Salut à tous.
J'ai testé l'extrait pour la première fois cette semaine, à 2 reprises :
La première fois : J'ai pris une petite dose le matin (du moins à vue de nez je ne sais absolument pas comment doser avec précision), suivi immédiatement d'une bonne grosse dose de café.
Résultat : Une euphorie légère, si tant est qu'une euphorie puisse être légère, disons plutôt un enjouement que j'hésitais à attribuer à mon humeur du jour, au café ou au kratom.
Cet état m'a suivi une bonne partie de la journée en se dissipant peu à peu, et j'ai eu droit à un bon coup de barre vers midi.
Je décide de retenter l'expérience le lendemain avec une dose accrue.
Résultat : Humeur badine toute la matinée, envie de parler, bien-être etc. J'avais la confirmation que la plante n'était pas innocente à mon état de la veille.
Par contre, arrivé midi, une grosse nausée me tombe sur la gueule, je suis aller vomir, j'ai passé le reste de la journée à moitié comateux.
J'ai pu remarqué que dès que je fermais les yeux, j'étais bien plus facilement "transporté" qu'en temps normal, comme si, sous kratom, la conscience s'assoupissait instantanément après l'occlusion des yeux.
Ah oui et je parle pas des démangeaisons persistantes au niveau burnale (et tout autour dailleurs), je m'étais rarement autant gratté les c*, genre gros pouilleux, mais apparemment c'est bel et bien lié à la plante.
Enfin, j'ai également eu droit à un phénomène étrange la nuit qui a suivi la prise de kratom, sans que je sois vraiment persuadé qu'il y'ait un lien quelconque. C'est assez difficile à expliquer dans la mesure où j'en ai que de vagues souvenirs mais une chose est sûr, c'était effrayant : Je luttais contre je-ne-sais-quoi (une pensée ? un état de conscience ? difficile de se souvenir), je me souviens seulement que lorsque je "cédais", il y'avait un bruit stressant qui montait crescendo, comme si quelquechose allait m'aspirer (?) et je flippais comme un malade. C'était pas vraiment un cauchemar puisque je me rappelle avoir été conscient, ou plutôt semi-conscient.
Mais ce que je ne m'explique pas, c'est que, tout en étant semi-conscient et terrifié, je ne me sois pas dit "c'est de la connerie psychique ça, allez hop j'vais me reveillé" ou alors que je me le sois dit sans pouvoir être en mesure de le faire.
Bref, ça m'intrigue tout ça, desolé pour la digression.
Globalement, je reste satisfait, j'ai trouvé que c'était assez similaire à l'alcool, en plus subtil peut-être, j'espère que j'arriverais à jauger les doses de telle manière à éviter les nausées la prochaine fois.