Substances : diménhydrinate 750mg, caféine 150mg
Pour les connaisseurs, vous avez bien compris que j'ai trouvé tout ça dans un médoc connu, jme suis enfilé la boite en entier.
Set&setting : Chez moi, avec un 3 potes.
État : bien défoncé de la dizaine de joints de l'aprèm, et avec 4 bières dans le ventre (je sais que l'alcool augmente grandement les effets du Diménhydrinate donc j'en ai pris modérément)
Précision :
Le Diménhydrinate est un délirogene, cad qu'il vous rend partiellement fou pendant quelques moments avec des hallus prononcées, comme par exemple l'impression de voir des gens qui ne sont pas là et même de leur parler sans se rendre compte qu'ils n'existent pas. Cette substance est très dangereuse, on peut se retrouver en hôpital psychiatrique, faire des choses que l'on regrettera par la suite, on passe obligatoirement pour un fou aux yeux des autres, et les effets le lendemain sont (très souvent) désagréables. Certains disent qu'il faudrait 3j pour s'en remettre.
Bon perso vous verrez que je n'ai eu aucun problème et que donc je ne suis pas vraiment d'accord avec ceux qui le proscrivent, mais je pense aussi avoir eu de la chance dans mon trip et qu'il pourrait être désagréable d'en prendre pour d'autres.
Donc, commençons.
Je suis avec un pote, dans mon salon, lorsque je gobe ma boite de médocs. Il est 19h40. On attend deux amies qui arrivent à 21h. Jusque-là, pas d'effets.
Pour plus de précision, M est mon meilleur ami, était présent avec moi toute la journée et a donc bu et fumé avec moi. J et C arrivent en scooter, je connais bien J mais n'ai jamais vu C, elles sont juste sous l'effet de 2-3 joints.
On commence à boire tranquille, dans mon salon. Et là je vois C qui fait tomber plein de bière sur mon canap. Alors je fais "OH TU DAILLES!" (expression bordelaise, qui veut dire "faire chier"). Tout le monde me regarde avec un air bizarre, donc je me justifie en expliquant quelle en avait renversé. "Ben non y'a rien du tout, regarde..." "ah, merde, dsl..."
Ils sont bien sur tous au courant que j'ai gobbé ce truc.
21h20, on sort pour fumer un joint et là, oh surprise, je suis tout mou, j'ai du mal à me lever et encore plus à marcher. Je suis vraiment mou et me traîne. Tachycardie. Donc on va dehors mais je fume pas, et j'ai vraiment du mal à les suivre dans leurs délires. Je préfère observer autour de moi, à la recherche d'hallus, mais rien, je trouve le noir de mon jardin oppressant. On rentre donc, moi devant, et là au moment d'ouvrir la porte vitrée de ma maison, je nous vois à l'intérieur, en train de discuter. Les trois rigolent et moi je suis allongé dans le canap. Alors je suis mort de rire, et j'attends mes potes qui sont derrières moi pour leur dire que je nous vois. Sauf qu'ils ne viennent pas, alors je décide de rentrer et là les trois de l'intérieur me regardent et M me dit "eh beh t'en as mis du temps...".
Là je suis scotché, je leur explique que je croyais que c'était des hallus, et j'ai même de réels doutes quand au fait qu'ils soient réels et je commence a paniquer, mais J et C me rassurent en me disant que j'étais resté dehors pour pisser, et moi je m'en souviens absolument pas. Et lorsque je croyais ME voir, c'était enfait des coussins empilés sur le canapé. Bon je trouve ça assez drôle, tout en touchant bien mes potes pour vérifier qu'ils sont réels (on m'a dit que les gens-hallus que l'on voit sous Diménhydrinate disparaissent au toucher).
