psychotrique
Holofractale de l'hypervérité
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Hello bande de psycho-moules!
Voyant que la rubrique LSA est plutôt peu fournie en informations (en comparaison avec d'autres sujets), je me permets un petit TR à propos du LSA, et notamment, des graines HBWR.
Pour commencer, je tiens à mettre en garde tout lecteur : RDR'ment parlant, c'est pas joli joli ... Vraiment.
Mais bon, c'est de ses erreurs qu'on apprend, et je pense que partager mes imbécilités peut éviter à certains de se prendre ce genre de trique!
De plus, c'est en psychonaute que j'appréhende la perche, et j'aimerais bien avoir vos avis concernant celle-ci.
S&S : ... Apres quelques canons dans un bar (la délirium en pinte, faites gaffe, ça tabasse), on décide de rejoindre des amis chez l'un d'entre eux.
Soirée posée, un peu de son ... je ne m'aventurerais pas dans les détails du S&S qui, comme je l'ais dis, était proprement foiré.
Je vais d'ailleurs essayer de faire le point sur les - pour rester un minimum RDR.
Première erreur : l'alcool. Bien qu'on l'oubli souvent, c'est une drogue, et tripper bourrer, c'est pas mon truc. En général, j'ai l'impression de partir ... désequilibré. En plus ça rend con (je sens venir la fessée).
T : 7 graines dans la bouche, à macher. Une horreur, pas tellement question gout (même si apres coup, rien qu'une graine me ferait gerber) mais surtout question texture. Garder ça en bouche plus de 5 min : une épreuve.
T+5min : et merde, j'ai avalé cette bouillie infame. Bouarf, on attend un peu et on voit.
T+15min : Un peu, c'est un peu, faut pas abuser. Vlan, 8 de plus (merci dame alcool, en général, la RDR, j'y porte une attention toute particulière).
T+25min : Re-belotte, avalé. Couillon va!
Du coup, je pars désequilibré avec l'idée en tête que le fait de n'avoir pas mâché suffisamment ruinerait la perche.
T + ... : Bagdad. Mais genre un Bagdad bien sale, la tête dans les chiottes à parler tout seul. J'ai blackout la partie "décès", avec ses magnifiques nausées (le bodyload est quand même sévère).
Je reprends à peu près mes esprits dans mon lit (merki les copains), mais c'est vraiment la tarte. Je n'étais plus vraiment moi, les CEV se confondent avec les OEV, bizarrement, je ferme/ouvre les yeux, et je vois la même chose (je tiens à préciser qu'il fait noir dans ma chambre).
Je me souviens m'être levé pour aller pisser, ou peut-être vomir un coup. Un recul de dingue! Je n'étais physiquement pas en phase avec mon corps, et la pièce était loin d'être ma chambre. J'aimerais pouvoir vous la décrire, mais en réalité, ce n'était pas vraiment des images.
Pas de bad ni rien, je sais que je suis loin, c'est concretement ingérable (le LSA m'imposait vraiment le trip, contrairement à, par exemple, le LSD, ou je gerais parfaitement -à relativiser- le déroulement du bordel), mais mentalement, il y a un bout de moi qui tiens le choc.
Dans ma tête ça boucle, mais vraiment non-stop, il y a comme une dichotomie entre moi et moi-perché. Cette dernière est vraiment importante, parce que je l'ai ressenti tout le long.
J'étais entre le sommeil et la réalité, paumé dans ce que j'appellerais un état intermédiaire. Ma jambe n'a cessé de remuer de toutes la nuit, je me réveillais (si on peut appeler ça un réveil) et je bouclais sur ma jambe qui bougeait sans que je le lui demande. J'étais incapable de l'arrêter.
T + 7h : La phase décès se calme, et maintenant je n'ais plus du tout de nausées. Je me sens fatigué, mais une fatigue qui m'était inconnue.
Je me rends compte de la situation, et j'ai LA réflexion qui m'a littéralement sauvé : "Bordel, tu trippes et t'es dans ton lit."
Vlan : pris d'une énergie nouvelle (renaissance !), je me lève (bordel je suis toujours pas revenu dans mon corps, sa part en vrille, je menace de m'étaller deux ou trois fois), met mes pompes et sors de chez moi.
