distorsion
Neurotransmetteur
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- 23 Mai 2013
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Salut tout le monde 
C'est mon premier TR, je vais essayer de rassembler mes souvenir brouillés d'hier en écrivant cette fabuleuse (pour ne pas dire hallucinante !) aventure que j'ai entrepris hier après midi avec mon ami que je vais dénommer G: c'est ma 4ème prise de champotes (auparavant, mexicana, high hawaian et pierre philosophale). Avec ça quelques joints d'orange bud, de double zéro, puis le soir un royal, d'autres joyeusetés aux cannabinoïdes pulpeux le tout jonché d'une sorte d'état semi-conscient.
Le sachet en question contenait entre 16 et 18g, je me souviens plus trop, on l'a partagé en deux aux alentours de 15h30, le ciel était d'un bleu éclatant, parsemé de quelques petits cumulus nous contemplant en train de partager ce fabuleux fruit de la nature. Le set & setting s'est fait dans une ambiance posée avec un peu de reggae drum and bass la fenêtre ouverte donnant sur le square en face de chez moi: un petit plan de verdure pour bien démarrer la prise, ~8g chacun.
Nous trouvons le goût bien meilleur que les champotes que l'on à connus jusque là: un petit gout légèrement acide mais assez sucré, toujours avec cette forte odeur de bois, d'un tronc moussu dans une flore luxuriante.
On se prépare deux joints de H ainsi qu'un de weed: l'appel de la verdure se fait ressentir (if you know chat i mean), 10 min après l'ingestion et les préparatifs terminés, nous sortons nous poser au parc en face de chez moi, en haut d'une butte à l’abri du vent, une légère brise néanmoins et un soleil radieux, des chats nous tiennent compagnie mais ne tarderont pas à nous la fausser ; on met un peu de musique et discutons de tout et n'importe quoi pendant à peu près 15 min. La nature est omniprésente: oiseaux, insectes, de la verdure et des nuages ayant des formes de plus en plus étranges...
Au cœur des cieux et de la terre
La montée arrive, en douceur, G commence à ressentir des choses: en regardant le chat qui s'en va et s'arrête pour le regarder, il nous voit à travers ses yeux (comme s'il faisait une sorte de projection dans le corps du chat), ça lui arrive souvent ce genre de réaction, comme un pouvoir, de se voir à travers les gens, bien sûr quand il n'est pas complètement clean Puis quelques secondes après, comme s'il était les nuages, il voyait d'une vue panoramique la terre, il la survole mais ce n'est qu'un sentiment. Moi, je contemple deux grands pins devant moi, ils me regardent d'un air dubitatif, comme s'ils se posaient des questions. Le flot musical, quant à lui, coule toujours, une douce mélodie sur un fond rythmique proche du 180bpm Rien de tel pour monter en se prenant pour superman !
Les hallus viennent, le sol sur lequel nos pieds sont posés est fait de sable, de graviers et de grands tâches moussues, tel un terrain vague où la nature reprend peu à peu ses droits, nous le faisant savoir. En effet, en observant attentivement ce sol, circulaire avec 4 bancs en pierre, il me paraissait de plus en plus grand, mais cette perception n'était toujours qu'un vague sentiment, jusqu'à ce que G prenne les cailloux s'y trouvent pour des petites maisons. Je les regarde et me rend compte que oui. Quelques secondes plus tard, après une phase qui m'a parue une éternité, je vois ce sol comme étant la planète terre: les tâches de mousses un peu partout apparaissaient comme étant des montagnes pour G, pour moi aussi ^^
Le ciel, toujours d'un bleu éclatant, était toujours parsemé de nuages dont on croyait que certains nous faisaient des doigts d'honneur.
Quelques secondes plus tard, une visiteuse intéressée par notre trip, une guêpe, vole près de mon bras: je la voit comme étant mon amie.
Je commence à fermer les yeux et les premières fractales apparaissent: elles bougent, s'entre-croisent, dansent, c'est la valse du mushrock !