21h30
Ils continuent de parler, je me tourne vers ma TV et là je suis impressionné par la super hallu visuelle que j'ai. En fait la tv est éteinte, juste a coté il y a une vitre et on voit dans la vitre le reflet de l'écran de ma TV. Et dans ce reflet, je voyais ma tv allumée avec plein de dessins animés couleurs Simpsons, magnifiques. C'était impressionnant car j'étais relativement lucide, je voyais d'un coté l'écran éteint, et de l'autre son reflet allumé. Je reste scotché pendabt 10-15min. Mes amis ne comptent plus sur moi pour parler, car j'étais incapable de suivre une conversation. Incapable de rire, rien ne me paraissait drôle, selon M j'avais un visage "absolument sans expression" et je le sentais bien, tous mes traits étaient tirés. Et les sons que mes potes produisaient, je les entendais de manière éloignée et sourde. Tout cela dure 30 min, en comptant les 15min de trip de la TV.
Pas grave, jsuis là pour triper et pas pour faire l'ultra sociable, adieu mes potes.
22h Je décide de sortir, ils s'inquiètent un peu mais j'essaye de leur montrer que je suis lucide, en vain.
En effet, je croyais suivre une conversation et je croyais que quelqu'un venait de dire quelque chose de vraiment impressionnant, une grande réflexion, donc je m'étais exclamé "OHOH!!!" alors que y'avait en fait un blanc depuis 3min. Je ne me justifie même plus. Donc je sors, et là je vois un de mes potes, N, qui devait venir mais n'avait pas donné de nouvelle. "AHH enfin, t'es venu" "ouaaaaiiiis" et on discute banalement ; bizarrement je n'ai aucun mal à être sociable avec lui, et je ne me doute absolument pas que c'est une hallu (vous avez cependant bien compris que c'en est une), on parle deux minutes jusqu'à ce qu'il me dise : "sinon, je me suis battu contre une cigarette et c'est l'oiseau qui m'a gagné, bleu!". LÀ, je me doute qu'il y a un problème et je décide de le toucher, alors il disparaît et j'me rends compte que je parlais à une plante. Et d'un coup je me sens trop perdu, je sais plus où je suis, perdu dans le noir, mais je trouve ça excitant, mais vraiment super excitant, et pas flippant du tout. Commence alors un jeu "chercher la lumière et m'y orienter" (c'était sûrement pour rentrer dans la maison, puisque je savais quelle était éclairée) : je me balade dans le jardin et vois une lumière vive, j'y fonce, vois une porte, l'ouvre, je rentre dans une maison remplie de plantes et je me dis : "tiens, c'est pas chez moi ici". Je vois trois mecs assis en tailleur entrain de fumer un bédo, avec des têtes de mexicains (teint foncé, moustaches très noires), je m’assois et leur dit que je suis paumé et leur demande si je peux tirer. "Pas de problème, mec, tu es chez moi" ; il avait un accent très prononcé de mafieux italien, je trouvais ça énorme tout en sachant que ce n'était sûrement pas la réalité (j'étais quand même sans un état de confusion donc je ne m'en rendais pas pleinement compte). Au moment où j'aspire la fumée du joint, ils disparaissent et je me rend compte que je suis assis dans mon jardin, près d'un lampadaire (qui était dans la rue collée a mon jardin, c'était donc ça la lumière). Je me relève, bizarrement le joint est toujours là mais éteint. Dans la rue je vois, au loin, des gens habillés tout en noir qui bougent, mais je m'y attarde pas. Je sais à peu près où je suis et rentre chez moi (il faut savoir que j'ai un très grand jardin-forêt, et qu'il est très facile de s'y perdre si on ne connaît pas).
23h30, je rentre et mes potes me disent qu'ils s'inquiétaient et allaient sortir pour me chercher, moi je comprends pas vraiment ce qu'ils me disent : j'ai l'impression qu'ils parlent une autre langue et je les vois avec des moustaches. À leurs inquiétudes, je réponds "vous avez des moustaches de mexicains" et ils explosent de rire. Moi je crois qu'ils se moquent de moi, ça m’énerve et je vois M mettre une belle baffe à J, alors je pars en disant "bien fait". Je vais dans ma chambre en ayant l'impression de m'être vraiment disputé avec eux. Dans ma chambre, sur mon lit, je vois dans le noir de ma porte quelques petites hallus sympas de petit bonhomme qui marche, de girafe qui s'accouplent d'une manière étrange et un perroquet qui me fixe.
00h00, l'heure du crime... Non je rigole.
