segopenroyal
Neurotransmetteur
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Je me présente rapidement je suis un garçon de 23 ans plutôt timide, et j'ai depuis toujours un poids sur le cœur comme une tristesse qui s'accroche à moi. J'ai appris à vivre avec et je voulais essayer les champignons pour avoir des réponses à pas mal de questions. Voici un extrait tout frais de mon expérience d'avant hier avec des palanque mexicains. Je vous conseille d'écouter Emancipator - Eve (2006) - YouTube en même temps que vous lisez c'est ce que j'ai fais lorsque j'ai rédigé.
L'Histoire commence comme cela...
"Il faisait chaud, comme un de ces dimanches de juillet ou les familles sortent jouer au ballon ou faire des petits barbecues dans le parc. Moi et ma meilleure amie en avions décidé autrement. Aujourd’hui nous allons voyager, partir loin d’ici. Le temps étais parfait, une légère brise chaude. Il est 18h du soir et le soleil est encore haut dans le ciel. Nous avions une longue marche et étions équipé. On longe le canal EDF que nous connaissons par cœur. Vous savez, un de ses chemins de terre caillouteux, bordé de thym et d’herbes violettes. Nous mâchions tout en marchant en prenant garde de ne pas avaler trop vite.
Après 30 minutes nous étions arrivés. C’était un chemin ou les arbres nous prenaient dans leurs bras et le ruisseau nous chatouillait les oreilles avec son clapotis. Enfin, le voila un pré immense longé par des arbres immense. On était à l’ombre, et décidâmes de tirer notre carte du tarot. Je commence « Le mat » l’arcane sans numéro, c’est à son tour et tombe sur la faucheuse, l’arcane sans nom. La nausée me prends elle me regarde en riant et me dit que c’est bon signe. Elle met de la musique, «Eve » de Emancipator, la douce voix et les violoncelles de la musique m’emporte je relève la tête et vois ces arbres magnifiques respirant au rythme des corde, comme des éponge qui se gonflent est se dégonflent subtilement, qui s’étirent pour aller se mélanger au ciel bleu turquoise. C’étais un tableau qui se peignait devant mes yeux les couleurs se mélangeaient, du vert et du bleu.
Les insectes s’envolent autour de nous et dancent. Une abeille se pose butine une fleur à coté de moi, elle vie est et magnifique. En voyant les arbres les larmes commencent à monter. J’ai envie de pleurer, de joie. Sans me regarder elle me dit « tu peux pleurer si tu veux ». C’est ce que je fais une larme perle au coin de mon œil et au coin du sien. Une larme figée, immobile, qui scintille comme une étoile. Elle rigole avec sa fleur rose dans les cheveux. Nous rigolons beaucoup. Je parle beaucoup, elle très peu, quelques oui et beaucoup de sourires qui semblent me comprendre. Je parle pour oublier comme un alcoolique qui se soule pour oublier sa vie.
C’est alors qu’un spectacle se déroule devant moi. Une coccinelle essaye de prendre son envol. Elle essaye plusieurs tiges pour être sure de ne pas rater son saut, hésite longuement, rebrousse chemin, tombe et regrimpe, encore et encore inlassablement. En la voyant, je me tais pour la première fois. Elle me dit qu’en anglais coccinelle se dit « Lady Bird ». Je trouve ça magnifique. Cette coccinelle s’est un peu moi. Je suis tombé plusieurs fois je me suis relevé, toujours. J’ai hésité milles fois avant de me lancer, j’ai trop hésité. J’ai laissé filer ce coup de vent qui aurait pu m’aider et me déposer très loin. J’y suis donc allé seul, jusqu’à l’épuisement, jusqu’à en être fatigué.
