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Votre rapport aux dépresseurs

Acacia

𝓥𝓪𝓹𝓸𝓾𝓻𝓸𝓾𝓼 𝓢𝓱𝓪𝓭𝓮𝓼蒸気の色合い
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25 Mai 2017
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Hello, le forum a beau de pas être centré sur ce type de produit principalement, ils sont quand même souvent utilisés et ont un profil de risque assez élevé, dépendances physique, surdosage potentiellement mortel ... bien que le but ne soit pas de diaboliser c’est produits .

Pourquoi les consommer malgré ces risques,quelles sont vos limites avec
Ces produits pourquoi les appréciez-vous ou pourquoi vous les fuyez si vous eviter d’en consommer ?

Alors je vous invite à parler de votre rapport à tous types de dépresseurs, opioides, gabbaergiques et autres .
Perso je n’ai pas le temps tout de suite de répondre 

A nos claviers !
 

PSYCHOCRACK

le gros con avec une chaussure noire
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10 Jan 2007
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le rivotril (pas sur de l’orthographe).

couplé avec de la MXE, mais c'est tres dangereux! risque de mort tout ça!

j'aimais bien le côté downer et effets différent par raport à de la mxe seul!

je fumais tout le temps du cannabis avec, ce qui potentialisais encore plus......

par contre le rivotril seul 1 cachet ne ma jamais donné satisfaction, j'ais jamais tenté + de mémoire.

j'ai tester aussi avec le xanax, tentaive raté d'erzat de MXE+ JOINT+ rivotril.

tenté aussi un cachet de diazepam ou 2 et rien de bien intéressant pour moi.

je prenais des benzo voir lequel plus haut en décante de mdpv, mais je le faisais pas souvent, rarement faut dire.

par contre depuis plus d'un an on me prescrit du serestat j'en prend 1 au coucher mais ça commence à plus faire d'effet, petit à petit la prescription à augmenter jusqu’à 3 max, heureusement que j'en prend pas 3x par jours, mais comme je potentialise avec des plantes lègere plus ou moins bas c'est comme si j'en prenais +, mais c'est juste pour me relaxer le soir et m'endormir après.

j'oubliais les opiacées et opioïde (médicaments).

le kratom j'adorais, mais seulement en couple avec cannabis, jamais mais jamais tomber acroc phsysiquement, mais psychiquement j'ais toujours gère à long terme, à court terme ça alais aussi.

l'oxycodonne, 3 cahet gober à jeun, mon donné autant d'effet qu'un dose forte de tres bon kratom!

mais l'effet était moins qualitatif que le kratom.

l'opium en fumant en joint ou au vaporisateur volcano,ou gober, j'en ais tellement la frousse de mourrire d'une od que je sous dose  en augmentant tout les jours, et ça finie par soulager un peu mon dos, mais c'est tout.

je finie avec des dose de cheval......

pareille avec la rachacha, sauf une fois ou je l'ais sentie mais très très lègé!



GHB, ma rendue accroc psychiquement,  jamais physiquement, mais ça à deraper en consso tout les jours tres rapidement.

GBL, une pro drogue et surtout un herzat (asser nul je trouve maintenant niveau effet désirable), le benefice risque est à chier dure de trouver mon bon dosge, et en plus le plaisire n'y est pas si  en dessous

héroine: tojours fuie comme la peste, c'est trop souvent de mauvaise qualité (trop de coupe bizarre), et mauvaise image (addiction + déces) du produit par raport à moi.

si non j'aime bien le skutelaire lateriflora ou la valerianne, si c'est en plante fraiche c'est top
 

Hyosciamus

Alpiniste Kundalini
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5 Nov 2020
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Les calmant peuvent stopper la fonction des organes, alors c pour ca qu'il faut un stimulant dans la poche au cas où...
 

Skruffy

Holofractale de l'hypervérité
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26 Jan 2018
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Je consomme de l'alcool par ce que c'est dans ma culture et que j'ai bien les effets et le goût, la convivialité, etc... Mais si c'était pas dans ma culture j'irais clairement pas le chercher.

Sinon je me suis dit que je toucherais pas aux benzo et opiacés par ce que le rapport risque/bénéfice n'en vaut pas la peine. Les trucs que je consomme me suffisent pour m'amuser et me donne assez à gérer, donc pas besoin d'aller chercher plus loin. Benzo ça à l'air gérable mais piégeux, et les effets ont vraiment pas l'air dingue. Les opiacés ça a vraiment l'air d'être le niveau au dessus en terme d'addiction, et bonne chance pour en sortir une fois que t'es dedans. En tout cas c'est l'image que j'en ai.
 

Acacia

𝓥𝓪𝓹𝓸𝓾𝓻𝓸𝓾𝓼 𝓢𝓱𝓪𝓭𝓮𝓼蒸気の色合い
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25 Mai 2017
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flumazénil Pour les gabba et naloxone pour les opi c’est un peu plus rdr que des stim ...

