Albatus
Matrice Périnatale
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Primo bonjour à tous, je vient de m'inscrire sur forum qui m'a l'air fort interessant ;-)
Voici comme première contribution de ma part le "rapport" de ma première expérience au DXM... ou comment avoir un bol monstrueux, vivre un trip génial, alors que ca aurait pu être une horreur.
On avait donc prévu entre amis de se faire une petite soirée DXM.
Bon, tout commanca par la prise des pillules...
Juste après un bon (et copieux) repas chez une amie je suis aller aux toilettes prendre les pillules de « pulmofort retard », aux environ de l'heure prévue avec les autres, soit 19h50, que je devait rejoindre par la suite.
Je prend donc mes 18 pillules ( je pèse 105kg pour 1m96 ) ce qui reprèsente une dose plus ou moins normale pour un trip de nivesu 2.
Sauf que, PREMIERE grosse erreur, je n'avais jamais pris de DXM avant ça. Il s'averrera par la suite que la prise d'une telle dose sans aucune idée de la tolérance au produit est à la limite de la tentative de suicide.
Retour en ville à 21h00. Rendez vous dans un bas avec mes 3 amis, plus une série d'autre potes faisant leur soirée ici.
Les effets commencaient très gentillement à monter.
Jusque vers 23h00 rien de très remarquable, un sentiment de légérté et une perseption étrange de l'environnement. Peut de temps avant de partir, je comment la DEUXIEME grosse erreur; je reprend 2 pillule... Histoire d'être sûr.
Départ pour le lieu de trip proprement dit ( un cabinet médical appartenant à la mêre d'un d'entre nous ). Lieu calme et connu, où de nombreux trips sous différentes subsentances ont déjà eu lieu. Avec le recul je pense que le fait d'avoir été dans un endroit connus m'a été d'un grand secours par la suite.
Mise en place de deux ou trois écrans d'ordinateur dans la pièce, diffusant des images psychédéliques, pour aider à faire monter.
Les effets commencent très gentillement à prendre l'assenceur: Vision altérée, trip léger sur les ombres ( une ombre au plafond se déplacait ), vision en perspective modififée ( en regardant la rue a travers une vitre je n'ai pas reussis à différencier au niveau distance mon reflet de la rue ), forte démangeaison.
C'est là que je comment la TROISIEME grosse erreur; je reprend encore 2 pillules.
Il était environ 00h30-1h00, à partir de là la notion du temp est devenue impossible à contrôler.
Les trip visuels devenait de plus en plus allucinant, quand je fermais les yeux il se materialisait une sorte de dimansion différente à chaque fois, il va s'en dire que la possibilité de mouvement était réduite quasiment au zéro absolu.
C'est extrêmement flou mais je vais essayer de remettre les souvenirs que j'ai dans l'ordre.
La sensation de vitesse est le seul point commun à toutes les visions rapportées ci dessous.
Au début le trip était uniquement visuel, des formes géométriques de couleurs à dominante verte ou noir-gros défilait, sorte de mélange entre des point de fuites ( couloir ) et des fractals. Possibilité de rouvrir les yeux pour revenir quelque seconde à la réalité de plus en plus réduite.
Et là, lors d'un de ces bref retour à la réalité, je comment ma dernière erreur de la soirée... je prend encore 2 pillules. J'en était donc à 24 pillules en tout.
C'est l'un des derniers souvenir cohérent que j'ait, à quelques exeptions près.
A partir de là les trip visuels prennent une toute autre nature.
Tout d'abbord ils deviennent beaucoup réels, ils acquièrent tout d'un coup de la 3D, des personnages, des sons...
Et là d'un coup
VLAM.
Coupé net de la réalité
Je vois un soldat de jeux vidéos ( operation flashpoint pour être précis ) lancer un violonselle dans l'air, quasis horizontalement. Je suis cet insolite projectil, il tourne sur lui même, de plus en plus vite , il joue mais je n'entend pas de son.
Bref retour à la réalité, j'entend des voix « ouai bhen Arnaud ( moi ) il se fait un bon niveau 3 là » « ouaip, pas grave ca a l'air d'être un bon trip ! ». Je crois que j'ai dit quelque chose, et puis j'ai replongé.
Je voyage si vite, es lumière sont tamisée et défillent comme si j'allais moi même à la vitesse de la lumière.
Une série de forme verte s'enchaînent, je commence à perdre pied avec mon corp. Je ne me rappel plus qu'il y'a une réalité. Pourtant quelques visions de celles ci me parviennent, me permettant d'interagir encore avec celle-ci parralélement à mon trip ( de manière TRES restrainte certe, je crois par exemple avoir reussis à me tenir debout à moment donné ).
