Le stade au dessus du Bad

[wolfifi]

Bonjour chèr(e)s ami(e)s, voici bien longtemps que je ne suis pas passé sur ce site. J'avais envie de poser par écrit ce que je pense en ce moment et je n'ai pas trouvé meilleur endroit pour le faire.
Ce qui m'arrive en ce moment est bien compliqué: Je manque de goût à la vie.

Ce n'est pas un simple bad... J'ai passé ma période adolescence, j'ai passé ma période test de toute les drogues, ma période compréhension des bases de la psyché humaine, ma période voyage, ma période squatt, teuf, travail dans une grande entreprise, petite entreprise, ma période voyage sac a dos à l'arrache, visite d'ecolieu, mode de vie alternative, mode de vie en camion, ect ...

Si bien que quand je me pose je me dis : Et maintenant tu fais quoi?

Je n'ai que 25 ans, ça fait peur. J'ai bien envie de me sédentariser, d'acheter un terrain à la campagne, dans un endroit ou l'air et l'eau sont les plus purs possibles, de cultiver mon potager et monter un projet (association, festivals...) Mais pour ça on va pas se mentir, soit il faut tomber sur une personne qui te donne le terrain, soit tu te démerde pour trouver des milliers d'Euro pour te le payer.
C'est la ou ça coince.
Je pourrais trouver un bon groupe de pote, dans le même délire, et c'est une chose que j'ai essayé de faire depuis des années.
Mais c'est dur de trouver des gens vraiment à fond dans ce genre de projet, ou tu sens que c'est viscéral. Si bien que si tu ne fait rien, bah il ne se passe rien.
Rien ne bouge, j'ai l'impression d'assister à un bal robotisé. Je ne sais pas si je suis le seul à vivre ça, j'ai l'impression que les gens qui m'entoure sont dévitalisé, il n'y a pas de but concret à leur vie, aucune spiritualité, aucune recherche sur soi ou l'univers, sur comment fonctionne les choses. Impossible de mettre au point quelque chose sur le long terme.
Le problème, c'est que même lorsque je me retrouve dans des lieu censé être mentalement équilibré, je me rends compte que la vision des autres ne correspond jamais ou presque à la mienne.
C'est trop demander d'avoir envie de bien manger et de bien respirer dans un lieu calme et sain?

Est-ce que l'un d'entre vous est déjà passer par là, que faire pour sortir de ce bourbier?

 

[Deleted-1]

Mais c'est dur de trouver des gens vraiment à fond dans ce genre de projet, ou tu sens que c'est viscéral. Si bien que si tu ne fait rien, bah il ne se passe rien.
Rien ne bouge, j'ai l'impression d'assister à un bal robotisé. Je ne sais pas si je suis le seul à vivre ça, j'ai l'impression que les gens qui m'entoure sont dévitalisé, il n'y a pas de but concret à leur vie, aucune spiritualité, aucune recherche sur soi ou l'univers, sur comment fonctionne les choses. Impossible de mettre au point quelque chose sur le long terme.
Le problème, c'est que même lorsque je me retrouve dans des lieu censé être mentalement équilibré, je me rends compte que la vision des autres ne correspond jamais ou presque à la mienne.

Bienvenue dans la réalité

Je n'ai pas d'autres conseils que de te dire de ne pas te laisser aller à la déprime en te disant que le autres ne fichent rien, et de maximiser l'action pour arriver à tes fins, et les rencontres surtout. Je suis dans la même tranche d'âge et sans avenir tracé, c'est le bad total, il n'empêche qu'il en réside une forme de liberté qu'il faut savoir retrouver ou réapprendre à savourer, quitte à devoir passer par des moments d'abattement (rappel toi dans ce bureau, devant ton ordi à rêver d'un ailleurs, aujourd'hui tu y es, il faut juste que tu redonnes une direction à ta vie, en gardant un maximum de liberté pour ne pas t'enfermer dans le cadre routinier de la déprime chronique, parce qu'en étant au bureau ou aux champs, si tu déprimes, c'est la même chose dans les deux cas !).