Pouah! Ce ciel les gars, je l'oublierais jamais, dehors les hallus sont moins abstraites ... Ou plutôt plus reconnaissables ^^
Le soleil se lève, et la lumière sur les nuages m'offre un contraste inoui (je ne regarde plus les nuages comme avant).
Les couleurs sont d'un psychedelique qui me fait sourire avec un grand S : "Ben tu vois, suffisait de se lever).
Je passe les détails de la "randonnée". J'ai marché longtemps pour aller me choper un point de vue potable. Matinée dégagée, maxi Mont-Blanc à l'horizon, laisse moi me poser et admirer (malgré un état de fatigue chelou).
Je ne suis toujours pas vraiment là, mais bien plus présent que quelques heures avant. Les hallus se calment, mais le décor, planté devant mes yeux reste toujours aussi dément. J'ose avouer (ceci n'est en rien une "apologie") que j'ai été émerveillé de voir ce lieu que je connais si bien tel qu'il était ce matin là.
T + 10h : Je rentre. Psychologiquement ça devient hard, les questions que je me pose me font boucler sur des sujets typiques, mais puissance 10:
- "T'es perché? Ouai quand même hein. Ou pas. Le ciel est chelou quand même."
- "Mais je raisonne pas comme ça d'habitude!! Ahahah c'est vrai : ça m'a poqué."
- "Et si tu en avais trop pris? (ma préférée) Mais tu vas être dans cet état toute ta vie? Bon, ça va c'est gérable (Vu mon état sur le coup, avec du recul, le "gérable" me fait vraiment poiler).
Et là, les choses sérieuses commencent...
Bonjour les ancètres, je me cale dans ma chambre ni vu ni connu. J'ai pas suivi la mydriase, mais vu leur réaction, je devais paraître clean.
Je m'assois, et pose les yeux sur mon piano.
Je tiens à préciser que je joue depuis longtemps et que je prends toujours un pied monstrueux à m'astiquer le clavier (contrairement au mastiquage des graines ... Bwaah!)
Mais là ... c'est pas vraiment pareil.
J'ai des sensations terribles dans les mains, qui me rapelle la goutte (hum, quand ta main fond sans se dégrader ^^), et surtout, la foutue impression que ce n'est pas mon intention qui dirige le mouvement de mes doigts.
C'est pas évident à décrire.
Ce qui est évident, c'est ce que j'ai entendu. C'était beau. Tout simplement beau. Trop beau pour que sa viennent de moi, je regardais mes doigts sauter, voler et glisser sur chacune de ces touches sans jamais se tromper. Chaque fausse note n'était qu'une nuance, une tension, et la réponse la plus adéquate suivait instantannément. Je regardais par la fenêtre, fermais les yeux et laissais mes doigts improviser une danse que je ne me connaissais pas.
Je remarque le vent qui secoue les arbres, et je suis submergé par un sentiment de "reste à ta place". Et ce sentiment se traduit immédiatement en musique. Et quelle musique... Un peu de groove? LA phrase qui tue, des rythmiques incroyables, une dichotomie (ce trip m'a fait aimer ce mot) main droite/main gauche de malade, une différenciation des sons incroyable, une dextérité inconcevable. Serieux, c'est pas des blagues.
Et restait ce sentiment que j'étais là, sans être là, que je pensais en double.
Des pensées telles que "C'est pour sa que tu es perché : la musique. Ton but dans la vie, a toujours été celui-là : être pianiste!" me secouaient la teub : répondre à une question existentielle comme celle là de cette manière ... Ca ne me ressemble pas!
Du coup ce genre de réflexions me paraissaient d'une absurdité telle que j'en riait!
Et je jouais, 1h-2h, non-stop, en riant, puis pleurant ... je me perdais dans des réaction sur-émotives qui me rappellaient la MD (vulgairement : ce n'est vraiment pas la même chose).
Et dans ce bordel, il y avait moi qui observait moi-perché s'exprimer sur le piano d'une manière extraordinaire.
