Guigz
Holofractale de l'hypervérité
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- 18/9/08
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Voilà 8 semaines que mes activités psychédéliques sont mises de cotées, pas par ce que je le voulais, j’y ai été contraint !
La pire des choses…
Contraint par une blessure à la main et un traitement de cheval, incompatible avec un trip.
Mais c’est fini…et mon retour sur la scène a été fêté ce week-end.
Les frustrations emmagasinées aux cours de ces semaines, mêlé à l’impatience de « re-tâter » ainsi que le cadre ( Lille by night ) ne me mettait pas dans les meilleures conditions.
Un p’tit TR :
78kg
LSD ( 1 hoffman ), Amphétamine ( 1 gr ), MDMA ( environ 0.5gr ), 4FMP ( 1 pills dosage inconnu)
Sachant que je redevenais valide, un fidèle camarade m’invita à participer à une activité habituelle pour nous : l’errance sous acide dans Lille !
Activité estivale…l’été est bien loin ! Il va faire froid
T+0 :00 : Train dans 10mn, sur le quai je m’enfile le 4FMP, il devrait faire effet arrivé a Lille. Bordel il caille. Il faut le convaincre de rester chez lui, le trip est mauvais lorsqu’on a froid. Je me pose tout un tas de questions sur le déroulement de cette soirée. C’est que ça fait longtemps pour moi. J’appréhende. Ca ira mieux dans 30mn…
T+0 : 45 : Pas manquer, je ne me pose plus ces questions pour le moment, je me dis que la nana en face de moi doit se demander pourquoi j’ai cette tête.
Le train arrive, le pote est rejoins. La soirée commence par des flots d’alcool, très peu pour moi, Black absinthe…c’est fort.
T+1 : 45 : 250mg de S en para. Le pote a les cartons, l’appréhension revient, normal, trip fixé sur la langue.
L’appart est chaud, il y de l’espace, de plus il m’est familier, conditions au top.
La weed en douille nous accompagnent. Toute la nuit.
Phase d’anxiété dépassée, quelqu’un tente de m’ouvrir le crâne en tirant sur mes cheveux…sérieux…nan, ça va mieux.
Beaucoup de visu à ce moment. Mon pote en est au même point, ça craint dans ces moments là, il veut sortir…mais il fait froid…
T+2 :30 : Le S et le LSD, quelle bonheur, parfois c’est un peu dur aussi. Comme maintenant, je me pose de nouveau ces questions sur le déroulement de ce trip, je commence à faire une fixation, ce n’est pas bon. Pense à autre chose. Ah oui, au fait, nous sommes dehors.
Dans un parc, nous croisons des mecs très excités, mes potes y vont, mini embrouille, puis ils se rendent compte que nous sommes « perchés », ça rapproche ces choses des fois. Eux aussi le sont, à la MDMA, humm.
T+3 :00 : J’ai trop froid, le S peut m’aider. 250mg en para.
Cette soirée a commencé depuis 3h, commence la phase de vrai fixations, bloquer, sur un banc, à me demander pourquoi j’ai si mal vécu ces 8 semaines de « diète », si je n’étais pas en fait qu’un junkie. Les gens autour de moi n’existent plus. Le plus troublant c’est que toutes ces réflexions ne me mène à rien. Je passe plusieurs heures sur ce banc ( 3H en tous, je le saurais plus tard ) à penser à tous ça et qu’est ce qu’il en découle...RIEN…triste.
T+6 : 00 : Ce blocage ma troublé, je n’arrive pas à me mêler aux conversations. 500mg de S en para. Je suis frustrés, le plaisir est bizarrement absent. J’essaie de régler ça à coup de chimie. En vain.
T+8 :00 : Les amphét font très bien leurs taf, je suis a fond, les effets du trip s’estompe déjà, toujours très peu de plaisir, je suis dans la spirale de l’échec, c’est mort pour ce soir.
T+8 :30 : Nous sommes chez les types rencontrés, je me réchauffes, un des mecs me file un para de MD.
T+9 :15 : Pour mon retour c’est par la MDMA que j’aurais dut commencer, ça va mieux maintenant. Nouveau para. Mon esprit se libère, fini cette fixation troublante. La soirée commence réellement, et avec tous les amphét ingérés elle n’est pas prés de ce terminé…
Je pense que pour ce retour je n’aurais pas du prendre de LSD, la MDMA était en faite la substance idéale…pourquoi je suis passé à coté de ça !