Je les ouvre et là, les arbres m’apparaissent bien plus intriguant qu'au début du trip. Je repensais à la suite de Fibonacci, au nombre d'or présent dans toute la nature, toutes les plantes et là, les branches d'arbres respectaient à la perfection cette configuration, tout état plus harmonieux: je disais à G que les branches d'arbres ressemblaient à des fractales, lui pensait à allumer la première fusée de double zéro, celle qui nous amènerait plus loin, plus haut.
Sur la rampe de lancement
Ça sent le chocolat !
Ce petit pétard ne tarda pas à me dresser les poil de nez (même si je n'en ai pas ou put être un léger duvet), toujours dans une ambiance champêtre, le joint terminé, soudain, un bruit étrange se fait entendre et résonne dans nos têtes pleines de psylocibine ... Qu'est-ce donc ? un Harmonica ? La musique de G s'était étrangement changée en hardtek dépassant le 200bpm et nous deux nous sommes interrogés sur cet étrange bruit: nous étions persuadés que c'était un harmonica, jusqu'à ce que par un élan de curiosité, je me lève et me rende compte que des gamins font du vélo en bas...
- C'était un klaxon ducon !
- T'es sûr ? je croyais que c'était un harmonica ?!
- Moi aussi mais faut croire que les hallus deviennent aussi auditives ! hahahaha !!
Étant suffisamment déphasé pour quelques instant, je tente de rétablir un meilleur confort de vol, ces turbulences auditives m'ayant quelque peu perturbé l'esprit. Je marche, la gravité change, je vois une vieille à quelques mètres de nous, assise tandis qu'une musique teintée d'un bruit sourd se fait entendre au loin...Je fais demi-tour, tente de me rasseoir quand tout d'un coup, G croit que le banc (en pierre !) vibre. Je m’asseoit, mais rien d’extraordinaire jusqu’à ce qu'une impression de séisme me passe par l'esprit, me posant toujours des questions sur la réalité: "est-ce que ce banc tremble vraiment ?" . Le moment de l'allumage de la deuxième fusée approche, il faut voler plus loin.
Les deux derniers ogives
On continue, ça tire, ça tire, mais on en oublie le champi, même si à l'heure où j'écris, mes souvenirs à partir de ce moment sont confus, je me souviens avoir regardé les deux bancs en face de moi et les avoir pris pour deux vaisseaux spatiaux se tirant dessus, G voyait plutôt des robinets.
Ma tête commençait à s'emplir de ce qui ressemblait à de l'hélium...ou du mercure...je ressentais une sorte de légèreté mais en même temps de la suspicion: allais-je exploser ? La faim commençais à se faire sentir, mais nous n'avions pas fini. Dernier pet de weed: toujours ce goût orangé, me faisant penser à des fruits. Je regardas l'horizon, fermait les yeux, les rouvrait puis les fermait et là débutait un voyage étrange dans des visuels assez complexes et difficilement descriptibles: la liberté emplissait mon corps, les effets corporels devaient être assez puissants car mes membres étaient en coton mas je me sentais comme libéré. Toujours les yeux fermés, je partais au delà des étoiles, virevoltait entre d'étranges nébuleuses fractales et autres formes aux couleurs saturées et à une fréquence d'apparition incalculable. Je rouvre les yeux et là, les couleurs des arbres se décomposent, ainsi que celles du sol. Les minutes passent, nous sommes tous deux en phase de redescendre.
Les montagnes russes
Nous rentrons chez moi, sans trop de difficultés pour se déplacer.
Dans ma chambre, nous remettons un peu de musique, je ne sais plus trop laquelle, mais nous faisons une pause sur la fumette.
Le ciel est toujours aussi bleu, je me met à la fenêtre et là, devant moi se dressait un chemin de goudron avec la pelouse descendant jusqu'en bas de l'immeuble (je suis au deuxième étage). Du bord du chemin, plusieurs couches de couleurs se décomposent dans l'herbe, et coulent le long de la pente, un spectacle assez étrange mais fascinant ! Puis là, l’aperçoit ce qui semble être des motifs sympas dans l'herbe, se changeant en feuilles de chêne géantes. G s'approche de la fenêtre sur ma chaise de bureau, et profite de ces instants magiques au soleil, ou du moins ce qu'il en reste car le ciel commençais à se couvrir :'(
Nous rentrons, puis là, ma chambre s'anime (pas visuellement), comme si l'espace était perturbé par une énergie invisible, indicible...
