Quetzal
Holofractale de l'hypervérité
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Edit: tin merde c'est blindé long. Lira qui veut, j'ai écris avant tout pour moi
Titre : Le Lapin, les Psilos(0,7g) et le Quetzal.
Lieu : Kot étudiant à Bruxelles + campus
Substance : cubensis B+ coupé en petits morceau histoire d homogénéiser l'ensemble.
14g/2/2/2/2=1,75g ; divisé encore par 2 avec une balance artisanale = 0,8.. , et j'en enlève encore un peu ^^ (reste 0,6-0,7g). Vérification en comparant avec de l'eau, dosée à la seringue. Ok.
Poids: 58kg
Contexte et pourquoi.
J'ai pas bcp trippé ces derniers temps, et si je dois le faire, autant le faire bien avant les exams.
Alors je décide de gouter mes cubensis, séché par mes soins. Justement je suis entrain d'avancer dans "mon projet", du coté du langage, de la communication par la musique et l'ouverture à l'inconscient. Les champis a petite dose.. pourraient être un apport. Hé bien... j'ai pas été déçu!
Il est 17h10
J'avale le tout en mâchant un peu avec quelques gorgées de sprite. Ça mousse, ça camoufle le gout mais c'est pas si bon qu'avec du miel...
Je me pose et je roule vite fait un pétard ( que je n'allume pas); je commence à ranger un peu pour faire de la place, être bien posé, et trouver quelques trucs utile ( de quoi dessiner pour plus tard, cendrier, tout ca...)... sauf que, c'est d'emblée la confusion; je fous plus de bordel que je ne fais de place!
Mais l'attaque est d'abord physique, au niveau du ventre, un mal être, mais sans nausée, juste un poids désagréable. Je m'allonge et chipote vite fait au pc; pas le temps de réfléchir, je met une valeur sur : Chopin ( concerto 1 et 2 ). Ok, maintenant que je suis couché, on attend que ça monte, et dé que je le sens bien j'allume le pétard...
Ce but d'allumer le pétard me fait analyser mon état et actualiser cette donnée régulièrement... a priori, à l'instant T de l'analyse, rien de flagrant. Je me laisse aller a réfléchir, le ventre me clouant au matelas, mais n'étant pas plus gênant que ça. J'analyse toujours... ma conscience travail : elle analyse ma façon de penser... comme un élément externe finalement. Des éléments même, Des mécanismes de pensées. Entre autres : La partie de moi qui reçoit les stimulus sensorielle, Celle qui crée les liens entre les concepts, celle qui les enregistre et son binôme, qui va rechercher les souvenirs... Toutes ces choses se font "à ma manière". Quand j'y prête attention, c'est moi qui pense, moi qui ressent... mais je ne focalise sur tout les mécanisme en même temps. Je suis donc un coordinateur d'un tas de fonction ayant mes caractéristiques mais que je ne supervise pas en permanence.
Ok, vous avez sans doute pas bien suivi ; faut dire, que je ne me racontait pas à moi même ce que je viens de dire, c'était une forme visuelle, ou interagissait les concepts; c'était simple et limpide. Premier mouvement du concerto terminé, seulement 5 minute de trip...
Je continue a avancer sur ce sujet ; avec tout mes petits moi que je regarde travailler. Mais... le grand Moi, c'est ma conscience, et qu'elle est sa nature? Qu'elle est son essence? Suis-je la ou je n'ai pas conscience d'être? Je suis convaincu que je ne trouverai pas la réponse, mais j'essaye d'isoler le nœud : trouver la brique de base insolvable.
Mal de ventre toujours présent mais c'est juste une douleur pure, une pique; je sais pas, sur le moment ça ne pouvait pas avoir de conséquence, à la différence d'une nausée. Juste une info sensorielle.
Mes mains sont toutes mouillées, exactement comme dans mon premier trip, qui m'a enseigné que j'étais relié a l'eau. Mais j'ai déjà "lu" ce chapitre de ma vie; "non, j'ai déjà fait ce trip, je sais que je suis l'eau, pas envie de refaire ce passage oppressant". Et hop, ça disparait, comme quand on tourne la page pour lire la suite.
Chopin continue; j'allume mon pétard; OMG cette odeur, ça explose de partout... je brule un centimètre avec le briquet avant de tirer... c'était beau, et ça sentait bon.
