Acromyrex
Fouri croonde
- Inscrit
- 19 Mai 2014
- Messages
- 1 100
Du même site. A mourir de rire.
Et sur les "idées reçues" concernant les soi-disant propriétés médicales du cannabis :
Ok après j'arrête mais juste... l'utilisation du fameux argument de la preuve par l'exemple pour tout couronner. Magique.
1960 Premier impact d'une drogue hallucinogène sur la culture occidentale
Ere 'psychédélique', avec de nombreux cas de suicides, de psychoses et de schizophrénies liés à son usage
1980 Le LSD est abandonné par les toxicomanes inquiets de ses effets dévastateurs, en particulier la brutalité des effets de flash-back.
1995 Le LSD fait son come back... Les trafiquants tablent sur l'oubli
Et sur les "idées reçues" concernant les soi-disant propriétés médicales du cannabis :
Cette campagne semble orchestrée et payée par le lobby de la drogue et de la dépénalisation.
Ok après j'arrête mais juste... l'utilisation du fameux argument de la preuve par l'exemple pour tout couronner. Magique.
On ne guérit pas un toxicomane contre sa volonté - Faux. Ceux qui affirment cela ne l'ont jamais essayé.
Ils ignorent le rôle du produit et oublient que la drogue inhibe la volonté de celui qui la prend.
"Esclave de la drogue", le toxicomane n'a plus de libre-arbitre.
Le sevrage, étape nécessaire à la guérison, est donc une action d'assistance à personne en danger.
Un sevrage réel et total, sans médicament d'appoint, ne présente aucune difficulté médicale. Il doit être accompagné de chaleur humaine et de soutien psychologique.
Le meilleur exemple est celui d'une mère kabyle de la banlieue parisienne. Son fils de 28 ans, initié au cannabis à 13 ans et à l'hérïne à 15 ans, avait été emprisonné à deux ou trois reprises pour braquage de pharmacie.
Pour le sauver, elle a pris un jour deux billets d'avion pour sa Kabylie natale et y est restée un an avec lui, dans ses montagnes, loin de la drogue.
De retour, guéri et heureux, son fils est aujourd'hui éducateur de rue pour éviter aux enfants de sa banlieue la galère qu'il a connue.
Cette mère kabyle n'était ni médecin, ni psychologue, encore moins psychiatre. C'était une simple mère kabyle qui a joué avec bon sens son rôle de mère.