A minuit, J et C viennent me voir, toutes joyeuses et sympas avec moi (alors que je croyais m’être fâché avec elles, et me disent au-revoir car elles doivent partir. Elles partent et M craint de s'ennuyer en me voyant délirer, donc il prend une boite de médoc avec de la codé pour pouvoir tenir le coup. Il se cale dans ma chambre, joue a la Xbox, et me demande de lui apporter une couverture. Je sortirai et reviendrai dans la chambre une dizaine de fois, en me rendant compte à chaque fois que j'ai oublié la couverture. Là je suis incapable de dire ce à quoi je pensais lorsque je sortais de la chambre, mais j'oubliais instantanément ce qu'il fallait que je fasse, je cherchais quelques hallus dans le noir des portes vitrées (j'y voyais des gens en noir qui bougeaient), et des que je re-rentrais dans la chambre je me rappelais que je devais emporter la couverture.
1h20 (environ) : une fois la couverture amenée, M (qui n'avait jamais testé la codéine) fait une crise de démangeaison horrible, et je reste sans rien dire en face de lui, je trouvais rien à dire et lui ne faisait que se plaindre et se gratter. Ça a duré 1h et je sentais les effet (les miens comme les siens) se dissiper.
2h30: Un dernier bédo et je m'endors
Le lendemain : la tête dans le cul, mais moins qu'avec le dxm. Gros glandage, rien de mauvais à supporter, un lendemain agréable.
Le surlendemain : je pète la forme qu'une une journée ordinaire.
Bilan : une expérience que j'ai vraiment appréciée, car n'ayant testé que le dxm, la codé, souvent les bédos et une fois la coco, je n'avais que très rarement eu des hallus très concrètes les yeux ouverts et là j'en ai eu pour mon compte. Bon quand on y pense, une hallu ne sert pas à grand chose, parce que tant qu'à voir des trucs qui n'existent pas, autant allumer la TV, mais ça m'a quand même bien bien fait marrer. Je pense que je réitérerai mais dans un moment, seulement je sais que les trips sous ce médoc se passent souvent mal et je n'aimerais pas gâcher une telle expérience avec un mauvais trip.
Pour les connaisseurs, vous avez bien compris que j'ai trouvé tout ça dans un médoc connu, jme suis enfilé la boite en entier.
Set&setting : Chez moi, avec un 3 potes.
État : bien défoncé de la dizaine de joints de l'aprèm, et avec 4 bières dans le ventre (je sais que l'alcool augmente grandement les effets du Diménhydrinate donc j'en ai pris modérément)
Précision :
Le Diménhydrinate est un délirogene, cad qu'il vous rend partiellement fou pendant quelques moments avec des hallus prononcées, comme par exemple l'impression de voir des gens qui ne sont pas là et même de leur parler sans se rendre compte qu'ils n'existent pas. Cette substance est très dangereuse, on peut se retrouver en hôpital psychiatrique, faire des choses que l'on regrettera par la suite, on passe obligatoirement pour un fou aux yeux des autres, et les effets le lendemain sont (très souvent) désagréables. Certains disent qu'il faudrait 3j pour s'en remettre.
Bon perso vous verrez que je n'ai eu aucun problème et que donc je ne suis pas vraiment d'accord avec ceux qui le proscrivent, mais je pense aussi avoir eu de la chance dans mon trip et qu'il pourrait être désagréable d'en prendre pour d'autres.
Donc, commençons.
Je suis avec un pote, dans mon salon, lorsque je gobe ma boite de médocs. Il est 19h40. On attend deux amies qui arrivent à 21h. Jusque-là, pas d'effets.
Pour plus de précision, M est mon meilleur ami, était présent avec moi toute la journée et a donc bu et fumé avec moi. J et C arrivent en scooter, je connais bien J mais n'ai jamais vu C, elles sont juste sous l'effet de 2-3 joints.
On commence à boire tranquille, dans mon salon. Et là je vois C qui fait tomber plein de bière sur mon canap. Alors je fais "OH TU DAILLES!" (expression bordelaise, qui veut dire "faire chier"). Tout le monde me regarde avec un air bizarre, donc je me justifie en expliquant quelle en avait renversé. "Ben non y'a rien du tout, regarde..." "ah, merde, dsl..."
