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[LSD] Kaléïdoscope.

Minai

Neurotransmetteur
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5 Sept 2013
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34
Bonjour à tous !
Je me décide enfin à écrire mon trip-report sur ma première et pour le moment seule expérience au buvard !
Vous souhaitant bonne lecture,
Minai.


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J'avais, une semaine plus tôt, croisé un gars que je connaissais en soirée. Je l'avais rencontré quelques mois auparavant, dans une sorte de squat utilisé comme galerie d'artiste et lieu de soirée. Pas tout jeune, habitué des prods de longue date, nous parlons trips et il me dit qu'il en a, qu'il peut me vendre de très bon buvards. Connaissant le specimen, je savais fort bien que je ne tomberai pas sur un mauvais produit, je décide donc de sauter le pas. Buvard qu'une fois acquis je range précieusement, car la soirée à laquelle j'étais n'étais d'après moi pas propice à ce genre de produits et que j'étais encore sous les effets d'une très, très bonne MDMA.

Une semaine plus tard donc, je part en soirée psytrance/progressive dans un lieu que je connais bien, accompagnée de mon meilleur ami. Nous y allons habituellement en bande, mais les disponibilités de chacun ne pouvant s'accorder, nous n'étions que nous deux. Bien évidemment, on croise des gens que l'on connait, on discute, etc. Je décide de prendre un 0.2 de MDMA pour commencer la soirée tranquillement et pouvoir apprécier le son tant qu'il en est encore temps et qu'il n'y a pas trop de monde (dernière soirée de la saison avant la reprise des soirées normales). La soirée passe, le son est bon, l'ambiance très familliale, on commence à tous se connaitre à force d'y aller et c'est toujours plaisant ce genre d'ambiance.

Une fois l'effet du para un peu dissipé, je décide de prendre le buvard. Je préviens mon meilleur ami, qui lui décide de ne prendre que de la MDMA afin de surveiller mon trip un minimum. Nous rencontrons une nana qu'il connait, on se met à discuter, le temps passe, et toujours pas d'effets. Hormis le bout de ma langue anesthésiée. Il commence à y avoir énormément de monde et on décide donc de sortir de la soirée malgré le bon son et d'aller se poser tranquillement dans Paris, sur la place juste à côté.

Les effets arrivent rapidement, sur les coups de 04h du matin, et sans prévenir. D'un coup, alors qu'on marchait pour trouver des toilettes, je me mets à rire sans aucune raison. Aucune, mais persuadée, moi même, qu'il y en a bien une ! & là, commence le trip.

Je me suis mise en tête que je devais aller faire pipi afin de régler quelques problèmes ... de fille. Difficile fut la quête de toilettes me convenant ! Nous arrivons dans la rue où se déroulait la soirée et face à moi, deux kebab. J'ai bien mis dix minutes à choisir, entre deux rires, lequel m'inspirait le plus, lequel était le plus beau et ça me semblait vraiment important. L'un d'entre eux avait une espère de planète sur sa devanture qui m'a attiré ! Une fois choisi, je me retrouve donc dans ce qui me semblait être de superbes toilettes, avec, oh, tiens, les lignes au mur et au sol qui bougent. Le carrelage brille et ça me fascine. 1/4 d'heure plus tard, fière d'avoir réussi ma mission mais ne voulant plus sortir parce que, quand même, c'était vraiment joli, me vient une idée : on est dans un kebab. Qu'y a t'il dans un kebab ? A mangé. Qu'est ce que j'ai ? J'ai faim. Partons à la recherche de friiiites ! Je sors, je re rentre, je re sors, puis je rerentre, quatre fois je demande des frites. Mon meilleur ami, et la nana que nous avions rencontré, sont morts de rire.