 

[wolfifi]

Mais le pire c'est qu'au fond de moi je sais que c'est même pas de la déprime, je regorge d'envie et d'énergie, j'ai l'impression de n'être juste pas compatible avec mes congénères humains, je me suis peu être planté d'époque ^^ Merci pour ton soutien laura

"L'adulte est responsable de tout ce qu'il dit. Le guerrier est responsable de tout ce qu'il fait. L'homme de savoir est responsable, non seulement de ce qu'il fait, mais de ce qui lui arrive. L'homme de pouvoir est responsable, non seulement de ce qui lui arrive, mais de tout ce qui arrive. L'homme de devoir est responsable, non seulement de tout ce qui arrive, mais de tout ce qui est arrivé. C'est l'ultime degré du devoir qui incombe au guerrier de lumière. Seul, il ne peut plus rien faire. L'étape suivante est collective.Qui donc est responsable de ce qui arrivera ? Chacune et chacun de nous. Toutes et tous. Ensemble. Unies, unis sur Terre "

J'ai l'impression que l'humanité à zappé ce dernier point

 

[Plante Verte]

Ouais je partage pas mal de tes ressentis wolfifi. Ce que je comprends de cette expérience c'est que l'énergie pour un projet il faut être capable de la développer seul afin de pouvoir se lancer dedans et éventuellement y englober d'autres personnes.

Et puis il n'existe pas deux personnes au monde qui pensent de la même manière, puis d'ailleurs c'est ça qui est fun dans la vie, composer avec la palette des complexités de tout le monde.

Ca peut être décevant de se rendre compte qu'au final même entouré on reste seul.

Mais je comprends pas trop, tu as voyagé et visité pleins d'endroits mais tu n'as pas pu rencontrer des gens qui souhaitent juste manger bien en vivant dans un endroit sain ?

 

[Dreamea]

J'ai un peu le même sentiment que toi, et je sais pas si je pourrais te donner un conseil, essayer de faire ce qui te plait le plus et en même temps qui plait au plus de monde possible peut-être, mais on vit dans un monde tellement fragmenté qu'un aboutissement, qu'une osmose parait impossible.

 

[wolfifi]

Oui c'est trop le bordel cette époque pour avoir une situation stable et sereine. Et oui plante verte j'ai beaucoup voyagé, mais je n'ai rencontré personne ayant une âme pure, je me suis toujours rendus compte qu'il y avait des gros bug dans le programme de toute les personnes quand tu commences à creuser dans le fond. C'est peut être lié au fait qu'on vit à un moment ou la Terre subit beaucoup de chamboulement, du coup énergétiquement tout ça n'est pas très stable, et nous les humains sommes déboussolés aussi. Alors là on se dit, "peut être que c'est toi qui à un problème, et non la terre entière", franchement, quand je regarde ce que font les gens de leur vie et l'état de la planète, j'arrive rapidement à me réconforter dans ma vision des choses. Maintenant, je vais essayer de faire de mon mieux pour faire avec, et dépasser les défis.

 

[Plante Verte]

Alors là on se dit, "peut être que c'est toi qui à un problème, et non la terre entière"

Dans tous les cas, tu peux pas changer le monde, que toi-même. Si tu ressens du déplaisir à aborder le monde tu peux considérer que c'est ce dernier qui est mauvais, mais alors tu souffriras toujours à moins que la terre entière ne change ou au moins les gens qui t'entourent. Mais bon comme tu peux pas changer les autres qu'est-ce que tu vas faire ?

Une âme pure ? What je comprends pas ce que tu veux dire par la mais je crois pas que ça existe. Bah ouais on est tous imparfait mais ça empêche pas de s'accepter tel que l'on est.

Fin bon je te jettes pas la pierre je suis le premier à dire que les gens sont tous des connards, mais ça c'est l'apparence, au fond de moi je sais que c'est à moi de me libérer de mes espérances vis-à-vis du monde, à combler mes besoin tout seul comme un grand, et accepter la surprise de chaque nouvelles rencontres toujours originales.

Je crois que ce qui fait que l'on mène une belle vie c'est pas de correspondre à ses idéaux mais à s'amuser au milieu du chaos! Il y à pas de façon de bien faire, de bien être, de bien penser. Malgré tous les arguments cohérents et valide qui m'ont poussés à boycotter le système, je me suis rendu-compte que je me faisais plus de mal à essayer de rejeter de ma vie ce que je croyais mauvais. Vouloir changer mes habitudes car elles sont probablement néfaste, ou ne plus fréquenter certains lieux, ou consommer certaines choses car ça entretien un système de valeur qui n'est pas le mien. Le vrai problème c'est que dans cette démarche je me suis éloigné de ce qui était la devant mes yeux, c'est tout ce qui existe, c'est ce qui est présent, c'est la réalité, simple sobre crue (comme dirait Alain Damasio). La nature n'a pas de valeur, de principe, de croyances, de convictions. Et il faut avoir l'humilité de comprendre qu'on y comprends rien, que même si certaines lois fondamentales semblent régir tout ça, on est bien incapable d'en tirer des conclusions logiques efficaces, et si tu es dans le doute, la souffrance, le dépit, bah c'est la preuve que tes pensées/actions étaient maladroites.

