reprendre de temps à autres sans la moindre conséquence, c'est le top ! Malheureusement c'est ultra dur à obtenir, c'est plus facile de rejeter la chose en bloc et de prêcher contre pour s'auto-convaincre (et rester convaincu...chose que je ne critique pas, c'est bien assez dur d'arrêter on va pas en plus forcer les gens à s'entrainer à en reprendre sans replonger, hein).
 

LFA

Glandeuse pinéale
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Ces bouffons de ma mutuelle qui comprennent rien et qui veulent pas me rembourser mes lentilles (100E) sous prétexte qu'ils ont soit disant c'est pas pris en charge bla bla, alors que si, ca l'est et il l'ont déjà fait. Je vais devoir leur renvoyer un courrier pour leur dire que c'est des bolosses et attendre encore 3 semaines, et en attendant je suis dans la merde.
 

schtroumpfette

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Supervixen a dit:
Couper le craving, pour que l'usager arrête lui même petit a petit, voir puisse consommer encore occasionnellement sans jamais tomber dans la perte de contrôle, ça ça serai vraiment "guérir" la toxicomanie.

Bah là en effet c'est une des définitions de la "guérison" (je fous des guillemets parce que certains, inspirés de la charte des A.A., sont persuadés qu'on ne guérit jamais et qu'on reste tox ou alcoolo à vie, même abstinent). C'est sûrement le degré de maitrise le plus élevé qu'on puisse avoir sur la substance : y avoir été dépendant, mais pouvoir en reprendre de temps à autres sans la moindre conséquence, c'est le top ! Malheureusement c'est ultra dur à obtenir
Ouais. En ce qui me concerne, c'est pas encore pour tout de suite, hein.
 

Neuronal

Holofractale de l'hypervérité
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schtroumpfette a dit:
Neuronal, j'étais d'accord avec toi jusqu'à ce que je lise ça :
Mais reconnaît quand même que la dépendance psychologique est d'une manière générale quand même beaucoup plus facile à gérer que la dépendance physique...
Désolée mais ça m'a fait bondir. Va t'en dire à un crackhead que sa dépendance est "facile à gérer" parce qu'elle n'est "que psychologique". Tu peux me croire, c'est pas parce que ça ne rend pas physiquement malade comme les opis ou l'alcool qu'arrêter est une partie de plaisir...

Désolé j'ai mal formulé ma phrase, je voulais bien comparer avec la dépendance physique, et non pas dire "facile d'une manière générale". Ahah oui j'ai dit "d'une manière générale" au temps pour moi (difficultés à m'exprimer...) mais faut l'interpréter différemment: je voulais dire "dans la majorité des cas".

Je suis d'accord avec le fait qu'un ancien dépendant physique qui passe à la "simple" dépendance psychologique a quand même du mal à réduire ses consos.

Ce que je voulais faire passer comme message c'est qu'il faut reconnaître un moment donné que dès le moment ou la dépendance est uniquement psychologique, cela entre dans la sphère de la volonté.
Bon bien-sûr cette notion dépends de chacun, et c'est souvent plus facile à dire qu'à faire, mais je dis juste que c'est pas impossible (alors qu'avec la dépendance physique il faut quasi-obligatoirement un traitement puisque le corps réclame).

Tout ce que je fais c'est mettre en évidence la nuance entre dépendance physique et psychologique, si aucune différence il n'y aurait entre les 2 ces termes n'auraient pas lieu d'exister.

Et j'approuve la première partie du post de Vixen.
 

mérimin

Sale drogué·e
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15 Sept 2011
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Salut neuron'

Neuronal31 a dit:
la "simple" dépendance psychologique
Tu sembles sous-estimer la souffrance psychique et ses vicieuses formes (mamelles de Succube toussa).

Neuronal31 a dit:
Ce que je voulais faire passer comme message c'est qu'il faut reconnaître un moment donné que dès le moment ou la dépendance est uniquement psychologique, cela entre dans la sphère de la volonté.
La volonté est complètement écrasée par la dépendance, je dirais même remplacée.
Si t'as de la chance, tu te rends compte que ton conscient se met à formuler des arguments construits par le subconscient pour pouvoir continuer à se doper pépère.. si t'as d'la chance.
Et c'est pas de s'en rendre compte qui aide énormément, en plus.. !

Neuronal31 a dit:
avec la dépendance physique il faut quasi-obligatoirement un traitement puisque le corps réclame.
Le cerveau fait partie du corps. Lorsqu'on développe une dépendance, qui de plus n'est pas physique, c'est souvent l'expression d'une souffrance (elle-même souvent inconsciente ou niée/diminuée par le conscient).
Ces souffrances nécessitent aussi quasi-obligatoirement également un "traitement".
Certains s'en passent (ou se l'auto-applique), comme d'autres se passent d'un traitement pour "décrocher".

Neuronal31 a dit:
Tout ce que je fais c'est mettre en évidence la nuance entre dépendance physique et psychologique, si aucune différence il n'y aurait entre les 2 ces termes n'auraient pas lieu d'exister.
Bah, à te lire, on a plutôt l'impression que t'essayes de faire passer la psychologique pour de la rigolade en comparaison de la physique ;)

[Théorie sans connaissance]
La dépendance psychologique est une dépendance physique particulière, puisque les causes et symptomes trouvent leur place dans la chimie du cerveau. Cela n'en fait pas une dépendance moins concrète pour autant !
[J'arrête]

LFA a dit:
Ces bouffons de ma mutuelle qui comprennent rien et qui veulent pas me rembourser mes lentilles (100E) sous prétexte qu'ils ont soit disant c'est pas pris en charge bla bla, alors que si, ca l'est et il l'ont déjà fait. Je vais devoir leur renvoyer un courrier pour leur dire que c'est des bolosses et attendre encore 3 semaines, et en attendant je suis dans la merde.
Tu peux pas leur faire la lecture de ton contrat par téléphone ?
 
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