Je prend mon lapin en peluche, le Grand Chaman. Mais je peux pas le caresser, ça avait une connotation sexuel, et je ne suis pas zoophile; dommage, j'aimais bien la sensation, c'était la même que quand j'étais petit. Les idées se sont clairement démultipliées. Le lapin a une certaine matière, tout ses atomes proviennent de la terre; Il a un bijoux mexicain sur le front (lune et soleil confondu). Avec une pierre noire... comme ses deux yeux. Je n'avais jamais remarqué , le bijoux forme EXACTEMENT son troisième œil ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Troisi%C3% ... C3%A9risme) ). Et il vient... du Chiapas...! La région d'origine de Maria Sabina! Celle qui apporta la connaissance des champignons aux "blancs".
La lapin a une posture de bouddha. Et ses tissu viennent sans doute de Chine. Ça va très vite. Tout cela n'est qu'un jeux de symbole, mais étrangement, il est semblable aux jeux des religions... (symboles, reliques, terre d'origines, objet de culte...). Celle-ci ont un terreau commun avec les expériences spirituelles, même si ce lien n'est plus évident maintenant. (ces réflexions me paraissent moins évidentes sobre).
J'ai en parallèle écris rapidement des phrases sur le bloc note; je ne modifie rien, c'est lisible
Bon, 30 minutes de Chopin c'était bien, mais il est temps de passer à Parov stelar
(
)
Pas de visuel, alors je met Milkdrop2. Les basses prennent plein de volume, je rentre dans les images comme dans un monde 3D. C'est beau.
2ème partie : La mission.
Je devrait composer, dis je. C'est l'occasion de bouger, il fait même du soleil maintenant dehors.
OK, c'est une grande décision a prendre, c'est très compliqué, je m'applique énormément a rassembler mon demi pétard pas fini, un briquet, de quoi boire, du chocolat, mon telephone éteint, mon PC et mon casque pour la musique (j'ai pas de MP3).
Je sors de chez moi, c'est Debussy qui m'accompagnera. C'était LE bon choix (http://www.youtube.com/watch?v=USj7Rbsw ... re=related – féérique comme sensation). Dehors, avec le casque, je suis dans un monde génial, tout est proche, familier, rassurant. Je suis à la foi déconnecté du monde "classique" et à la foi uni à un monde que je connais. J'avance avec un grand smile; c'est comme une aventure, direction la bibliothèque de l'université. Ce n'est pas une aventure trop difficile, ni trop facile, c'est une chouette aventure! 5 minutes aprés, me voila a la bibli, j'enlève mon casque, les échos sont étranges, on dirais une entrée dans un chateau sacré. Génial, le local piano est libre. Je m'installe, et la, ca va etre dur a raconter. C'était extraordinaire. Je jouais plutôt bien, des trucs de ma composition avec des passages d'improvisation. Un peu d'impro jazz aussi. Je contrôle mes sentiments par un moyen externe qui est la musique... je me suis même fait peur, en m'entrainant dans un passage très mélancolique. Je n'ai aucune idée de l'heure. Je me dit que ça va peut être fermer, le garde va venir, merde jvais avoir l'air con. Paf, le garde qui entre (wtf?) regarde la pièce genre de droite à gauche en détail. "c'était trés joli, vous pouvez continuer" et s'en va.
J'estime, aprés coup, avoir joué 30 minutes, c'était juste parfait.
Je remet la musique... mais pas de souris sur le PC et pad cassé : j'ai 3 minute de Debussy pour sortir, aprés, c'est la musique de Quake 2... OK LET'S GO!
J'arrive dehors, j'aimerai savoir l'heure, j'hésite a demander aux gens, j'y arrive pas, je manque de pouffer de rire. Ok, j'allume mon GSM : 19h17. Pfff ça veut rien dire. J'éteins. Puis... j'essaye de savoir ce que cette heure veut dire... « 19H47, 19h33.. merde? » Je rallume mon GSM. 19H17. Bouarf.
"QUOI, ca fait que 2h!!??"
Je prend mon pétard et l'allume a l'abri d'un appui de fenêtre, en faisant attention a la musique, elle va bientôt changer. Je lève les yeux, une affiche sur la fenêtre écrit "écoute la musique, l'ami". Wtf?
Paf, la musique démarre, je me remet en route, dans l'explosion virtuelle de la grande bibliothèque.