Quand l'idée "enregistre moi tout sa" m'a traversé l'esprit, j'ai eu une réaction qui m'a fait m'aimer.
Si je m'arrète, la magie s'arrète. Si je perds le rythme une seule seconde, si je conclue, tout s'arrète.
Alors j'ai continué.
Quand je me suis relevé, j'ai été fumer un weed pour me calmer. Pétard de redescente, une pateuse typique, la pateuse que t'a quand t'es shep-R, qui m'a rappelé où j'en étais.
La journée a suivi son cours, je suis redescendu petit à petit. J'étais tout con, exprimer plus d'une idée par phrase me paumait, et je raisonnais bizarrement (la perche quoi).
Heureusement pour moi, je répettais l'aprem' (journée musique, le panard), ce qui m'a permis de m'impliquer dans autre chose que la contemplation de moi-même. Fin de journée, crevé, j'ai mal au crane.
Conclusion :
Pour calmer les énervés, bah j'ai rien de plus à ajouter, suffit de lire, vos esprits critiques auront raison de mes torts.
On néglige souvent le S&S en se prenant pour superman : erreur. Si j'avais pas chier dans la colle, ça aurait été unique (même si ça l'a été).
Je tiens à préciser que la phase "Décès" suffit à me convaincre (perso) du manque d'interet de ces graines (Si t'as jamais ressenti une nausée qui te donne envie de crever, vas-y, fais toi plaisir!).
Ce trip m'a fait réchéflir au sujet de l'alcool. Produit dont je suis loin d'être amoureux, j'ai enfin entr'aperçu avec quelle puissance il peut me faire oublier des valeurs auxquelles je tiens, à méditer.
Et puis, la musique...
Pour moi c'est un langage, mais contrairement au monde des mots, la musique exprime autre chose, quelque chose qu'il y a vraiment au fond.
Et le fond que j'ai vu à ce moment là m'a beaucoup marqué. J'étais honteux de mon cruel manque de RDR, mais foutuement satisfait de mon experience psychonautique.
Mais quel énervé, t'a tout lu nom de Moi. Merci
Si vous avez envie de réagir, bordel j'attends que ça!
Voyant que la rubrique LSA est plutôt peu fournie en informations (en comparaison avec d'autres sujets), je me permets un petit TR à propos du LSA, et notamment, des graines HBWR.
Pour commencer, je tiens à mettre en garde tout lecteur : RDR'ment parlant, c'est pas joli joli ... Vraiment.
Mais bon, c'est de ses erreurs qu'on apprend, et je pense que partager mes imbécilités peut éviter à certains de se prendre ce genre de trique!
De plus, c'est en psychonaute que j'appréhende la perche, et j'aimerais bien avoir vos avis concernant celle-ci.
S&S : ... Apres quelques canons dans un bar (la délirium en pinte, faites gaffe, ça tabasse), on décide de rejoindre des amis chez l'un d'entre eux.
Soirée posée, un peu de son ... je ne m'aventurerais pas dans les détails du S&S qui, comme je l'ais dis, était proprement foiré.
Je vais d'ailleurs essayer de faire le point sur les - pour rester un minimum RDR.
Première erreur : l'alcool. Bien qu'on l'oubli souvent, c'est une drogue, et tripper bourrer, c'est pas mon truc. En général, j'ai l'impression de partir ... désequilibré. En plus ça rend con (je sens venir la fessée).
T : 7 graines dans la bouche, à macher. Une horreur, pas tellement question gout (même si apres coup, rien qu'une graine me ferait gerber) mais surtout question texture. Garder ça en bouche plus de 5 min : une épreuve.
T+5min : et merde, j'ai avalé cette bouillie infame. Bouarf, on attend un peu et on voit.
T+15min : Un peu, c'est un peu, faut pas abuser. Vlan, 8 de plus (merci dame alcool, en général, la RDR, j'y porte une attention toute particulière).
T+25min : Re-belotte, avalé. Couillon va!
Du coup, je pars désequilibré avec l'idée en tête que le fait de n'avoir pas mâché suffisamment ruinerait la perche.