Moi depuis gamin anxiété sociale horrible, mauvaise image de moi même et sentiments d’etre socialement inapte m’ont fait sauter sur le tramadol la codé et le zolpidem au lycée heureusement j’ai arrêté avant la dépendance mais me suis mis à bedave comme un gros pompier .

Les opis sont vraiment restés dans ma tête comme des trucs que j’aimais bien trop, donc plus tard j’ai repris des tramadol et Skénan et opium extrait de médoc ... vive le foie en pls
Mais je m’en suis fait très peur a cause de Ma faiblesse face aux addictions donc j’avais donné ce qu’il me restait à une ami non consommateur qui a fini par tout jeter ...
Par la suite j’ai repris un peu de skenan pis ca m’a re fait peur alors je m’en suis dis que les veines rouge de Kratom c’etait juste une plantent blabla mon cul m’a fait peur aussi j’ai arrêté au bout de 200g sur quelques mois .

Suite à un traumatisme sous 2C-E ( c’est pas le trip qui m’as mis mal mais un c**** qui avait profité de mon état bisounours chéper débile) pis j’ai vu un vieux psychiatre pourri qui m’a mis sous benzo et sertraline la sertraline me mettait si mal qu’il a monté les’ doses de benzo m’a donné du zopiclone à gogo en connaissant pourtant mon passif de conso (oui j’ai un peu la haine contre lui bien que ce soit aussi ma faute), quand j’ai compris qu’a part monter mes doses d’anxio imbéciles était bon à rien je l´aì plus revu .
Ensuite un autre psychiatre à tenté de me sevrer au lexomil, mauvaises idée je dépassais’ toujours ma prescription et m’en retrouvais en manque chaque fin de moi pis il a compris qu’il savait pas y faire et m’ a envoyé en csapaa qui m’a mis sous Diazepam qui marche le mieux pour moi en sevrage progressif je diminue petit à petit j’en suis encore a 40mg/jour...
Et j’ai de la theralene pour dormir . L’atarax étant trop léger, le tercian été la mirtazapine mz defoncant tout le lendemain au moins avec la theralene j’arrive à me réveiller sans être un zombie .

L’alcool j’aime bien l’effet *mental* mais physiquement je supporte pas les doses qui m’en mettent bien .

Les z drugs ont énormément aidé a a sociabilité et la vie sexuelle mais au prix d’une belle addiction.

Sinon j’aime bien le lotus bleu c’est apaisant mais plus méditatif qu’abruti Chez moi .

Je les amis tous potentialisés au THC qui... augmente chez moi fort l’euphorie avec tolérance, sans tolérance THC + opi je tombais par terre limite d’en malaise vagal .

Je crois que c’est à peu près tout pour les dépresseurs et moi bref j’adore ça pallie à pas mal de mes soucis mais artificiellement.

La TCC et la méditation quotidienne m’aident beaucoup dans mon sevrage de valium .
« Grâce aux benzo » je peux plus toucher aux opis
 

Tridimensionnel

Holofractale de l'hypervérité
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27 Avr 2016
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C'est un peu étrange de s'en rendre compte, mais les dépresseurs sont les produits les plus facilement accessibles à un·e non-initié·e. Du coup, si j'ai commencé par ça, c'est tout simplement parce que ça m'est tombé dans les mains. L'alcool d'abord, car c'est un rite social. En ce qui concerne les opis et benzos, je suis chaque fois passée par une étape médicamenteuse : automédication pour les premiers (c'était encore en vente libre), prescription de psy pour les seconds, et puis j'ai vite capté que j'y trouvais un autre intérêt, un intérêt personnel, psychoactif, non dicté par une nécessité médicale mais par le plaisir (curiosité, voyage, bien-être, oubli, chaleur... les possibilités sont larges).

Je faisais très attention et ma consommation était vraiment épisodique, il y a encore des vieux messages sur ce forum où je disais maîtriser cette conso, malheureusement ça m'a échappé, par un processus très lent qui a peu à voir avec le récréatif. Tout simplement, les problèmes qui m'ont poussé en premier lieu à consommer ont empiré, ce qui a progressivement normalisé la prise du "remède". Et je pense que les problèmes d'adduction aux dépresseurs, en plus de leur réel impact corporel, doit beaucoup à ce fait qu'à la différence d'autres classes de prods, ce sont principalement des substances de soin. On ne les prend pas forcément pour le plaisir. Et partant de là, on n'a pas la même marge de manœuvre pour surveiller sa conso.
Donc récréatif + thérapeutique + fonctionnel une fois que tu découvres le principe d'amortir les descentes, ça fait beaucoup d'occasions de se torcher aux dépresseurs. Ça en fait trop, en fait.

J'ai basculé avec les benzos le jour où une psy m'a prescrit une prise quotidienne d'oxazépam, contre ma volonté. Depuis, j'arrive pas à m'en passer. Une fois j'ai fait un dry de quatre mois, que j'ai bien tenu, mais au prix de réelles souffrances car derrière j'avais les mêmes soucis que d'habitude. J'ai pas le courage de me lancer à nouveau dans cette démarche, d'autant que je vois bien qu'une fois le délai passé ça recommencera exactement comme avant. C'est une addiction très légère, j'ai réduit au maximum, je coupe en quatre des cachets de la dose minimale disponible sur le marché, parfois je saute un jour, parfois deux... mais j'arrive quand même pas à m'en passer.
Par contre, mon corps ne supporte plus la codéine. Ou le paracétamol, je sais pas. Le codoliprane en tout cas, ça passe plus. Et j'ai envie de dire, tant mieux.
 