Un sentiment de parfaite maîtrise s'empare de mois, je crois pouvoir contrôler mon chemin dans ce dédale visuel. Je choisis les formes et les couleur que je veux voir.
C'est a ce moment là je pense que c'est joué tout le reste du trip, et accésoirement ma survie psychologique; je commence à être envahis d'une peur panique. Peur de ne pas ressortir, de ne pas retrouver la « réalité » de départ ( je m'était souvenur pendant un très court laps de temps qu'elle existait ). C'est là que j'ai reussis à parfaitement maitriser le trip, à me convaincre que « ca s'arrêtera parfaiement normalement et tout seule plsu tard. Laisse toi aller ». Pedant cette courte connection à la réalité j'ai entendu des mots venant de la réalité qui retrospectivement s'avèrent être mes amis commandant du cannabis.
Je perd alors contrôle, je plonge alors comme depuis un pont, une chute infine dans uen dominante bleu. A ce moment la notion même « d'être » n'avait plus court. Je redresse la chute comme un avion, en frolant et longeant une espèce de squellete bleu de queu de dinosaure... qui me donnait l'impression d'avoir al taille d'un ams stéllaire. Cette queu bougeait bien qu'étant juste un squellette.
J'essaye de me retourner pour voir la bête en entier, sans succé. Je ne la vois pas.
Passe a ce moment là une boule énorme, rougatre. Avecdes anneau. Une planête ?
Je suis alors projeter dans une espèce de salle de casino vide. Sans rien, l'image est très foule car elle tournait sans cesse autour de moi. Mais pas vraiment autour de moi étant donné que je faisais partie en quelque sort de l'image... déroutant.
Toujours dans cette environnement, et toujours dans ce rapport de taille impressionant, j'ai l'impression de survoler un bar... un « client » semble assis devant. Je vois ca main droite. Mais pas sa gauche ( hors champ ), ni sa tête. Que j'aurait du voir pourtant. Il porte une sorte de tunique violette à bande jaune, il dégage un sentiment de puissance énorme. Mais pourtant il ne me fait pas peur.
Des vue de la réalité de base parvienne jusqu'à moi, je suis dans la réalité, mais sans y être. Explication; je voyait ce qui se passait réelement, mais je n'avais toujours pas conscience de mon corp.
Je me souvient de cet autre... un amis qui arrive dans la pièce, c'est lui qui apporte du cannabis. Je replonge à moitié. J'ai les yeux ouvert qui regarde mes mains. Je n'avais alors pas consience que c'était les mienne. Elles se pixellisaient, en dégradé de gris, ces pixels fusionnait entre eux en une vision indescribtible, mélange de matière organique grise et de pixel numérique...
S'écoule alors un moment où je reprendr epeut à peut consience d'être. Mélée d'une vision à nouveau uniquement visuel, dont je ne faisait plus partie. Sorte ce tableau gris-noir, avec de formes géometrique de type losange à l'interieur, en plus d'une sorte de pierre rougâtre.
J'entend une voix, qui m'appelle. Elle vient de la réalité. Je me rappel m'être déplacer, en restant plus ou moins par terre.
Je suis alors assis, on me temps un joint. Je fume dessus. Il repart, pui revient. Je refume dessus.
Un autre type de défonce arrive alors, en concurrence du premier, me permettant de me rappelle d'un coup le caractère articiel et exterieur du premier.
Je vois alors mes avant bras et mes mains, j'ai consience qu'ils sont a moi. Mon cerveau reconnecte alors avec la réalité, il l'apercoit par une fissure. Cette fissure c'est une indication de temps; un natel posé par terre m'indiqua l'heure... 3h17. J'arrive a formuler, et à dire à haute voix je crois, une pensée cohérente d'explication... « au cabinet... je suis... au cabinet, on a pris de la drogue... au cabinet... c'est normal, ca va passer.... au cabinet.... drogue » ou quelque chose dans ce goût là.
J'ai repris alors consience de l'état des autres... aussi défait que moi. Je me rend alors compte que je suis le premier a être « sortit ».
des halucinations visuels plus ou moins fortes se poursuivent pendant une bonne heure. Heure pendant laquelle j'ai notamment reussis à aider les autres, encore complétement «out », à coucher notre amis qui nous avait apporter de la cann, à manger, et a reprendre plaindement conscience du « moi » et de la réalité ( en appellant une amie ce qui n'était pas une bonne idée d'ailleurs... ). Je me suis alors endormis jusque vers 8h30.
