NukaCola
Glandeuse Pinéale
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- 25/12/12
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Hello everyone,
Je viens ajouter ma pierre à l'édifice, comme promis, en espérant que ça puisse aider certains, et afin que ça me permette de coucher ce que je ressens actuellement depuis plus de trois heures maintenant !
Alors voilà, j'ai connu le DXM après avoir effectué quelques recherches sur la codéine - substance que je prends de temps en temps après m'être sevré -. Je crois d'ailleurs que c'était ici, sur Psychonaut.com, que je l'ai découverte. Entraîné par ma curiosité naturelle, je n'ai eu d'autre réaction que celle d'entreprendre quelques recherches sur cette fameuse substance. Étonné par les témoignages que j'ai pu trouver cà et là, j'ai décidé de mettre en oeuvre toutes mes forces afin de me préparer à cette expérience, qui allait être, sans que je ne le sache encore, une des plus étranges de ma vie.
Au terme donc de deux mois de recherches intensives et de récoltes d'informations, j'ai choisi de faire le grand saut et de me rendre à la pharmacie du coin pour acheter mes premières boîtes de comprimés. Un enfer.
- Bonjour, deux boîtes de T***** s'il vous plait !
- Hum, je vais voir ça *Se retire dans l'arrière salle*
Et bien, il ne reste que du sirop !
- Alors je prendrais ça, ça ira.
- Vous êtes sûr ?
- Oui.
- Vraiment ?
- Puisque je vous dit que oui.
- Avec ou sans sucre ?
- Avec.
- *Tend la boîte.*
- Mais... C'est écrit sans sucre, je veux pas de ça.
- *bredouillements incompréhensibles*
- BON, ALLEZ VOUS ME LE DONNER CE SIROP?
Enfin, après quelques haussement de ton, qui ne furent qu'inévitables, je finis alors par réussir à obtenir ces doux breuvages aromatisés à l'orange que cette charmante pharmacienne ne daignait pas, pour une obscure raison, me donner.
13h : Je m'installe. Je nettoie la pièce dans laquelle je me prépare au voyage. Ambiance calme, tamisée, les fenêtres fermées, il fait assez gris ici, ça tombe bien, j'adore l'obscurité ! C'est alors que je dégoupille tranquillement la bouteille. Le goût est infecte. Une gorgée, ça passe. Mais cinq, non. Alors je fais passer tout ça au coca, que j'avais gardé auprès de moi, au cas où!
14h : Rien à l'horizon. Une petite nausée qui commence à s'amplifier, accompagnée de bruitages gastro-intestinaux plutôt... inquiétants.
Merde alors ! Les petites nausées sont devenues des grosses envies de gerbe sauvage. J'ai qu'une envie, me vider les intestins, et que cette horrible douleur s'arrête.
Le bodyload est atroce. Un mélange de troubles gastriques, d'anxiété, de sueurs froides et de fièvre. Je me tords de douleur, je veux que tout ça se stoppe le plus rapidement possible, ou j'vais devenir fou. Ah ! Mais ! Tiens ! Je vais aller faire un gros dodo en attendant que ça monte doucement.
16h : Je me réveille, pour une raison que j'ignore. Enfin, j'ai surtout l'impression de n'avoir dormi que quelques minutes. Je regarde mon portable : 16h?! Mais... Qu'est-ce que j'ai foutu... Étrangement, je ressens pas vraiment d'effet notable. Je descends donc par l'échelle de mon lit. Avant même de poser la jambe sur le sol, c'est alors qu'une sensation extrêmement chaude s'empare de moi. Je suis surexcité, mes membres sont légèrement anesthésiés, j'appelle n'importe qui, je mets de la musique à fond, j'm'en fous, ça n'a plus d'importance. Euphorie totale. Je ris, je ris encore et encore, j'affiche un sourire d'exstase sur ma face complètement boursouflée. Et c'est alors que paf, je me retrouve en discothèque, sur du dubstep fort agressif mais tellement savoureux, à danser frénétiquement, emporté par un tourbillon de folie sans nom. Puis sans savoir pourquoi, je suis aux toilettes. Assis. Les murs ondulent, comme les vagues d'un calme océan, de petites taches lumineuses et très colorées font de brèves apparitions sous mes yeux.