Je suis dans un film d'action, je suis puissant, j'avance sûr de moi; c'est trop bon.
Arrivée tout prés de chez moi, je dois décider entre refaire une mission ( aller sur le toit de l'unif fumer un petard) ou rentrer se poser. Je me dit, ça fait que 2h, ça risque de monter encore, un toit c'est pas le top(dangereux quand même ^^). Surtout que je me lasse vite de mes activités.
Enfaite, je me rend compte que depuis le début, il n'y a pas seulement le Moi qui vit, mais aussi le Moi qui raconte, en même temps. Je vivais mon histoire en la racontant au passé. Comme j'en fais le TR maintenant.
Je rentre finalement chez moi, descente mauvaise, encore plein de "tension" et de "flux", j'aimerai exploiter mais pas moyen, sensation désagréable; j'essaye l'electro, ca m'agresse, je veux pas bader. Je me repose tranquillement dans mon lit, ca passe.
Roulage de petard + fumette, je regarde un simpsons ( justement celui ou Homer fume de la mari ^^ ), descente tranquille, je m'amuse bien. Je mange vers 21h et tout redevient tranquille.
Conclusion : Test intéressant, je m'y attendais pas. Je prendrai maximum 1,4g pour un vrai gros trip. Ça a par contre été court; en y repensant : sprite = citron + pétillant. Ça a joué.
Partie philo, partie aventure, des chouets détails (quelques sensation de goût, toucher, odeur, son assez brèves mais qui me reliaient a mon enfance).
Je retient cette formule pour éventuellement la conseiller a des débutant. Soft et représentatif d'un trip, même si il manque les visuels.
Titre : Le Lapin, les Psilos(0,7g) et le Quetzal.
Lieu : Kot étudiant à Bruxelles + campus
Substance : cubensis B+ coupé en petits morceau histoire d homogénéiser l'ensemble.
14g/2/2/2/2=1,75g ; divisé encore par 2 avec une balance artisanale = 0,8.. , et j'en enlève encore un peu ^^ (reste 0,6-0,7g). Vérification en comparant avec de l'eau, dosée à la seringue. Ok.
Poids: 58kg
Contexte et pourquoi.
J'ai pas bcp trippé ces derniers temps, et si je dois le faire, autant le faire bien avant les exams.
Alors je décide de gouter mes cubensis, séché par mes soins. Justement je suis entrain d'avancer dans "mon projet", du coté du langage, de la communication par la musique et l'ouverture à l'inconscient. Les champis a petite dose.. pourraient être un apport. Hé bien... j'ai pas été déçu!
Il est 17h10
J'avale le tout en mâchant un peu avec quelques gorgées de sprite. Ça mousse, ça camoufle le gout mais c'est pas si bon qu'avec du miel...
Je me pose et je roule vite fait un pétard ( que je n'allume pas); je commence à ranger un peu pour faire de la place, être bien posé, et trouver quelques trucs utile ( de quoi dessiner pour plus tard, cendrier, tout ca...)... sauf que, c'est d'emblée la confusion; je fous plus de bordel que je ne fais de place!
Mais l'attaque est d'abord physique, au niveau du ventre, un mal être, mais sans nausée, juste un poids désagréable. Je m'allonge et chipote vite fait au pc; pas le temps de réfléchir, je met une valeur sur : Chopin ( concerto 1 et 2 ). Ok, maintenant que je suis couché, on attend que ça monte, et dé que je le sens bien j'allume le pétard...
Ce but d'allumer le pétard me fait analyser mon état et actualiser cette donnée régulièrement... a priori, à l'instant T de l'analyse, rien de flagrant. Je me laisse aller a réfléchir, le ventre me clouant au matelas, mais n'étant pas plus gênant que ça. J'analyse toujours... ma conscience travail : elle analyse ma façon de penser... comme un élément externe finalement. Des éléments même, Des mécanismes de pensées. Entre autres : La partie de moi qui reçoit les stimulus sensorielle, Celle qui crée les liens entre les concepts, celle qui les enregistre et son binôme, qui va rechercher les souvenirs... Toutes ces choses se font "à ma manière". Quand j'y prête attention, c'est moi qui pense, moi qui ressent... mais je ne focalise sur tout les mécanisme en même temps. Je suis donc un coordinateur d'un tas de fonction ayant mes caractéristiques mais que je ne supervise pas en permanence.