Voici comme première contribution de ma part le "rapport" de ma première expérience au DXM... ou comment avoir un bol monstrueux, vivre un trip génial, alors que ca aurait pu être une horreur.
On avait donc prévu entre amis de se faire une petite soirée DXM.
Bon, tout commanca par la prise des pillules...
Juste après un bon (et copieux) repas chez une amie je suis aller aux toilettes prendre les pillules de « pulmofort retard », aux environ de l'heure prévue avec les autres, soit 19h50, que je devait rejoindre par la suite.
Je prend donc mes 18 pillules ( je pèse 105kg pour 1m96 ) ce qui reprèsente une dose plus ou moins normale pour un trip de nivesu 2.
Sauf que, PREMIERE grosse erreur, je n'avais jamais pris de DXM avant ça. Il s'averrera par la suite que la prise d'une telle dose sans aucune idée de la tolérance au produit est à la limite de la tentative de suicide.
Retour en ville à 21h00. Rendez vous dans un bas avec mes 3 amis, plus une série d'autre potes faisant leur soirée ici.
Les effets commencaient très gentillement à monter.
Jusque vers 23h00 rien de très remarquable, un sentiment de légérté et une perseption étrange de l'environnement. Peut de temps avant de partir, je comment la DEUXIEME grosse erreur; je reprend 2 pillule... Histoire d'être sûr.
Départ pour le lieu de trip proprement dit ( un cabinet médical appartenant à la mêre d'un d'entre nous ). Lieu calme et connu, où de nombreux trips sous différentes subsentances ont déjà eu lieu. Avec le recul je pense que le fait d'avoir été dans un endroit connus m'a été d'un grand secours par la suite.
Mise en place de deux ou trois écrans d'ordinateur dans la pièce, diffusant des images psychédéliques, pour aider à faire monter.
Les effets commencent très gentillement à prendre l'assenceur: Vision altérée, trip léger sur les ombres ( une ombre au plafond se déplacait ), vision en perspective modififée ( en regardant la rue a travers une vitre je n'ai pas reussis à différencier au niveau distance mon reflet de la rue ), forte démangeaison.
C'est là que je comment la TROISIEME grosse erreur; je reprend encore 2 pillules.
Il était environ 00h30-1h00, à partir de là la notion du temp est devenue impossible à contrôler.
Les trip visuels devenait de plus en plus allucinant, quand je fermais les yeux il se materialisait une sorte de dimansion différente à chaque fois, il va s'en dire que la possibilité de mouvement était réduite quasiment au zéro absolu.
C'est extrêmement flou mais je vais essayer de remettre les souvenirs que j'ai dans l'ordre.
La sensation de vitesse est le seul point commun à toutes les visions rapportées ci dessous.
Au début le trip était uniquement visuel, des formes géométriques de couleurs à dominante verte ou noir-gros défilait, sorte de mélange entre des point de fuites ( couloir ) et des fractals. Possibilité de rouvrir les yeux pour revenir quelque seconde à la réalité de plus en plus réduite.
Et là, lors d'un de ces bref retour à la réalité, je comment ma dernière erreur de la soirée... je prend encore 2 pillules. J'en était donc à 24 pillules en tout.
C'est l'un des derniers souvenir cohérent que j'ait, à quelques exeptions près.
A partir de là les trip visuels prennent une toute autre nature.
Tout d'abbord ils deviennent beaucoup réels, ils acquièrent tout d'un coup de la 3D, des personnages, des sons...
Et là d'un coup
VLAM.
Coupé net de la réalité
Je vois un soldat de jeux vidéos ( operation flashpoint pour être précis ) lancer un violonselle dans l'air, quasis horizontalement. Je suis cet insolite projectil, il tourne sur lui même, de plus en plus vite , il joue mais je n'entend pas de son.
Bref retour à la réalité, j'entend des voix « ouai bhen Arnaud ( moi ) il se fait un bon niveau 3 là » « ouaip, pas grave ca a l'air d'être un bon trip ! ». Je crois que j'ai dit quelque chose, et puis j'ai replongé.
Je voyage si vite, es lumière sont tamisée et défillent comme si j'allais moi même à la vitesse de la lumière.
Une série de forme verte s'enchaînent, je commence à perdre pied avec mon corp. Je ne me rappel plus qu'il y'a une réalité. Pourtant quelques visions de celles ci me parviennent, me permettant d'interagir encore avec celle-ci parralélement à mon trip ( de manière TRES restrainte certe, je crois par exemple avoir reussis à me tenir debout à moment donné ).