Je m'affale sur le clic-clac pour entamer la phase la plus intense du voyage: une phase un peu introspective dont les pensées qui me traversaient l'esprit étaient si surréalistes que j'en ai oublié une bonne plâtrée.
La musique continuait, puis, intérieurement, j’essayais de stimuler mon imagination (comme à mon habitude) en faisant danser de splendides fractales entre elles afin de donner vie à la musique qui déferlait en moi. Là, un bruit d'océan tint à mes oreilles, cela venait de cette même musique: je me prenait pour un bateau voguant sur des mers déchaînées.
La fin d'une aventure
es hallucinations diminuaient, j'étais toujours décalé par rapport à la réalité et nous nous en sommes vite rendus compte en regardant l'heure: 17h30 ?!
La musique bat son plein, les bières quant à elles se vident, et un son de hardtek nous propulse G et moi dans une sorte d'état de transe: en fermant les yeux, on pouvait voir des milliers d'ombres danser, déchainées sur le son, et nous prenions part à la teuf croyant être dans une rave party !
Les effets étant visiblement toujours là, mais étaient plus mentales. Nous écoutions de la musique et papotions, entre phases et petites hallus auditives jusqu'aux alentours de 21h, heure vers laquelle notre ami S rejoint la troupe: la ganja nous attendait, après deux bonnes pizza, la partie reprenait de plus belle, mais les effets des champotes se dissipaient sans qu'on s'en rende vraiment compte.
Voilà voilà, j'espère ne pas être trop parti en live dans mes explications qui pourraient vous paraître confuses à vos yeux.
J'ai essayé au mieux de me rapeller de cette folle journée ^^ j'espère que ça vous plaira
C'est mon premier TR, je vais essayer de rassembler mes souvenir brouillés d'hier en écrivant cette fabuleuse (pour ne pas dire hallucinante !) aventure que j'ai entrepris hier après midi avec mon ami que je vais dénommer G: c'est ma 4ème prise de champotes (auparavant, mexicana, high hawaian et pierre philosophale). Avec ça quelques joints d'orange bud, de double zéro, puis le soir un royal, d'autres joyeusetés aux cannabinoïdes pulpeux le tout jonché d'une sorte d'état semi-conscient.
Le sachet en question contenait entre 16 et 18g, je me souviens plus trop, on l'a partagé en deux aux alentours de 15h30, le ciel était d'un bleu éclatant, parsemé de quelques petits cumulus nous contemplant en train de partager ce fabuleux fruit de la nature. Le set & setting s'est fait dans une ambiance posée avec un peu de reggae drum and bass la fenêtre ouverte donnant sur le square en face de chez moi: un petit plan de verdure pour bien démarrer la prise, ~8g chacun.
Nous trouvons le goût bien meilleur que les champotes que l'on à connus jusque là: un petit gout légèrement acide mais assez sucré, toujours avec cette forte odeur de bois, d'un tronc moussu dans une flore luxuriante.
On se prépare deux joints de H ainsi qu'un de weed: l'appel de la verdure se fait ressentir (if you know chat i mean), 10 min après l'ingestion et les préparatifs terminés, nous sortons nous poser au parc en face de chez moi, en haut d'une butte à l’abri du vent, une légère brise néanmoins et un soleil radieux, des chats nous tiennent compagnie mais ne tarderont pas à nous la fausser ; on met un peu de musique et discutons de tout et n'importe quoi pendant à peu près 15 min. La nature est omniprésente: oiseaux, insectes, de la verdure et des nuages ayant des formes de plus en plus étranges...
