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L'étude de la semaine

shintaro

Glandeuse pinéale
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27 Fev 2012
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DÉRIVÉS tryptamine


Parmi les dérivés N, N-diméthylées il ya des différences marquées
l'activité de petites variations de la structure . Psilocin ( 4hydroxydimethyltryptamine ) est l'agent le plus puissant , environ 31 MU.

Bufotenine ( 5-hydroxy- diméthyltryptamine ) diffère de psilocin seulement dans le
position de son groupement hydroxyle, mais semble être inactif comme psychédélique
composé ( Turner et Merlis , 1959). N, N- diméthyltryptamine (DMT ) est un
médicament efficace , mais seulement environ '/ s aussi puissant que psilocin (Szara ,1957). Il
une certaine controverse quant à savoir si ses actions sont dues à la forme inchangée
ou à un , peut-être un dérivé 6 - hydroxylés métabolite ( Szara et
Hearst, 1962; Rosenberg, et al , 1963). Lorsque 6 hydroxydimethyltryptamine
a été administré à des humains, il ne produit pas d'effets psychotropes (Rosenberg
et al, 1963). Il est probable que des tryptarnines hydroxylés ,
6 hydroxydimethyltryptamine serait plus facilement être métaboliquement conjugué
et rapidement excrété , ce qui explique son manque d' activité psychotrope .
Tous les dérivés de tryptamine possèdent le groupement indole de LSD ( anneaux
A et B ) . La chaîne latérale de ces composés peut se replier sur l' indole
anneau rapprochant le cycle C du LSD .

Cependant, depuis la chaînelatérale est librement
rotation , il peut assumer un grand nombre d'autres conformations . Le cycle C
conformation serait atteint plus fréquemment s'il y avait un moyen de
sa stabilisation. Dans le modèle moléculaire de psilccin, le groupement amine
de la chaîne latérale se rapproche du groupe hydroxyle du noyau benzénique et
permet physiquement la liaison hydrogène entre les deux groupes . Une tellehydrogène
collage avec l' hydrogène du groupe 4- hydroxy et de l' azote d'amine tertiaire
stabiliserait à 8 chaînons qui, dans les dimensions: trois, ressemblerait
anneau C de LSD. La distance séparant les groupes formant les obligations serait
1,7 A, ce qui est dans la plage de valeurs observées pour de fortes liaisons hydrogène, tel
liaison hydrogène intramoléculaire ne pourrait avoir lieu pour bufotenine ou DMT .
Ainsi, la structure de la psilocine , la tryptamine psychédélique le pluspuissant, favorise la conformation de LSD plus que les tryptamines moins puissants.

La stabilisation des C l'anneau de psilocin de cette façon exige que le groupement amine est non protoné ,
ce qui serait le cas si le site récepteur hypothétique étaient lipides -like. Si,à
le récepteur , le groupe amine de la psilocine sont protonés , comme peut seproduire à physiologique
pH en solution aqueuse, ce type de liaison hydrogène ne serait pas
réalisable . Dans ce cas, l' amine protonée peut interagir avec l' oxygène del'
le regroupement Chydroxyl , la stabilisation de l' anneau C. En plus defavoriser une
ressemblance au cycle C de LSD , la conformation décrite ici pour psilocins
serait également rendre plus solubles dans les lipides . Fait intéressant , P.Gessner ( personnel
Communication) a constaté que la psilocine est plus soluble que bufotenine lipides.
 

piou piou

Holofractale de l'hypervérité
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Euh t'aurais la version originale stp j'y bite rien x) ?
Mais merci :)
 

GuyGeorge

Holofractale de l'hypervérité
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Disruption of autophagy--a key homeostatic process in which cytosolic components are degraded and recycled through lysosomes--can cause neurodegeneration in tissue culture and in vivo. Upregulation of this pathway may be neuroprotective, and much effort is being invested in developing drugs that cross the blood brain barrier and increase neuronal autophagy. One well-recognized way of inducing autophagy is by food restriction, which upregulates autophagy in many organs including the liver; but current dogma holds that the brain escapes this effect, perhaps because it is a metabolically privileged site. Here, we have re-evaluated this tenet using a novel approach that allows us to detect, enumerate and characterize autophagosomes in vivo. We first validate the approach by showing that it allows the identification and characterization of autophagosomes in the livers of food-restricted mice. We use the method to identify constitutive autophagosomes in cortical neurons and Purkinje cells, and we show that short-term fasting leads to a dramatic upregulation in neuronal autophagy. The increased neuronal autophagy is revealed by changes in autophagosome abundance and characteristics, and by diminished neuronal mTOR activity in vivo, demonstrated by a reduction in levels of phosphorylated S6 ribosomal protein in Purkinje cells. The increased abundance of autophagosomes in Purkinje cells was confirmed using transmission electron microscopy. Our data lead us to speculate that sporadic fasting might represent a simple, safe and inexpensive means to promote this potentially therapeutic neuronal response.