T + ... : Bagdad. Mais genre un Bagdad bien sale, la tête dans les chiottes à parler tout seul. J'ai blackout la partie "décès", avec ses magnifiques nausées (le bodyload est quand même sévère).
Je reprends à peu près mes esprits dans mon lit (merki les copains), mais c'est vraiment la tarte. Je n'étais plus vraiment moi, les CEV se confondent avec les OEV, bizarrement, je ferme/ouvre les yeux, et je vois la même chose (je tiens à préciser qu'il fait noir dans ma chambre).
Je me souviens m'être levé pour aller pisser, ou peut-être vomir un coup. Un recul de dingue! Je n'étais physiquement pas en phase avec mon corps, et la pièce était loin d'être ma chambre. J'aimerais pouvoir vous la décrire, mais en réalité, ce n'était pas vraiment des images.
Pas de bad ni rien, je sais que je suis loin, c'est concretement ingérable (le LSA m'imposait vraiment le trip, contrairement à, par exemple, le LSD, ou je gerais parfaitement -à relativiser- le déroulement du bordel), mais mentalement, il y a un bout de moi qui tiens le choc.
Dans ma tête ça boucle, mais vraiment non-stop, il y a comme une dichotomie entre moi et moi-perché. Cette dernière est vraiment importante, parce que je l'ai ressenti tout le long.
J'étais entre le sommeil et la réalité, paumé dans ce que j'appellerais un état intermédiaire. Ma jambe n'a cessé de remuer de toutes la nuit, je me réveillais (si on peut appeler ça un réveil) et je bouclais sur ma jambe qui bougeait sans que je le lui demande. J'étais incapable de l'arrêter.
T + 7h : La phase décès se calme, et maintenant je n'ais plus du tout de nausées. Je me sens fatigué, mais une fatigue qui m'était inconnue.
Je me rends compte de la situation, et j'ai LA réflexion qui m'a littéralement sauvé : "Bordel, tu trippes et t'es dans ton lit."
Vlan : pris d'une énergie nouvelle (renaissance !), je me lève (bordel je suis toujours pas revenu dans mon corps, sa part en vrille, je menace de m'étaller deux ou trois fois), met mes pompes et sors de chez moi.
Pouah! Ce ciel les gars, je l'oublierais jamais, dehors les hallus sont moins abstraites ... Ou plutôt plus reconnaissables ^^
Le soleil se lève, et la lumière sur les nuages m'offre un contraste inoui (je ne regarde plus les nuages comme avant).
Les couleurs sont d'un psychedelique qui me fait sourire avec un grand S : "Ben tu vois, suffisait de se lever).
Je passe les détails de la "randonnée". J'ai marché longtemps pour aller me choper un point de vue potable. Matinée dégagée, maxi Mont-Blanc à l'horizon, laisse moi me poser et admirer (malgré un état de fatigue chelou).
Je ne suis toujours pas vraiment là, mais bien plus présent que quelques heures avant. Les hallus se calment, mais le décor, planté devant mes yeux reste toujours aussi dément. J'ose avouer (ceci n'est en rien une "apologie") que j'ai été émerveillé de voir ce lieu que je connais si bien tel qu'il était ce matin là.
T + 10h : Je rentre. Psychologiquement ça devient hard, les questions que je me pose me font boucler sur des sujets typiques, mais puissance 10:
- "T'es perché? Ouai quand même hein. Ou pas. Le ciel est chelou quand même."
- "Mais je raisonne pas comme ça d'habitude!! Ahahah c'est vrai : ça m'a poqué."
- "Et si tu en avais trop pris? (ma préférée) Mais tu vas être dans cet état toute ta vie? Bon, ça va c'est gérable (Vu mon état sur le coup, avec du recul, le "gérable" me fait vraiment poiler).
Et là, les choses sérieuses commencent...
Bonjour les ancètres, je me cale dans ma chambre ni vu ni connu. J'ai pas suivi la mydriase, mais vu leur réaction, je devais paraître clean.
Je m'assois, et pose les yeux sur mon piano.
Je tiens à préciser que je joue depuis longtemps et que je prends toujours un pied monstrueux à m'astiquer le clavier (contrairement au mastiquage des graines ... Bwaah!)