Au cœur des cieux et de la terre
La montée arrive, en douceur, G commence à ressentir des choses: en regardant le chat qui s'en va et s'arrête pour le regarder, il nous voit à travers ses yeux (comme s'il faisait une sorte de projection dans le corps du chat), ça lui arrive souvent ce genre de réaction, comme un pouvoir, de se voir à travers les gens, bien sûr quand il n'est pas complètement clean
Puis quelques secondes après, comme s'il était les nuages, il voyait d'une vue panoramique la terre, il la survole mais ce n'est qu'un sentiment. Moi, je contemple deux grands pins devant moi, ils me regardent d'un air dubitatif, comme s'ils se posaient des questions. Le flot musical, quant à lui, coule toujours, une douce mélodie sur un fond rythmique proche du 180bpm Rien de tel pour monter en se prenant pour superman !Les hallus viennent, le sol sur lequel nos pieds sont posés est fait de sable, de graviers et de grands tâches moussues, tel un terrain vague où la nature reprend peu à peu ses droits, nous le faisant savoir. En effet, en observant attentivement ce sol, circulaire avec 4 bancs en pierre, il me paraissait de plus en plus grand, mais cette perception n'était toujours qu'un vague sentiment, jusqu'à ce que G prenne les cailloux s'y trouvent pour des petites maisons. Je les regarde et me rend compte que oui. Quelques secondes plus tard, après une phase qui m'a parue une éternité, je vois ce sol comme étant la planète terre: les tâches de mousses un peu partout apparaissaient comme étant des montagnes pour G, pour moi aussi ^^
Le ciel, toujours d'un bleu éclatant, était toujours parsemé de nuages dont on croyait que certains nous faisaient des doigts d'honneur.
Quelques secondes plus tard, une visiteuse intéressée par notre trip, une guêpe, vole près de mon bras: je la voit comme étant mon amie.
Je commence à fermer les yeux et les premières fractales apparaissent: elles bougent, s'entre-croisent, dansent, c'est la valse du mushrock !
Je les ouvre et là, les arbres m’apparaissent bien plus intriguant qu'au début du trip. Je repensais à la suite de Fibonacci, au nombre d'or présent dans toute la nature, toutes les plantes et là, les branches d'arbres respectaient à la perfection cette configuration, tout état plus harmonieux: je disais à G que les branches d'arbres ressemblaient à des fractales, lui pensait à allumer la première fusée de double zéro, celle qui nous amènerait plus loin, plus haut.
Sur la rampe de lancement
Ça sent le chocolat !
Ce petit pétard ne tarda pas à me dresser les poil de nez (même si je n'en ai pas ou put être un léger duvet
), toujours dans une ambiance champêtre, le joint terminé, soudain, un bruit étrange se fait entendre et résonne dans nos têtes pleines de psylocibine ... Qu'est-ce donc ? un Harmonica ? La musique de G s'était étrangement changée en hardtek dépassant le 200bpm et nous deux nous sommes interrogés sur cet étrange bruit: nous étions persuadés que c'était un harmonica, jusqu'à ce que par un élan de curiosité, je me lève et me rende compte que des gamins font du vélo en bas...- C'était un klaxon ducon !
- T'es sûr ? je croyais que c'était un harmonica ?!
- Moi aussi mais faut croire que les hallus deviennent aussi auditives ! hahahaha !!
Étant suffisamment déphasé pour quelques instant, je tente de rétablir un meilleur confort de vol, ces turbulences auditives m'ayant quelque peu perturbé l'esprit. Je marche, la gravité change, je vois une vieille à quelques mètres de nous, assise tandis qu'une musique teintée d'un bruit sourd se fait entendre au loin...Je fais demi-tour, tente de me rasseoir quand tout d'un coup, G croit que le banc (en pierre !) vibre. Je m’asseoit, mais rien d’extraordinaire jusqu’à ce qu'une impression de séisme me passe par l'esprit, me posant toujours des questions sur la réalité: "est-ce que ce banc tremble vraiment ?" . Le moment de l'allumage de la deuxième fusée approche, il faut voler plus loin.