J'ai compris à force de penser que les convictions, les idéaux, même issues de la meilleure volonté qui soient ne font que me limiter dans mon expérience et donc me ramène à ma frustration de ne pas vivre ce que je voudrais. Surtout quand je commence à boucler et que mes idéaux deviennent l'absence d'idéaux, que mes pensées me disent de ne pas penser, bref que je comprends que je n'ai rien compris... Du coup bah juste laisser couler puis accepter comme on est.

Mais on pourra s'épancher tant que l'on veut de à quel point le monde est pourri, je suis sûr qu'autour d'un joint on pourrait avoir des discussions géniales la dessus pendant des heures. Le problème c'est que ça ne fait que nous éloigner de nous-même, de ici de maintenant, alors que c'est ça qui est vraiment cool, observer le temps passer avec ses émotions, ces gens et tout...

 

[Trickster]

Je pense qu'on est pas mal dans cette tranche d'age à être totalement paumés en mode "putain mais qu'est-ce que je fais là" mais je trouve ça un peu simple de rejeter la faute sur les autres, chacun sa vision de la vie tu peux pas forcer le monde à se plier à tes envies et à ta vision des choses.
Une fois que t'as accepté que t'étais dans un délire un peu bizarre comparé aux autres, tu portes tes couilles et tu fais tes trucs tout seul, sinon tu vas passer ta vie à rien foutre tout en reprochant au monde entier de te bloquer à cause de sa supposée connerie ou son manque de "pureté" (pour caricaturer).
Par expérience je dirais que quand tu te lances dans un "projet" un peu bizarre tout seul t'as bien plus de chance de rencontrer des gens dans le même délire que si tu restes à attendre l'aide hypothétique d'un alter ego. Et même si tu trouves pas tu as toujours la satisfaction de t'être lancer tout seul, ce petit sentiment de liberté est pas désagréable

Parce qu'effectivement si tu te limites à ce que les autres attendent de toi tu risques de mener une vie bien morne.

J'en profite pour sortir une petite citation trouvé sur LS, je sais pas si ça a un rapport mais osef c'est beau :

"Car il y a aussi des vagabonds de l'intelligence qui trouvent la demeure héritée de leur père trop étroite et trop basse pour pouvoir s'en contenter ; au lieu de se tenir dans les limites d'une façon de penser modérée et de considérer comme vérités intangibles ce qui donne à des milliers d'hommes la consolation et le repos, ils sautent par dessus les barrières du traditionalisme, et vagabonds extravagants, ils s'abandonnent sans frein aux fantaisies de leur critique impudente et de leur scepticisme effréné. Ils forment la classe des instables, des inquiets, des inconstants, c'est-à dire des prolétaires et sont appelés, quand ils donnent libre cours à leur nature, des « mauvaises têtes »."

 

[Sandman]

J'en profite pour sortir une petite citation trouvé sur LS, je sais pas si ça a un rapport mais osef c'est beau :

"Carilyaaussides vagabondsdel'intelligencequitrouventlademeurehéritée deleurpèretropétroiteettropbassepourpouvoirs'encontenter ; aulieude setenirdansleslimitesd'unefaçondepensermodéréeetdeconsidérer commevéritésintangiblescequidonneàdesmilliersd'hommeslaconsolation etlerepos, ilssautentpardessuslesbarrièresdutraditionalisme, et vagabondsextravagants, ilss'abandonnentsansfreinauxfantaisiesdeleur critiqueimpudenteetdeleurscepticismeeffréné. Ilsformentlaclassedes instables, desinquiets, desinconstants, c'est-àdiredesprolétairesetsont appelés, quandilsdonnentlibrecoursàleurnature, des « mauvaisestêtes »."

"Car il y a aussi des vagabonds de l'intelligence qui trouvent la demeure héritée de leur père trop étroite et trop basse pour pouvoir s'en contenter ; au lieu de se tenir dans les limites d'une façon de penser modérée et de considérer comme vérités intangibles ce qui donne à des milliers d'hommes la consolation et le repos, ils sautent par dessus les barrières du traditionalisme, et vagabonds extravagants, ils s'abandonnent sans frein aux fantaisies de leur critique impudente et de leur scepticisme effréné. Ils forment la classe des instables, des inquiets, des inconstants, c'est-à-dire des prolétaires et sont appelés, quand ils donnent libre cours à leur nature, des « mauvaises têtes »."