La fixation de 3h dans le parc n’était vraiment pas agréable, si je n’avais pas une certaine expérience avec les psychédéliques, ce serait parti en bad, c’est sur.
La pire des choses…
Contraint par une blessure à la main et un traitement de cheval, incompatible avec un trip.
Mais c’est fini…et mon retour sur la scène a été fêté ce week-end.
Les frustrations emmagasinées aux cours de ces semaines, mêlé à l’impatience de « re-tâter » ainsi que le cadre ( Lille by night ) ne me mettait pas dans les meilleures conditions.
Un p’tit TR :
78kg
LSD ( 1 hoffman ), Amphétamine ( 1 gr ), MDMA ( environ 0.5gr ), 4FMP ( 1 pills dosage inconnu)
Sachant que je redevenais valide, un fidèle camarade m’invita à participer à une activité habituelle pour nous : l’errance sous acide dans Lille !
Activité estivale…l’été est bien loin ! Il va faire froid
T+0 :00 : Train dans 10mn, sur le quai je m’enfile le 4FMP, il devrait faire effet arrivé a Lille. Bordel il caille. Il faut le convaincre de rester chez lui, le trip est mauvais lorsqu’on a froid. Je me pose tout un tas de questions sur le déroulement de cette soirée. C’est que ça fait longtemps pour moi. J’appréhende. Ca ira mieux dans 30mn…
T+0 : 45 : Pas manquer, je ne me pose plus ces questions pour le moment, je me dis que la nana en face de moi doit se demander pourquoi j’ai cette tête.
Le train arrive, le pote est rejoins. La soirée commence par des flots d’alcool, très peu pour moi, Black absinthe…c’est fort.
T+1 : 45 : 250mg de S en para. Le pote a les cartons, l’appréhension revient, normal, trip fixé sur la langue.
L’appart est chaud, il y de l’espace, de plus il m’est familier, conditions au top.
La weed en douille nous accompagnent. Toute la nuit.
Phase d’anxiété dépassée, quelqu’un tente de m’ouvrir le crâne en tirant sur mes cheveux…sérieux…nan, ça va mieux.
Beaucoup de visu à ce moment. Mon pote en est au même point, ça craint dans ces moments là, il veut sortir…mais il fait froid…
T+2 :30 : Le S et le LSD, quelle bonheur, parfois c’est un peu dur aussi. Comme maintenant, je me pose de nouveau ces questions sur le déroulement de ce trip, je commence à faire une fixation, ce n’est pas bon. Pense à autre chose. Ah oui, au fait, nous sommes dehors.
Dans un parc, nous croisons des mecs très excités, mes potes y vont, mini embrouille, puis ils se rendent compte que nous sommes « perchés », ça rapproche ces choses des fois. Eux aussi le sont, à la MDMA, humm.
T+3 :00 : J’ai trop froid, le S peut m’aider. 250mg en para.
Cette soirée a commencé depuis 3h, commence la phase de vrai fixations, bloquer, sur un banc, à me demander pourquoi j’ai si mal vécu ces 8 semaines de « diète », si je n’étais pas en fait qu’un junkie. Les gens autour de moi n’existent plus. Le plus troublant c’est que toutes ces réflexions ne me mène à rien. Je passe plusieurs heures sur ce banc ( 3H en tous, je le saurais plus tard ) à penser à tous ça et qu’est ce qu’il en découle...RIEN…triste.
T+6 : 00 : Ce blocage ma troublé, je n’arrive pas à me mêler aux conversations. 500mg de S en para. Je suis frustrés, le plaisir est bizarrement absent. J’essaie de régler ça à coup de chimie. En vain.
T+8 :00 : Les amphét font très bien leurs taf, je suis a fond, les effets du trip s’estompe déjà, toujours très peu de plaisir, je suis dans la spirale de l’échec, c’est mort pour ce soir.
T+8 :30 : Nous sommes chez les types rencontrés, je me réchauffes, un des mecs me file un para de MD.
T+9 :15 : Pour mon retour c’est par la MDMA que j’aurais dut commencer, ça va mieux maintenant. Nouveau para. Mon esprit se libère, fini cette fixation troublante. La soirée commence réellement, et avec tous les amphét ingérés elle n’est pas prés de ce terminé…
Je pense que pour ce retour je n’aurais pas du prendre de LSD, la MDMA était en faite la substance idéale…pourquoi je suis passé à coté de ça !
La fixation de 3h dans le parc n’était vraiment pas agréable, si je n’avais pas une certaine expérience avec les psychédéliques, ce serait parti en bad, c’est sur.