Les deux derniers ogives
On continue, ça tire, ça tire, mais on en oublie le champi, même si à l'heure où j'écris, mes souvenirs à partir de ce moment sont confus, je me souviens avoir regardé les deux bancs en face de moi et les avoir pris pour deux vaisseaux spatiaux se tirant dessus, G voyait plutôt des robinets.
Ma tête commençait à s'emplir de ce qui ressemblait à de l'hélium...ou du mercure...je ressentais une sorte de légèreté mais en même temps de la suspicion: allais-je exploser ? La faim commençais à se faire sentir, mais nous n'avions pas fini. Dernier pet de weed: toujours ce goût orangé, me faisant penser à des fruits. Je regardas l'horizon, fermait les yeux, les rouvrait puis les fermait et là débutait un voyage étrange dans des visuels assez complexes et difficilement descriptibles: la liberté emplissait mon corps, les effets corporels devaient être assez puissants car mes membres étaient en coton mas je me sentais comme libéré. Toujours les yeux fermés, je partais au delà des étoiles, virevoltait entre d'étranges nébuleuses fractales et autres formes aux couleurs saturées et à une fréquence d'apparition incalculable. Je rouvre les yeux et là, les couleurs des arbres se décomposent, ainsi que celles du sol. Les minutes passent, nous sommes tous deux en phase de redescendre.
Les montagnes russes
Nous rentrons chez moi, sans trop de difficultés pour se déplacer.
Dans ma chambre, nous remettons un peu de musique, je ne sais plus trop laquelle, mais nous faisons une pause sur la fumette.
Le ciel est toujours aussi bleu, je me met à la fenêtre et là, devant moi se dressait un chemin de goudron avec la pelouse descendant jusqu'en bas de l'immeuble (je suis au deuxième étage). Du bord du chemin, plusieurs couches de couleurs se décomposent dans l'herbe, et coulent le long de la pente, un spectacle assez étrange mais fascinant ! Puis là, l’aperçoit ce qui semble être des motifs sympas dans l'herbe, se changeant en feuilles de chêne géantes. G s'approche de la fenêtre sur ma chaise de bureau, et profite de ces instants magiques au soleil, ou du moins ce qu'il en reste car le ciel commençais à se couvrir :'(
Nous rentrons, puis là, ma chambre s'anime (pas visuellement), comme si l'espace était perturbé par une énergie invisible, indicible...
Je m'affale sur le clic-clac pour entamer la phase la plus intense du voyage: une phase un peu introspective dont les pensées qui me traversaient l'esprit étaient si surréalistes que j'en ai oublié une bonne plâtrée.
La musique continuait, puis, intérieurement, j’essayais de stimuler mon imagination (comme à mon habitude) en faisant danser de splendides fractales entre elles afin de donner vie à la musique qui déferlait en moi. Là, un bruit d'océan tint à mes oreilles, cela venait de cette même musique: je me prenait pour un bateau voguant sur des mers déchaînées.
La fin d'une aventure
es hallucinations diminuaient, j'étais toujours décalé par rapport à la réalité et nous nous en sommes vite rendus compte en regardant l'heure: 17h30 ?!
La musique bat son plein, les bières quant à elles se vident, et un son de hardtek nous propulse G et moi dans une sorte d'état de transe: en fermant les yeux, on pouvait voir des milliers d'ombres danser, déchainées sur le son, et nous prenions part à la teuf croyant être dans une rave party !
Les effets étant visiblement toujours là, mais étaient plus mentales. Nous écoutions de la musique et papotions, entre phases et petites hallus auditives jusqu'aux alentours de 21h, heure vers laquelle notre ami S rejoint la troupe: la ganja nous attendait, après deux bonnes pizza, la partie reprenait de plus belle, mais les effets des champotes se dissipaient sans qu'on s'en rende vraiment compte.
Voilà voilà, j'espère ne pas être trop parti en live dans mes explications qui pourraient vous paraître confuses à vos yeux.
J'ai essayé au mieux de me rapeller de cette folle journée ^^ j'espère que ça vous plaira