Et il y a lui, ce garçon qui m’obsède que je vois quand je ferme les yeux, ces cheveux blonds, ces yeux rieurs et bleu. Je vois nos fous rires, et nos pleurs, nos colères et nos réconciliations, nos problèmes sans solutions. J’essaye de comprendre pourquoi nous en sommes arrivé là, ne trouve pas de réponses et cela me rends triste. Tiens, ma petite coccinelle c’est envolée, elle se retourne me regarde, me souris et s’en va. Je la suis du regard jusqu’à ne plus la voir. Sa me rend heureux, et me dis qu’un jour quand sa sera le moment je pourrai moi aussi déployé mes ailes et partir. J’ai repris un peu de vigueur même si je sens la tristesse, et la mélancolie teintées la mer de fleurs devant moi. Comme une goutte de vin dans un verre d’eau qui vient colorer un verre d’eau et lui donné ce petit gout si familier. Je marche pied nu dans l’herbe fraiche m’approche du soleil et suis ébloui par le parterre de fleurs jaune et bleu. La mer qui s’étend devant moi à perte de vu bouge et ondule au gré du vent.
J’ai une vision du paradis et du jardin d’Eden.
Je trouve cela magnifique, et me dis que qu’Il me manque. Qu’il est loin sur sa corse natale et qu’une mer nous sépare. J’essaye de ne pas y penser mais son visage et cette mélancolie revient comme un ballon que l’on lancerai sur un mur. Nous suivons le soleil, les abeilles et les chenilles nous suivent. Nous prenons garde à ne pas écraser de coccinelle qui veulent s’envoler. Nous nous asseyons à plusieurs endroit et à chaque fois toujours notre petit insecte rouge à pois noir est la pour veiller sur nous. Elle me racontera plus tard, que dans ses moments de tristesse elle voyait toujours des coccinelles. J’en suis sur maintenant il ne pourra rien lui arriver, les coccinelles seront ses esprits protecteur.
Les effets se diluent, nous marchons et mangeons des abricots. Nous parlons peu car chaque mots est lourd de sens et de significations. La musique n’est plus là. Les grillons nous chantent leurs histoires. Il fait nuit et bon. Nous marcherons pendant encore longtemps. Les coccinelles ne sont pas loin et nous regardent, bienveillantes et gentilles. Elles veillent sur nous et nous montre le chemin pour rentrer."
J’espère que vous avez aimé, et j'aimerai savoir si vous avez déjà connu quelque chose de pareil.
L'Histoire commence comme cela...
"Il faisait chaud, comme un de ces dimanches de juillet ou les familles sortent jouer au ballon ou faire des petits barbecues dans le parc. Moi et ma meilleure amie en avions décidé autrement. Aujourd’hui nous allons voyager, partir loin d’ici. Le temps étais parfait, une légère brise chaude. Il est 18h du soir et le soleil est encore haut dans le ciel. Nous avions une longue marche et étions équipé. On longe le canal EDF que nous connaissons par cœur. Vous savez, un de ses chemins de terre caillouteux, bordé de thym et d’herbes violettes. Nous mâchions tout en marchant en prenant garde de ne pas avaler trop vite.
Après 30 minutes nous étions arrivés. C’était un chemin ou les arbres nous prenaient dans leurs bras et le ruisseau nous chatouillait les oreilles avec son clapotis. Enfin, le voila un pré immense longé par des arbres immense. On était à l’ombre, et décidâmes de tirer notre carte du tarot. Je commence « Le mat » l’arcane sans numéro, c’est à son tour et tombe sur la faucheuse, l’arcane sans nom. La nausée me prends elle me regarde en riant et me dit que c’est bon signe. Elle met de la musique, «Eve » de Emancipator, la douce voix et les violoncelles de la musique m’emporte je relève la tête et vois ces arbres magnifiques respirant au rythme des corde, comme des éponge qui se gonflent est se dégonflent subtilement, qui s’étirent pour aller se mélanger au ciel bleu turquoise. C’étais un tableau qui se peignait devant mes yeux les couleurs se mélangeaient, du vert et du bleu.
