Bonjour à tous,
Moi, mâle de 29 ans, ayant grandi dans le "93" (mais avec métro). En couple depuis plus de sept ans, madame est trop sensible pour les drogues ce qui en fait un allié précieux!!! Je pourrais enseigner mais mon boulot de pion me va aussi peinard qu'une pantoufle ; et me laisse du temps pour vivre ma vie d' "âârtiste" ou de poète-pouet. vrais savent vrais bayes.
Donc Gustavo El Morray. J'ai toujours été plutôt libéral, dans le sens où chaque subjectivité à ses raisons, ou se les trouve. Chaque avis est fondé par une succession d'impressions tout à fait valable, toujours. On peut ne pas être d'accord. Le bien, le mal toussa toussa chacun défini le sien... passons sur ces termes creux d'usure. Comme la différence entre drogue et addiction qu'on lie avec une facilité trop... bienpensante? - Evidemment on a tous une connaissance qui s'est flinguée en abusant, mais bon... Arrivé ici dans le creux des vagues des mots je peux le dire, j'écris en descente de lsd (ce qui restera à voir dans un prochain thread).
Reprenons, trentenaire avec un bac+5 en "sciences humaines" (je dirais pour rester vague) ; libéral, j'ai toujours eu ce sentiment envers les drogues : ni bien ni mal. Il faut voir les usages. Je ne suis pas le genre à vider la bouteille quelque soit sa quantité ou son contenant. Cependant je fume beaucoup d'herbe, je carbure, je calcine. Ca peut aller d'un joint en temps de diète à l'infini si le sac est bien rempli. Je bois vraiment très rarement, quand c'est la "fête". J'ai testé le poppers, drôle mais inutile. J'ai goûté à la cocaïne (pas souvent bonne) pendant un an ou deux, même régulièrement, mais sans m'attahcher. Aujourd'hui je dois être à 4 prises sur 5 ans, au moins. Je n'ai jamais vraiment aimé l'effet (je ne bois pas assez faut croire, ou le prod n'était pas assez bon, certainement!) ni l'administration (s'envoyer de la poudre en direct sur le cerveau mouais bof). Récemment, au nouvel an de cette année, je me suis collé presque 1 g de MD : pas d'effet ( de trois sortes, mais j'y reviendrai aussi...). Rebelote à un festival techno parisien cher : 1G/Que chi. Mon pote était en transpi absolue mais moi... bof...
Mais ma grosse XP, celle qui me pousse à m'investir autant et vous saouler : le LSD. Popopo!!! Première prise il y a des années, et plus récemment... Ca m'a (ré)ouvert des portes (pour aller vite), et je suis très curieux!!! Je sais que j'aurais probablement du mal à m'en procurer dans les années qui viennent, ou que ça va mettre un certain temps. D'ici là je suis chaud pour essayer plein de trucs !!! Mais pas n'importe quoi, n'importe comment. Le côté introspectif, trip intérieur me fascine (disons le mot) la recherche d'un moi, soi devenu un toi, eux, nous, pleins, plein, lumineux, organsmique ou ??? Ce que j'ai entrevu était si beau... si surprenant, émouvant... Une autre compréhension du monde oui. Une remise en cause de l'appréciation des sensations et des idées qui en découlent et régissent les structures sociales, interactions humaines... absolument.
En se renseignant sur les drogues légales, les molécules... A force de recherches on retombe vite sur les même sites ; et j'ai envie d'apprendre et de transmettre (tadaaaaa) ou au moins de partager avec des intéressés. Et j'espère (avec ses limites) trouvez ici un havre de discussion à ce(s) sujet(s), sans (trop) de jugement.
Comme un bon vin, être capable de se sortir une "petite cuvée d'on vous me direz des newz" et apprécier une bonne fonsdée. Proprement, et rentrer chez moi le lendemain. Serein.
J'ai déjà beaucoup dit, et essaierai de développer des points plus précis peut-être un peu plus clairement ou académiquement.
D'ici là...
Chill&Love&Sun&Smurf&Touteslesbonneschosesquifontdubien
GEM
. J'ai un passé d’héroïnomane hélas assez prononcé mais désormais je suis sous méthadone depuis 5 ans (d'ailleurs je me demande aujourd'hui si je n'aurais pas mieux fait d'arreter a la dure, j'aurais peut-etre encore la plupart de mes dents m(enfin 