 

[Trickster]

Putain j'ai galéré comme un porc pour rien, merci quand même

 

[Sibuna]

DBle post

 

[Sibuna]

Oui, il faut investir évidement, je pense même que le mieux, c'est yque ce soit à toi, comme ça en cas de blem : T'est chez toi...

Ap^rès de nos jours, un programme sans bug...
Une recherche d'âme pur...Je les nommen bonne âmes : Et j'ai déjà des difficultés à en trouver bien que j'y parvienne...Mais pures : Là...Dans ma logique, en tant qu'être humain, avec notre égo, notre éducation, le formatage de cette société, non...Ou alors, ils sont bien cachés, et veulent là paix, sont sereins, nbe donneront et ne feront qu'avec ....Bref : Viser ça, en amont, y penser, espérer tomber là dessus, ....C'est comme d'autres choses : Quand tu les cherches pas : C'est là qu'elles tombent.

Ou encore, nous avons là un soucis de compréhension via dialectique différente...

Si tu cherches à viser trop loin, tu t'exposes à la frustration assurément...Va y mollo je crois.

Ceci n'est que mon point de vue, je détiens pas de vérités absolues, il va sans dire...

Après, je cause, mais j'aime aussi pas mal ma solitude, la vie en groupe, etc, j'ai trop fait, je pourrai et veux plus, tant que j'en ai les moyens...

 

[Dreamea]

Rejeter la faute sur le monde dans lequel on vit, les autres, son époque ou soi-même, c'est à mon sens retourner le problème dans tous les sens sans l'affronter, l'ignorer ou l'accepter - à voir ce qui est le plus "juste" -. Mais je pense que le problème du bug dans le programme il date pas d'aujourd'hui, faut remonter à la bactérie dont on est issu pour se rendre compte qu'il y a un truc vraiment pas net avec la vie. On va me prendre pour un nihiliste quoi, mais bon osef, j'aime bien la vie même si je peux pas la saquer.

 

[Sibuna]

Je n'ai de loin pas tout lu, j'étais sur un autre post à lire, le titre m'a accroché.

Selon moi, le stade au dessus du bad: Ou le cran de toutes façons au dessus: C'est le regroupement des maladies chroniques incurables. Pour certaines physiques et mentales en même temps, tu sais, que tu va traverser à l'avance des périodes de bad à gérer, longues.

 

[Saxifrage Russel]

tu me sembles angoissé, on l'est tous, "l'angoisse est le vertige de la liberté" écrivait Sartre. On cherche tous la liberté maximale et quand on l'a, ça fait flipper. On se rend compte que la liberté finalement, c'est un peu comme marcher au bord d'un précipice.
Je suis pas d'accord avec ce que tu appelles les "âmes pures", la "pureté" ne se résume pas à vouloir manger "sain" dans un lieu "sain". On peut bouffer de la merde, vivre entre le métal et le béton, s'allumer une clope derrière la fumée noire d'un bus, et être quand même "pure". Plein de gens ont les idées que tu as, et certains dans le lot sont totalement "impures". Pareil pour ceux que tu penses "sans but" , tu peux pas le savoir parce que connaître vraiment une personne est rare en plus d'être infiniment complexe et dis toi que, très probablement, certains pensent la même chose de toi que toi d'eux.
Et puis, autre fait très angoissant, c'est se rendre compte (et accepter) que, en couple, en amitié, en famille, entre collègues, on avance toujours seul dans l'existence. Il y a des moments de partages, et c'est très beau, mais en réalité, on est seul, et en même temps que c'est flippant, c'est juste magnifique.
En gros, si ce que tu veux c'est manger sain dans un lien sain pour être sain de corps et d'esprit , fais-le. Cherche à réaliser ton projet, plutôt que de chercher des gens qui te ressemblent, t'es seul mon gars. Tu verras que quand tu commenceras à concrétiser la chose, les gens te suivront d'eux mêmes.

 

[Sibuna]

On peut bouffer de la merde, vivre entre le métal et le béton, s'allumer une clope derrière la fumée noire d'un bus, et être quand même "pure".

Angoissé pas réellement, je connais, stressé très souvent oui.
L'angoisse et moi, on est potes, je préfère pas trop la fréquenter.

On est d'accord, et faut pas interpréter ce que j'écris trop vite.
Ce que je place derrière 'bonne âme' : C'est une liste de choses, qui correspondent à mes gouts et couleurs chez l'être humain, c'est tout.
D'autre dirai : Un bon gars...C'est dialectique...