17h : Me voilà encore dans la pièce du départ, assis sur le même fauteuil qu'avant. L'euphorie a laissé place à un sentiment de dépersonnalisation des plus intense. J'essaie de me lever, de marcher, mais je ne sais plus qui je suis, où je vais, et encore moins pourquoi j'y vais. J'avance jusque dans la cuisine. Tiens, un chat assis sur la table! Je m'accoude à lui, et lui parle, de ma vie, de mes malheurs, de mes joies. Mais ce foutu chat ne daigne pas écouter mes belles paroles, il détale comme un lapin ! Alors, furieux, lançant mes bras dans toutes les directions et déblatérant des paroles dénuées de tout sens, je retourne sur mon bon vieux siège. Je fonds en lui. Je ne fais qu'un. Mes jambes sont de vulgaires morceaux de bois. QUOI?! Je n'ai plus de jambe? Nom de dieu. Je n'arrive même plus à les bouger. Alors je les frappe, pour m'assurer qu'elles vivent encore. Aucune réaction. Mes jambes se sont belles et bien transformées en... branches. Je suis un arbre à présent. Mes cheveux sont des feuilles où les oiseaux viennent y construire un doux foyer. Je pars sévère en couilles. Mais je trouve ça extrêmement agréable.
17h20 : Je ne suis plus qu'un mollusque. Une loque incapable de bouger autre chose que ses doigts pour taper sur son clavier. Le reste de mon corps me paraît insensible à la douleur. Dans un geste que j'aurai moi même du mal à expliquer, j'me suis cramé une clope sur le dos de la main. Et j'ai rien senti. Ca m'a même fait beaucoup rire, j'en suis tombé par terre.
Je ferme les yeux. Un bruit mécanique, celui du ventilateur de mon ordinateur, résonne dans mon crane. Les perspectives s'aplatissent. Je me retrouve paumé dans un univers tout de bleu fait, et qui plus est, en 2D. Le bleu vire au jaune, qui vire au vert, qui vire au rouge, qui vire lui même au violet, et la farandole de couleurs continue sans s'arrêter. Il y a une lumière, au loin. Un grand oeil. Il tente de me parler, mais je ne comprends pas. Mon subconscient semble quand à lui entendre ses paroles. Mais je suis moi même incapable de déchiffrer les mots de cet être supérieur. Rien ne me paraît étrange.
17h30 : Je cherche mon appareil photo, je sais pas pourquoi, quelqu'un m'a dit de le faire... Enfin j'crois... Le problème, c'est que je suis incapable de réfléchir à ça. Je suis extrêmement concentré. Mais pas concentré comme on peut le concevoir. Concentré ailleurs, dans un autre monde. Le temps est lent. Très, très lent. Les minutes s'écoulent comme des heures. Me voilà aux portes de la réflexion. Mon enveloppe charnelle n'a plus aucune importance. Je ne vois plus que mon propre esprit dans lequel je semble converser.
17h35 : Je vois un long tunnel. J'entends des voix, des cris, je vois mon enfance défiler devant mes yeux. Le passé resurgit de là où j'avais tenté de l'enfouir. Ma respiration s'accélère. Il faut que je me calme. Le Bad-trip me guette, perché sur son mirador, attendant patiemment la moindre faiblesse de ma part. Je n'entends quasiment plus rien. Les sons deviennent secondaires. Comme tous les sens dont je suis pourtant pourvu. Il n'y a plus que la manifestation de l'âme qui importe pour moi. Le physique n'est qu'un détail, une image futile, un emballage hypocrite. Je me sens petit, puis grand. Mon égo se gonfle et se dégonfle, se cache, se montre, il s'annihile, se brise, puis se reforme et devient alors un énorme ballon gonflé d'air prêt à exploser, prenant toute la place de ma petite boîte crânienne.
