Sucre
Neurotransmetteur
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- 13 Août 2014
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Salut les amis
Alors voilà après quelques expériences a l'acide (pas forcément du LSD du vrai de vrai donc je préfère nommer ça comme ça) je vais vous raconter un trip qui a eu un impact conséquent sur ma vie.
Le contexte est assez agréable : un festival de trance et de techno Non-Stop pendant 48h dans la jolie campagne du sud est avec mes meilleurs amis. Système son de qualité, petit festival a taille humaine, tentes a quelques pas du festival, et une 20 aine de connaissance sur place. Je trouve le contexte donc assez sécuritaire, me disant que si il y a un soucis, je rencontrerais forcément quelqu un pour m'aider.
Le vendredi soir j'y suis allée mollot, quelques bieres et beaucoup de techno m'auront fait passées une très bonne soirée. Je mets mon réveil vers 06h30 pour pouvoir profiter du meilleur moment du festival : de la Trance au lever du soleil.
Bon malgré les conditions de sommeil pas tip top, mes courageux amis et moi nous dirigeonts dun pied ferme vers la scène trance. Jus d'orange, bonne trance, mes meilleurs amis et lever de soleil : bref, tout va bien. C est la que la décision de prendre un petit carton de bon matin traverse l'esprit de mon amie M et moi même.
Nous avions achetés la veille deux cartons (différents mais provenant du même vendeur) : un avec une dose tres classique et un autre avec une dose plus forte (celui ci soit disant du "vrai" lsd). On decide, étant déjà initiés toutes les deux a lacide de commencer par le carton le moins fort, avec une moitié chacune (sous le conseil du dealer, en effet ils étaient vraiment pas très fort).
Le soleil est au zhenit, il doit être aux alentours de 9h. Le carton fait son petit effet pendant environ 3h, on rigole bien avec mon amie mais on trouve les effets vraiment très légers.
Décidées a se prendre, une fois n'étant pas coutume, une réelle perche, mon amie et moi, décidons d'en reprendre un peu. On dévide, au vu des très faible effets déjà présents et des deux heures dattentes réglementaires déjà bien dépassées, de reprendre une moitié de carton.
On continue de danser et de profiter de cette merveilleuse matinée. Midi sonne, et le deuxième carton commence sérieusement a monter. A savoir que elle comme moi n'avions que des expériences tres positives avec l'acide dans le passé.
On commence a s'allonger dans le chill out a cote de la scène trance afin de profiter du son tout en étant allongées afin de mieux gérer la montée.
Et la, ça devient vraiment costaud. Ce qu'on avait oubliées , dans notre alcoolemie de la veille, c'est que le gentil monsieur nous avait indiquées de faon très RdR de ne prendre qu un quart de ce carton la (le deuxième). Et nous, dans notre bêtise, on avait pris une moitié.
Mon amie m indique que la montée commence a être vraiment tres forte pour elle. (Petit détail : il fera plus de 35°c ce jour la. Oups.)
Je ressens la même chose et essaie de rendre l'expérience positive. On reste un moment allongées a regarder le ciel. Et la, tout dun coup, VLAN. Le ciel est rose. C'était comme une explosion atomique de couleur. Les nuages sont comme des cristaux de flocon de neige se mêlant entre eux. Le spectacle est tout bonnement magnifique mais la chaleur deviens pesante. On ne dit rien car la montée est trop puissante pour partager.
C'est la qu une amie a moi (sobre), ne vois pas que je suis très défoncée et commence a se confier a moi. Petit problème : sa vie n'est pas toute rose, a elle, et je souffre dune sorte de compassion toujours exacerbée pour mes amis. Je plonge donc a moitié dans son mal être, par compassion. Au même moment, je reçoit un SMS dune amie dont jetait sans nouvelle depuis quelques semaines : cette dernière m'informe être en arrêt maladie depuis quelques semaines a cause dune dépression et quelle se trouve maintenant sous xanax.
