Pour répondre a vos question concernant "le flash".
Enfait ce phenomene est different selon la methode d'administration. Déja pour moi un flash c'est uniquement en IV. En fume ou en sniff ca serais plutot un rush.
Comprendre : le flash c'est une grosse montée qui viens d'un seul coup. Boum, on passe de l'etat "normal" a l'etat "def" en une poignée de seconde. Tandis qu'un rush c'est plus progressif, ca viens par vague.
Je n'ai jamais pratiqué l'injection, donc mon avis reste théorique et basé sur les discution que j'ai eu avec des amis qui utilisait cette ROA, Il m'est arrivé de consommer de l'heroine, mais uniquement vaporisée et sniffée.
Les premieres foix ne sont effectivement pas des plus agréable, comme disais ligth, on sue, on a chaud et froid, on a la nausée au moindre mouvement donc on s affale et on bouge plus. On tappe des grosses gerbe qui peuvent etre impressionnante mais qui bizarrement ne sont pas génante grace a l'endorphine.
C'est seulement apres quelque essais qu'on profite vraiment des effets, la nausée s'amoindri fortement, le corp s'habitue a la substance, et débarassé de ces effets secondaire génant on peux profiter du rush.
Par contre avec l'injection c'est une autre histoire, le flash arrive dès la premiere foix, on a directement ce coté "jouissif", apres ca reste le meme topo, beaucoup d'effet secondaire au début, puis ca se tasse et on a moins de gene lors de la consomation donc on l'augmente petit a petit.
Mais pour moi ce n'es pas vraiment le coté "effet physique" qui est dangereux avec la brune, meme si celui ci fais partie integrante du processus d'addiction, pour moi le vrai danger c'est l'effet psychologique de détachement qui est le vrai facteur déclanchant. On peux se permettre de pensé a n'importe quelle probleme qui d'habitude nous prend la tete mach 5 et en avoir strictement rien a foutre. Pas comme si c'etais loin de nous comme avec les disso par exemple, mais juste comme si c'etais juste vraiment pas grave ( alors que la plupart du temps ca l'est, sinon on tapperais pas de la came, enfin vous me comprenez quoi je va pas partir dans une analyse psychologique de la conso de drogue ).
Sauf que le lendemain les problemes sont toujours la, et la came aussi. Alors on consomme et on a l'impression que tout va bien. Et on avance plus dans la vie, on stagne.