Ok, vous avez sans doute pas bien suivi ; faut dire, que je ne me racontait pas à moi même ce que je viens de dire, c'était une forme visuelle, ou interagissait les concepts; c'était simple et limpide. Premier mouvement du concerto terminé, seulement 5 minute de trip...
Je continue a avancer sur ce sujet ; avec tout mes petits moi que je regarde travailler. Mais... le grand Moi, c'est ma conscience, et qu'elle est sa nature? Qu'elle est son essence? Suis-je la ou je n'ai pas conscience d'être? Je suis convaincu que je ne trouverai pas la réponse, mais j'essaye d'isoler le nœud : trouver la brique de base insolvable.
Mal de ventre toujours présent mais c'est juste une douleur pure, une pique; je sais pas, sur le moment ça ne pouvait pas avoir de conséquence, à la différence d'une nausée. Juste une info sensorielle.
Mes mains sont toutes mouillées, exactement comme dans mon premier trip, qui m'a enseigné que j'étais relié a l'eau. Mais j'ai déjà "lu" ce chapitre de ma vie; "non, j'ai déjà fait ce trip, je sais que je suis l'eau, pas envie de refaire ce passage oppressant". Et hop, ça disparait, comme quand on tourne la page pour lire la suite.
Chopin continue; j'allume mon pétard; OMG cette odeur, ça explose de partout... je brule un centimètre avec le briquet avant de tirer... c'était beau, et ça sentait bon.
Je prend mon lapin en peluche, le Grand Chaman. Mais je peux pas le caresser, ça avait une connotation sexuel, et je ne suis pas zoophile; dommage, j'aimais bien la sensation, c'était la même que quand j'étais petit. Les idées se sont clairement démultipliées. Le lapin a une certaine matière, tout ses atomes proviennent de la terre; Il a un bijoux mexicain sur le front (lune et soleil confondu). Avec une pierre noire... comme ses deux yeux. Je n'avais jamais remarqué , le bijoux forme EXACTEMENT son troisième œil ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Troisi%C3% ... C3%A9risme) ). Et il vient... du Chiapas...! La région d'origine de Maria Sabina! Celle qui apporta la connaissance des champignons aux "blancs".
La lapin a une posture de bouddha. Et ses tissu viennent sans doute de Chine. Ça va très vite. Tout cela n'est qu'un jeux de symbole, mais étrangement, il est semblable aux jeux des religions... (symboles, reliques, terre d'origines, objet de culte...). Celle-ci ont un terreau commun avec les expériences spirituelles, même si ce lien n'est plus évident maintenant. (ces réflexions me paraissent moins évidentes sobre).
J'ai en parallèle écris rapidement des phrases sur le bloc note; je ne modifie rien, c'est lisible

Les pensée no son pas , ce sont les connecction, les pensée sont les connexion imaginaire. L'etrre n'est pas, seul els connection existe au vent du flux, sans le la mémoire. La mémoire, est ce nous? en tout cas, c la partie de nous qui était, celle de l'historique des connexion. Sommes nous dans le flux? ou l historique du flux?
Flux est le suivi par la conscience, l'élément de base
le moi doit il etre essence
si il est plyusieur, où la conscience est elle
elle n'a jamais les yeux derriere de devant;
ca coule
coucou, langage (je parle aux mot que j'écris... )
le langage au dessu, dans la connexion des conceptes
la musique en bas, la connection des stimulus des émotions
convergent vers l'etre
je devrait composer, et pas seulement écrire
l oeuil du lapin. la pierre précieuse du pays de maria sabina
De la terre. Symbole pour les religions ; elles y voyait juste dans le foncionnement
la musique en parralele avec la musique
l'image symetrique comme la symetrie de mon etre et la symetrie dans les joueurs pygmé
basse forte
Beams degradé ; assenceur;
avait envie de peindre; pensée en myutlitude
je ne souviendrai pas, pourquoi l'écrire?
Tutltitltotitltitltotitltotitototittitiiiiiiiiiiiitititiititiioootitl

Bon, 30 minutes de Chopin c'était bien, mais il est temps de passer à Parov stelar
(
Pas de visuel, alors je met Milkdrop2. Les basses prennent plein de volume, je rentre dans les images comme dans un monde 3D. C'est beau.
2ème partie : La mission.
Je devrait composer, dis je. C'est l'occasion de bouger, il fait même du soleil maintenant dehors.
