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@puki : S'il n'y a pas de mensonges qui envahissent ta vie ou simplement de réalité que tu cherches à te cacher pour mieux vivre, au moment de la prise, je ne vois pas de raisons que ça se passe mal, si le S&S est au top !
En plus en nature, y a tellement à ressentir de ce qui nous entoure que la réflexion passe facilement au 2nd plan (c'pas pour autant que mentalement c'pas présent hein ! Juste que les effets se vivent à fond, on se laisse porter ; on cherche moins à prendre du recul sur eux. Essayer de reprendre le contrôle en nageant à contre-courant étant la meilleure façon de s'épuiser et de se noyer - même si rationaliser fait du bien.)
Avoir l'habitude de fouiller sa psyché est une chose, avoir l'habitude de farfouiller dans sa tête sous psyché en est une autre
Je ne cherche pas à mettre en doute tes capacités d'introspection et de lâcher-prise, au contraire j'pense qu'il peut être là le problème. J'suis loiiin d'être aussi rodé que toi niveau confrontation à son esprit, mais il m'est arrivé d'être surpris : c'est en me laissant partir relativement loin, tout en pensant ne pas franchir les limites de sécurité, que je me suis pris mes plus belles baffes. Il aura suffit de 10 secondes de réflexion pour que bam, tout ma structure mentale soit remise en cause, en deux phrases porteuses de milles symboles. Et c'est pas parce que sur le coup la révélation est accueillie par un rire grâce à l'euphorie artificielle de la molécule qu'on se sent pas estropié après.
Pareil pour la musique, partir loin sur Welcome to the Machine peut s'avérer un acte de masochisme, pas comme après un joint :'D
Sinon, la faible dose en appart' me parait pas une idée top, la pièce s'avère vite trop petite pour contenir l'expansion de conscience, on vire vite claustro haha. Par contre ça favorise du coup le dialogue inter-perché, ce qui peut amener à une expérience intéressante... ou amener à des révélations qui font ouille encore plus vite.
Mon intuition me dit qu'un 1er trip en nature te conviendrait bien, va savoir pourquoi. C'est p'tet juste que je fais une analogie avec ma 1ere expérience.
Des bisous !
En plus en nature, y a tellement à ressentir de ce qui nous entoure que la réflexion passe facilement au 2nd plan (c'pas pour autant que mentalement c'pas présent hein ! Juste que les effets se vivent à fond, on se laisse porter ; on cherche moins à prendre du recul sur eux. Essayer de reprendre le contrôle en nageant à contre-courant étant la meilleure façon de s'épuiser et de se noyer - même si rationaliser fait du bien.)
Avoir l'habitude de fouiller sa psyché est une chose, avoir l'habitude de farfouiller dans sa tête sous psyché en est une autre

Je ne cherche pas à mettre en doute tes capacités d'introspection et de lâcher-prise, au contraire j'pense qu'il peut être là le problème. J'suis loiiin d'être aussi rodé que toi niveau confrontation à son esprit, mais il m'est arrivé d'être surpris : c'est en me laissant partir relativement loin, tout en pensant ne pas franchir les limites de sécurité, que je me suis pris mes plus belles baffes. Il aura suffit de 10 secondes de réflexion pour que bam, tout ma structure mentale soit remise en cause, en deux phrases porteuses de milles symboles. Et c'est pas parce que sur le coup la révélation est accueillie par un rire grâce à l'euphorie artificielle de la molécule qu'on se sent pas estropié après.
Pareil pour la musique, partir loin sur Welcome to the Machine peut s'avérer un acte de masochisme, pas comme après un joint :'D
Sinon, la faible dose en appart' me parait pas une idée top, la pièce s'avère vite trop petite pour contenir l'expansion de conscience, on vire vite claustro haha. Par contre ça favorise du coup le dialogue inter-perché, ce qui peut amener à une expérience intéressante... ou amener à des révélations qui font ouille encore plus vite.
Mon intuition me dit qu'un 1er trip en nature te conviendrait bien, va savoir pourquoi. C'est p'tet juste que je fais une analogie avec ma 1ere expérience.
Des bisous !