Après, la pureté ? Honnêtement : Je sais pas ce que cela peux être, représenter de façon bien précise: Là pour moi, on est sur le point d'entrer un petit peu dans des potentielles discussions philosophiques ou échanges rhétoriques, qu'en réalité je cherche pas à provoquer/créer. Mais je te le redis, je suis d'accord avec ce que tu as écris, évidement...
Je crois que chacun à sa propre définition de ces 'grands mots'.


>>> Beware: Vocabulaire, signe de relaxation: Pas d'agression :/
Si je communique, c'est parceque je le veux bien, cadeau de noël en retard
J'allais te mettre un thumb-up (allez zy-va, je le met, je baisse mon froc pour le style), car je suis ok avec le reste aussi : Mais en fait: Seulement à 87%. Le ''Tu' es seul fait clairement défaut : 13%: C'est pas de la merde dans la balance...

Puisque selon certains ''tout est lié'' : Je ne suis pas seul, et loin de là, je mentionnerai pas ce à quoi je peux là penser.
Tu balances quand même des affirmations, directement, à une personne qui n'est pas toi (en l'occurrence : MY ass): Et qui a sans doute un système de pensées et vision des choses bien propre à elle même.
Après, dans le principe et la pensée de fond : Je suis ok, je suis ouvert, mais tu vois : Je fait précisément ce que je voulais pas faire : Perdre mon temps à faire de la philo, de la rhétorique : Personne, de mon expérience, ne détiens de vérités absolues brutes de sciages 'ici bas' : Encore moins ceux qui citent tel dude ou x/y personne, de renommée ou non.
Bon, y'avais pas la Star Ac avant chez les philosophes, mais quand même...Sartre, paix à son âme, mais hein : Tu sais...

Oui : Je fait exprès.
C'est ma façon à moi, de te thumb-up: Je te prie de n'y voir que ce qu'il y est présent: Et de prendre ça comme il se doit : De la bonne façon
Provoquer, c'est ma spécialité, me faire faire dicter des leçons, ça passe très rarement (j'accuse personne: Je sais être intransigeant, pinaille pour un mot : On est ok là aussi), surtout quand cela ne viens pas d'une requête de ma part.

J'aime les dictons, les blagues carambars : A chacun son jardin de pensées, du respect et les vaches seront bien gardées: Parfois se voir seul est confortable, parfois, et avec des si : Je suis Santa Claus : Je pense comme je veux, vois ce que je veux, du moment que cela ne dépasse pas certaines limites : Qu'est ce que ça peux faire ? (question rhétorique : Je n'attends pas de réponse, au bout d'un moment, je répondrai que du non sens, par confort, choix, amusement, etc: On peux faire ça en revanche...)

J'ai ma conscience pour moi et cela même sans eux: Entre autres, 2 sociologues philosophes écrivains dans la famille : Je sais comment ils vivent globalement, comment ils pensent, j'ai vécu et été élevé avec eux (je parle là de leur vie perso, caractère propre, pas de leur taff, de leur techniques diverses et variées apprises à l'école et styles courant de pensées, tralalal, skills peaufinées à l'écriture, après: Je n'ai que 2 exemples : Ils me laissent sans doute une fausse vision de ce qu'un philosophe représente : Pour moi : Un gars qui li nettement trop, écris trop, pense trop : Agis pas assez au final : Mais je respecte, il font ce qu'ils veulent : Mais après, faut pas ''trop' venir donner de leçons à des gars plus sur le terrain et dans l'action, ils risquent de ne pas mesurer les conséquences de leurs conseils formidables...Selon le contexte: Toujours...Ouai Ouai : J'ai écris Toujours, à ce qu'il parait : Faut Jamais :/):
Ca me pompe même si c'est passionnant, brillant, et tout ce que tu veux...

Mais la logique, la dynamique/mécanique 'du merdier' que tu décris est véritable à les yeux : Fait ton truc, si c'est bon, tu ''rayonnes'' (je sais pas écrire en Français, manque de vocabulaire/feignasse...Je pense que ça se vois.), forcément, ça suis...

You enjoy yourself please, and have a lovely day, you're not alone see : I'm with you, thinking about your sweet ass, and doing so morningly while scratching my butt (no : I'm kidding you) writing to you, for you hahahahaha
No offenses meant: I feel the need to write it down again.

Attends j'ai pas fini: J'en place une à mon tour :
"Tu"vois, les conneries dans la vie on les payent, ce message m'a couté de faire cramer mes oeufs durs :/ Et ça pu mmaintenant.
't$$$