Les larmes coulent sur mon visage, alors que le trip et la chaleur s'intensifient. Personne ne peut comprendre ce que je ressens et mon amie M decide de retourner au campement rejoindre d'autres amis. Je l'accompagne mais cet environnement ne me plait pas. Ça va pas trop la et j'ai besoin de voir une de mes meilleures amies : C ou V. Elles elles comprendront,elles elles maideront a me sentir mieux.
Mais V est partie hors du festival pour se baigner sans prévenir, et C es introuvable.
Je commence à m'inquiéter pour C que tout le monde na pas vue depuis longtemps. Je boucle dessus (sachant que V n'était pas la mon but était donc de retrouver C qui aurait du être dans les parages). Elle ne réponds pas alors qu'elle sait très bien que j'ai pris un trip. Je me sens abandonnée, je m'inquiète, je tourne en rond. J'ai besoin de mon amie et elle n'est pas la.
Cette phase dure assez longtemps. Une autre amie sobre que je connais peu me prends sous son aile, me fais boire et s'occupe de moi. Le son s'arrête pendant 3 h alors on va rejoindre d'autres amis a nous a l'autre bout du camping. Je me sens vraiment bizarre. Je profite pas du trip. Je veux voir c. Je decide de laisser m amie avec nos autres amis et m'en vais devant la scène : ils font seuelzpent les balances, il N y a plus de musique. Je me sens très seule.
Je suis entrain de vivre une sorte d'introspection très puissante : tout va bien ajd et même si le trip est fort, ça ne devrait pas me faire flancher comme ça. Et pourquoi je mobstine à vouloir voir c ? Pourquoi je ne peux pas aller mieux seule? Pourquoi je m'inquiète tout le temps (et souvent inutilement) pour les autres ? (Parfait exemple : je minquietais pour C qui ne répondait pas etc alors quelle était juste partie quelques heures se promener avec son copain dans la foret sans batterie. Rien d'inquiétant en soit.).
Sen suit une très longue introspection. Au même moment mon meilleur ami L m'appelle pour prendre des nouvelles de moi. Il me connait par coeur,et je lui fais par de mes doutes sur des aspects de ma personnalité. Il comprends totalement mon trip et m'aide a mieux me comprendre moi même (via son avis externe et juste) et a m'aider a voir les choses plus positivement (jetait déjà sur le bon chemin après ma longue introspection). J'ai l'impression de voir clair en moi.
J'ai l'impression que je me mens a moi même depuis un moment et que j'accuse les autres de mes propres soucis et que mon inquiétude pour mes proches est parfois exagérée, mal placée, et parfois presque malsaine. C'est comme si je voyais soudainement tous les petits défauts que je n'avais jamais eu le courage de voir au quotidien.
La chaleur redescend. Le trip aussi. Je passe ensuite une excellente soirée avec mes amis : C et V sont de retour, ça m'aide beaucoup, je leur parle de mon trip et elles m'aide. Malgré la puissance et la longueur de mon apres midi psychédélique sous le caniard,je passe une excellente soirée devant un concert de trip hop / jazz / rap (assez surprenant pour le festoche et franchement agréable).
Je vais au lit quelques heures a une heure convenable avec ma partenaire de trip, on s'en dors en cuillère afin de se reconforter de cette longue journée (elle aussi a vécu un trip pas tout rose) et nous endormons.
On se lève le matin vers 06h pour aller voir nos artistes de trance préféres du festival. Pas une goutte de drogue ou d'alcool, le jus d'orange et l'eau sera mon seul plaisir de la journée (ainsi que de délicieuses crêpes au champignon, miam). Le soleil se lève doucement, la musique est parfaite, mes amis sont la et je me sens tees bien. En revanche, je ne décroché pas un mot et me plonge dans le set de trance psychédélique matinal.