Un sentiment de parfaite maîtrise s'empare de mois, je crois pouvoir contrôler mon chemin dans ce dédale visuel. Je choisis les formes et les couleur que je veux voir.
C'est a ce moment là je pense que c'est joué tout le reste du trip, et accésoirement ma survie psychologique; je commence à être envahis d'une peur panique. Peur de ne pas ressortir, de ne pas retrouver la « réalité » de départ ( je m'était souvenur pendant un très court laps de temps qu'elle existait ). C'est là que j'ai reussis à parfaitement maitriser le trip, à me convaincre que « ca s'arrêtera parfaiement normalement et tout seule plsu tard. Laisse toi aller ». Pedant cette courte connection à la réalité j'ai entendu des mots venant de la réalité qui retrospectivement s'avèrent être mes amis commandant du cannabis.
Je perd alors contrôle, je plonge alors comme depuis un pont, une chute infine dans uen dominante bleu. A ce moment la notion même « d'être » n'avait plus court. Je redresse la chute comme un avion, en frolant et longeant une espèce de squellete bleu de queu de dinosaure... qui me donnait l'impression d'avoir al taille d'un ams stéllaire. Cette queu bougeait bien qu'étant juste un squellette.
J'essaye de me retourner pour voir la bête en entier, sans succé. Je ne la vois pas.
Passe a ce moment là une boule énorme, rougatre. Avecdes anneau. Une planête ?
Je suis alors projeter dans une espèce de salle de casino vide. Sans rien, l'image est très foule car elle tournait sans cesse autour de moi. Mais pas vraiment autour de moi étant donné que je faisais partie en quelque sort de l'image... déroutant.
Toujours dans cette environnement, et toujours dans ce rapport de taille impressionant, j'ai l'impression de survoler un bar... un « client » semble assis devant. Je vois ca main droite. Mais pas sa gauche ( hors champ ), ni sa tête. Que j'aurait du voir pourtant. Il porte une sorte de tunique violette à bande jaune, il dégage un sentiment de puissance énorme. Mais pourtant il ne me fait pas peur.
Des vue de la réalité de base parvienne jusqu'à moi, je suis dans la réalité, mais sans y être. Explication; je voyait ce qui se passait réelement, mais je n'avais toujours pas conscience de mon corp.
Je me souvient de cet autre... un amis qui arrive dans la pièce, c'est lui qui apporte du cannabis. Je replonge à moitié. J'ai les yeux ouvert qui regarde mes mains. Je n'avais alors pas consience que c'était les mienne. Elles se pixellisaient, en dégradé de gris, ces pixels fusionnait entre eux en une vision indescribtible, mélange de matière organique grise et de pixel numérique...
S'écoule alors un moment où je reprendr epeut à peut consience d'être. Mélée d'une vision à nouveau uniquement visuel, dont je ne faisait plus partie. Sorte ce tableau gris-noir, avec de formes géometrique de type losange à l'interieur, en plus d'une sorte de pierre rougâtre.
J'entend une voix, qui m'appelle. Elle vient de la réalité. Je me rappel m'être déplacer, en restant plus ou moins par terre.
Je suis alors assis, on me temps un joint. Je fume dessus. Il repart, pui revient. Je refume dessus.
Un autre type de défonce arrive alors, en concurrence du premier, me permettant de me rappelle d'un coup le caractère articiel et exterieur du premier.
Je vois alors mes avant bras et mes mains, j'ai consience qu'ils sont a moi. Mon cerveau reconnecte alors avec la réalité, il l'apercoit par une fissure. Cette fissure c'est une indication de temps; un natel posé par terre m'indiqua l'heure... 3h17. J'arrive a formuler, et à dire à haute voix je crois, une pensée cohérente d'explication... « au cabinet... je suis... au cabinet, on a pris de la drogue... au cabinet... c'est normal, ca va passer.... au cabinet.... drogue » ou quelque chose dans ce goût là.
J'ai repris alors consience de l'état des autres... aussi défait que moi. Je me rend alors compte que je suis le premier a être « sortit ».
des halucinations visuels plus ou moins fortes se poursuivent pendant une bonne heure. Heure pendant laquelle j'ai notamment reussis à aider les autres, encore complétement «out », à coucher notre amis qui nous avait apporter de la cann, à manger, et a reprendre plaindement conscience du « moi » et de la réalité ( en appellant une amie ce qui n'était pas une bonne idée d'ailleurs... ). Je me suis alors endormis jusque vers 8h30.