Les insectes s’envolent autour de nous et dancent. Une abeille se pose butine une fleur à coté de moi, elle vie est et magnifique. En voyant les arbres les larmes commencent à monter. J’ai envie de pleurer, de joie. Sans me regarder elle me dit « tu peux pleurer si tu veux ». C’est ce que je fais une larme perle au coin de mon œil et au coin du sien. Une larme figée, immobile, qui scintille comme une étoile. Elle rigole avec sa fleur rose dans les cheveux. Nous rigolons beaucoup. Je parle beaucoup, elle très peu, quelques oui et beaucoup de sourires qui semblent me comprendre. Je parle pour oublier comme un alcoolique qui se soule pour oublier sa vie.
C’est alors qu’un spectacle se déroule devant moi. Une coccinelle essaye de prendre son envol. Elle essaye plusieurs tiges pour être sure de ne pas rater son saut, hésite longuement, rebrousse chemin, tombe et regrimpe, encore et encore inlassablement. En la voyant, je me tais pour la première fois. Elle me dit qu’en anglais coccinelle se dit « Lady Bird ». Je trouve ça magnifique. Cette coccinelle s’est un peu moi. Je suis tombé plusieurs fois je me suis relevé, toujours. J’ai hésité milles fois avant de me lancer, j’ai trop hésité. J’ai laissé filer ce coup de vent qui aurait pu m’aider et me déposer très loin. J’y suis donc allé seul, jusqu’à l’épuisement, jusqu’à en être fatigué.
Et il y a lui, ce garçon qui m’obsède que je vois quand je ferme les yeux, ces cheveux blonds, ces yeux rieurs et bleu. Je vois nos fous rires, et nos pleurs, nos colères et nos réconciliations, nos problèmes sans solutions. J’essaye de comprendre pourquoi nous en sommes arrivé là, ne trouve pas de réponses et cela me rends triste. Tiens, ma petite coccinelle c’est envolée, elle se retourne me regarde, me souris et s’en va. Je la suis du regard jusqu’à ne plus la voir. Sa me rend heureux, et me dis qu’un jour quand sa sera le moment je pourrai moi aussi déployé mes ailes et partir. J’ai repris un peu de vigueur même si je sens la tristesse, et la mélancolie teintées la mer de fleurs devant moi. Comme une goutte de vin dans un verre d’eau qui vient colorer un verre d’eau et lui donné ce petit gout si familier. Je marche pied nu dans l’herbe fraiche m’approche du soleil et suis ébloui par le parterre de fleurs jaune et bleu. La mer qui s’étend devant moi à perte de vu bouge et ondule au gré du vent.
J’ai une vision du paradis et du jardin d’Eden.
Je trouve cela magnifique, et me dis que qu’Il me manque. Qu’il est loin sur sa corse natale et qu’une mer nous sépare. J’essaye de ne pas y penser mais son visage et cette mélancolie revient comme un ballon que l’on lancerai sur un mur. Nous suivons le soleil, les abeilles et les chenilles nous suivent. Nous prenons garde à ne pas écraser de coccinelle qui veulent s’envoler. Nous nous asseyons à plusieurs endroit et à chaque fois toujours notre petit insecte rouge à pois noir est la pour veiller sur nous. Elle me racontera plus tard, que dans ses moments de tristesse elle voyait toujours des coccinelles. J’en suis sur maintenant il ne pourra rien lui arriver, les coccinelles seront ses esprits protecteur.
Les effets se diluent, nous marchons et mangeons des abricots. Nous parlons peu car chaque mots est lourd de sens et de significations. La musique n’est plus là. Les grillons nous chantent leurs histoires. Il fait nuit et bon. Nous marcherons pendant encore longtemps. Les coccinelles ne sont pas loin et nous regardent, bienveillantes et gentilles. Elles veillent sur nous et nous montre le chemin pour rentrer."
J’espère que vous avez aimé, et j'aimerai savoir si vous avez déjà connu quelque chose de pareil.