So far, the therapeutic effect of antidepressants has been attributed to the enhancement of signal transmission by neurotransmitter systems, above all the serotonergic and noradrenergic systems. Scientists at the Max Planck Institute of Psychiatry have now proved that certain antidepressants trigger, respectively reinforce, the cell degradation and recycling process, the so-called autophagy. This process helps to renew old and defective proteins and cell organelles and consequently supports decontamination and energy balance within the cell. It seems quite obvious that this physiological renewal of neurons is also involved in the therapeutic effect of antidepressants.

http://www.mpipsykl.mpg.de/en/institute/news/press/pr0711.html

Peut être un début d'explication des bénéfices que peut apporter le jeûne. Le jeûne est un moyen d'activer l'autophagie. C'est super intéressant d'apprendre que l'action bénéfique des antidépresseurs serait due a une stimulation de ce mécanisme d'autophagie et pas que par l'action sur les neurotransmetteurs. Ducoup le jeûne serai un moyen d'avoir les bénéfices (enfin une partie) de ces AD, sans avoir les symptômes de sevrage! Intéressant n'est t-il pas?

En plus je suspecte que le jeûne permet d'augmenter la vitesse de diminution de la tolérance aux drogues comparé a la vitesse normale lorsque l'on s'abtient seulement de consommer. Mais c'est qu'une information subjective, j'ai pas encore trouvé les preuves.

En tout cas j'ai clairement ressenti l'effet au niveau de la tolérance a la caféine. C'est comme si toute la fatigue qu'induis une forte consommation de caféine se libère rapidement dés que l'on se met a jeûner. Résultat, après quelques jours on est re de nouveau en pleine forme! J'ai aussi observé que la MXE était bien plus euphorique après un jeune qu'avant, alors qu'une abstinence de la même durée n'aurai pas eu cet effet. Par contre je ne sais pas si il me fallais une dose inférieure. Juste le ressenti était plus euphorique.

Le sujet mérite d'être creusé^^
 

Lotre

Holofractale de l'hypervérité
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Cool cette perspective Bijord.
 

GuyGeorge

Holofractale de l'hypervérité
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Plasticité mentale. Pourquoi certains prétendent que les psychédéliques peuvent soigner les addictions? Une addiction c'est quoi? J'ai l'impression qu'on se concentre plus sur la peur de la "neurotoxicité" alors que le vrai problème des drogues addictives, c'est qu'elles font perdre les propriétés plastiques du cerveau, sa capacité d'apprendre et d'évoluer selon les stimulus extérieurs ou intérieurs de façon créative. Cela provoque un traumatisme au cerveau, une rigidité comportementale : l'addiction.

Qu'est-ce qui augmente la plasticité? La méditation, les psychédéliques, les antidépresseurs, le sport... Pour soigner l'addiction, la dépression, il faut stimuler cette propriété primordiale qu'est la plasticité neuronale. Si vous avez des études ou des livres à conseiller, je suis preneur!

Compulsive drug-taking behavior develops in vulnerable individuals who ingest substances that activate the reward system. This intense activation produces learned associations to cues that predict drug availability. With repetition the reward system becomes reflexively activated by cues alone, leading to a drive toward drug-taking. The central nervous system changes underlying this conditioned behavior are just beginning to be understood. New treatments aimed at this neuroplasticity are being tested in animal models. The clinical significance of these brain changes is that addiction, once established, becomes a chronic illness with relapses and remissions. It therefore requires chronic treatment with medications and behavioral therapies based on an understanding of the fundamental nature of these changes in the brain.
 
J

Ji-doo

Invité
Bijord a dit:
Qu'est-ce qui augmente la plasticité? La méditation, les psychédéliques, les antidépresseurs,

Les antidép' ?Je suis sceptique là...(bon, j'ai fais aucune recherche sur ça, mais ma "période paroxétine" m'a plutôt donné l'impression contraire: les émotions "glissaient" sur moi et je faisais aucun effort pour apprendre à les gérer par moi-même...).