17h46 : Voilà, maintenant je ne comprends plus rien. C'est n'importe quoi, plus rien n'a de sens. Je n'ai plus de mémoire. Je ne sais plus qui je suis. En me regardant dans une glace, je ne me reconnais pas. Je ne sais pas qui se trouve devant moi. Un étranger, un mec qui passe par là. C'est très étrange. Je suis terrassé par un cruel manque d'énergie. Je suis incapable de bouger le moindre membre. Mais je ne suis pas fatigué. Je ne sais d'ailleurs plus ce qu'est la fatigue, tout comme j'ai oublié la faim, la soif, et toutes les autres envies. Je crois que pourrais rester ici des heures et des heures durant. Mais la réalité vient me chercher, je vois son bras au loin, je vois qu'elle me tend allègrement sa main. Elle m'appelle, elle me demande de revenir, elle me dit que tout est terminé. Je ne suis ni heureux, ni malheureux, j'ai perdu toute définition de ces sensations là. Je suis aussi émotif qu'une calculatrice. Mais j'aime bien. C'est agréable, de ne plus penser, de ne plus réfléchir au mal et au bien qui se confondent. Très agréable.
Je crois que j'ai vécu ici ma meilleure expérience. Bien sûr, je n'en suis qu'à ma troisième, mais chacune est nouvelle, différente, et toujours plus appréciable, et j'espère de tout mon coeur que le DXM aura encore des choses à me montrer, car c'est une substance qui m'intéresse, qui me fascine, de par ses effets avant tout.
J'espère que vous aurez pris plaisir à lire tout cela, bien que j'aie conscience que ça soit bordélique et mal exprimé, j'ai quand même essayé de relater au mieux ce que j'ai ressenti !
Je viens ajouter ma pierre à l'édifice, comme promis, en espérant que ça puisse aider certains, et afin que ça me permette de coucher ce que je ressens actuellement depuis plus de trois heures maintenant !

Alors voilà, j'ai connu le DXM après avoir effectué quelques recherches sur la codéine - substance que je prends de temps en temps après m'être sevré -. Je crois d'ailleurs que c'était ici, sur Psychonaut.com, que je l'ai découverte. Entraîné par ma curiosité naturelle, je n'ai eu d'autre réaction que celle d'entreprendre quelques recherches sur cette fameuse substance. Étonné par les témoignages que j'ai pu trouver cà et là, j'ai décidé de mettre en oeuvre toutes mes forces afin de me préparer à cette expérience, qui allait être, sans que je ne le sache encore, une des plus étranges de ma vie.
Au terme donc de deux mois de recherches intensives et de récoltes d'informations, j'ai choisi de faire le grand saut et de me rendre à la pharmacie du coin pour acheter mes premières boîtes de comprimés. Un enfer.
- Bonjour, deux boîtes de T***** s'il vous plait !
- Hum, je vais voir ça *Se retire dans l'arrière salle*
Et bien, il ne reste que du sirop !
- Alors je prendrais ça, ça ira.
- Vous êtes sûr ?
- Oui.
- Vraiment ?
- Puisque je vous dit que oui.
- Avec ou sans sucre ?
- Avec.
- *Tend la boîte.*
- Mais... C'est écrit sans sucre, je veux pas de ça.
- *bredouillements incompréhensibles*
- BON, ALLEZ VOUS ME LE DONNER CE SIROP?
Enfin, après quelques haussement de ton, qui ne furent qu'inévitables, je finis alors par réussir à obtenir ces doux breuvages aromatisés à l'orange que cette charmante pharmacienne ne daignait pas, pour une obscure raison, me donner.