Entre temps, une vieux pervers (car c'est bien comme ça que je les appelle) me reluque de haut en bas avec une expression qui, même tripée, me déplait (je suis déjà de base très à cheval sur ce genre de chose). Alors qu'il matait très clairement mon postérieur bien au chaud dans mon short, sans prévenir je me suis doucement reculée et en le regardant dans les yeux, lui ai dit "Vous serez prié de regarder plus haut, c'est gratuit". Inutile de vous dire que c'est à peu près le seul moment de lucidité de mon trip, puisqu'une demi minute plus tard, je repartais à rire de plus belle.

Une fois mes frites en main ... Que faire ? J'en ai mangé une, et l'expérience fut laborieuse. J'avais l'impression de redécouvrir la texture de la frite qui était immonde (c'était pas les supers frites de mamie, faut pas déconner, tout au plus décongelées y'a dix minutes). Bref, me voilà avec mon pot de frite en ornement sur ma main tendue, que j'ai même défini, toujours entre deux rires, comme étant ma "bague de frites ketchup mayo". J'ai ensuite assayé de refiler mes frites à absolument toute personne que je croisais dans la rue, jusqu'à ce qu'un mec sorti de soirée les accepte. Hop, débarrassée.

Entre temps et toujours en train de rire, il faut savoir que j'étais fort occupée mentalement à envoyer des texto à mon copain. Mon téléphone était magnifique, les touches également. Quand j'avais les yeux rivés dessus, je ne voyais autour qu'un sublime kaléidoscope. Je ne saurai pas définir, mais écrire un texto, même pour dire n'importe quoi, me donnait un sentiment de bien être. Je relève la tête à un moment, alors que nous attendions des amis de M (appelons ainsi la nana rencontrée plus tôt), et j'avais l'impression et étais intimement persuadée d'avoir voyagé dans un autre pays entre temps. Le cadre étant assez moche, me voilà repartie de plus belle dans mes textos, pour le bonheur de celui qui les recevait, mort de rire lui aussi chez lui (j'ai également appelé cette personne. Je vous laisse imaginer le fou rire général). Ce dernier m'envoyait, en plus, des messages alimentant mon délire, des choses improbables, ou alors des phrases avec des répétitions de sons qui me rendaient folle de rire, je comprenait rien mais aucun doute c'était super beau. F, mon meilleur ami donc, lui, me laissait vivre mon trip, me demandant de lui raconter ce que je voyais.

Mes hallus visuelles étaient toutes sur le mêle crédo, c'est à dire les couleurs et les lumières. Toute source lumineuse n'était que joie et allégresse, toute couleur me réjouissait. Ayant un tatouage assez psychédelique sur le bras (de l'aquarelle rose violette et turquoise), j'ai refusé de le regarder car voir les couleurs bouger m'inquiétait quand même un peu. Dehors ça me semblait tout à fait normal mais sur mon corps, non, non. Même le violet de mes baskets fut sujet à une observation en règle pendant dix minutes. Puis me voilà à taper sur mes cuisses comme un pingouin, de froid et, " Oh, mais c'est très drôle de faire ça " et c'est parti pour dix minutes comme un pingouin.

Autour, personne ne ri, sauf mes amis de me voir ainsi. Je suis la seule dans cet état, et parfois, j'en ai conscience et je ne sais pas quoi en penser, mais le trip prend le dessus, ce que je vois, et mes rires également.

Une fois la troupe au complet et pour moi, en plus, plus de batterie (oh malheur, où sont les couleurs ?), nous suivons M, en quête d'un after.
& là, je me suis crue dans un jeu vidéo. Je pensais être le personnage principal, F mon coéquipier. M était mon petit lutin, que je voyais avec un petit sac à dos (ce qu'elle avait vraiment) et une grande carte parchemin (ce qu'elle n'avait pas, évidemment). Cette fille étant de petite taille, elle faisait un parfait guideur.

Trouvons tel métro, tel bus, telle rue, et à chaque réussite, me voilà à crier " NEXT LEVEL ! ". Nous passons chercher un ami à elle. " NEW CHALLENGER ! ".

