Je suis dans le jardin et Hatsu est face à moi. Autours de moi c'est son jardin et à ma droite c'est des banzai, un mur à ma gauche. Je me concentre, Sally. Si tu marches, si tu viens à moi. Ne fait pas n'importe quoi. Je connais ta puissance, je sais de quoi tu es capable. Ne me maltraite pas.
Je regarde autour de moi. Je respire, avec le ventre, je fais le vide. Hatsu m'attire, elle me parle. Savoir si ça va. Je lui dit.
Je prend le temps, faire le silence. C'est sauvage la sauge salviesque.
Je rerespires à fond, je refais le vide, je lui redemande d'être clémente.
Je prend la pipe et j'allume.
Je brûle comme dans en enfer. C'est chaud et suffoquant.
Je sais que je vais pas réussir à garder la latte.
Je prend sur moi et j'inspire à fond, je coule.
Je n'y arrive pas, la fumé sort de mon gosier.
Je ne retiens pas.
Je garde le peux que j'ai.
J'expire et ça part.
Je suis aux stade de réalité légérement altéré, LSD like.
Je suis sur un pic parfait. toute petite hallucination.
Je crois que son téléphone sonne.
Sa mère aux téléphone.
Je reste seul dans le jardin, j'apprécie l'effet mais.
Ce n'est pas ça, la salvia.
J'arrive dans le salon et je demande si je peux prendre un autre shot. Oui.
Je m'installe rapidement, je check les deux tubes. Allez. X20.
Erreur de manip, je suis très toucher dans mes déplacement.
J'en met beaucup, je retransfère dans le tube.
J'ai une bonne douille.
Je retourne dehors.
Mais là en mode junkie, je suis sûr ça à fait toute la différence le mode dans ma tête : kaihoiken super sayen, je suis un dingue.
Je prend la latte a l'allumette, j'avais était lui demande en mode lunaire avec le signe du pouce pour dire merci alors qu'elle parlait avec sa mère.
BOUM. C'est énorme, c'est trop chaud, le truc pire que l'autre, je peux pas aspirer plus et je crach une partie en rattrapant mon geste. J'inspire. 20seconde plus tard, deuxième shoot sur la pipe.
BOUM. Encore aussi énorme mais la moitié de la douille est passé déjà. J'inspire. Je garde.
Déjà autour de moi le jaune m'envahis progressivement avec le vert. Le monde devient.
Un autre truc, mais. Bon.
Voilà.
Un autre truc.
Un truc énorme.
Pas vivable pour nous être humain tout les jours. Parce que. WTF!?!
Elle est aux téléphone, comme j'avais déjà eux cette sensation. j'entends tout sous salvia. Pas déformer. Pas modifié, c'est pas dans ma tête. J'entends tout.
J'ai entendu sa mère dans le téléphone ( ça c'est sûrement une hallucination. ) Elle, elle parlait de son poisson fish.
Qui était décédé la nuit précédente sous nos yeux.
A partir de ce moment ça doit être le pick, (chaque ligne est plus ou moins une seconde.)
Je sens une présence. J'arrive pas à dire si c'était positif ou négatif. Mais de par l'interprétation assez wtf qu'elle fût. C'était plutôt négatif. C'est une présence masculine. C'est le petit frère de Hatsu, son grand frère, son beau père, son père, c'est moi? Je sais rien mais je la sens, elle est là. Elle est LA. C'est un truc qui m'envahis. Je suis alors convaincus qu'il y a quelqu'un d'autre avec nous. Ma vision ce transcende, je subis une espèce de vision de projection mental vers elle. Je traverse la vitre, en faite je pense que c'est moi qui perd conscience de mon corps et j'avance. Et là dans sa cuisine ( j'arrive à lui transmettre la pipe, je croyais l'avoir poser sur la table directement en entrant ).
LE GROS WTF. Je cogite sur la présence qui est là et je regarde vers le sol.
C'est un motif à carreaux. Je veux poser les pied sur ces motif a carreaux. Mais je ne peux pas y arriver, C'est un autre monde, les carreaux. L'autre univers, celui de l'entité mystique de chaque être. Là où est la présence que je ressens.
Et c'est quoi en plus, les esprits? Les extra-terrestres? De la drogue?
Je reprend conscience que je marche et que le truc rouge là tout petit en faite, ce sont mes pieds. Et que donc ce sont mes jambes. Je regarde donc par terre.
Et je suis dans la cuisine de Hatsu. Je lève la tête et je la vois. d'ailleurs. Elle me regarde.
Je ne sais pas si elle à l'air effrayer ou étonner.
Elle m'invite à m'assoir dans le canapé. Je marche avec elle et elle me dit de m'assoir là.
M'assoir?Canapé? En moi je sens tout le bordel réminiscent ultra basique qui reviens et je me laisse à sourire.
J'ai 2 ans et demi.
Elle me prend par les épaules et m'assois.
Je le fais, je regarde autour de moi. Salon, télé, meuble, fille.
Je prend un gros coussin qui est sous le meuble télé. Je la regarde, je sert le coussin en même temps et je dis : pèche.
Elle me regarde tout étonné. Elle me pose des questions aux quelles je répond oui.
Elle me demande si je veux de la musique, oui.
Le temps qu'elle monte, j'avais fait tout le travail tout seul.
J'étais redevenus Stonix qui fait ce qu'il fait tout les jours de sa vie réel sans aucun problème.