Je suis dans un sorte dafterglow, et je mets plus de 2h devant le son a repenser a ma journée de la veille. J'en tire les mêmes conclusion qu en fin d introspection. Je me sens très bien, heureuse d avoir mis certains aspects de ma personnalité sous les projecteurs de ma conscience.
J'ai l'impression, devant le son, de recoller peu a peu ma personnalité. J'ai l'impression de renaitre un peu, d'être moi en mieux : en plus consciente de mes défauts et qualités.
Je pense ensuite au chemin a parcourir pour changer toutes ces petites choses chez moi que je n'aime pas et qui peuvent faire du tort aux autres. Je sais que ce sera un combat qui nécessitera des tonnes de petits efforts quotidien pour lutter contre un certain pan de ma nature que je n'apprécie guère.
Je prends de bonnes résolution que j'ai plus ou moins tenue (surtout plus. J'en suis globalement très fière) depuis ces quelques mois (le trip date d'il y a plus de 6 mois).
Pour résumer : ce sentiment de recoller ma personnalité en mieux, avec l'espoir de devenir quelqu un de meilleur et de plus conscient ne s'est pas évaporés avec le temps.
Quand je pense a tous les changements positifs et radicaux qui ont eu lieu depuis ce trip, je me rends bien compte que ce n'était pas un état d'esprit passagé. Certes c'est la drogue qui ma provoqué un déclic et je ne pense pas que ce soit une solution pour personne, mais je ne le regrette aucunement. J'avoue en revanche que la dose que j'ai pris (un quart de trop) ce n'était pas RDR et je ne peux que conseiller aux autres d'être très prudent face a ça.
Mais concernant mon cas personnel je suis ravie du tournant que ça a pris et j'en viens a ne pas regretter ce "bad" mais plutôt être consciente de ce que ça ma appris sur moi même et d'être reconnaissante d'avoir pu m'en sortir si positivement au final.
Voilà je voulais partager cette expérience personnelle avec vous. J'espère quelle vous a plu et n'hésitez pas a commenter si vous avez vécus quelque chose de semblable.
Alors voilà après quelques expériences a l'acide (pas forcément du LSD du vrai de vrai donc je préfère nommer ça comme ça) je vais vous raconter un trip qui a eu un impact conséquent sur ma vie.
Le contexte est assez agréable : un festival de trance et de techno Non-Stop pendant 48h dans la jolie campagne du sud est avec mes meilleurs amis. Système son de qualité, petit festival a taille humaine, tentes a quelques pas du festival, et une 20 aine de connaissance sur place. Je trouve le contexte donc assez sécuritaire, me disant que si il y a un soucis, je rencontrerais forcément quelqu un pour m'aider.
Le vendredi soir j'y suis allée mollot, quelques bieres et beaucoup de techno m'auront fait passées une très bonne soirée. Je mets mon réveil vers 06h30 pour pouvoir profiter du meilleur moment du festival : de la Trance au lever du soleil.
Bon malgré les conditions de sommeil pas tip top, mes courageux amis et moi nous dirigeonts dun pied ferme vers la scène trance. Jus d'orange, bonne trance, mes meilleurs amis et lever de soleil : bref, tout va bien. C est la que la décision de prendre un petit carton de bon matin traverse l'esprit de mon amie M et moi même.
Nous avions achetés la veille deux cartons (différents mais provenant du même vendeur) : un avec une dose tres classique et un autre avec une dose plus forte (celui ci soit disant du "vrai" lsd). On decide, étant déjà initiés toutes les deux a lacide de commencer par le carton le moins fort, avec une moitié chacune (sous le conseil du dealer, en effet ils étaient vraiment pas très fort).
Le soleil est au zhenit, il doit être aux alentours de 9h. Le carton fait son petit effet pendant environ 3h, on rigole bien avec mon amie mais on trouve les effets vraiment très légers.