Sinon, pour la plasticité (très intéressant d'ailleurs le lien que tu fais avec l'addiction !), l'avantage des psychédéliques peut s'avérer à double tranchant (si gros dosages ou produits très puissants): gros coup de balai dans le cerveau :rolleyes: et les constructions qui sont rasées de la carte d'un coup = traumatisme du cerveau aussi...

Trop de plasticité tue la plasticité ? :mrgreen:
 

GuyGeorge

Holofractale de l'hypervérité
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Jhi-dou a dit:
Les antidép' ?Je suis sceptique là...(bon, j'ai fais aucune recherche sur ça, mais ma "période paroxétine" m'a plutôt donné l'impression contraire: les émotions "glissaient" sur moi et je faisais aucun effort pour apprendre à les gérer par moi-même...).

Certains antidépresseurs augmenteraient la production de BDNF (augmentation de la croissance/différentiation de nouveau neurones), et donc la plasticité. Et cette action serai en partie la cause des effets bénéfiques ressentis. La kétamine aussi augmenterai ce taux de BDNF (ou de NGF je sais plus exactement).

Et je pense que c'est l'effet sur la sérotonine qui fait cet effet "absence d'émotion". T'imagine tu pourrai avoir l'effet des antidépresseurs sans cet effet zombifiant en jeunant ou en trouvant des produits plus spécifiques, des AD qui ne jouent pas sur la sérotonine? Je crois que c'est par la qu'il faut chercher :)

A opposer a la dépression ou certaines drogues qui produisent une baisse de cette plasticité.

gros coup de balai dans le cerveau :rolleyes: et les constructions qui sont rasées de la carte d'un coup = traumatisme du cerveau aussi...

Je pense que le cerveau a besoin d'intégrer les données reçues par les psychédéliques, et ça prend du temps car ils doivent créer un grand remue ménage niveau connections que le cerveau doit peu a peu réagencer/organiser. Si trop de chaos, il y a moyen que le cerveau se sente en "état de choc" devant tant de changement aussi rapidement, sans défense.

C'est biensur surement trop simplifié dans la façon dont je comprend la chose comparé au phénomène réel, mais je trouve ça intéressant ce concept (plasticité) pour mieux comprendre l'effets des drogues/psychédéliques et leurs conséquences/dégats qu'ils peuvent engendrer. D'ailleurs c'est même intéressant pour comprendre que chaque actions/ressenti/émotions modifie le cerveau qui est en perpétuel remodelage.

C'est en cherchant pourquoi le jeûne me faisait un état aussi antidépresseur que je suis tombé sur un livre sur la plasticité a la fac, en fait tout se lie et s'explique plutôt bien^^ Faut que je creuse l'idée et que je comprenne mieux le truc :)

Trop de plasticité tue la plasticité ? :mrgreen:

Oui on se retrouve avec de la compote au lieu du cerveau haha :D

Edit:

Par exemple je suspecte que les plantes maîtresses (Iboga, aya) sont les plus puissantes niveau augmentation de la plasiticité (Les psychédéliques les plus récréatifs ne joueraient que doucement sur ce facteur)! Le ressenti "gentil" d'un psychédélique serai en fait le degré avec lequel il permet au cerveau de se remodeler.

Au contraire, l'héroïne serai très puissante (mais cependant non neurotoxique) pour réduire cette plasticité, d'ou la forte addiction, la forte propension a geler le comportement dans un seul mode! Peut être que je me trompe ce ne sont que des spéculations ^^
 

Sludge

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Ji-doo

Invité
Ouais mais pour le questionnaire, faites pas l'erreur (si vous vous êtes trompés) de revenir sur la page d'avant (bouton reculer d'une page), parce que tout est perdu...
Perso ça faisais presque 1 heure que j'essayais de répondre au mieux et tout, et je voulais changer une de mes dernières réponses...bah 1 h dans le vent !!! bien vénère quoi :x
 

Ubik012

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Hé béh on lit pas les consignes :mrgreen:

"You can use the "Go back" and "Continue" buttons on this page to navigate through the survey but avoid using your browser's back and forward buttons as the survey questions are all contained within a single webpage."
 
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Ji-doo

Invité
Assez étonnamment, je crois pas que cette étude ai été relayée par ici...

Une étude suggère que les souris traitées avec de faibles doses de psilocybine ont eu une croissance significative de nouvelles cellules cérébrales (en se liant à un récepteur du cerveau qui stimule la croissance de nouvelles cellules du cerveau) !

New studies from The University of South Florida indicate that psilocybin found in “shrooms”, triggers new brain cell growth, and erases frightening memories from mice.
The studies showed that mice treated with low doses of psilocybin had significant growth of new brain cells, because the mushroom binds to a brain receptor that stimulates new brain cell growth, and short term memory formation.

