fruzz
Sale drogué·e
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Hey !
Suite au TR enthousiaste de notre confrère Acacia, j’ai voulu tester le LSZ.
Alors, cet obscur lysergamide est-il un prétendant plus confortable au LSA ? (roulement de tambours)
1er Test : 150 microns
Les premiers effets ont été long à se déclarer, je dirais au moins 1h30 et se sont manifesté par un inconfort difestif, qq modifications visuelles et c’est tout ! Rien de particulier mentalement, pas de sensation de bien-être mais un mal de ventre qui s’est amplifié et qui m’a empêché de dormir.
J’avais deux jours avant pris un peu de LSD, je pense maximum 20-25 microns. Ca a donc peut-être joué sur ma tolérance mais je pensais que je ressentirai quand même des effets psychédéliques. Déception donc.
2e Test, 3 jours plus tard : 300 microns
Même set up que la fois précédente, seul chez moi. J’ai pris mes deux cartons en fin d’aprem.
Je rappelle qu’il y a un principe de tolérance rapide et important avec les lysergamides qui font que si on prend la même dose sans tolérance on peut s’attendre à des effets plus forts que ceux que je vais décrire.
La montée a été très progressive. Les premiers effets sont arrivés au bout d’une heure et je pense que j’ai atteint le plateau au bout de deux heures. J’ai retrouvé cette sensation de douce ivresse et de sensualité que j’apprécie beaucoup avec le LSA. Le bodyload était bien présent mais gérable, plus qu’avec les graines de Liane d’argent. Une certaine confusion mentale par moment mais qui restait raisonnable puis un état de présence accru sur la fin du trip.
J’ai été assez surpris par la linéarité des effets, pas de vague mais une stabilité pendant le plateau qui a duré bien trois heures je pense, puis qui a laissé place a une descente très progressive. Les effets se sont estompés après minuit. Par contre le bodyload a persisté et est devenu déasgréable : un mal de bide persistant comme la première fois qui a duré une partie de la nuit.
En résumé, pas mal de ressemblance avec le LSA. Toutefois, il y a quand même des différences notables dans mon expérience :
- Il est moins dur pour le corps mais ça reste éprouvant (je précise que je suis très sensible au bodyload au niveau du ventre).
- Moins de variations au niveau des effets, ce qui rend le trip plus confortable mais aussi moins varié et donc moins intéressant je trouve.
- Je n’ai pas retrouvé la même profondeur au niveau mental. Avec le LSA j’ai souvent des réflexions nouvelles, des prises de consciences sur certains aspects de ma vie. Là c’était principalement une expérience physique/sensorielle et méditative.
C’est donc pour moi assez mitigé. Je ne pense pas retenté l’expérience pour le moment mais néanmoins content d’avoir testé et ajouté cette molécule à mon tableau de chasse.
Suite au TR enthousiaste de notre confrère Acacia, j’ai voulu tester le LSZ.
Alors, cet obscur lysergamide est-il un prétendant plus confortable au LSA ? (roulement de tambours)
1er Test : 150 microns
Les premiers effets ont été long à se déclarer, je dirais au moins 1h30 et se sont manifesté par un inconfort difestif, qq modifications visuelles et c’est tout ! Rien de particulier mentalement, pas de sensation de bien-être mais un mal de ventre qui s’est amplifié et qui m’a empêché de dormir.
J’avais deux jours avant pris un peu de LSD, je pense maximum 20-25 microns. Ca a donc peut-être joué sur ma tolérance mais je pensais que je ressentirai quand même des effets psychédéliques. Déception donc.
2e Test, 3 jours plus tard : 300 microns
Même set up que la fois précédente, seul chez moi. J’ai pris mes deux cartons en fin d’aprem.
Je rappelle qu’il y a un principe de tolérance rapide et important avec les lysergamides qui font que si on prend la même dose sans tolérance on peut s’attendre à des effets plus forts que ceux que je vais décrire.
La montée a été très progressive. Les premiers effets sont arrivés au bout d’une heure et je pense que j’ai atteint le plateau au bout de deux heures. J’ai retrouvé cette sensation de douce ivresse et de sensualité que j’apprécie beaucoup avec le LSA. Le bodyload était bien présent mais gérable, plus qu’avec les graines de Liane d’argent. Une certaine confusion mentale par moment mais qui restait raisonnable puis un état de présence accru sur la fin du trip.
J’ai été assez surpris par la linéarité des effets, pas de vague mais une stabilité pendant le plateau qui a duré bien trois heures je pense, puis qui a laissé place a une descente très progressive. Les effets se sont estompés après minuit. Par contre le bodyload a persisté et est devenu déasgréable : un mal de bide persistant comme la première fois qui a duré une partie de la nuit.
En résumé, pas mal de ressemblance avec le LSA. Toutefois, il y a quand même des différences notables dans mon expérience :
- Il est moins dur pour le corps mais ça reste éprouvant (je précise que je suis très sensible au bodyload au niveau du ventre).
- Moins de variations au niveau des effets, ce qui rend le trip plus confortable mais aussi moins varié et donc moins intéressant je trouve.
- Je n’ai pas retrouvé la même profondeur au niveau mental. Avec le LSA j’ai souvent des réflexions nouvelles, des prises de consciences sur certains aspects de ma vie. Là c’était principalement une expérience physique/sensorielle et méditative.
C’est donc pour moi assez mitigé. Je ne pense pas retenté l’expérience pour le moment mais néanmoins content d’avoir testé et ajouté cette molécule à mon tableau de chasse.