Décidées a se prendre, une fois n'étant pas coutume, une réelle perche, mon amie et moi, décidons d'en reprendre un peu. On dévide, au vu des très faible effets déjà présents et des deux heures dattentes réglementaires déjà bien dépassées, de reprendre une moitié de carton.
On continue de danser et de profiter de cette merveilleuse matinée. Midi sonne, et le deuxième carton commence sérieusement a monter. A savoir que elle comme moi n'avions que des expériences tres positives avec l'acide dans le passé.
On commence a s'allonger dans le chill out a cote de la scène trance afin de profiter du son tout en étant allongées afin de mieux gérer la montée.
Et la, ça devient vraiment costaud. Ce qu'on avait oubliées , dans notre alcoolemie de la veille, c'est que le gentil monsieur nous avait indiquées de faon très RdR de ne prendre qu un quart de ce carton la (le deuxième). Et nous, dans notre bêtise, on avait pris une moitié.
Mon amie m indique que la montée commence a être vraiment tres forte pour elle. (Petit détail : il fera plus de 35°c ce jour la. Oups.)
Je ressens la même chose et essaie de rendre l'expérience positive. On reste un moment allongées a regarder le ciel. Et la, tout dun coup, VLAN. Le ciel est rose. C'était comme une explosion atomique de couleur. Les nuages sont comme des cristaux de flocon de neige se mêlant entre eux. Le spectacle est tout bonnement magnifique mais la chaleur deviens pesante. On ne dit rien car la montée est trop puissante pour partager.
C'est la qu une amie a moi (sobre), ne vois pas que je suis très défoncée et commence a se confier a moi. Petit problème : sa vie n'est pas toute rose, a elle, et je souffre dune sorte de compassion toujours exacerbée pour mes amis. Je plonge donc a moitié dans son mal être, par compassion. Au même moment, je reçoit un SMS dune amie dont jetait sans nouvelle depuis quelques semaines : cette dernière m'informe être en arrêt maladie depuis quelques semaines a cause dune dépression et quelle se trouve maintenant sous xanax.
Les larmes coulent sur mon visage, alors que le trip et la chaleur s'intensifient. Personne ne peut comprendre ce que je ressens et mon amie M decide de retourner au campement rejoindre d'autres amis. Je l'accompagne mais cet environnement ne me plait pas. Ça va pas trop la et j'ai besoin de voir une de mes meilleures amies : C ou V. Elles elles comprendront,elles elles maideront a me sentir mieux.
Mais V est partie hors du festival pour se baigner sans prévenir, et C es introuvable.
Je commence à m'inquiéter pour C que tout le monde na pas vue depuis longtemps. Je boucle dessus (sachant que V n'était pas la mon but était donc de retrouver C qui aurait du être dans les parages). Elle ne réponds pas alors qu'elle sait très bien que j'ai pris un trip. Je me sens abandonnée, je m'inquiète, je tourne en rond. J'ai besoin de mon amie et elle n'est pas la.
Cette phase dure assez longtemps. Une autre amie sobre que je connais peu me prends sous son aile, me fais boire et s'occupe de moi. Le son s'arrête pendant 3 h alors on va rejoindre d'autres amis a nous a l'autre bout du camping. Je me sens vraiment bizarre. Je profite pas du trip. Je veux voir c. Je decide de laisser m amie avec nos autres amis et m'en vais devant la scène : ils font seuelzpent les balances, il N y a plus de musique. Je me sens très seule.
Je suis entrain de vivre une sorte d'introspection très puissante : tout va bien ajd et même si le trip est fort, ça ne devrait pas me faire flancher comme ça. Et pourquoi je mobstine à vouloir voir c ? Pourquoi je ne peux pas aller mieux seule? Pourquoi je m'inquiète tout le temps (et souvent inutilement) pour les autres ? (Parfait exemple : je minquietais pour C qui ne répondait pas etc alors quelle était juste partie quelques heures se promener avec son copain dans la foret sans batterie. Rien d'inquiétant en soit.).
