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Dragon Rouge, avec Anthony Hopkins. :)
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J - 4 avant Interstellar !! Je l'attend avec impatience ce film. J’espère que " le monologue sur le pouvoir de l'amour " ne gâchera pas ce Nolan ....
Mais en tout cas, Sinc city 2 est le dernier film que j'ai vu. Mieux ou moins bien que le premier opus ? A vous les studio !
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Franchement interstellar y a pas à hésiter je pense! Et le dernier sincity ... voila quoi c'est super mal rythmé, les acteurs sans charismes! Heureusement les voix off sont toujours au top
"Penalities against possession of a drug should not be more damaging to an individual than use of the drug itself"
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"The Giver", excellent sujet dystopique (mieux que "divergente" ...), excellente mise en scène et en images, bon casting ...
Fin un peu torchée, mais finalement plutôt adaptée au reste du film ...
Aprem ciné débrief :
Magic in the moonlight (Woody Allen) : A la fois simple et terriblement intelligent, woody nous emporte avec trois fois rien, le sourire d'Emma Stone, le sud de la france, un jeu de dupes... La lumière sublime le film sur chaque plan, Emma Stone détone par son charme et sa malice, pas étonnant que woody l'ai choisie j'aurais fait pareil, j'ai craqué sur elle en la voyant au côté de l'araignée. Surment pas une oeuvre majeur de la filmo du vieux mais une délicieuse friandise qui reste longtemps en bouche.
Mommy (Xavier Dolan) : Ca devait être la palme 2014 mais cela n'était pas du gout de Winding Refn (Drive, Pusher) qui s'est oposé de tout son être pour empecher le triomphe du minet. C'est peut être rude mais je pense qu'il a eu raison, Mommy ne mérite pas la palme a mon sens. Certe le film est excellent et il est difficile de ne pas être pris dans le grand 8 émotionnel qui s'inflige à nous et de ne pas être ébahit comme un gosse devant les tours de passe passe pourtant gros comme des immeubles. Dolan sait jouer avec le spectateur, maitrise ses effets, cale bien ses samples (céline dion lol), sublime ses acteurs mais là ou à mon sens le film pêche c'est qu'il montre les limites du projet "Dolan", le jeune prodige travail beaucoup et je pense qu'il devrait un peu levé le pied, si il continue comme ça on fleurtera avec la caricature. Je pense qu'il devrait prendre du recul et sortir un peu de son univers qu'on commence a trop bien cerner pour ne pas gâcher son talent.
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Haute-Tension. Ben mince c'était bien pourri en fait.
Et dans la semaine :
- Hausu (Génial !)
- Lords of Salem (Assez cool)
- Where The Buffalo Roams (un film sur Thompson avec Bill Murray, sympa)
- De battre mon cœur s'est arrêté (pas trop mal)
- Guilty of Romance
Hausu c'est un film de maison hantée japonais des années 70. Un genre de Suspiria ultra psychédélique et à se tordre de rire en permanence. Des effets visuels et sonores ultra kitch en permanence, des chats qui lancent des sorts...
Guilty of Romance, du Sono Sion bien mûri : franchement joli et putain de barré et extrême.
Mes trips reports : The Death of Utopia, The Begining of the Dream
Le lâcher prise, c'est accepter de redevenir un enfant.
----------------------------
Ce qui importe avec l’expérience psychédélique, ou plus généralement spirituelle, ce n’est pas la vérité que l’on croit toucher du doigt, mais bien le chemin qu’elle nous fait parcourir sur notre rapport au soi, aux autres et à la vie.
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J'viens de me faire L'ami américain de Wim Wenders. J'aime toujours autant ce réalisateur, il sait foutre des ambiances de malade dans ses films. Et en parlant d'ambiance, et parce qu'il n'y a pas de section théâtre ici, j'ai eu la chance et l'honneur de pouvoir voir pour la première fois une pièce d'Ariane Mnouchkine au Théâtre du Soleil aujourd'hui, c'est-à-dire Macbeth... Et question ambiances, putain ce qu'elle envoie ! Un savant mélange d'années 50, de politiques dictatoriales, de fantastique écossais et de drame psychologique... Changement de décor sous les lumières et à chaque fois des trouvailles de dingue.