Ils sont bien sur tous au courant que j'ai gobbé ce truc.
21h20, on sort pour fumer un joint et là, oh surprise, je suis tout mou, j'ai du mal à me lever et encore plus à marcher. Je suis vraiment mou et me traîne. Tachycardie. Donc on va dehors mais je fume pas, et j'ai vraiment du mal à les suivre dans leurs délires. Je préfère observer autour de moi, à la recherche d'hallus, mais rien, je trouve le noir de mon jardin oppressant. On rentre donc, moi devant, et là au moment d'ouvrir la porte vitrée de ma maison, je nous vois à l'intérieur, en train de discuter. Les trois rigolent et moi je suis allongé dans le canap. Alors je suis mort de rire, et j'attends mes potes qui sont derrières moi pour leur dire que je nous vois. Sauf qu'ils ne viennent pas, alors je décide de rentrer et là les trois de l'intérieur me regardent et M me dit "eh beh t'en as mis du temps...".
Là je suis scotché, je leur explique que je croyais que c'était des hallus, et j'ai même de réels doutes quand au fait qu'ils soient réels et je commence a paniquer, mais J et C me rassurent en me disant que j'étais resté dehors pour pisser, et moi je m'en souviens absolument pas. Et lorsque je croyais ME voir, c'était enfait des coussins empilés sur le canapé. Bon je trouve ça assez drôle, tout en touchant bien mes potes pour vérifier qu'ils sont réels (on m'a dit que les gens-hallus que l'on voit sous Diménhydrinate disparaissent au toucher).
21h30
Ils continuent de parler, je me tourne vers ma TV et là je suis impressionné par la super hallu visuelle que j'ai. En fait la tv est éteinte, juste a coté il y a une vitre et on voit dans la vitre le reflet de l'écran de ma TV. Et dans ce reflet, je voyais ma tv allumée avec plein de dessins animés couleurs Simpsons, magnifiques. C'était impressionnant car j'étais relativement lucide, je voyais d'un coté l'écran éteint, et de l'autre son reflet allumé. Je reste scotché pendabt 10-15min. Mes amis ne comptent plus sur moi pour parler, car j'étais incapable de suivre une conversation. Incapable de rire, rien ne me paraissait drôle, selon M j'avais un visage "absolument sans expression" et je le sentais bien, tous mes traits étaient tirés. Et les sons que mes potes produisaient, je les entendais de manière éloignée et sourde. Tout cela dure 30 min, en comptant les 15min de trip de la TV.
Pas grave, jsuis là pour triper et pas pour faire l'ultra sociable, adieu mes potes.
22h Je décide de sortir, ils s'inquiètent un peu mais j'essaye de leur montrer que je suis lucide, en vain.
En effet, je croyais suivre une conversation et je croyais que quelqu'un venait de dire quelque chose de vraiment impressionnant, une grande réflexion, donc je m'étais exclamé "OHOH!!!" alors que y'avait en fait un blanc depuis 3min. Je ne me justifie même plus. Donc je sors, et là je vois un de mes potes, N, qui devait venir mais n'avait pas donné de nouvelle. "AHH enfin, t'es venu" "ouaaaaiiiis" et on discute banalement ; bizarrement je n'ai aucun mal à être sociable avec lui, et je ne me doute absolument pas que c'est une hallu (vous avez cependant bien compris que c'en est une), on parle deux minutes jusqu'à ce qu'il me dise : "sinon, je me suis battu contre une cigarette et c'est l'oiseau qui m'a gagné, bleu!". LÀ, je me doute qu'il y a un problème et je décide de le toucher, alors il disparaît et j'me rends compte que je parlais à une plante. Et d'un coup je me sens trop perdu, je sais plus où je suis, perdu dans le noir, mais je trouve ça excitant, mais vraiment super excitant, et pas flippant du tout. Commence alors un jeu "chercher la lumière et m'y orienter" (c'était sûrement pour rentrer dans la maison, puisque je savais quelle était éclairée) : je me balade dans le jardin et vois une lumière vive, j'y fonce, vois une porte, l'ouvre, je rentre dans une maison remplie de plantes et je me dis : "tiens, c'est pas chez moi ici". Je vois trois mecs assis en tailleur entrain de fumer un bédo, avec des têtes de mexicains (teint foncé, moustaches très noires), je m’assois et leur dit que je suis paumé et leur demande si je peux tirer. "Pas de problème, mec, tu es chez moi" ; il avait un accent très prononcé de mafieux italien, je trouvais ça énorme tout en sachant que ce n'était sûrement pas la réalité (j'étais quand même sans un état de confusion donc je ne m'en rendais pas pleinement compte). Au moment où j'aspire la fumée du joint, ils disparaissent et je me rend compte que je suis assis dans mon jardin, près d'un lampadaire (qui était dans la rue collée a mon jardin, c'était donc ça la lumière). Je me relève, bizarrement le joint est toujours là mais éteint. Dans la rue je vois, au loin, des gens habillés tout en noir qui bougent, mais je m'y attarde pas. Je sais à peu près où je suis et rentre chez moi (il faut savoir que j'ai un très grand jardin-forêt, et qu'il est très facile de s'y perdre si on ne connaît pas).