Sen suit une très longue introspection. Au même moment mon meilleur ami L m'appelle pour prendre des nouvelles de moi. Il me connait par coeur,et je lui fais par de mes doutes sur des aspects de ma personnalité. Il comprends totalement mon trip et m'aide a mieux me comprendre moi même (via son avis externe et juste) et a m'aider a voir les choses plus positivement (jetait déjà sur le bon chemin après ma longue introspection). J'ai l'impression de voir clair en moi.
J'ai l'impression que je me mens a moi même depuis un moment et que j'accuse les autres de mes propres soucis et que mon inquiétude pour mes proches est parfois exagérée, mal placée, et parfois presque malsaine. C'est comme si je voyais soudainement tous les petits défauts que je n'avais jamais eu le courage de voir au quotidien.
La chaleur redescend. Le trip aussi. Je passe ensuite une excellente soirée avec mes amis : C et V sont de retour, ça m'aide beaucoup, je leur parle de mon trip et elles m'aide. Malgré la puissance et la longueur de mon apres midi psychédélique sous le caniard,je passe une excellente soirée devant un concert de trip hop / jazz / rap (assez surprenant pour le festoche et franchement agréable).
Je vais au lit quelques heures a une heure convenable avec ma partenaire de trip, on s'en dors en cuillère afin de se reconforter de cette longue journée (elle aussi a vécu un trip pas tout rose) et nous endormons.
On se lève le matin vers 06h pour aller voir nos artistes de trance préféres du festival. Pas une goutte de drogue ou d'alcool, le jus d'orange et l'eau sera mon seul plaisir de la journée (ainsi que de délicieuses crêpes au champignon, miam). Le soleil se lève doucement, la musique est parfaite, mes amis sont la et je me sens tees bien. En revanche, je ne décroché pas un mot et me plonge dans le set de trance psychédélique matinal.
Je suis dans un sorte dafterglow, et je mets plus de 2h devant le son a repenser a ma journée de la veille. J'en tire les mêmes conclusion qu en fin d introspection. Je me sens très bien, heureuse d avoir mis certains aspects de ma personnalité sous les projecteurs de ma conscience.
J'ai l'impression, devant le son, de recoller peu a peu ma personnalité. J'ai l'impression de renaitre un peu, d'être moi en mieux : en plus consciente de mes défauts et qualités.
Je pense ensuite au chemin a parcourir pour changer toutes ces petites choses chez moi que je n'aime pas et qui peuvent faire du tort aux autres. Je sais que ce sera un combat qui nécessitera des tonnes de petits efforts quotidien pour lutter contre un certain pan de ma nature que je n'apprécie guère.
Je prends de bonnes résolution que j'ai plus ou moins tenue (surtout plus. J'en suis globalement très fière) depuis ces quelques mois (le trip date d'il y a plus de 6 mois).
Pour résumer : ce sentiment de recoller ma personnalité en mieux, avec l'espoir de devenir quelqu un de meilleur et de plus conscient ne s'est pas évaporés avec le temps.
Quand je pense a tous les changements positifs et radicaux qui ont eu lieu depuis ce trip, je me rends bien compte que ce n'était pas un état d'esprit passagé. Certes c'est la drogue qui ma provoqué un déclic et je ne pense pas que ce soit une solution pour personne, mais je ne le regrette aucunement. J'avoue en revanche que la dose que j'ai pris (un quart de trop) ce n'était pas RDR et je ne peux que conseiller aux autres d'être très prudent face a ça.
Mais concernant mon cas personnel je suis ravie du tournant que ça a pris et j'en viens a ne pas regretter ce "bad" mais plutôt être consciente de ce que ça ma appris sur moi même et d'être reconnaissante d'avoir pu m'en sortir si positivement au final.
Voilà je voulais partager cette expérience personnelle avec vous. J'espère quelle vous a plu et n'hésitez pas a commenter si vous avez vécus quelque chose de semblable.