It went back, maniacally, to further earlier events in this gnashing huge movie of earth only a piece of which here's offered by me, long tho it is, how wild can the world be until finally you realize "O well it's just repetitious anyway."
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Sludge a écrit : Haute-Tension. Ben mince c'était bien pourri en fait.
Putain merde, dans mes souvenirs c'était bien cool pourtant... arf faut que je le revois du coup ^^
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J'ai revu ce film il y a pas longtemps: Auch Zwerge haben klein angefangen de Werner Herzog, c'est des nains allemands dans un asile qui se révoltent c'est pas non plus transcendant mais il y a des scènes vraiment cultes. Mon personnage préféré :
[YOUTUBE]EUUpw4lOuEA[/YOUTUBE]
je vous conseille ses autres films aussi d'ailleurs c'est toujours assez spécial l'Enigme de Kaspar Hauser par exemple ("Kaspar enfermé depuis l'enfance découvre le monde sous la conduite bienveillante du professeur Daumer. Il va vite se heurter aux codes et carences de ce nouvel univers qui va jusqu'à broyer son existence et son humanité") ou [I]Stroszek ("a retarded ex-prisoner, a little old man and a prostitute, who leave Germany to begin a new life in a house trailer in Wisconsin)[/I], dans ses documentaires Grizzly Man c'est un gars assez autiste qui a vécu treize étés avec des grizzly en Alaska on voit tous les films qu'il a fait dans ses expéditions.., puis la Grotte des Rêves Perdus, c'est sur les peintures de la grotte Chauvet.
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Bon sinon personne n'a un vrai film d'épouvante bien hardcore et bien mental? Pas forcément du gore; je déteste ça mais quelque chose de pas trop connu et flippant.
Tout ce que j'ai regardé jusqu'a présent ne me satisfait qu'a moitié... Sauf... Eleven (c'est pas de l'épouvante mais très bien filé comme scénario.) un peu dans le genre "Le nombre 23" mais en plus religieux.
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D'Haneke je conseillerais plutôt Le Septième Continent. Pour le coup c'est très très mental, en fait l'ambiance est juste asphyxiante du début à la fin. Génialissime.
HA OUI, et Benny's Video. Un peu moins transcendant, mais l'attitude du jeune garçon après son meurtre, le contexte, la violence ultra libidineuse qu'on ressent, la relation avec la mère... Tout ceci soutenu par la manière géniale qu'a Haneke de filmer, de jamais donner de leçon (jamais), de contempler juste un état mental, une structure psychologique, avec attention, rarement avec peur.
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L'Ombilic a écrit : D'Haneke je conseillerais plutôt Le Septième Continent. Pour le coup c'est très très mental, en fait l'ambiance est juste asphyxiante du début à la fin. Génialissime.
Oh mais j'ai jamais vu celui-ci ! Je vais rattraper ça. :D
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Depuis mon expérience absolument transcendante de Under The Skin sous MXE, je me tâte (même si c'est pas catholique) à me faire toute la filmographie de Haneke avec Mixie. Enfin surtout Le Septième Continent, Benny's Video et les 71 Fragments d'une Chronologie du hasard...
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Lucid2.0 a écrit : Bon sinon personne n'a un vrai film d'épouvante bien hardcore et bien mental? Pas forcément du gore; je déteste ça mais quelque chose de pas trop connu et flippant.
Tout ce que j'ai regardé jusqu'a présent ne me satisfait qu'a moitié... Sauf... Eleven (c'est pas de l'épouvante mais très bien filé comme scénario.) un peu dans le genre "Le nombre 23" mais en plus religieux.
tu connais 1408 avec John Cusack et samuel l jackson?? je ne suis pas trop fan des films d'épouvantes car peu sensible et réceptif, mais je dois avouer que celui ci m'avais bien accroché.
Il est tellement plus facile d´être méchant pour sauver les apparences, que d'accepter la vérité au risque de se sentir ridicule...
Le ridicule ne tue pas. Ce qui ne te tue pas te rend plus fort. CQFD
La facilité est le refuge le plus dangereux qui existe, car il est tellement difficile d'en sortir...