Le bus me donnait l'impression d'être dans un vaporetto aux fauteuils tournant.
Le métro est une belle invention, et sous trip, je suis persuadée qu'il n'a pas de roues mais qu'il se frotte. Oui, oui, allez savoir pourquoi. De même, alors que mes amis sont frigorifiés, je trouve chaleur auprès de la couleur rouge des carrelages du métro, ce qui me semble logique, rouge, c'est chaud, bleu c'est froid, venez donc vous réchauffer. Je suis speed, intenable, je danse, je chante, et surtout, je ris énooooormément.

Prise de conscience de mon état, quand, en regardant la rue illuminée, elle change soudain de couleur. Elle passe de rouge, à vert, ce qui fut jolie, mais perturbant. J'en parle donc à F, qui, interloqué, me répond : "Mais meuf. C'est les feux !". Ha. J'en suis là, d'accord, okay. & je re-rigole. (J'ai vraiment passé mon temps à ça). De même, me voilà bonne citoyenne, à respecter feux, passages piétons, priorités. Quand on me le fait remarquer, je m'empresse de préciser " Ce matin, si j'ai pas l'honneur au moins j'ai la loi". Mais oui bien sur !

Dans la rue, nouvelle lubie. J'ai des lunettes sans correction (que voulez vous, je suis une sale hispter :D), assez drôle, très rétro.
Très architecte, apparemment. Je me suis auto définie comme "architecte d'intérieur de Paris." F : "Mais, non, c'est soit décoratrice d'intérieur, soit architecte, et vu qu'on est en pleine rue, c'est le deuxième !" Il n'avait pas compris. "Mec, on est à l'intérieur de Paris. DONC, architecte d'intérieur". & me voilà, devenue très sérieuse, port altier, lunettes en main. "Virez moi ce platane qui pollue mon espace visuel ! Ces deux rues là, je n'en veux qu'une pensez à la circulation quand même ! Qu'est ce que c'est que cette m*rde ? Virer moi ce batiment, c'est d'un moche ! ". Un vrai spectacle pour mes camarades.
J'ai conclu, en regardant mes lunettes, par dire "Oh, bah, ça m'étonne même pas de moi d'avoir acheté ces lunettes, c'est tout à fait mon style : improbables". (Les fameuses lunettes : http://25.media.tumblr.com/tumblr_mbzqhhJhAn1qayqmeo1_500.jpg)

Nous arrivons enfin, après quasiment deux heures de marche en tout genre. Je n'avais pas vraiment fait attention à la personne qui nous avait rejoins, ni à où nous étions, j'ai confiance en F. Mais une fois arrivé, on déchante, autant lui que moi. On se retrouve dans un appartement miteux, à la limite du squatt. Ma mission, m'asseoir dans un endroit propre (vraie mission), loin de tout ces hommes moches et bizarres, les mains sur mon sac, et de ne toucher à rien.
Je commence à me sentir mal dès l'arrivée. J'ai l'impression d'être dans un bateau de pèche, bruyant, et fort peu stable. Mal à l'aise, mal au coeur. Mon meilleur ami reste à mes côtés, sentant bien que je n'allais pas supporter très longtemps. On s'assied donc sur les deux chaises potables libres. Je jauge nos nouveaux camarades. Fini l'addition de challenger, ces gens là m'inquiètent. Sales, prodès jusqu'à l'os, je n'ai jamais vu autant de C de ma vie, autant de déchéance, je n'avais jamais vu quelqu'un sniffer un rail de la taille de mon petit doigts à en avoir tout le long de la narine et à devoir se boucher le trou avec du PQ pour 1. garder la C et 2. endiguer le saignement qui a suivi. Hors de question pour moi de prendre ça. Je commence à réellement me sentir mal. F le comprend, mais est toujours sous trip de MDMA. Puis lui reviennent les sages paroles d'une amie. "La C contre la D. C'est chimique. Additionne les deux et tu seras prodés mais clean d'esprit". Le voilà donc à mes côtés, attendant que le tas, oui, le tas de C, arrive jusqu'à lui. Grande inspiration, et le voilà à sniffer. Ce fut la pire vision de ma vie. Mon meilleur ami, là, dans ce cadre, avec ces gens, c'était trop pour moi. Il me regarde, et avec tout mon possible je mets toute la supplication du monde dans mon regard. Il sait que si on ne part pas très vite, ça va mal finir. Je n'avais plus de batterie, plus de réconfort dans mes lumières, plus rien pour agrémenter mon trip. Il me dit "Je fume ma clope, et on y va". Inutile de préciser que sa clope fut si longue, qu'il a finit par la donner, sentant l'urgence.