Evidence of Psilocybin
 

Crounz

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Oh puissant. Je suis pas très anglophone mais j'en conclus que c'est une étude faite sur les souris adultes (vu qu'avant le cerveau se développe "naturellement")
 

tartopom

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Jhi-dou a dit:
Assez étonnamment, je crois pas que cette étude ai été relayée par ici...

Une étude suggère que les souris traitées avec de faibles doses de psilocybine ont eu une croissance significative de nouvelles cellules cérébrales (en se liant à un récepteur du cerveau qui stimule la croissance de nouvelles cellules du cerveau) !



Evidence of Psilocybin

Le principe de neurogénèse par la psyilocibine est déjà apparu sur le fofo, mais savoir où ça je ne sais pas !
 
J

Ji-doo

Invité
Je souviens que Mushin avait abordé le sujet avec Moonshiner...
 

GuyGeorge

Holofractale de l'hypervérité
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Super intéressant jhi dou ça coincide avec ce que je lit en ce moment! (Ils en parlent dans le bouquin Psychedelic information theory). Tous les psychédéliques auraient cette capacité d'augmenter la plasticité neuronale (la croissance et différentiation de nouveaux neurones). Cette capacité peut être autant bénéfique que délétère si les changements brutaux sont pas supportés par le cerveau (traumatisme, psychose). J'en suis pas sur mais la sensation d'afterglow du psyché (je parle pas de l'afterglow de la mxe qui viens probablement de métabolites) viens peut être de la neurogénèse augmentée. Je me pose la question...
 

Gleskorry

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Hum... mais alors la question est la suivante : est-ce bien global à tous les psychédéliques, ou bien est-ce juste le cas de la psilocibine? Quid par exemple du LSD ou de la mescaline? Quelle est la limite, par exemple les dissociatifs ca rentrerait pas tellement là dedans, mais... Après tout, quel est l'élément déterminant?

Très intéressant en tout cas, et ça prouve vraiment que cette prohibition est contre productive... (je sais que je prêche à des convaincus mais bon !)
 

Ubik012

Holofractale de l'hypervérité
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J'croisd que ReductionDesJoints avait fait un article dessus dans la catégorie psychés naturels ;)
Mais oui effectivement, le truc vraiment intéressant serait de voir pour les autres..
La K aussi apparemment (par contre j'ai pas les sources sous la main), mais de ce que j'ai compris, ça augmente que sur le coup du traitement, ou quand de la K est reprise ensuite, pas d'effets à longs termes ou du moins n'ont pas réussi à trouver le bon rapport dose/espacement de la prise pour que ce soit bénéfique sur du long terme, donc l'étude avait été arrêtée.
JE CROIS. je chercherai
 

GuyGeorge

Holofractale de l'hypervérité
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Un tableau que j'ai trouvé dans le bouquin "psychedelic information theory", que je vous motive tous a acheter si vous êtes intéressé par les psychédéliques, le shamanisme ou la pharmacologie. (attention lecture quand même assez ardue a capter^^)



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Les choses intéressantes a remarquer (traduction rapide de ma part du texte accompagnant le tableau) :

Le DMT, malgré qu'il soit connu pour sa puissance, n'as pas les valeurs d'affinité les plus élevées pour tous les récepteurs sérotoninergiques.
Le récepteur 5HT-2C serait le principal responsable des effets hallucinatoires. Les molécules ayant une affinité pour ce récepteur légèrement plus forte sont le DMT et le DOI.
Le récetpeur 5HT7 stimule les centre de la récompense (entre autre). Comme par hasard, le DMT, le LSD et le 5-meo-DMT ont la plus forte affinité pour ce récepteur. (est-ce de là que viens leur popularité?)
L. Kent dit par la suite qu'une faible affinité pour les récepteurs 5HT-2A/C et une haute affinité pour le récepteur 5HT-2B ferait des psychédéliques peu/pas visuels (tel que la MDMA, le 5-meo-DMT, le DIPT, la mescaline?), mais que leur haute activité pour les récepteurs adrénergiques donne un ressenti très "sensuel".
L'affinité pour le récepteur 5HT-2B provoquerai des effets principalement sensuels/entactogènes.
Le récepteur (son activation) 5HT-1A causerai des effets subjectifs de bien-être et de satisfaction.
Le DIPT est rare dans le sens ou il ne provoque peu ou pas d'hallucinations visuelles mais des hallucinations sonores. Les récepteurs 5HT2A/2C seraient impliqués dans les effets visuels.
 
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