23h30, je rentre et mes potes me disent qu'ils s'inquiétaient et allaient sortir pour me chercher, moi je comprends pas vraiment ce qu'ils me disent : j'ai l'impression qu'ils parlent une autre langue et je les vois avec des moustaches. À leurs inquiétudes, je réponds "vous avez des moustaches de mexicains" et ils explosent de rire. Moi je crois qu'ils se moquent de moi, ça m’énerve et je vois M mettre une belle baffe à J, alors je pars en disant "bien fait". Je vais dans ma chambre en ayant l'impression de m'être vraiment disputé avec eux. Dans ma chambre, sur mon lit, je vois dans le noir de ma porte quelques petites hallus sympas de petit bonhomme qui marche, de girafe qui s'accouplent d'une manière étrange et un perroquet qui me fixe.
00h00, l'heure du crime... Non je rigole.
A minuit, J et C viennent me voir, toutes joyeuses et sympas avec moi (alors que je croyais m’être fâché avec elles, et me disent au-revoir car elles doivent partir. Elles partent et M craint de s'ennuyer en me voyant délirer, donc il prend une boite de médoc avec de la codé pour pouvoir tenir le coup. Il se cale dans ma chambre, joue a la Xbox, et me demande de lui apporter une couverture. Je sortirai et reviendrai dans la chambre une dizaine de fois, en me rendant compte à chaque fois que j'ai oublié la couverture. Là je suis incapable de dire ce à quoi je pensais lorsque je sortais de la chambre, mais j'oubliais instantanément ce qu'il fallait que je fasse, je cherchais quelques hallus dans le noir des portes vitrées (j'y voyais des gens en noir qui bougeaient), et des que je re-rentrais dans la chambre je me rappelais que je devais emporter la couverture.
1h20 (environ) : une fois la couverture amenée, M (qui n'avait jamais testé la codéine) fait une crise de démangeaison horrible, et je reste sans rien dire en face de lui, je trouvais rien à dire et lui ne faisait que se plaindre et se gratter. Ça a duré 1h et je sentais les effet (les miens comme les siens) se dissiper.
2h30: Un dernier bédo et je m'endors
Le lendemain : la tête dans le cul, mais moins qu'avec le dxm. Gros glandage, rien de mauvais à supporter, un lendemain agréable.
Le surlendemain : je pète la forme qu'une une journée ordinaire.
Bilan : une expérience que j'ai vraiment appréciée, car n'ayant testé que le dxm, la codé, souvent les bédos et une fois la coco, je n'avais que très rarement eu des hallus très concrètes les yeux ouverts et là j'en ai eu pour mon compte. Bon quand on y pense, une hallu ne sert pas à grand chose, parce que tant qu'à voir des trucs qui n'existent pas, autant allumer la TV, mais ça m'a quand même bien bien fait marrer. Je pense que je réitérerai mais dans un moment, seulement je sais que les trips sous ce médoc se passent souvent mal et je n'aimerais pas gâcher une telle expérience avec un mauvais trip.