Au revoir tout le monde, à la prochaine, ou pas.

La porte d'entrée à peine refermée sur nous, me voilà à avoir des hauts le coeur. J'avais l'impression que tout mon dégoût pour ce que je venais de voir et de vivre voulait sortir, évacuer. Tant mieux. Sur le coup, je me sens mal. Fatiguée. Je n'ai qu'une envie, mon appartement. "Ramène moi à la maison. Je suis contente de n'être qu'avec toi." Il me prend par le bras, et nous filons vers le métro, sans un mot.
A ce moment là je suis persuadée d'être redescendue. Je le sais, si nous étions restés dix minutes de plus, je partais très mal. Ça me fait peur. La façon dont mon état a basculé du tout au tout me fait peur, et j'essaie dans le métro (qui par contre, se frotte toujours et me rassure) de me calmer. Images mentales, je me mets à me rappeler d'une photo de mon petit ami que j'adore, puis à me remémorer les jolies choses vues en début de trip. Je me sens mieux, car ce que j'ai vu m'a réellement beaucoup plu. Je regarde F. & là, je souri. Je sens monté le fou rire, mais entourée de tout ces gens qui partent travailler, avec leurs faciès sérieux (et sacrément moches aussi), je tente de rester sérieuse.
Une fois sur ma ligne de métro, le bonheur complet. J'aurai embrassé la barre centrale si ma conscience professionnelle encore un peu présente n'avait pas crié une alerte microbe. Bon, soit, à la place, je l'aggripe des deux mains jusqu'à me station.


9h. Une fois chez moi, je suis heureuse. Je caline tout. Mon canapé. Mon meilleur ami. Mon canapé. Ma lampe (j'ai un espèce de gros truc en papier qui pend au dessus de ma table de salon). J'ai l'impression d'être dans un bateau de croisière et les lumières dehors sont belles. Avec F, on debrief. Je suis toujours persuadée d'être en fin de trip, mais plein de choses me montrent que non. Comme réussir à imaginer mon petit ami en tant que porte d'entrée. Oui, oui, une belle porte d'entrée humaine, de forme porte d'entrée, livrée avec serrure et casquette. Batterie remise et petit ami réveillé, voilà le fou rire, une fois de plus.

F n'en peut plus et dort. Un ami à moi m'envoie un set de psytrance et me dit que j'en ai pour au moins jusqu'à 15h encore. Il n'est que 10h.
J'ai finalement fini mon trip quasiment seule, j'ai réussi à m'occuper. Entre la musique, chercher des images trippantes sur le net, pleines de couleurs, rire seule, envoyer des textos (le retour des kaléidoscopes, pour mon plus grand bonheur !), puis, oh magie, la douche
Une demi heure à frotter consciencieusement le plus petit centimètre carré de ma peau, tout en chantant de concert avec les tuyaux de la douche (qui chantaient un truc lyrique, j'en reste persuadée ! :)) )

Voici un exemple des images qui j'ai regardé pendant de longues minutes :
http://24.media.tumblr.com/f9b68c39c992dbb00bda4f1f53012b35/tumblr_msugm8G1Js1retrrdo1_500.jpg
http://25.media.tumblr.com/b6153b13ca19a3e15669bb38f4f3027a/tumblr_mstefbxTna1s41jvyo1_400.gif
http://31.media.tumblr.com/b4a9f78ed5e121dc77900f4b9a2c747d/tumblr_msokv0YeKW1qionnko1_500.png

La douche fut un endroit de grande réflexion. Une nana m'avait avertie me disant qu'après ça le monde me paraitrait fade, moche, ma vie merdique. Au final, je me suis persuadée que chaque jour le monde faisait ce qu'il pouvait et que parfois, il donnait tout ce qu'il avait en réserve, et que j'étais heureuse de pouvoior y accéder grace à un buvard mais, n'en abusons pas, ça fatiguerait le monde. Paroles intelligente de trip, bonjouuuur !