Mais là ... c'est pas vraiment pareil.
J'ai des sensations terribles dans les mains, qui me rapelle la goutte (hum, quand ta main fond sans se dégrader ^^), et surtout, la foutue impression que ce n'est pas mon intention qui dirige le mouvement de mes doigts.
C'est pas évident à décrire.
Ce qui est évident, c'est ce que j'ai entendu. C'était beau. Tout simplement beau. Trop beau pour que sa viennent de moi, je regardais mes doigts sauter, voler et glisser sur chacune de ces touches sans jamais se tromper. Chaque fausse note n'était qu'une nuance, une tension, et la réponse la plus adéquate suivait instantannément. Je regardais par la fenêtre, fermais les yeux et laissais mes doigts improviser une danse que je ne me connaissais pas.
Je remarque le vent qui secoue les arbres, et je suis submergé par un sentiment de "reste à ta place". Et ce sentiment se traduit immédiatement en musique. Et quelle musique... Un peu de groove? LA phrase qui tue, des rythmiques incroyables, une dichotomie (ce trip m'a fait aimer ce mot) main droite/main gauche de malade, une différenciation des sons incroyable, une dextérité inconcevable. Serieux, c'est pas des blagues.
Et restait ce sentiment que j'étais là, sans être là, que je pensais en double.
Des pensées telles que "C'est pour sa que tu es perché : la musique. Ton but dans la vie, a toujours été celui-là : être pianiste!" me secouaient la teub : répondre à une question existentielle comme celle là de cette manière ... Ca ne me ressemble pas!
Du coup ce genre de réflexions me paraissaient d'une absurdité telle que j'en riait!
Et je jouais, 1h-2h, non-stop, en riant, puis pleurant ... je me perdais dans des réaction sur-émotives qui me rappellaient la MD (vulgairement : ce n'est vraiment pas la même chose).
Et dans ce bordel, il y avait moi qui observait moi-perché s'exprimer sur le piano d'une manière extraordinaire.
Quand l'idée "enregistre moi tout sa" m'a traversé l'esprit, j'ai eu une réaction qui m'a fait m'aimer.
Si je m'arrète, la magie s'arrète. Si je perds le rythme une seule seconde, si je conclue, tout s'arrète.
Alors j'ai continué.
Quand je me suis relevé, j'ai été fumer un weed pour me calmer. Pétard de redescente, une pateuse typique, la pateuse que t'a quand t'es shep-R, qui m'a rappelé où j'en étais.
La journée a suivi son cours, je suis redescendu petit à petit. J'étais tout con, exprimer plus d'une idée par phrase me paumait, et je raisonnais bizarrement (la perche quoi).
Heureusement pour moi, je répettais l'aprem' (journée musique, le panard), ce qui m'a permis de m'impliquer dans autre chose que la contemplation de moi-même. Fin de journée, crevé, j'ai mal au crane.
Conclusion :
Pour calmer les énervés, bah j'ai rien de plus à ajouter, suffit de lire, vos esprits critiques auront raison de mes torts.
On néglige souvent le S&S en se prenant pour superman : erreur. Si j'avais pas chier dans la colle, ça aurait été unique (même si ça l'a été).
Je tiens à préciser que la phase "Décès" suffit à me convaincre (perso) du manque d'interet de ces graines (Si t'as jamais ressenti une nausée qui te donne envie de crever, vas-y, fais toi plaisir!).
Ce trip m'a fait réchéflir au sujet de l'alcool. Produit dont je suis loin d'être amoureux, j'ai enfin entr'aperçu avec quelle puissance il peut me faire oublier des valeurs auxquelles je tiens, à méditer.
Et puis, la musique...
Pour moi c'est un langage, mais contrairement au monde des mots, la musique exprime autre chose, quelque chose qu'il y a vraiment au fond.
Et le fond que j'ai vu à ce moment là m'a beaucoup marqué. J'étais honteux de mon cruel manque de RDR, mais foutuement satisfait de mon experience psychonautique.
Mais quel énervé, t'a tout lu nom de Moi. Merci

Si vous avez envie de réagir, bordel j'attends que ça!