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J'ai revu dans l'après-midi Stalker de Tarkovski. ( Stalker - CinéLounge )
Absolu chef-d’œuvre mataphysico-contemplatif ( j'imagine que c'est comme ça qu'on dit. C'est sans importance )
Les thématiques sont variées mais c'est en gros une tentative de remettre la foi ( quelle qu'elle soit ) au centre de l'être, lui rendre ce qu'il a pu oublier dans ses tourments quotidien. Je ne sais pas si c'est le meilleur film pour aborder Tarkovski mais c'est sans doute celui que je préfère. Il n'y a pas un seul plan à jeter.
« Les Barbares s’entre-regardèrent silencieusement. Ce n’était pas la mort qui les faisait pâlir, mais l’horrible contrainte où ils se trouvaient réduits.
La communauté de leur existence avait établi entre ces hommes des amitiés profondes. Le camp, pour la plupart, remplaçait la patrie ; vivant sans famille, ils reportaient sur un compagnon leur besoin de tendresse, et l’on s’endormait côte à côte, sous le même manteau, à la clarté des étoiles. Puis, dans ce vagabondage perpétuel à travers toutes sortes de pays, de meurtres et d’aventures, il s’était formé d’étranges amours, — unions obscènes aussi sérieuses que des mariages, où le plus fort défendait le plus jeune au milieu des batailles, l’aidait à franchir les précipices, épongeait sur son front la sueur des fièvres, volait pour lui de la nourriture ; et l’autre, enfant ramassé au bord d’une route, puis devenu Mercenaire, payait ce dévouement par mille soins délicats et des complaisances d’épouse. »
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Guardians of the Galaxy
Très bien. Très esthétique, très bien rythmé, très plaisant, très américain.
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Les Infidèles - film 2012 - AlloCiné
Avec Gilles Lellouche et Jean Dujardin.
Le sujet de ce film est l'infidélité masculine. Il est tourné par plusieurs réalisateurs et se compose d'autant de courts métrages, certains purement humoristiques, d'autres plus sérieux. L'ensemble est drôle et peut être profond si on souhaite s'y pencher.
Les personnages mis en scène sont tout ce qu'il y a de plus «classique» dans la culture française (employés, mariés, classe moyenne...). On est donc loin de faire le tour du sujet d'autant que le point de vue adopté est quasi-exclusivement masculin.
Bref une comédie pas ou peu moralisatrice, drôle, sympa quoi. Agréable à regarder pour peu qu'on apprécie ces acteurs. Et puis de quoi nourrir la réflexion sur le sujet.
Dans la version extended il y a un court métrage de Jan Kounen qui aurait été retiré de la version ciné à cause de son caractère trop décalé. J'ai pas encore vu celui-là.
Tout est vrai.
« Il arrive que la folie soit partagée par tous, on l'appelle alors la normalité. »
Artisan de Liberté
« La discipline est la différence entre ce que tu veux maintenant et ce que tu veux le plus. »
Anna
Le partage crée l'abondance.
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The Rover
Un western spaghetti moderne sauce australienne avec l'humour en moins qui nous plonge dans le "no man's land" aussie. Une ambiance glauque, morbide et pesante parfaitement obtenue grâce à la mise en scène, la réalisation et le jeu d'acteur. Tout l'intérêt du film réside dans cette ambiance et l'intensité de l'instant. L'histoire en elle même passe au second plan.
C'est l'histoire d'un mec qui veut récupérer sa bagnole... et il s'avère que c'est le mec le plus décidé du monde.
Un film à part, à voir.
edit :ninja:
La danza de la realidad Un ovni chilien complètement trippé, fantasmagorique, rocambolesque, théatral et poignant.
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J'ai vue Memento tout récemment.
L'histoire d'un mec qui n'a plus de mémoire à court terme et qui oublie tout au bout d'un quart d'heure.
Il vient de tuer un homme qu'il avait en photographie sur un polaroïd.
Mais qu'es-ce-qu'il l'a conduit à le tuer?
I am the divine spirit that harmonizes with the laws
projecting the digital loom,the tool of experiencing desire and finding ecstasy in process.
I am me, we are you
Il est donc primordial, y compris dans l'intérêt des teufs, de se mobiliser et de soutenir les amateurs de substances psychoactives.Peu importe si tu consommes des drogues ou pas. Nul n'a besoin d'être homo pour soutenir la Gay Pride.