13h : Je m'installe. Je nettoie la pièce dans laquelle je me prépare au voyage. Ambiance calme, tamisée, les fenêtres fermées, il fait assez gris ici, ça tombe bien, j'adore l'obscurité ! C'est alors que je dégoupille tranquillement la bouteille. Le goût est infecte. Une gorgée, ça passe. Mais cinq, non. Alors je fais passer tout ça au coca, que j'avais gardé auprès de moi, au cas où!
14h : Rien à l'horizon. Une petite nausée qui commence à s'amplifier, accompagnée de bruitages gastro-intestinaux plutôt... inquiétants.
Merde alors ! Les petites nausées sont devenues des grosses envies de gerbe sauvage. J'ai qu'une envie, me vider les intestins, et que cette horrible douleur s'arrête.
Le bodyload est atroce. Un mélange de troubles gastriques, d'anxiété, de sueurs froides et de fièvre. Je me tords de douleur, je veux que tout ça se stoppe le plus rapidement possible, ou j'vais devenir fou. Ah ! Mais ! Tiens ! Je vais aller faire un gros dodo en attendant que ça monte doucement.
16h : Je me réveille, pour une raison que j'ignore. Enfin, j'ai surtout l'impression de n'avoir dormi que quelques minutes. Je regarde mon portable : 16h?! Mais... Qu'est-ce que j'ai foutu... Étrangement, je ressens pas vraiment d'effet notable. Je descends donc par l'échelle de mon lit. Avant même de poser la jambe sur le sol, c'est alors qu'une sensation extrêmement chaude s'empare de moi. Je suis surexcité, mes membres sont légèrement anesthésiés, j'appelle n'importe qui, je mets de la musique à fond, j'm'en fous, ça n'a plus d'importance. Euphorie totale. Je ris, je ris encore et encore, j'affiche un sourire d'exstase sur ma face complètement boursouflée. Et c'est alors que paf, je me retrouve en discothèque, sur du dubstep fort agressif mais tellement savoureux, à danser frénétiquement, emporté par un tourbillon de folie sans nom. Puis sans savoir pourquoi, je suis aux toilettes. Assis. Les murs ondulent, comme les vagues d'un calme océan, de petites taches lumineuses et très colorées font de brèves apparitions sous mes yeux.
17h : Me voilà encore dans la pièce du départ, assis sur le même fauteuil qu'avant. L'euphorie a laissé place à un sentiment de dépersonnalisation des plus intense. J'essaie de me lever, de marcher, mais je ne sais plus qui je suis, où je vais, et encore moins pourquoi j'y vais. J'avance jusque dans la cuisine. Tiens, un chat assis sur la table! Je m'accoude à lui, et lui parle, de ma vie, de mes malheurs, de mes joies. Mais ce foutu chat ne daigne pas écouter mes belles paroles, il détale comme un lapin ! Alors, furieux, lançant mes bras dans toutes les directions et déblatérant des paroles dénuées de tout sens, je retourne sur mon bon vieux siège. Je fonds en lui. Je ne fais qu'un. Mes jambes sont de vulgaires morceaux de bois. QUOI?! Je n'ai plus de jambe? Nom de dieu. Je n'arrive même plus à les bouger. Alors je les frappe, pour m'assurer qu'elles vivent encore. Aucune réaction. Mes jambes se sont belles et bien transformées en... branches. Je suis un arbre à présent. Mes cheveux sont des feuilles où les oiseaux viennent y construire un doux foyer. Je pars sévère en couilles. Mais je trouve ça extrêmement agréable.
17h20 : Je ne suis plus qu'un mollusque. Une loque incapable de bouger autre chose que ses doigts pour taper sur son clavier. Le reste de mon corps me paraît insensible à la douleur. Dans un geste que j'aurai moi même du mal à expliquer, j'me suis cramé une clope sur le dos de la main. Et j'ai rien senti. Ca m'a même fait beaucoup rire, j'en suis tombé par terre.