OK, c'est une grande décision a prendre, c'est très compliqué, je m'applique énormément a rassembler mon demi pétard pas fini, un briquet, de quoi boire, du chocolat, mon telephone éteint, mon PC et mon casque pour la musique (j'ai pas de MP3).
Je sors de chez moi, c'est Debussy qui m'accompagnera. C'était LE bon choix (http://www.youtube.com/watch?v=USj7Rbsw ... re=related – féérique comme sensation). Dehors, avec le casque, je suis dans un monde génial, tout est proche, familier, rassurant. Je suis à la foi déconnecté du monde "classique" et à la foi uni à un monde que je connais. J'avance avec un grand smile; c'est comme une aventure, direction la bibliothèque de l'université. Ce n'est pas une aventure trop difficile, ni trop facile, c'est une chouette aventure! 5 minutes aprés, me voila a la bibli, j'enlève mon casque, les échos sont étranges, on dirais une entrée dans un chateau sacré. Génial, le local piano est libre. Je m'installe, et la, ca va etre dur a raconter. C'était extraordinaire. Je jouais plutôt bien, des trucs de ma composition avec des passages d'improvisation. Un peu d'impro jazz aussi. Je contrôle mes sentiments par un moyen externe qui est la musique... je me suis même fait peur, en m'entrainant dans un passage très mélancolique. Je n'ai aucune idée de l'heure. Je me dit que ça va peut être fermer, le garde va venir, merde jvais avoir l'air con. Paf, le garde qui entre (wtf?) regarde la pièce genre de droite à gauche en détail. "c'était trés joli, vous pouvez continuer" et s'en va.
J'estime, aprés coup, avoir joué 30 minutes, c'était juste parfait.
Je remet la musique... mais pas de souris sur le PC et pad cassé : j'ai 3 minute de Debussy pour sortir, aprés, c'est la musique de Quake 2... OK LET'S GO!
J'arrive dehors, j'aimerai savoir l'heure, j'hésite a demander aux gens, j'y arrive pas, je manque de pouffer de rire. Ok, j'allume mon GSM : 19h17. Pfff ça veut rien dire. J'éteins. Puis... j'essaye de savoir ce que cette heure veut dire... « 19H47, 19h33.. merde? » Je rallume mon GSM. 19H17. Bouarf.
"QUOI, ca fait que 2h!!??"
Je prend mon pétard et l'allume a l'abri d'un appui de fenêtre, en faisant attention a la musique, elle va bientôt changer. Je lève les yeux, une affiche sur la fenêtre écrit "écoute la musique, l'ami". Wtf?
Paf, la musique démarre, je me remet en route, dans l'explosion virtuelle de la grande bibliothèque.

Je suis dans un film d'action, je suis puissant, j'avance sûr de moi; c'est trop bon.
Arrivée tout prés de chez moi, je dois décider entre refaire une mission ( aller sur le toit de l'unif fumer un petard) ou rentrer se poser. Je me dit, ça fait que 2h, ça risque de monter encore, un toit c'est pas le top(dangereux quand même ^^). Surtout que je me lasse vite de mes activités.
Enfaite, je me rend compte que depuis le début, il n'y a pas seulement le Moi qui vit, mais aussi le Moi qui raconte, en même temps. Je vivais mon histoire en la racontant au passé. Comme j'en fais le TR maintenant.
Je rentre finalement chez moi, descente mauvaise, encore plein de "tension" et de "flux", j'aimerai exploiter mais pas moyen, sensation désagréable; j'essaye l'electro, ca m'agresse, je veux pas bader. Je me repose tranquillement dans mon lit, ca passe.
Roulage de petard + fumette, je regarde un simpsons ( justement celui ou Homer fume de la mari ^^ ), descente tranquille, je m'amuse bien. Je mange vers 21h et tout redevient tranquille.
Conclusion : Test intéressant, je m'y attendais pas. Je prendrai maximum 1,4g pour un vrai gros trip. Ça a par contre été court; en y repensant : sprite = citron + pétillant. Ça a joué.
Partie philo, partie aventure, des chouets détails (quelques sensation de goût, toucher, odeur, son assez brèves mais qui me reliaient a mon enfance).
Je retient cette formule pour éventuellement la conseiller a des débutant. Soft et représentatif d'un trip, même si il manque les visuels.