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Lucid2.0 a écrit : Bon sinon personne n'a un vrai film d'épouvante bien hardcore et bien mental? Pas forcément du gore; je déteste ça mais quelque chose de pas trop connu et flippant.
Tout ce que j'ai regardé jusqu'a présent ne me satisfait qu'a moitié... Sauf... Eleven (c'est pas de l'épouvante mais très bien filé comme scénario.) un peu dans le genre "Le nombre 23" mais en plus religieux.
Salut lucid, en film bien fou que j'ai matté récemment je peux te conseiller "Inside",film espagnol, histoire d'une femme dans une maison mais j'en dis déja trop lol, bien sympa. En flippe bien réalisé j'ai vu Oculus et la on a affaire a du gros délire bien foutu et parfois flippant.
Sinon le dernier film que j'ai vu c'était Interstellar, j'ai surkiffé si on élude les passages comme dit plus haut ;)
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Regarde l'échelle de Jacob !
Moi j'ai revu Fievel au Far West ! Ben putain, il est trop bien !
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Lucid2.0 a écrit : Bon sinon personne n'a un vrai film d'épouvante bien hardcore et bien mental? Pas forcément du gore; je déteste ça mais quelque chose de pas trop connu et flippant.
Tout ce que j'ai regardé jusqu'a présent ne me satisfait qu'a moitié... Sauf... Eleven (c'est pas de l'épouvante mais très bien filé comme scénario.) un peu dans le genre "Le nombre 23" mais en plus religieux.
Suspiria si tu ne l'a pas vu
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-"Zodiac", avec un super duo : Jake Gyllenhaal et Robert Downey Jr.
Quelques "scènes" qui ne manquent pas de piments ;).
Une place de cinéma coûtant dans certains endroits plus cher qu'un paquet de clopes, j'y vais peu. Appâté par les deux bons films (car simples, si simples....) de Nolan que sont The Dark Knight et Inception, ainsi que par la présence de Matthew Kirendraitnimportekigay au casting, je suis allé voir le Interstellar il y a quelques semaines... Oh mon Dieu, quelle merde ! C'est objectivement le plus mauvais film jamais réalisé. Putain, j'ai en marre des blockbusters post-9/11 qui durent trois plombes, où il se passe rien, et cette BO horrible, et ces enjeux tarlouzesques ("va-t-il retrouver sa foutue gamine geignarde ?")...
InterNanar va.... Ont-ils seulement vu leur propre film ?
Surtout que la même année, Luc Besson s'est fait cracher à la gueule par tout ce que la France compte de pseudo-cinéphiles pour Lucy alors qu'il a offert au monde une LEçON MONUMENTALE. Et je pèse mes mots. Contre les blockbusters gris et chiants, il fait un pur truc de cinéma, millimétré, qui ne pète jamais plus haut que son cul mais exploite au maximum son sujet jusque dans ses limites (sérieux les jeunes, vous pensiez qu'il allait faire une dissertation sur la conscience et l'évolution ou bien ?), et se permet même des commentaires méta-filmiques d'autant plus insolents qu'ils sont "cachés" dans la narration (je ne spoilerai rien, mais c'est grand). Sérieux, y a plus de réflexion et de sens caché dans un seul plan de Lucy que dans la carrière entière de Nolan... En plus, on ne peut même pas insulter le film en le disant "féministe", pour une fois qu'on a une héroïne forte dont la sexytude n'est jamais niée mais qui n'emmerde pas le monde avec les souffrances de son vagin... Amenant d'ailleurs à *la* scène de baiser la plus intelligente de l'histoire du cinéma...
Enfin... c'est de bon ton en France de cracher sur Besson, le français qui fait bosser des français sur des films français d'envergure internationale, allant faire la nique aux américains dans leur propre langue... Ah, c'est populo, c'est à la portée de la compréhension du premier venu (les fables de La Fontaine, l'Evangile et Astérix aussi...), ça manque terriblement de couples homosexuels juifs qui veulent adopter des enfants de cité envers et contre toute une société réactionnaire, le tout filmé en décor réel, caméra DV à l'épaule, avec des acteurs non-professionnels... Nan, laissez le divertissement aux américains, ils le font tellement bien.
Ah, les français sont des veaux............