Je ferme les yeux. Un bruit mécanique, celui du ventilateur de mon ordinateur, résonne dans mon crane. Les perspectives s'aplatissent. Je me retrouve paumé dans un univers tout de bleu fait, et qui plus est, en 2D. Le bleu vire au jaune, qui vire au vert, qui vire au rouge, qui vire lui même au violet, et la farandole de couleurs continue sans s'arrêter. Il y a une lumière, au loin. Un grand oeil. Il tente de me parler, mais je ne comprends pas. Mon subconscient semble quand à lui entendre ses paroles. Mais je suis moi même incapable de déchiffrer les mots de cet être supérieur. Rien ne me paraît étrange.
17h30 : Je cherche mon appareil photo, je sais pas pourquoi, quelqu'un m'a dit de le faire... Enfin j'crois... Le problème, c'est que je suis incapable de réfléchir à ça. Je suis extrêmement concentré. Mais pas concentré comme on peut le concevoir. Concentré ailleurs, dans un autre monde. Le temps est lent. Très, très lent. Les minutes s'écoulent comme des heures. Me voilà aux portes de la réflexion. Mon enveloppe charnelle n'a plus aucune importance. Je ne vois plus que mon propre esprit dans lequel je semble converser.
17h35 : Je vois un long tunnel. J'entends des voix, des cris, je vois mon enfance défiler devant mes yeux. Le passé resurgit de là où j'avais tenté de l'enfouir. Ma respiration s'accélère. Il faut que je me calme. Le Bad-trip me guette, perché sur son mirador, attendant patiemment la moindre faiblesse de ma part. Je n'entends quasiment plus rien. Les sons deviennent secondaires. Comme tous les sens dont je suis pourtant pourvu. Il n'y a plus que la manifestation de l'âme qui importe pour moi. Le physique n'est qu'un détail, une image futile, un emballage hypocrite. Je me sens petit, puis grand. Mon égo se gonfle et se dégonfle, se cache, se montre, il s'annihile, se brise, puis se reforme et devient alors un énorme ballon gonflé d'air prêt à exploser, prenant toute la place de ma petite boîte crânienne.
17h46 : Voilà, maintenant je ne comprends plus rien. C'est n'importe quoi, plus rien n'a de sens. Je n'ai plus de mémoire. Je ne sais plus qui je suis. En me regardant dans une glace, je ne me reconnais pas. Je ne sais pas qui se trouve devant moi. Un étranger, un mec qui passe par là. C'est très étrange. Je suis terrassé par un cruel manque d'énergie. Je suis incapable de bouger le moindre membre. Mais je ne suis pas fatigué. Je ne sais d'ailleurs plus ce qu'est la fatigue, tout comme j'ai oublié la faim, la soif, et toutes les autres envies. Je crois que pourrais rester ici des heures et des heures durant. Mais la réalité vient me chercher, je vois son bras au loin, je vois qu'elle me tend allègrement sa main. Elle m'appelle, elle me demande de revenir, elle me dit que tout est terminé. Je ne suis ni heureux, ni malheureux, j'ai perdu toute définition de ces sensations là. Je suis aussi émotif qu'une calculatrice. Mais j'aime bien. C'est agréable, de ne plus penser, de ne plus réfléchir au mal et au bien qui se confondent. Très agréable.
Je crois que j'ai vécu ici ma meilleure expérience. Bien sûr, je n'en suis qu'à ma troisième, mais chacune est nouvelle, différente, et toujours plus appréciable, et j'espère de tout mon coeur que le DXM aura encore des choses à me montrer, car c'est une substance qui m'intéresse, qui me fascine, de par ses effets avant tout.
J'espère que vous aurez pris plaisir à lire tout cela, bien que j'aie conscience que ça soit bordélique et mal exprimé, j'ai quand même essayé de relater au mieux ce que j'ai ressenti !