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Holofractale de l'hypervérité
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30 Oct 2011
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Pour moi ces des prods comme les autres, j'y ai pas de rapport particulier. Si ce n'est que c'est la classe la plus "facile" en terme de headspace.

Je fais par contre particulièrement attention à ma conso, plus qu'avec les autres classes.
 

Ezechiel

Elfe Mécanique
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19 Oct 2011
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Tout pareil que cookies. Je fais des tournus entre les classes de prod afin d'éviter dépendance et tolérance. Parfois je me fais 1 trace d'héro pure à 96% (15-18mg gros max) ou je tape dans 1 vieux pochon de O-DSMT. J'ai reçu de l'etazen dernièrement et une dose strong c'est du 1.5mg, alors j'essaie de faire hyper gaffe comme hier soir mais j'ai vraiment eu peur de OD mais au final l'effet était presque léger comparé à ma 1e fois et comme je bois pas mal faut faire gaffe...

Sinon c'est bcp d'alcool et trop de joints par la force des choses en ce moment... Quasiment laissé tombé les disso depuis la MXE (j'ai énormément de 3-HO-PCP par contre) et complètement abandonné les benzos car plus de descente à gérer. En gros 3 ans d'abstinence de gros trip car blessure physique incapacitante qui me pourrit la vie en ce moment mais ça devrait aller mieux dans les mois qui viennent...

Je privilégie le 4-HO-MET et 2-CB en poudre en ce moment, vraiment plus fun :) Pis faut que je teste plus en avant la MDMA, pas une grande XP avec cet empatho et les rares fois où j'en ai pris j'ai pas eu grand chose, sûrement à cause de la tolérance (dernière prise 150mg). On en a recommandé avec des potes mais j'ai vraiment abusé du speed et autres empathos cette année alors on verra, on en reprendra peut-être ce jeudi.
 

walterwhiterabbit999

Neurotransmetteur
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29 Août 2021
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74
Je fuis l'alcool et le THC depuis longtemps,  jusqu'à mes trente ans c'était No limit, puis j'ai fait trop n'importe quoi avec l'alcool surtout, dérapages violents, mélange avec amphétamines = Black out sur pied, le lendemain on me racontait que je sautais sur les voitures, que j'embrassais n'importe qui, que je me faisais éclater la tête à  tout va, je me réveillais sans savoir comment j'étais arrivé là, j'ai  fait une pancréatite en 2018.
J'ai grandi en fumant du THC pour au moins trois vies, le côté parano et antisocial l'a très vite emporté et j'ai rien fait pendant des années, la flemme de tout, peur du monde extérieur.
À un moment j'ai fuit le LSD car trop de délires quasi psychotiques (bad trip, parano, syndrome de persécution, je me prenais pour LE prophète ou la réincarnation de Jim Morrison...) aujourd'hui j'en consomme à  nouveau dans de bonnes conditions (avec des gens de confiance, dans des endroits softs).
Au début de mes années techno j'ai fuit l'alcool, car mon père à la maison partait en couille un truc de dingue avec ça, j'ai  fuit aussi le speed et la coke car mon père,  dans sa jeunesse, était accro sévère à ces deux molécules il finissait par manger le speed à la petite cuillère pour le sentir au bout de trois jours sans dormir (il brassait coke et amphétamines en Hollande avant ses trente ans) à 26 ans il n'avait plus de dents...
J'ai fuit l'héroïne, malgré quelques xp, car mon père et ma belle mère ont vécu des trucs de dingues avec leurs amis junky, j'ai vu un frère de la rue tomber dedans c'était sale...
Je fuis les neuroleptiques qui me rendent mort de l'intérieur...
Pendant quelques années j'ai fuit le milieu techno et toutes les drogues qui vont avec mais j'ai remplacé par l'alcool qui me paraissait anodin puisque vendu en supermarché : mauvais idée, grosse merde...
Aujourd'hui j'ai remplacé l'alcool par la ké et les RC, pour l'instant je trouve que c'est moins pourri que l'alcool qui est le pire des poisons à  mes yeux.
J'arrive à espacer les prises.
J'ai un traitement atarax j'en prends 1/2 par jour pour dormir parfois plus après des sessions sex drugs et rock n roll.
En ce moment c'est le speed que j'évite car ça me rend trop anti social et parano, en plus la descentes me fait trop mal au cerveau....
Je me méfie des benzos mais j'en prends pour arrêter mon cerveau quand j'abuse un peu et que je veux dormir...


Erf j'ai essayé de virer ce message mais je n'y arrive pas... c'était pas ici qu'il devait finir, dsl...
 
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