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Larry_Golade a écrit : Ah, les français sont des veaux............
Et des raleurs btw ;p.
Bon, "Samba" n'est pas aussi drole que "Intouchable". Je voulais surtout voir Charlotte  .
Mais genre un immigré qui vit depuis 10 ans à Paname, aussi candide ... c'est un putain de cliché.
(Je crois que je vais revenir sur de précédents posts ... ou pas)
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Dersou Ouzala de Akira Kurosawa, un film tourné en Russie, en Russe.
Dersou Ouzala est un chasseur Golde (ethnie d'extrême orient) vivant en nomade solitaire dans la taïga. Il rencontre un groupe d'explorateurs russes chargés de cartographier la région. A la demande de leur capitaine, il devient leur guide. La rencontre entre ce militaire humaniste (rafraîchissant) et cet homme nature à la vie dure sera le point de départ d'une puissante amitié. Les deux se vouent un respect et un amour sans faille et on ne peut qu'admirer celui du capitaine pour Dersou malgré sa culture très différente qui est au départ moquée par toute la troupe. Le Golde entretient un rapport tout particulier avec la taïga, respectant chacun de ses habitants, de l'arbre au rocher en passant par le tigre, envoyé des esprits. Malheureusement, survivre seul dans ce monde sauvage demande une santé de fer, et Dersou vieillit...
J'ai bien kiffé, comme tous les films du maître que j'ai vus... Faut que je me remate certains et que je continue sur ma découverte de son cinéma d'une beauté encore sidérante.
Larry, tu me donnes envie de mater Lucy pour me faire un avis, mais j'avoue que le dernier film que je t'ai vu commenter en bien sur le forum m'a fait chier comme un rat mort (le film avec l'ET séductrice qui aurait été cool s'il avait duré 30 minutes).
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Je passe en coup de vent. Juste pour dire que la scène dans Dersou Ouzala où Dersou sauve la capitaine du froid tandis que la nuit arrive est sublime. Après et étrangement ( parce que c'est typiquement le genre de film que j'adore ) j'ai pas plus accroché que ça.
Sinon là de suite je regarde enfin l’Échelle de Jacob. La première heure est folle ! Des scènes c'est pire qu'un bad trip LSD !
« Les Barbares s’entre-regardèrent silencieusement. Ce n’était pas la mort qui les faisait pâlir, mais l’horrible contrainte où ils se trouvaient réduits.
La communauté de leur existence avait établi entre ces hommes des amitiés profondes. Le camp, pour la plupart, remplaçait la patrie ; vivant sans famille, ils reportaient sur un compagnon leur besoin de tendresse, et l’on s’endormait côte à côte, sous le même manteau, à la clarté des étoiles. Puis, dans ce vagabondage perpétuel à travers toutes sortes de pays, de meurtres et d’aventures, il s’était formé d’étranges amours, — unions obscènes aussi sérieuses que des mariages, où le plus fort défendait le plus jeune au milieu des batailles, l’aidait à franchir les précipices, épongeait sur son front la sueur des fièvres, volait pour lui de la nourriture ; et l’autre, enfant ramassé au bord d’une route, puis devenu Mercenaire, payait ce dévouement par mille soins délicats et des complaisances d’épouse. »
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Pop Redemption, un film humoristique sur une bande de black métalleux qui font les cons.
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Larry_Golade a écrit : Matthew Kirendraitnimportekigay
Je ne suis d'accord qu'avec cette partie de ton message, mais je suis sacrément d'accord. |-)
Sinon je viens de voir The Matrix Reloaded. C'était... à pleurer par certains aspects, pseudo-philosophico-compliqué-artificiellement. Les combats étaient bêtes, moins bien chorégraphiés, inutiles. Y'avait Mickael de Lost avec les cheveux longs qui jouait pareil que dans la série. La scène tellement longue où Neo et Trinity niquent est... ah oui, chiante. L'Architecte est sous-sous-sous-exploité. Y'a plein de trucs qui sortent de nulle part, voire qui sont contradictoires avec le premier ( genre tout le monde devient cher fort). Ah ! Et le discours de Morpheus... je le gerbe. Voilà. Et ça finit comme de la merde. Bon bah, va falloir se matter le The Matrix Revolutions après ça.
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