F finit par se réveiller et nous voilà repartis de plus belle, il me relis ce qu"il a noté de mes paroles prononcées, on rigole, il me dit n'importe quoi et je rigole toujours. 15H arrive doucement mais surement, me rassurant car une grosse soirée drum and bass m'attendait le soir même. Nous décidons de nous poser devant Monstres et Compagnie, un dessin animé plein de ... portes ! Dessin animé qui signe mes derniers rires avant de m'endormir d'un sommeil profond et peuplé de rêves très colorés.





En conclusion, j'ai vraiment eu un super trip si on oublie le mauvais passage.
Il ressemblait exactement à ce que je voulais avec toutes ces couleurs, ces lumières et ces formes !
Minai au Pays des Merveilles, un très bon souvenir en tout cas ! Très fatiguant par contre, abdos faits pour trois mois, cuisses aussi, mais très salvateur.
Voilà pour mon premier TR !
 

Tisi

Neurotransmetteur
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21 Fev 2013
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Génial ce TR j'ai bien rigolé finalement je me demandais le meilleur trip avec le ls c'est pas d'avoir un pote tripé :D
 

Tisalut

Holofractale de l'hypervérité
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13 Nov 2011
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1 234
Lol excellent ce Tr !!
Pas introspectif pour un sous, mais un peu de légèreté ça fait du bien de temps en temps ! Surtout quand c'est raconté avec autant d'aisance !
Vraiment super récit ! Et le trip avait l'air d'être franchement sympathique ! C'est cool de lire un Tr de quelqu'un qui kiffe vraiment !

Sinon
Mec, on est à l'intérieur de Paris. DONC, architecte d'intérieur
ça m'a tué :mrgreen:, tellement représentatif de la pensée sous acide :rolleyes:.
 

Ciel

Matrice périnatale
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1 Oct 2013
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J’ÉTAIS LA J'AI TOUT VU.
Et même que c'était fort drôle. <3

F., pour vous servir, chers psychonautes !
 

Sludge

Holofractale de l'hypervérité
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17 Sept 2011
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16 405
Merci d'avoir remonté le topic et merci Minai pour ce Trip Report de haute-volée. ^^
J'admire ta façon de tripper, c'est le genre de délire qui me plait. Et je comprends tout à fait le malaise dans un environnement qui t'effraie.

Ce week-end j'ai parcouru la place Ste Anne et la Rue St Michel sous acide et c'était pas souvent drôle ! Surtout en fin de soirée quand tu entends du verre se briser tout le temps et tous les gens autour de toi (à part ta bande de trippés) sur le point de se sauter à la gorge.
 

Lemineur

Neurotransmetteur
Inscrit
15 Jan 2013
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64
Moi ça me rappel une soirée sur Grenoble à la "Salle rouge".
Une montée monstrueusement visuel et une ambiance sympathique avec les gens qui se font viré de boites qui se ramène plus bouteilles cassé de partout autour de l'entrée :)
 

goRe

Glandeuse pinéale
Inscrit
29 Oct 2012
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112
Un TR super bien raconté, on a l'impression de vivre le trip, et sur le mauvais passage, j'ai presque eu de la pitié pour toi ahah
Encore un qui me donne envie de tenter les buvards.. A voir :yawinkle:

(Faudra que j'achète ces lunettes, aussi)
 

Fauve

Banni
Inscrit
2 Nov 2013
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57
Mais il est GENIAL ce TR. Sincèrement il ne m'envoie que de bonnes ondes!
En le lisant, j'avais juste envie d'y être. Merci d'avoir partagé :grin:
 
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